Emile Halbout

Emile Halbout

Émile Halbout

Émile Halbout ( à La Lande-Patry le 15 février 1905 - décédé à Saint-Georges-des-Groseillers le 30 décembre 1997) est un homme politique français, figure du bocage flérien.

Sommaire

Ascendance

Du Bocage flérien à Paris, le destin dÉmile Halbout est exceptionnel. le 15 février 1905 à La Lande-Patry, Émile Halbout se déclare apiculteur et cirier. Sa famille paternelle travaille de fait dans le miel et la cire depuis trois générations. En 1835, Lucien Halbout (1812-1874), sacristain de léglise Saint-Germain de Flers, fut en effet encouragé par labbé Jean-Baptiste Lecornu, le nouveau curé dune ville en plein essor, à produire des cierges. Henri Émile Halbout (1844-1904) développa ensuite lentreprise créée par son père en initiant de nouveaux procédés de fabrication, investissant dans des techniques innovantes et exportant ses produits à linternational. Installé au Tremblay de nombreuses ruches sont implantées, ce catholique rallié à la République fut élu maire de La Lande-Patry en 1900. Lucien Émile Halbout (1873-1950) lui succéda à la tête de lentreprise de miel et cire mais aussi au poste de maire quil occupa de 1904 à 1950. Proche des idées du Sillon de Marc Sangnier et conseiller général du canton de Flers de 1928 à 1940, il fit campagne lors des élections législatives de 1936, en signant une affiche intitulée « Catholiques, on vous trompe ! », contre le sortant conservateur Georges Roulleaux Dugage et pour le candidat du PDP (parti démocrate populaire), éditorialiste de LAube, Georges Bidault, vice-président de lACJF (association catholique de la jeunesse française).

Jeunesse

Dès son plus jeune âge, Émile Halbout se veut à lécoute des personnes les plus modestes et sengage dans le domaine associatif. Alors quil prépare un baccalauréat ès lettres au Pensionnat Immaculée-Conception de Flers, il est un des fondateurs, en 1922, du patronage « La Jeanne dArc de La Lande-Patry » dont il est le secrétaire et le moniteur de gymnastique des pupilles. Adhérent de lACJF, il est élu président diocésain de ce mouvement de jeunes militants catholiques en 1927. Il suscite la création en 1930 dune section de la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) à Flers mais participe surtout, la même année, à létablissement de la JAC (Jeunesse agricole chrétienne) de lOrne. Au milieu des années 1930, JOC et JAC sont durablement installées dans lOrne et des sections féminines (JOCF et JACF) sont créées. Émile Halbout, qui conforte ainsi ses idéaux tout en se frottant à la vie publique, est félicité pour son action par les dirigeants nationaux parmi lesquels figure Georges Bidault.

Les années 1940

Démobilisé après la défaite de 1940, Émile Halbout coordonne des actions en faveur de laide aux familles comme délégué cantonal du Secours national. A la Libération, il poursuit son action sociale, comme trésorier de lEntraide française, au service des réfugiés et sinistrés. Il entre aussi en politique en briguant le poste détenu par son père de 1928 à 1940 et est élu conseiller général du canton de Flers le 23 septembre 1945. Réélu en 1949, 1955, 1961 et 1967, il siège ainsi au Conseil général de lOrne, dont il fut vice-président, jusquau renouvellement de 1973.

