Cinéma Mauritanien
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Cinéma mauritanien
réalisateurs mauritaniens
Un français du nom de Gaumeze fut le premier à construire des salles dans les années 60; vite la méfiance du public tombe. Seulement, ces nouveaux spectateurs ne s’approprient pas ce qu’ils voient et finissent par retourner garder leurs troupeaux. Vers le début des années soixante, Hemmam , un troubadour et poète, homme d’affaires avisé par ailleurs commença lui aussi à acquérir des salle de cinéma . Son succès fut fulgurant. Il en arriva à produire lui-même des films, semi-fictions semi-documentaires. Meïmouna , Tergit et Nomade moderne Vers 1976 – 1978, Nouakchott avec 400 000 habitants comptait 10 salles de cinéma, toutes propriété de Hemmam Sur le plan institutionnel, l’Etat avait crée l’ONC (l’Office National de Cinéma) , Rôle: Promouvoir le 7ème art et Créer un embryon d’infrastructures. Il deviendra plus tard l’AMATECI (Agence Mauritanienne pour la Télévision et le Cinéma). A la même époque Med Hondo et Sydney Sokhona, deux mauritaniens partant de leurs expériences personnelles tournent plusieurs films militants Ould Saleck tourna plusieurs films sur la guerre du Sahara mais il se contenta surtout de tourner des actualités. Suite au décès de Hemmam en 1978 et de Ould Saleck en 1979. Les salles de cinéma périclitèrent les unes après les autres. Le public les désaffecta. La Télévision Nationale était née.
Catégorie : Cinéma mauritanien
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2010.
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