- Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages
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Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages est un film français réalisé par Michel Audiard, sorti en 1968.
Sommaire
Synopsis
Rita va jouer de ses relations, notamment amoureuses, parmi les truands pour obtenir sa part dans un partage de lingots d'or.
Fiche technique
- Titre : Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages
- Réalisation : Michel Audiard
- Scénario : Michel Audiard et Jean-Marie Poiré
- Production : Alain Poiré
- Société de production : Gaumont
- Musique : Georges van Parys et Stéphane Varègues
- Photographie : Georges Barsky
- Montage : Robert Isnardon
- Pays d'origine : France
- Format : Couleurs - 1,66:1 - Mono - 35 mm
- Genre : Comédie
- Durée : 99 minutes
- Date de sortie : 1968 (France)
- Visa de Censure n° 34 080
Distribution
- Françoise Rosay : Léontine
- Bernard Blier : Charles
- Marlène Jobert : Rita
- André Pousse : Fred
- Robert Berri : Un conseiller de Charles (sous le nom de "Robert Berry")
- Gérald Bruneau : Le Viking
- Michel Charrel : Un conseiller de Charles
- Mario David : Jacky
- Sylvain Lévignac : Un conseiller de Charles
- Roger Mailles : Un homme de main de Charles
- Raoul Saint-Yves : Raoul
- Jean Saudray : Un homme de main de Charles
- Dominique Zardi : Un tueur
- Paul Frankeur : Ruffin
- Robert Dalban : Casimir
- Claude Rollet : Tiburce
- Jean Carmet : Le convoyeur supertitieux (non crédité)
- Michel Audiard : le rapporteur aux finances (non crédité)
- Michel Jourdan
Autour du film
- Il s'agit du premier long métrage réalisé par Michel Audiard.
- À noter, les apparitions de Michel Audiard (le rapporteur aux finances) et Jean Carmet (le superstitieux).
- Le titre du film servira de citation pour le général de Gaulle quand il était à la présidence de la République française.
Citations
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« J'm'appelle Rita. J'suis drôlement bien foutue et vachement intelligente. Vous autres, j'sais pas c'que vous aimez – les œufs au plat, Teilhard de Chardin ou le rythm and blues – moi c'est les sous. »
— Rita
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« Mais attention, hein : j'ai bon caractère mais j'ai le glaive vengeur et le bras séculier !
L'aigle va fondre sur la vieille buse !
– C'est chouette comme métaphore, non ?
– C'est pas une métaphore, c'est une périphrase.
– Oh, fais pas chier.
– Ça, c'est une métaphore ! »— Deux hommes de main commentant un monologue de Charles
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« ah ce que ça peut m'agacer ce truc là »
— Léontine à Rita
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« veni, vidi, non vici. (On l'a dans le baba) Merci j'avais compris »
— le chef de gang à Charles
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« La connerie à ce point-là, moi, j'dis qu'ça d'vient gênant. »
— Fred
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« Vous toucherez vos dix pour-cent, comme d'habitude.
– Mademoiselle pourrait peut-être ajouter un don à notre fonds de soutien, pour le pélerinage à Nijni Novgorod ?
– Mon ami, entendons-nous bien.
Les affaires sont les affaires, mais j'ai été baptisée – et confirmée – dans le sein de la Sainte Eglise Apostolique romaine ; c'est pas pour me faire caver à soixante-quinze piges dans vos singeries byzantines ! »— Mlle Léontine à un prêtre orthodoxe dont elle a usurpé l'identité
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« Un pigeon c'est moins intelligent qu'un dauphin d'accord, mais ça vole. »
— Fred
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« Pauv'Fred. »
— Fred
Panneaux
- avant le salon de thé
"Où il est prouvé que la musique n'adoucit pas les moeurs et dans lequel la vieillesse délinquante envoie un peu loin le bouchon."
- épilogue
"Les actes (déplorables) et les personnages (odieux) de cette histoire (idiote) sont forcément imaginaires car chacun sait que le crime ne paie (presque) pas."
Lien externe
- (fr+en) Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages sur l’Internet Movie Database
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