- Centro Democrático y Social
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Centre démocratique et social
Centro Democratico y Social Président Fabian Villalabeitia Fondation 1982 Siège Madrid {{{option-1}}} {{{valeur-1}}} {{{option-2}}} {{{valeur-2}}} {{{option-3}}} {{{valeur-3}}} {{{option-4}}} {{{valeur-4}}} {{{option-5}}} {{{valeur-5}}} {{{option-6}}} {{{valeur-6}}} Présidents du groupe au Sénat {{{Sénat}}} à l'Assemblée {{{Assemblée}}} au Parlement européen {{{ParlementEuropéen}}} Idéologie Centrisme, Social-libéralisme, Social-démocratie Affiliation européenne {{{européenne}}} Affiliation internationale {{{internationale}}} Couleurs* Vert Site Web CDS voir aussi
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Partis politiques espagnols
Élections en EspagneLe Centre Démocratique et Social est un parti politique espagnol d'idéologie centriste.
Histoire
Il fut fondé le 29 juillet 1982 par Adolfo Suárez, Président du Gouvernement espagnol de juin 1976 à février 1981, et un groupe de dissidents du parti centriste au pouvoir, l'Union du centre démocratique. Son premier Congrès est célébré en octobre 1982. Suárez est élu président du CDS, tandis que les anciens ministres Agustín Rodríguez Sahagún, Manuel Jiménez de Parga et Rafael Calvo Ortega sont désignés au Comité national (parlement).
Aux élections générales d'octobre 1982, le parti obtient plus de 600 000 votes et deux élus au Congrès des députés (Suárez, pour Madrid et Rodríguez Sahagún pour Avila). En décembre de la même année, José Ramón Caso est désigné secrétaire général du CDS, tandis que l'ex-dirigeant socialiste Carlos Revilla devenait président de la fédération madrilène du parti. Le CDS prétendait alors capter la majorité des votes de l'ancienne UCD, mais se vit largement dépassé par le PSOE et l'Alliance populaire (AP).
Lors des législatives anticipées de 1986, la formation remporte 19 députés (plus d'1 800 000 votes) et 3 sénateurs (tous de la province d'Avila, où le CDS devient la première force politique), devenant le troisième parti d'Espagne (il terminera cette législature avec 23 députés, grâce aux défections à droite et à gauche).
Lors du IIe Congrès, en novembre 1986, Jesús Viana remplace José Ramón Caso au poste de secrétaire général, mais son décès quelques mois plus tard permet le retour de Caso. Aux élections municipales, régionales et européennes de 1987, le CDS fait son entrée dans treize parlements régionaux, obtenant près de six milles conseillers municipaux, la présidence du gouvernement des Îles Canaries, 684 maires (dont ceux de Ténérife, Avila et Ségovie) et 7 députés européens. Après ce scrutin, le CDS refuse de former des alliance avec l'AP, ce qui permet aux socialistes de gouverner en minorité dans la majorité des villes et Communautés autonomes.
En janvier 1988, le parti adhère à l'Internationale libérale qui, à sa demande, devient Internationale libérale et progressiste, dont Adolfo Suárez est élu président. La même année, Gerardo Harguindey remplace Carlos Revilla à la présidence de la fédération madrilène.
A partir de 1989, le CDS abandonne sa politique de non-collaboration avec le Parti socialiste et le Parti populaire en faisant alliance avec ce dernier dans le but d'évincer les socialistes du pouvoir, permettant à Agustín Rodríguez Sahagún de devenir maire de Madrid.
Voir aussi
Liens externes
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