Jacquemart de Dijon

Jacquemart de Dijon

Église Notre-Dame de Dijon

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Église
Notre-Dame de Dijon
Vue générale de l'édifice
Vue générale de l'édifice

Latitude
Longitude
47° 19′ 22″ Nord
       5° 02′ 29″ Est
/ 47.32265, 5.041526
 
Pays France France
Région Bourgogne
Département Côte-d'Or
Ville Dijon
Culte Catholique romain
Type Église
Rattaché à Archidiocèse de Dijon
Début de la construction années 1220
Fin des travaux années 1240.

Consacrée en 1334

Style(s) dominant(s) Gothique
Classé(e) monument historique

L’église Notre-Dame de Dijon, considérée comme un chef-d'œuvre d'architecture gothique du XIIIe siècle, est située au cœur des 97 hectares du secteur sauvegardé de Dijon. Elle s'élève à proximité du Palais des ducs et des États de Bourgogne et face à la rue Musette. On estime que l'édifice actuel a été construit des années 1220 aux années 1240 environ[1].

Cette église de dimensions modestes abrite la statue de Notre-Dame de Bon-Espoir, anciennement appelée Vierge noire. Elle s'orne aussi de deux symboles de la ville de Dijon : le Jacquemart et la chouette.

L'église fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1840[2].

Sommaire

Histoire

La nef

À l'emplacement de Notre-Dame se trouvait à l'origine, avant la seconde moitié du XIIe siècle, une simple chapelle, située hors de l'enceinte de la cité et dénommée chapelle Sainte-Marie.

Vers 1150, la chapelle fut reconstruite dans le style roman. À sa place, les Dijonnais élevèrent à partir des années 1220 l'église gothique actuelle. Notre-Dame étant située au milieu d'un quartier populaire, la place faisait défaut et l'architecte, resté inconnu, usa de nombreuses techniques inédites pour ériger l'église. Par exemple, tout le poids de la charpente et de la toiture repose sur les piliers et non sur des arcs-boutants, permettant ainsi d'utiliser un maximum de surface au sol pour l'intérieur de l'édifice.

L'église a été restaurée de 1865 à 1884 par l'architecte parisien Jean Charles Laisné, et non par Viollet-le-Duc comme il est parfois écrit par erreur. Les travaux consistèrent à rendre à Notre-Dame son aspect supposé d'origine. Pour cela, les constructions adventices furent supprimées, la tour de la croisée rétablie en tour lanterne. Toutes les sculptures abîmées furent refaites.

L'architecture intérieure

Le plan est en croix latine orientée. Un porche précède la nef ; au-dessus se trouve une vaste tribune. La nef est encadrée de collatéraux ; le transept est assez accentué ; une abside à cinq pans termine le chœur. Deux absidioles occupent l'angle des bras du transept et du chœur. La nef compte trois étages : six grandes arcades, soutenues par des piles cylindriques, puis un triforium, supportant une galerie qui passe devant les fenêtres hautes. Le chœur comprend quatre étages : un soubassement orné d'arcades tréflées aveugles, puis un niveau de fenêtres en lancettes, puis un triforium, et un dernier niveau de fenêtres hautes. À la croisée du transept s'élève une tour lanterne à huit grandes fenêtres.

La façade occidentale et le porche

La façade occidentale

Plusieurs historiens d'art ont signalé l'originalité de la façade occidentale[3]. D'une planéité singulière, elle est en effet unique dans l'architecture gothique française. Elle constitue une sorte d'écran qui masque les dispositions intérieures de l'église. Mesurant environ 28,6 m de haut sur 19,5 m de large et 6,2 m de profondeur, elle compte trois étages, dont le premier comporte trois grandes arcades, formant l'entrée d'un porche, dont les voûtes sont soutenues par deux rangs de piliers. Ce porche précède les trois portes de l'église, dont les voussures, le tympan et les ébrasements étaient ornés de statues et de sculptures, détruites en janvier 1794[4].

