Jean-Pierre-Léopold Baraquin

Jean-Pierre-Léopold Baraquin, né le 15 novembre 1813 à Mortefontaine^[1], mort le 12 juillet 1892 à Pierrefonds, est un dessinateur français.

Il fut conducteur de travaux des Ponts et Chaussées à Soissons, et lors de sa retraite à Pierrefonds décrit à l’aquarelle les paysages de sa région.

Œuvres

L’essentiel de son œuvre est conservé au musée de Soissons. Sauf Pierrefonds, dans le département de L’Oise, et Mortefontaine (non localisable) tous ces sites sont dans le département de l’Aisne.

• Église et château d’Ambleny.
• Château d’Aconin.
• Château d’Armentières.
• Viellie entrée à Bazoches.
• Château de Bagneux.
• Église de Chavigny.
• Porte d’entrée du château de Cœuvres.
• Château de Coucy, (vue générale).
• Château de Coucy, une porte d’entrée.
• Château de Courmelles.
• Tour de Droizy.
• Chaumière à Haramont.
• Ruines de l’église de l’abbaye de Longpont.
• Moulin à eau de Longpont.
• Église de Montigny-Lengrain.
• Ferme à Mortefontaine (Mortefontaine (Aisne) ou Mortefontaine (Oise).
• Église de Mortefontaine.
• Église de Pasly.
• Château de Pierrefonds, en 1860.
• Château de Septmonts.
• Cathédrale de Soissons.
• Château de Vic-sur-Aisne.
• Château et église de Villers-Cotterêts.
• Ruines de l’église de la Chartreuse de Bourgfontaine, à Villers-Cotterêts.
• Château de Noue (sépia), à Villers-Cotterêts.
• Église de Vivières.

• Série de cartes postales éditées par l’association Les Amis du musée de Soissons:
  • Église et château d’Ambleny.
  • Château de Coucy, (vue générale).
  • Château de Coucy, une porte d’entrée.
  • Château de Pierrefonds, en 1860.
  • Château de Septmonts.
  • Château de Vic-sur-Aisne.
  • Château et église de Villers-Cotterêts.

Citation du dictionnaire Bénézit de 1911

« Le Musée de Soissons possède de nombreuses et très belles aquarelles de cet artiste, au talent très délicat, représenant des sites de la région. »

— Émmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, dessinateurs et graveurs, vol. I, page 350.

Citation de l’ouvrage de Lydia Harambourg

« Son art est attachant par son aspect documentaire, mais aussi par ses chaudes harmonies. »

— Lydia Harambourg, Dictionnaire des peintres paysagistes, p. 38.

Notes

Sources

• Dictionnaire artisitique Bénézit édition de 1911, vol. I, p. 350 et édition de 1999, vol.I, p. 717. (Les deux notices sont identiques).
• Lydia Harambourg, Dictionnaire des peintres paysagistes français du XIXe siècle (Ides et Calendes (ISBN 2825800147)).

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