Accord (musique)

Accord (musique)
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En musique, un accord est un ensemble identifiable de notes simultanées[1].

En harmonie tonale, un accord désigne une combinaison d'au moins trois notes simultanées formant un tout ; s'il est réductible à une superposition de tierces, il est dit « classé »[2].

Un accord non classé est appelé « agrégat »[1], un ensemble de notes chromatiques contigües est un cluster. En fonction du contexte musical, on utilisera aussi les termes d'hétérophonie, ou de nébuleuse sonore.

Sommaire

Histoire

Jusqu'à la Renaissance, l'accord n'existe pas en tant que tel, mais s'obtient de manière empirique par la superposition des lignes mélodiques, conformément au procédé d'écriture alors en usage, appelé contrepoint. L'accord en tant qu'entité particulière, ne sera véritablement employé qu'à partir du XVIe siècle, et ne fera l'objet d'une théorisation qu'au cours du siècle suivant, au moment où se met en place l'harmonie classique — ou harmonie tonale.

L'harmonie est la partie de la théorie musicale qui étudie les accords et en définit l'emploi dans la composition. Cette discipline apparaît au moment où la tierce s'impose dans la musique occidentale comme un intervalle consonant. Les possibilités de combinaison des sons sont en nombre infini : l'harmonie tonale ne les analyse donc pas toutes, et se limite à un certain nombre — appelées « accords classés » — que l'usage a maintenues à cause de leurs qualités auditives ou de leur fonction tonale.

Les accords de trois sons sont nés des règles régissant la rencontre des différentes voix dans le contrepoint. La superposition, le déroulement simultané de plusieurs lignes mélodiques obéit à certaines règles : l'une d'elle est que les différentes voix se rencontrent à intervalles rythmiques réguliers, sur le temps, autrement dit au moment de la pulsation en rapport de consonance. Les voix prises deux à deux doivent être sur le temps en rapport d'octave, de tierce, de sixte, de quinte juste ou de quarte juste (cette dernière avec certaines restrictions), intervalles considérés comme consonants à la Renaissance. C'est ainsi que sont nés les accords de quinte et les accords de sixte de l'époque baroque. C'est Rameau qui en unifiant les trois accords considérés comme différents avant lui de quinte, de sixte, de quarte et sixte constitués des mêmes notes en un seul et même accord à l'état fondamental, à l'état de premier ou de second renversement introduira le terme de note fondamentale. Notre dénomination d'aujourd'hui en porte encore les traces : nous parlons d'accord de sixte, comme avant Rameau, alors que si l'on s'en tenait rigoureusement aux théories de Rameau nous devrions dire premier renversement. Avant Rameau l'accord de sixte constitué de do, de mi et de sol n'était pas assimilé à l'accord de quinte constitué des mêmes notes, c'étaient deux accords différents, pas un seul accord de do majeur!

Le principe de « superposition de tierces » a permis aux théoriciens des XVIIe siècle et XVIIIe siècleRameau, entre autres — de justifier la construction des accords en ajoutant des tierces harmoniques les unes au-dessus des autres. La théorie de l’harmonie de Rameau (à la fois purement ma­thématique et prétendument naturaliste), servira à l'époque classique à Rameau qui tentait ainsi de coupler « harmonie universelle » et « harmonie de l'écriture ». Sa théorie reste numérique dans ses fonde­ments quand il restitue (concepts remis en cause depuis) l'harmonicité de l'accord en fonction des harmoniques inférieures et supérieures d’un fondamental. Elle lui permettait de rapporter l'ensemble des ac­cords potentiels à quelques uns possédant une structure commune et ainsi définis par leurs fonctions. Il redéfinissait par là même les cri­tères universels de toute la musique occidentale. Dans cet esprit, en 1722 Jean-Philippe Rameau par son Traité de l'harmonie réduite à ses principes naturels et Johann Sebastian Bach dans Le Clavier bien tempéré don­neront l'un la méthode, l'autre la mise en pratique du système tempéré qui permettait d'installer la tonalité, nouvelle logique dans la construction musi­cale.

Le postulat de Rameau ne correspond qu'approximativement aux réalités acoustiques des harmoniques d'un son : ce caractère dit naturel des propositions de Rameau sur la ca­tégorisation des structures harmoniques sera remis en cause au XXe siècle en mettant en avant les composantes inharmoniques d’un son plus aptes à en expliquer la richesse.