Au-dessus de ces arcades, la façade s'orne de deux galeries d'arcatures superposées, reposant chacune sur dix-sept colonnettes d'un seul morceau, couronnées d'un chapiteau, et soulignées par trois bandeaux ornés de fausses gargouilles alternant avec des métopes.

Cette façade est encadrée de contreforts d'angle, surmontés de tourelles d'escalier coiffées d'une toiture conique.

Au-dessus de la façade devaient s'élever initialement deux tours carrées, dont n'existent que les amorces. Sur la souche de la tour sud se trouve un campanile supportant le Jacquemart.

Les gargouilles

La façade de Notre-Dame de Dijon et ses célèbres fausses gargouilles
Détail des gargouilles

Les « gargouilles » de la façade occidentale de Notre-Dame de Dijon sont de fausses gargouilles : il ne s'agit que de sculptures ornementales. Les gargouilles évacuent les eaux de pluie, ce qui n'est pas le cas sur cette façade. L'église comporte cependant de vraies gargouilles, situées sur le mur gouttereau nord, qui longe la rue de la Chouette, et le mur gouttereau sud, du côté duquel s'élève la sacristie.

Ces 51 fausses gargouilles grotesques, représentant des êtres humains, des animaux et des monstres, datent d'une restauration effectuée en 1880 et 1881. Elles sont l'œuvre de sept sculpteurs parisiens : Chapot, Corbel, Geoffroy, Lagoule dit Delagoule, Pascal, Thiébault et Tournier[5]. En 1910, elles ont été attribuées à tort au seul sculpteur Lagoule.

Selon le récit du moine Étienne de Bourbon[6], les sculptures originelles ne sont pas restées longtemps en place : elles ont été déposées dès 1240 environ, à la suite d'un accident mortel. En effet, un usurier trouva la mort sur le parvis de l'église alors qu'il allait se marier, après qu'une figure de pierre représentant justement un usurier se fût détachée, le tuant sur le coup. Les confrères de la victime auraient alors obtenu le démantèlement de toutes les fausses gargouilles de la façade. Seule subsista, comme témoin, la gargouille de l'angle supérieur droit, ainsi que celles des côtés et du revers de la façade[7].

Le Jacquemart

Le Jacquemart

L'un des principaux points de passage touristiques de Dijon se situe rue Musette, face à Notre-Dame. Les guides y font patienter leurs groupes en attendant que sonne le Jacquemart. Cette horloge comporte quatre automates métalliques dont deux, nommés Jacquemart et Jacqueline, sonnent les heures avec un marteau sur une grosse cloche, les deux autres automates, leurs "enfants" Jacquelinet et Jacquelinette, frappant de quart d'heure en quart d'heure, chacun sur une petite cloche.

L'automate Jacquemart et la grosse cloche ont été ramenés de Courtrai, en Belgique, après le pillage de la ville par les armées de Philippe le Hardi en 1382. Cette année-là, le duc de Bourgogne partit en campagne à la tête de mille soldats dijonnais afin de porter secours à son beau-père, le comte de Flandre, pris de court par une rébellion qui s'étendait entre Lille et Courtrai. Après la victoire bourguignonne, le duc s'empara à Courtrai d'une horloge munie d'un automate sonnant l'heure sur une cloche, qui passait pour une merveille. Il la fit démonter et l'offrit à Dijon, sa capitale. Ce qui restait de Courtrai fut livré au pillage et les dommages s'ajoutèrent à la perte de vingt mille hommes chez l'adversaire.

Les Dijonnais se cotisèrent pour placer, en 1383, l'horloge et l'automate sur l'amorce de la tourelle sud de la façade occidentale de l'église Notre-Dame. La cloche, refondue à Dijon, reçut le prénom de sa marraine, la duchesse Marguerite de Flandre[8].

L'étymologie du terme Jacquemart est incertaine ; ce nom n'est attesté, pour l'automate de Dijon, que depuis 1458[9].

Un second automate, figurant une femme, fut ajouté en 1651 à droite du campanile, pour sonner les heures alternativement avec Jacquemart. Les Dijonnais l'appelèrent Jacqueline.