Mais le fils du maire de La Lande-Patry ne se contente pas dun mandat local. Il figure en effet en troisième position sur la liste du MRP (mouvement républicain populaire), héritier du PDP, fondé en 1944 à Lyon en revendiquant les valeurs de la démocratie chrétienne. Son principal animateur, Georges Bidault, président du Conseil National de la Résistance et deuxième personnage du Gouvernement Provisoire de la République Française derrière le général de Gaulle, sollicité pour se présenter à nouveau dans lOrne ayant préféré la Loire, cest Louis Terrenoire, rescapé des camps de la mort hitlériens, qui conduit cette liste. Elle enlève, le 21 octobre 1945, deux des quatre sièges dévolus à lOrne. Mais le rejet, par référendum, du projet constitutionnel donne une seconde chance à Émile Halbout. Il permute en effet avec le sortant Raymond Couder et, lors du scrutin du 2 juin 1946, le système de la plus forte moyenne lui est favorable. Il entre ainsi à lAssemblée Constituante en compagnie de son colistier Louis Terrenoire, réélu, du socialiste Raymond-Alexandre Guesdon et de lindépendant Étienne Le Sassier-Boisauné, lesquels remplacent le radical Ernest Voyer et lindépendant Jacques Roulleaux Dugage.

Au sein de cette seconde Assemblée Constituante, Émile Halbout est membre des commissions du ravitaillement, de la reconstruction et des dommages de guerre, et il est désigné juré à la Haute Cour de justice. Il obtient la reconnaissance de nombreux petits paysans ornais en étant à linitiative dune proposition de loi freinant le cumul des exploitations agricoles au profit de létablissement des jeunes foyers dagriculteurs.

Les institutions de la IVe République mises en place, Émile Halbout se présente à lAssemblée nationale associé à Louis Terrenoire et Étienne Le Sassier-Boisauné. Ces deux derniers sont élus, le 10 novembre 1946, ainsi que le socialiste Guesdon mais lindépendant Philippe Monin prive Émile Halbout du quatrième siège de député de lOrne. Toutefois, Étienne Le Sassier-Boisauné est choisi, le 8 décembre suivant, par les grands électeurs de lOrne pour siéger au Conseil de la République et Émile Halbout retrouve donc le Palais-Bourbon, les commissions de la reconstruction et des dommages de guerre, dont il est secrétaire, ce qui lamène à intervenir souvent à la tribune, du ravitaillement, et sa fonction de juré à la Haute cour de justice. En 1948, il devient aussi membre de la Commission de lintérieur et il mène une intense activité parlementaire. Lors de cette législature, il accorde sa confiance au cabinet dirigé par le socialiste Ramadier (4 mai 1947) et vote les projets de loi sur le statut de lAlgérie (27 août 1947), ladoption du plan Marshall (7 juillet 1948), la constitution du Conseil de lEurope (9 juillet 1949), la ratification du pacte de lAtlantique (26 juillet 1949) et les apparentements (7 mai 1951).

Les années 1950

Louis Terrenoire ayant rejoint le général de Gaulle au sein du RPF (Rassemblement du peuple français) dont il est le secrétaire général, Émile Halbout, maire de La Lande-Patry depuis le 18 novembre 1950, conduit le 17 juin 1951 la liste du MRP dans lOrne. Il est réélu, ainsi que lindépendant Monin, en résistant à la forte poussée du RPF qui enlève deux sièges avec Paul Pelleray et Pierre Couinaud. Émile Halbout devient alors vice-président de la Commission de la reconstruction et des dommages de guerre et, tout en étant membre de la Commission de lintérieur, rejoint celle de la justice et de la législation en 1953, puis celle des immunités parlementaires. Son action au Palais-Bourbon lui vaut dêtre élu à la fonction stratégique de secrétaire de lAssemblée nationale quil occupe du 3 octobre 1955 au 10 décembre 1958. Entretemps, lors de la deuxième législature, Émile Halbout accorde sa confiance à Antoine Pinay (6 mai 1952), Joseph Laniel (26 juin 1953) et Edgar Faure (23 février 1955) mais sabstient volontairement lors de linvestiture de Pierre Mendès France (17 juin 1954). Soutenant les écoles libres et notamment catholiques, il vote la loi Barangé-Marie (21 septembre 1951) ; partisan convaincu de la construction européenne, il se prononce pour la CECA, Communauté européenne du charbon et de lacier (13 décembre 1951), et la CED, Communauté européenne de défense (30 août 1954).

