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Famille de La Porte de Laval
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La famille de La Porte, est l'une des riches et notables familles de Laval qui demeurait au Logis des Eperons adossé aux remparts de Laval (Sous Le règne de Henri IV). Connue depuis Christophe de la Porte, mari de Jeanne Lelièvre, qui exploita en 1565 une lavanderie située près de la fontaine de Mirecou.
Photos logis des Eperons : [1][2][3][4][5][6][7]
Les armes de la famille : de gueules à 3 merlettes (Se trouvant encore au Logis des Eperons).
Sommaire
Membres
- Christophe de la Porte ;
- Jean de la Porte, sieur de la Tellinière ;
- Jean de la Porte, l'un des plus riches banquiers et négociants de Laval [1] ;
- Sébastien de la Porte, conseiller et médecin ordinaire du roi [2] ;
- Jean de la Porte [3] ;
- Valentin de la Porte, sieur des Forges [4] ;
- René de la Porte, maire perpétuel de Laval ;
- Jean de la Porte, l'un des plus riches banquiers et négociants de Laval [1] ;
- Jean de la Porte, sieur de la Tellinière ;
Le Logis de Eperons
Cet hôtel particulier d’une surface habitable de 800 m² environ est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. Voir les références : [8] Ce logis se trouve dans le département de la Mayenne, à Laval (FRANCE). On y trouve une remarquable promenade sur les remparts, d’où l’on découvre une vue étendue sur la ville. La famille de La Porte, est l'une des riches et notables familles de Laval qui demeurait au Logis des Eperons (Sous Le règne de Henri IV). La dernière famille occupante connue du logis de Eperons est la famille MALIN.
Photos logis des Eperons : [9][10][11][12][13][14][15]
Voir aussi
Notes et références
- ↑ Fils de Jean de la Porte et de Julienne Emond. Il est l'un des plus riches banquiers et négociants de Laval, comme l'indique l'inventaire de sa fortune en 1639. Il acheta l'office de receveur du taillon et acquit en quelques années Montfourmé, Nazé, la Coconnière, Fontenay, Favry, Malitourne, etc. et enfin la maison du Manoir à Laval. Veuf de Guillemine Bellière, il épousa Marie Cazet, dame de la Houssaie, établit noblement ses enfants et fut inhumé en 1677 dans un caveau à Saint-Vénérand de Laval où se voient encore les armes de la famille.
- ↑ Conseiller et médecin ordinaire du roi, doyen dès 1667 du collège des médecins de Rennes, habitait sa terre de Bonnes. Il n'eut point d'enfants de Louise Ouvrard, sa femme, fonda par testament deux lits à l'hôpital et laissa sa terre de Bonnes aux Jésuites de la Flèche, à charge de recevoir deux étudiants de sa famille ou au moins de Laval. Il mourut le 3 mars 1693, âgé de 79 ans. « M. Bureau le reçut à la porte du Badoir, sur le pont, comme venant d'Avesnières en sa paroisse, écrit l'abbé Duchemin, et après nous le donna pour l'apporter à Saint-Vénérand de Laval. Les hommes qui l'avoient apporté avoient encore des bureaux, selon l'ancienne coutume ; ils sont les seuls que j'aie vus. »
- ↑ Sieur de Villoiseau, receveur des finances à Tours, conseiller et officier du roi.
- ↑ Président en l'élection de Laval, épousa avant 1668 Renée Lemeignan et mourut le 21 février 1695, laissant de nombreux enfants dont sont issus les de la Porte de Forges, de Véloché, de Méral.
- ↑ Sieur de la Thébaudière, seigneur du Plessis-Buret, capitaine des gardes de la Prévôté de France, procureur en l'élection et au grenier à sel de Mamers, 1781, procureur du grenier à sel du Mans, 1788
- ↑ Mari de Gabrielle Jouye des Roches, seigneur du Plessis-Buret.
- ↑ Il rimait comme en témoignent les petits vers copiés par l'abbé Angot sur des registres du Plessis-Buret et qui accompagnaient l'envoi d'un bonnet phrygien à un ami, en 1793. « Douterais-tu de ma croyance.
Après t'en avoir fait l'aveu ?
Tu n'es pas si simple, je pense,
De prendre ceci pour un jeu.
Du fond secret de ma boutique
Je t'ai tiré cette relique :
Parfois certain petit présent
Prouve assez bien le sentiment.
Reçois donc ce sacré bonnet
Non de docteur mais de gobet;
Tu pourras, ce saint casque en tête,
En tous lieux redresser la crête;
Vivre libre ou mourir enfin,
Suivant les ordres du destin.
En attendant la catstrophe,
Bois, chante, fais Et Cetera;
Et moi, pour égayer ma strophe
Je vais entonner : Ca ira. » - ↑ Le 24 germinal an V, par contrat devant Hourdel et de la Masserie, notaires au Mans.
- ↑ Voir : (Forges de Moncor). Cette dernière parle d'elle dans l'Histoire de ma vie.
Source
« Famille de La Porte de Laval », dans Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Goupil, 1900-1910 [détail de l’édition], t. IV, p. 747.
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