En 1714 ou peu après, sur l'idée du poète local Aimé Piron, un enfant automate fut adjoint au couple pour sonner les demi-heures. Les Dijonnais le nommèrent Jacquelinet.

En 1884[10], et non en 1881 ou en 1885, fut ajoutée Jacquelinette, qui frappe les quarts d'heure avec son frère.

Les vitraux

La rose sud, la croisée du transept et une partie de la nef

L'église Notre-Dame fut dotée dès le XIIIe siècle de vitraux de grande qualité. Il n'en reste que cinq, dans les lancettes du bras nord du transept. Réalisés vers 1235, ils représentent des épisodes de la vie de saint Pierre et de saint André.

À partir de 1874, le peintre verrier parisien Édouard Didron réalisa de nouveaux vitraux inspirés des cinq d'origine. Jusqu'en 1897, il créa un ensemble de cinquante-huit verrières. Parmi elles, les plus grandes sont celles qui garnissent les deux roses des pignons nord et sud des bras du transept, mesurant 6 m de diamètre.

La statue de Notre-Dame de Bon-Espoir

Notre-Dame de Bon-Espoir habillée d'une de ses parures, en 2007

Dans l'absidiole sud de l'église est exposée, sur un autel d'orfèvrerie, la statue en bois appelée Notre-Dame de Bon-Espoir. Datant du XIe ou du XIIe siècle, cette statue de la Vierge est considérée comme l'une des plus anciennes de France. Il s'agissait à l'origine d'une Vierge assise sur un trône, tenant l'enfant Jésus sur ses genoux. Le siège a été supprimé anciennement et le dos de la statue a été scié et remplacé par un morceau de bois. L'enfant Jésus a été brisé à la Révolution française, en 1794[11]. Notre-Dame de Bon-Espoir avait déjà perdu ses deux mains au XVIIIe siècle[12]. Le visage est par contre presque totalement indemne. Depuis plusieurs siècles, la statue a été souvent présentée couronnée et habillée d'une robe[13].

À l'origine, les vêtements sculptés de la Vierge portaient une polychromie romane et son visage une couleur bistre clair à peine plus sombre que le teint naturel. Au XVIe ou au XVIIe siècle, la statue fut peinte en noir, pour une raison inconnue. En 1945, cette couche de peinture fut retirée, révélant la polychromie d'origine[14].

Depuis l'enlèvement définitif, en 1963, de la teinte noire qui recouvrait le visage, la statue, qui était appelée notamment Vierge noire, est connue sous son ancien nom de Notre-Dame de Bon-Espoir. Au XVe siècle, les Dijonnais appelaient cette image de la Vierge, Notre-Dame de l'Apport, c'est-à-dire du marché. Le nom de Notre-Dame de l'Espoir existait également. Il prévalut à partir de la délivrance de Dijon en 1513, et devint au XVIIe siècle "Notre-Dame de Bon-Espoir" (avec deux traits d'union)[15].

On attribue à Notre-Dame de Bon-Espoir plusieurs miracles. En septembre 1513, les armées suisses assiégeaient et bombardaient Dijon, dont la situation semblait désespérée. Le 11 septembre, des Dijonnais firent, dans le quartier de Notre-Dame, une procession au cours de laquelle ils portèrent la statue de la Vierge. Deux jours plus tard, les Suisses levèrent le camp de manière inattendue. Les Dijonnais virent dans cette libération l'intervention de la Vierge. Une tapisserie fut tissée vers 1515 pour commémorer l'événement. Elle orna Notre-Dame jusqu'à la Révolution, et se trouve aujourd'hui au musée des Beaux-Arts de Dijon [16].

En septembre 1944, Dijon était occupé par l'armée allemande, qui semblait vouloir résister à l'avancée des troupes françaises. Le 10 septembre, dans l'église, l'évêque de Dijon demanda publiquement à Notre-Dame de Bon-Espoir de protéger la ville des ravages redoutés. Dans la nuit du 10 au 11 septembre, les Allemands quittèrent Dijon, et les Français y entrèrent le 11, jour anniversaire de la procession de 1513. À nouveau, les croyants y virent un miracle. Une tapisserie évoquant les deux délivrances de 1513 et de 1944 fut commandée à Dom Robert et mise en place à Notre-Dame en 1950.