Lors des élections législatives anticipées du 2 janvier 1956, Émile Halbout conduit à nouveau la liste du MRP qui sest apparentée avec celle du CNI (Centre national des indépendants et paysans) des anciens RPF Paul Pelleray et Pierre Couinaud et celle de Philippe Monin. Cet apparentement permet aux quatre sortants de conserver leur siège en écartant le socialiste Guesdon, le communiste Chatelais mais aussi le jeune Louis Mermaz, candidat de lUDSR (Union démocratique et socialiste de la Résistance). Émile Halbout réintègre les mêmes commissions, y ajoutant celle destinée à favoriser la construction de logements et notamment de logements collectifs, et il conserve surtout sa fonction de secrétaire. Au cours de cette troisième législature, il accorde sa confiance au cabinet dirigé par le flérien de naissance et socialiste Guy Mollet (31 janvier 1956), puis à celui du radical Félix Gaillard (5 novembre 1957) et du MRP Pierre Pflimlin (13 mai 1958). Il se prononce pour la ratification du Traité de Rome instituant la CEE, Communauté économique européenne (9 juillet 1957) et les pouvoirs spéciaux en Algérie (12 novembre 1957). Mais après les événements dAlger, il vote pour la révision de la Constitution (27 mai 1958), accorde sa confiance à Charles de Gaulle (1er juin 1958) et lui confie les pleins pouvoirs pour six mois (2 juin 1958) afin de rétablir lordre en Algérie et réviser la Constitution.

Ayant soutenu le retour au pouvoir du général de Gaulle, Émile Halbout obtient le soutien du mouvement gaulliste UNR (Union pour la nouvelle République) lors des élections législatives des 23 et 30 novembre 1958. Le passage du scrutin de liste départemental à un tour, avec représentation proportionnelle selon le système du quotient électoral, au scrutin darrondissement uninominal majoritaire à deux tours entraîne un découpage électoral de lOrne en trois circonscriptions. La troisième, dArgentan-Flers, regroupe le nord du Bocage ornais, le pays dArgentan- Le Merlerault et le pays dAuge ornais. Deux députés sortants, Pierre Couinaud (CNIP) et Émile Halbout, sy affrontent. Le premier tour est à lavantage du maire dArgentan. Mais, bénéficiant du retrait du candidat socialiste, le maire de La Lande-Patry lemporte au second tour. Il sinscrit au groupe des Républicains populaires et du Centre démocrate et siège notamment dans la Commission de la défense nationale et des forces armées dont il est vice-président. Il accorde sa confiance à Michel Debré (16 janvier 1959) et à Georges Pompidou (27 avril 1962). Il vote la loi Debré sur le financement de lenseignement privé (23 décembre 1959) mais intervient notamment sur la situation en Algérie il se rend en mission officielle dès janvier 1959. Préoccupé par la situation des populations rurales et des jeunes, il réclame de vrais changements économiques et sociaux et soutient le processus dautodétermination en appelant à voter oui au référendum du 8 janvier 1961. Émile Halbout ne sassocie pas à la motion de censure qui renverse le gouvernement Pompidou (5 octobre 1962) faisant suite à lannonce par le général de Gaulle du référendum sur lélection du président de la République au suffrage universel. Le maire de La Lande-Patry vote oui le 28 octobre 1962 et, lAssemblée nationale ayant été dissoute, il est réélu sans réelle opposition, le 18 novembre 1962, député de la IIIème circonscription de lOrne.

