- Giulio Tremonti
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Giulio Tremonti Giulio Tremonti, en 2006.Mandats Ministre italien de l'Économie et des Finances 8 mai 2008 – 16 novembre 2011 Président du Conseil Silvio Berlusconi Prédécesseur Tommaso Padoa-Schioppa Successeur Mario Monti 22 septembre 2005 – 8 mai 2006 Président du Conseil Silvio Berlusconi Prédécesseur Domenico Siniscalco Successeur Silvio Berlusconi (intérim) 11 juin 2001 – 3 juillet 2006 Président du Conseil Silvio Berlusconi Prédécesseur Ottaviano Del Turco
Vincenzo ViscoSuccesseur Silvio Berlusconi (intérim) Vice-président du Conseil des ministres italien 23 avril 2005 – 8 mai 2006 Président du Conseil Silvio Berlusconi Prédécesseur Gianfranco Fini
Marco FolliniSuccesseur Massimo D'Alema
Francesco RutelliMinistre italien des Finances 10 mai 1994 – 17 janvier 1995 Président du Conseil Silvio Berlusconi Prédécesseur Franco Gallo Successeur Augusto Fantozzi Biographie Date de naissance 18 août 1947 Lieu de naissance Sondrio Nationalité italienne Parti politique PdL Diplômé de Université de Pavia Profession Économiste, professeur de droit modifier Giulio Tremonti, né le 18 août 1947 à Sondrio, est un juriste et homme politique italien, ancien ministre de l'Économie et des Finances dans le gouvernement Silvio Berlusconi IV, du 7 mai 2008 jusqu'à la démission de ce gouvernement.
Biographie
Titulaire d'une maîtrise en droit, avocat, Giulio Tremonti est professeur de droit fiscal à l'Université de Pavie[1]. Ancien proche du socialiste Gianni De Michelis et conseiller des ministres des Finances Franco Reviglio et Rino Formica, après avoir adhéré en 1992 à la formation centriste de Mario Segni, il devient en 1994 l'un de chefs de file de Forza Italia. Élu député en 1994, Tremonti est constamment réélu depuis.
Tremonti se fait connaître des Italiens et des économistes européens après sa nomination au ministère des Finances dans le 1er gouvernement de Silvio Berlusconi (10 mai 1994 - 17 janvier 1995). Nommé le 11 juin 2001 ministre de l'Économie et Finances dans le 2e gouvernement Berlusconi, il doit démissionner le 3 juillet 2004. Sa démission a été demandée à plusieurs reprises par l'Alliance nationale.
Expression de l'aile la plus radicale de Forza Italia, il revient aussitôt aux affaires, et il est nommé vice-président du conseil et ministre de l'Économie et des Finances dans le 3e gouvernement Berlusconi (23 avril 2005 - 17 mai 2006).
Vice-président de la Chambre des députés lors de la XVe Législature (2006-2008), il est nommé ministre de l'Économie et des Finances dans le gouvernement Silvio Berlusconi IV, le 8 mai 2008, après la victoire de la droite italienne aux élections générales anticipées d'avril.
Cité par la presse comme possible successeur de Silvio Berlusconi à la présidence du Conseil, il déclare en juillet 2010 qu'il n'existe « pas d'alternative crédible » à celui-ci[2]. Mais, en juillet 2011, le président Berlusconi critique vivement son ministre de l'Économie, affirmant qu'il « ne joue pas collectif et [lui repprochant] son intransigeance sur la politique d’austérité »[3].
Notes et références
Liens externes
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