L'orgue

Un premier orgue existait sur la tribune dès le XVIe siècle. Jean-Philippe Rameau (1683-1764) joua sur cet instrument de 1709 à 1713. En 1874, la restauration de la tribune nécessita le démontage de l'orgue. Un nouvel instrument fut construit en 1893 et inauguré en 1895. Sa partie mécanique et sonore, réalisée par le facteur dijonnais d'origine belge Jean-Baptiste Ghys, est installée dans un buffet néogothique.

La chouette

La chouette, après 2001

Dans la rue de la Chouette, voie piétonne qui longe le côté nord de l'église et le chevet, une pierre d'une chapelle de Notre-Dame porte une marque singulière qui a suscité la curiosité de certains historiens de la ville. À l'angle d'un contrefort d'une chapelle de l'église est sculpté un oiseau que les Dijonnais appellent la chouette. Sa signification est toujours inconnue, bien que plusieurs hypothèses aient été émises à son sujet. Pour certains, la chouette pourrait être une signature laissée là par un architecte ou par un tailleur de pierre[17]. Il ne peut s'agir en tout cas de la signature de l'architecte de l'église, car cette chouette est sculptée sur une chapelle élevée à la fin du XVe ou au début du XVIe siècle, soit plusieurs siècles après la construction de Notre-Dame.

La chouette est très usée à cause de la vénération superstitieuse qu'elle suscite. En effet, Dijonnais et touristes ont coutume de la caresser, de la main gauche, pour demander que leur souhait soit exaucé. Il n'en subsiste donc aujourd'hui que la forme générale, la plupart des détails de la sculpture ayant depuis longtemps disparu.

Dans la nuit du 5 au 6 janvier 2001, un vandale a porté à la chouette plusieurs coups de marteau[18]. Cette dégradation suscita l'émotion des Dijonnais. Plutôt que de laisser la chouette en l'état ou de remplacer le bloc de pierre sur lequel elle était sculptée, il fut décidé d'en réparer les cassures. Un moulage de la chouette avait été réalisé en 1988 par un statuaire mouleur du Louvre[19]. Il servit de modèle à la réparation, qui consista à incruster des fragments de pierre, ensuite patinés. Ce travail s'accomplit fin janvier et début février 2001[20].

Depuis cet incident, un système de vidéosurveillance a été mis en place afin de prévenir toute récidive. La chouette restaurée a été inaugurée officiellement le 12 mai 2001[21].

Ces péripéties n'ont fait qu'accroître la popularité de cette sculpture à Dijon. L'office de tourisme l'a choisie en 2001 comme symbole de fléchage pour le Parcours de la Chouette, circuit touristique piéton qui fait le tour du centre historique avec un balisage devant les principaux monuments.

Appréciations architecturales

Notre-Dame telle qu'elle apparaissait jusqu'en 1865

Au XVIIe siècle, Vauban a dit de Notre-Dame qu' « il ne manquait à ce Temple auguste qu'une boîte pour l'enfermer », peut-être parce que l'église était entourée de maisons, dont certaines lui étaient même accolées[22].

Selon Eugène Viollet-le-Duc, Notre-Dame de Dijon est « un chef-d'œuvre de raison[23]. »

T. de Jolimont écrit de Notre-Dame, dans son ouvrage Description historique et critique [...] des monumens les plus remarquables de la ville de Dijon, de 1830, p. 31 :

« L'intérieur de l'église de Notre-Dame offre plus particulièrement lieu d'observer et d'étudier tout le talent dont l'artiste a fait preuve, tout l'artifice de la structure, l'heureuse exécution des colonnades qui règnent dans toute l'étendue des travées, cette harmonie entre toutes les parties, et cette construction ingénieuse et hardie des voûtes qui paraissent comme suspendues et sans appuis, dont furent, dit-on, si émerveillés le célèbre Vauban et l'architecte Soufflot qui en fit exécuter une copie modèle en bois. »