Les années 1960

Émile Halbout retrouve à lAssemblée nationale la commission de la défense nationale et des forces armées dont il est élu secrétaire. Mais les prises de position du général de Gaulle sur les dossiers européen et atlantiste, sur la force de frappe autonome, la détérioration du climat social localement illustré en 1963 par la situation des mineurs de La Ferrière-aux-Étangs et de Saint-Clair-de-Halouze, conduisent le député ornais à prendre ses distances avec le pouvoir exécutif. Il vote la loi-programme relative aux équipements militaires (16 décembre 1964), la loi dorientation et de programmation sur la formation professionnelle (6 octobre 1966) mais donne son soutien à la motion de censure sur lagriculture (27 avril 1964) et à Jean Lecanuet lors de lélection présidentielle du 5 décembre 1965. Il se rallie au général de Gaulle lors du second tour mais les gaullistes noublient pas son choix du premier tour, la candidature centriste ayant entraîné la mise en ballottage du président sortant.

Le 5 mars 1967, le député-maire de La Lande-Patry, a face à lui un tandem composé du maire giscardien dArgentan, Jean Vimal du Bouchet, et du maire de Flers, suppléant, Georges Vallée. Lhistoire se répète. Comme en 1958, le maire dArgentan arrive en tête lors du premier tour. Si le candidat socialiste se maintient cette fois-ci, cest le candidat communiste qui se retire et, au deuxième tour, grâce à lapport de voix venant de gauche, Émile Halbout lemporte le 12 mars. Une partie de la municipalité de Flers désavouant son maire démissionne. Émile Halbout, secondé par Pierre Vander Gucht, prend leur tête et enlève, à une voix de majorité, la mairie de Flers le 12 juin 1967, cessant ses fonctions de maire de La Lande-Patry sur le champ. Membre du groupe PDM (Progrès et démocratie moderne), le député-maire de Flers, membre de la Commission des affaires culturelles, familiales et sociales, se situe résolument dans lopposition au gouvernement Pompidou qui a souvent recours à larticle 49 alinéa 3 de la Constitution, et il vote les motions de censure et notamment celle, en pleine crise sociale et politique, du 22 mai 1968. La législature est brève en raison de la dissolution du 30 mai suivant.

Le 23 juin 1968, deux candidats de la majorité se présentent contre Émile Halbout, le giscardien Jean Vimal du Bouchet, maire dArgentan, et le gaulliste, bien implanté dans la région de Briouze, Pierre Noal. Le député sortant arrive en tête au premier tour et lemporte au second, le 30 juin, grâce à lapport des voix de gauche. Membre du groupe PDM, il siège, de 1968 à 1969, à la Commission de la production et des échanges, puis retrouve celle de la défense nationale et des forces armées. Il vote la loi dorientation de lenseignement supérieur (10 octobre 1968), le plan de redressement (27 novembre 1968) mais sabstient sur le projet de loi de finances (18 décembre 1968) et surtout fait campagne pour le non lors du référendum du 27 avril 1969 sur la rénovation du Sénat et la régionalisation, en fait détourné en pour ou contre le maintien du général de Gaulle au pouvoir. Le succès du non et la démission du président de la République conduisent à lélection présidentielle des 1er et 15 juin 1969. Émile Halbout soutient la candidature dAlain Poher.

Les années 1970 : fin d'une vie politique nationale

Georges Pompidou élu, le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas engage son programme de nouvelle société. Suivant Jacques Duhamel, Émile Halbout se rapproche de la majorité dautant que le référendum du 23 avril 1972 relance la construction européenne avec ladhésion du Royaume-Uni, de lIrlande et du Danemark. Le 23 mai 1972, le député-maire de Flers vote donc la confiance au gouvernement Chaban-Delmas. Mais le Premier ministre, contesté par laile conservatrice de sa majorité, démissionne le 5 juillet 1972. Émile Halbout rejoint les rangs de lopposition et se représente pour la huitième fois à la députation sous létiquette du Mouvement réformateur. Le 4 mars 1973, deux concurrents sont sur sa droite : le giscardien Hubert Bassot et le gaulliste Pierre Noal, deux sur sa gauche : le socialiste Pierre Pavis et le communiste Gilles Dubourg. Ce dernier exclu, les quatre autres candidats font jeu égal, Émile Halbout se qualifiant dextrême justesse pour une triangulaire. Mais la bipolarisation saffirme et il ny a plus de place pour le centre. Face au gaulliste et au socialiste, sans le secours venu autrefois de la gauche, Émile Halbout est défait le 11 mars 1973 et laisse son siège à Pierre Noal. Son adjoint Pierre Vander Gucht lui succède à lassemblée départementale, puis à la mairie de Flers, le préfet de lOrne ayant accepté sa démission de maire le 9 mai 1973.