Construction des accords

Il existe deux modèles aboutissant à la construction des accords, un modèle géométrique et un modèle acoustique.

Le premier modèle géométrique fut développé par Pythagore au cours de ses travaux sur le monocorde. Pythagore note que le rapport géométrique le plus simple après l'octave, la quinte (3/2) est parfaitement harmonique et, superposé, donne 12 notes également étagées, retournant presque à la note de départ. Il construit ainsi le cycle des quintes, mais fait références aux modes en usage en son temps, desquels naîtront les modes ecclésiastiques.

Zarlino note ensuite que les rapports mathématiques simples donnent des intervalles agréable, les rapports plus compliqués des intervalles moins naturels. Ainsi, le rapport 2/1 produit l'octave, le rapport 3/2 la quinte, 4/3 la quarte, 5/4 la tierce majeure, 6/5 la tierce mineure et 9/8 la seconde majeure, et bien d'aures encore.

Pour Zarlino, un accord parfait est donc la superposition de deux intervalles simples (5/4 et 6/5), aboutissants à un intervalle plus simple (3/2), ce qui fonctionne aussi bien pour l'accord majeur que pour l'accord mineur. L'accord parfait majeur est classifié comme plus naturel, puisque la relation entre la fondamentale et la tierce est plus simple que son confrère mineur. Septième et neuvième s'ajoutent par le même procédé de superposition de tierces.

L'autre modèle, acoustique, nous apprend qu'un son génère dans l'aigu un certain nombre de sons secondaires, appelés sons harmoniques, dont la fréquence est un multiple de celle du son générateur (ou son fondamental). Il rejoint ainsi le modèle du monocorde. Chaque son harmonique est numéroté selon son ordre de génération, et ce numéro correspond à la multiplication de la fréquence du son générateur : le 2e harmonique vibre deux fois plus vite que le 1er. Ainsi, à partir du do no 1, on peut construire un accord classé :

Les dix premiers harmoniques d'un son

Cette particularité acoustique peut être considérée comme consolidation — au moins en ce qui concerne les premiers harmoniques — dont de nombreux accords de l'harmonie classique sont dérivés. Dans son Traité de l’harmonie réduite à ses principes naturels, Jean-Philippe Rameau identifie déjà ces sons partiels résultant d'une basse fondamentale. Cette découverte va finalement permettre d'aboutir à une conception classique de la tonalité.

Dans la construction ci-dessus, la définition d'un accord comme utilisation d'au moins trois partiels (fondamental plus deux harmoniques) dans l'ordre de leur naissance (ce qui d'ailleurs n'explique pas la naissance de l'accord mineur) :

Par exemple, dans les accords « do, mi, sol », « do, mi, sol, do », « mi, sol, do », « mi, sol, do, sol » ou « sol, do, mi », do est la fondamentale, mi, la tierce, et sol, la quinte.

Accords classés

Un accord est constitué d'au moins trois notes distinctes, et pas simplement trois sons musicaux différents : les simultanéités « do, mi, sol » ou « do, fa, la » sont des accords. Par contre, « do, mi, do à l'octave » possède deux notes identiques, c'est un accord incomplet.

Lorsqu'un accord se réduit à une superposition de tierces, il est dit classé (l'harmonie tonale n'étudie que les accords classés). Un accord est ainsi un ensemble d'au moins deux intervalles harmoniques construit depuis un son générateur, produisant une superposition de notes séparées par des tierces (sous sa forme élémentaire).

Les différentes notes appartenant à la superposition de tierces sont appelées notes réelles. La note réelle à partir de laquelle est construite cette superposition est appelée « fondamentale ».

La basse d'un accord est sa note la plus grave. Ce peut être une note réelle ou une note étrangère. Le choix de cette note détermine l'état de l'accord.