Bibliographie

  • Joseph Bresson, Histoire de l'église Notre-Dame de Dijon depuis ses origines jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, Dijon, Union typographique, 1891, 576 p.
  • Jules Thomas, Épigraphie de l’église Notre-Dame de Dijon, Dijon Paris, E. Nourry, 1904, 145 p.
  • Charles Oursel, L'Église Notre-Dame de Dijon, Paris, Henri Laurens, 1938, 101 p.
  • Claude Courtépée, Description historique et topographique du duché de Bourgogne, Dijon, 1774-1785.

Références et notes

  1. Selon le site officiel de la paroisse Notre-Dame de Dijon.
  2. notice de la base Mérimée
  3. Par exemple, T. de Jolimont, dans Description historique et critique et vues pittoresques dessinées d'après nature et lithographiées, des monumens les plus remarquables de la ville de Dijon, Paris, Imprimerie de A. Barbier, 1830, p. 29, écrit que "La partie la plus remarquable est le portail principal, unique dans son genre ».
  4. Sculpture médiévale en Bourgogne Collection lapidaire du Musée archéologique de Dijon, Dijon, Editions universitaires de Dijon, 2000, p. 214.
  5. Sculpture médiévale en Bourgogne Collection lapidaire du Musée archéologique de Dijon, Dijon, Editions universitaires de Dijon, 2000, p. 222.
  6. Jacques Berlioz, Saints et damnés. La Bourgogne du Moyen Age dans les récits d'Etienne de Bourbon, inquisiteur (1190-1261), Dijon, Les Editions du Bien public, 1989, p. 7-9
  7. Selon le site officiel de la paroisse Notre-Dame de Dijon.
  8. Boudot, Notice sur l'horloge de l'église Notre-Dame de Dijon [...], Dijon, Veuve Brugnot, Paris, 1835, 56 p.
  9. Etienne Picard, « Le Jaquemart de l'église Notre-Dame de Dijon », La Revue de Bourgogne, 15 mars 1921, p. 77-82.
  10. Jules Thomas, Épigraphie de l'église Notre-Dame de Dijon, Dijon Paris, E. Nourry, 1904, p. 74, 81.
  11. Jules Thomas, La délivrance de Dijon en 1513 d'après les documents contemporains, Dijon, 1898, p. 168.
  12. Bibliothèque municipale de Dijon, Dom Calmelet, Histoire de la maison magistrale conventuelle et hospitalière du Saint Esprit fondée à Dijon l’an MCCIV, p. 52.
  13. Jules Thomas, La délivrance de Dijon en 1513 d'après les documents contemporains, Dijon, 1898.
  14. Pierre Quarré, « La statue de Notre-Dame de Bon-Espoir et son ancienne polychromie », Mémoires de la Commission des Antiquités du département de la Côte-d'Or, t. 23, 1947-1953, p. 190-197.
  15. Jules Thomas, La confrérie de Notre-Dame de Bon-Espoir, Dijon, 1899, p. 27-32
  16. Jules Thomas, La délivrance de Dijon en 1513 d'après les documents contemporains, Dijon, 1898, 351 p.
  17. Henri Chabeuf, Dijon. Monuments et Souvenirs, Dijon, L. Damidot, 1894, p. 236. Eugène Fyot, L'église Notre-Dame de Dijon Monographie descriptive, Dijon, Félix Rey, 1910, p. 111
  18. Le Bien public, 6 janvier 2001, p. 1, 3.
  19. Le Bien public, 10 janvier 2001, p. 5.
  20. Le Bien public, 30 janvier 2001, p. 5.
  21. Voir les éditions du Bien public de janvier 2001 pour plus d'informations sur ces événements.
  22. Gaudrillet, Histoire de Notre-Dame de Bon-Espoir [...], Dijon, Arnauld Jean-Baptiste Augé, 1733, p. 27-28.
  23. Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle, Paris, B. Bance, t. IV, p. 131.

Liens externes

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