Maire de La Lande-Patry élu en 1950, réélu en 1953, 1959 et 1965, Émile Halbout avait doté sa commune urbano-rurale de solides infrastructures (voirie, alimentation en eau potable, renforcement du réseau électrique) qui avaient permis le développement de lhabitat pavillonnaire et limplantation aux confins de Flers, au début des années 1960, sur un terrain finalement transféré à la ville voisine, de lusine nouvelle de la S.A. Philips. Maire de Flers élu en 1967 et réélu en 1971, son œuvre majeure fut la finalisation du dossier de la ZUP Saint-Sauveur avec la programmation dun hôpital révolutionnaire conçu par Wogenski, un disciple de Le Corbusier, mais qui fut abandonné après le retrait dÉmile Halbout, de deux lycées publics, décoles primaires et maternelles, dun gymnase, dune piscine, et de logements collectifs dont les premiers éléments sont livrés en 1970. Lun des derniers actes du mandat dÉmile Halbout fut de signer la charte de jumelage avec le maire de Warminster (Royaume-Uni), mais il manifesta alors le souhait que Flers sunisse aussi à un village du Sud. Ce sera Poundou (Burkina-Faso).

Simple conseiller municipal, Émile Halbout peut se consacrer à sa passion pour lhistoire locale. Membre du Pays Bas-Normand, association dont il est vice-président de 1982 à 1993, il sintéresse notamment à la période révolutionnaire, publiant des articles sur les curés réfractaires, rétablissant certaines vérités historiques mises à mal par des auteurs engagés lors de la phase de tensions du début du XXème siècle. Catholique et républicain, Émile Halbout milite pour le pardon réciproque puisque la décennie révolutionnaire fut marquée par une guerre civile. Mais léchec de son successeur Pierre Vander Gucht aux municipales de mars 1977 le contraint à reprendre du service à la tête de la ville de Flers dans un contexte de crise. Le Conseil dÉtat ayant annulé le premier tour des municipales de 1977, Émile Halbout nest pas reconduit par les électeurs lors de lélection partielle du 25 juin 1978 et Madeleine Louaintier lui succède à la tête de la ville de Flers. Il peut dès lors totalement se consacrer à lhistoire de la région de Flers à laquelle il a apporté sa contribution. Ses volumineuses archives ont été léguées à la Médiathèque du Pays de Flers et, dans le cadre du centenaire de sa naissance, en 2005, le service des Archives de cette médiathèque a fait paraître un ouvrage sur cet homme politique du Bocage ornais en donnant en annexe linventaire de ce précieux fonds darchives.

Bibliographie

  • Sous la direction de Laurence Cotard-Lambert, avec la participation de Patricia Fiore, Emmanuel Poisson, Gérard Bourdin, Michel Lambert, Jean-Claude Ruppé, la collaboration de Stéphane Robine et Vincent Ingouf (conception du cédérom), Émile Halbout : du Bocage flérien à Paris, destin dun homme engagé. Archives familiales et action politique, Avant-propos dYves Goasdoué, préface de Jean-Pascal Foucher, Communauté dAgglomération du Pays de Flers, Archives et Médiathèque du Pays de Flers, Flers, imprimerie Mouturat, 2005, 179 p. et un cédérom,
  • Bernard Desgrippes, Dictionnaire des personnalités de lOrne, ouvrage en préparation.
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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Emile Halbout de Wikipédia en français (auteurs)

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