À partir de la fondamentale, on nomme les autres notes réelles par le nom de l'intervalle ascendant qui sépare cette note de la fondamentale, et ceci, même si cette fondamentale ne se trouve pas à la basse :

Nom des notes de l'accord

Chaque famille d'accord — ou classe d'accord — est identifiée, soit au moyen du nombre de notes contenues dans l'accord — « accord de trois notes », « accord de quatre notes », etc. —, soit au moyen du nom de la note — « quinte », « septième », etc. — correspondant au plus grand intervalle entre celle-ci et la fondamentale — « accord de quinte », « accord de septième », etc. —, lorsque l'accord est sous la forme d'une superposition de tierces.

L'harmonie tonale étudie essentiellement les trois grandes familles suivantes :

  • Les accords de trois notes — ou accords de trois sons, ou accords de quinte —, dont les notes réelles — ou notes constitutives — sont la fondamentale, la tierce et la quinte (exemple, « do, mi, sol »).
  • Les accords de quatre notes — ou accords de quatre sons, ou accords de septième —, dont les notes réelles sont celles d'un accord de trois notes, plus une septième (exemple, « do, mi, sol, si♭ »).
  • Les accords de cinq notes — ou accords de cinq sons, ou accords de neuvième — dont les notes réelles sont celles d'un accord de quatre notes, plus une neuvième (exemple, « do, mi, sol, si♭, ré »).

Chaque famille se divise à son tour en plusieurs espèces, compte tenu de la valeur relative des intervalles superposés. Par exemple, selon l'étendue des intervalles considérés, on dénombre quatre espèces d'accord de trois notes, sept espèces d'accord de quatre notes, etc.

Les accords de trois notes dont la quinte est juste — accords dits « parfaits » — sont habituellement considérés comme les seuls accords consonants, les autres formant ce qu'on appelle « l'harmonie dissonante naturelle ».

Lorsqu'un ensemble de sons simultanés ne peut être analysé comme un accord classé — avec ou sans notes étrangères —, il convient de désigner celui-ci sous le vocable d'agrégat. L'étude des agrégats sort du cadre de l'harmonie tonale classique.

L'harmonie tonale ignore les familles d'accords de plus de cinq notes. Les accords dits de onzième tonique et de treizième tonique dont les appellations semblent suggérer des accords de six et sept notes sont respectivement des accords de quatre et cinq notes placés sur la tonique.

Notes étrangères

En harmonie tonale, certaines notes, dites notes étrangères, peuvent s'ajouter ou se substituer aux notes réelles des accords classés. Celles-ci modifient la couleur de l'accord primitif en ajoutant des dissonances.

Les principaux types de notes étrangères sont : le retard, l'appoggiature, la broderie, la note de passage, l'anticipation, l'échappée, la note altérée, la pédale et la note ajoutée.

L'étude des notes étrangères est habituellement dénommée harmonie dissonante artificielle. Les trois grandes familles d'accords classés, lorsque ceux-ci sont employés sans notes étrangères, forment l'harmonie naturelle.

Accord au repos

Un accord au repos est un accord considéré comme une entité isolée, indépendamment de l'accord qui le précède et de celui qui lui succède.

Un accord au repos est caractérisé par son état et par la disposition générale de ses notes. Il peut par ailleurs être chiffré.

L'état d'un accord, qui est déterminé par la note placée à la basse, est sans doute l'aspect le plus important d'un accord au repos. On distingue principalement l'accord fondamental et l'accord renversé.

Accord enchaîné

Mais l'étude de l'harmonie ne se résume pas à un simple travail de classification, de nomenclature et de description des différentes espèces d'accords au repos. Elle consiste également à mettre ceux-ci en mouvement, c'est-à-dire, à les enchaîner les uns aux autres, conformément aux règles mélodiques et harmoniques. Un accord est donc dit en mouvement, ou encore enchaîné, lorsqu'il est considéré par rapport à l'accord précédent et à l'accord suivant.

La notion d'accord depuis le XXe siècle

Tout comme les autres arts, la musique du XXe siècle connaît un grand nombre de bouleversements et une remise en question des systèmes qui l'ont précédée. C'est ainsi que l'environnement tonal et les accords sont abandonnés par certains musiciens. Cependant, la musique tonale subsiste dans la musique savante, ainsi que dans la musique populaire.

Musique savante

Les compositeurs de musique savante qui utilisent encore le système tonal ne manquent pas d'ajouter de nouveaux accords à l'harmonie classique. On peut par exemple, citer :

  • l'accord de onzième : accord de six notes, équivalant à un accord de cinq notes plus une onzièmedo, mi, sol, si \flat, ré, fa \sharp ;
  • l'accord de douzième : accord de sept notes, équivalant à un accord de six notes plus une douzième ascendante qui sonne simultanément avec la quinte juste : cet accord préfigure la « gamme par tons entiers » — do, sol, si \flat, ré, mi, fa \sharp, sol \sharp ;
  • l'accord de treizième : accord de sept notes, équivalant à un accord de six notes plus une treizième ;
  • les accord de onzième (en do majeur : sol fa la do) et de treizième de Dominante (en do majeur : sol fa la do mi), né dans la musique pop et trouvant écho chez un nombre croissant de compositeurs.
  • ainsi que de nombreuses simultanéités sonores qui ne sont plus analysables selon les règles de l'harmonie classique — dans ce cas, on parle d'agrégat, plutôt que d'accord.

Musique populaire

La musique populaire ne considère pas l'accord comme un élément fondateur de l'harmonie. Des musiques comme le Jazz, le Rock ou la Pop utilisent le plus souvent des gammes pentatoniques comme éléments de base. Celles-ci, simples par nature, sont enrichies d'accords reposant sur des notes n'appartenant pas nécessairement à la gamme elle-même. La conséquence directe est qu'il s'agit de musiques pour la plupart amodales, au sens classique du terme (c'est-à-dire que l'on sort des modes majeurs ou mineurs). Le mode, la couleur, est isolé au sein même de l'accord, et non figé, imposé par un choix de gamme préalable. Des gammes majeures ou mineures usuelles peuvent également être utilisées à la suite du développement d'un accord et faire l'objet de la construction d'un morceau entier, bien qu'il s'agisse d'un procédé moins fréquent sans pour autant être rare.

C'est ainsi qu'est construite la notation des accords communément employée en guitare ou à la basse. Elle dissocie la gamme dans laquelle le morceau est construit de la structure intrinsèque de l'accord, par opposition au système classique de chiffrage des accords qui nécessite de connaître la gamme avant de former l'accord. En effet, sur les partitions l'accord est fréquemment indiqué par le nom de sa fondamentale[3]. Différents musiciens dont Lee Berk, enseignants et fondateurs de la Berklee, célèbre école de jazz à Boston, ont mis en place ce système.

Par exemple, en chiffrage classique « do 5 » désigne, dans la gamme de do majeur, l'accord [do mi sol], mais désigne l'accord [do, mi bémol, sol] en gamme de mi bémol majeur. La notation similaire utilisée dans la pratique, soit C, désigne un accord formé d'une tierce majeure et d'une quinte juste avec le do comme base, soit invariablement [do mi sol], quelle que soit la gamme. De la même façon, « Cm » désigne le même accord composé d'une tierce mineure [do, mi bémol, sol]. « C5 », qui n'aurait aucun équivalent en chiffrage classique, représente l'accord sans la tierce [do sol] [do sol ...], donc sans définir si l'accord est en mode majeur ou mineur. Par construction, ce type d'accord, communément appelé « accord ouvert » ou Power Chord, est très fréquent en Rock, Hard Rock, Heavy Metal et les musiques utilisant d'autres modes que le mineur ou le majeur, comme la musique celtique.

On trouve aussi dans ces musiques un large emploi d'accords représentant des combinaisons non harmoniques comme les accords cinquièmes, septièmes, onzièmes, etc. Par exemple : un sol septième sera noté « G7 » et comprendra les habituels [sol si ré] plus un fa (septième note dans la gamme de sol).

Notes et références

  1. a et b Adolphe Danhauser, Théorie de la musique, Edition Henry Lemoine, 1996 (ISBN 979-0-230-92226-5), p. 121
  2. Claude Abromont, Guide de la théorie de la musique, Fayard, 2001 (ISBN 978-2-213-60977-5), p. 529
  3. Les accords sont notés sous la forme anglo-saxonne qui substitue des lettres aux noms latins des notes : C pour do, D pour ré, E pour mi, F pour fa, G pour sol, A pour la et B pour si. A noter que la notation classique allemande fait aussi référence à des lettres, et non au nom latin des notes.

Annexes

Articles connexes

Liens externes


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