Catherine Arley

Catherine Arley

Catherine Arley (pseudonyme littéraire), de son vrai nom Pierrette Pernot, est une romancière française, née à Paris le 20 décembre 1924 et bien en vie en février 2008[1]. Elle réside à Paris dans le XVIe arrondissement.

Sommaire

Biographie

À la fin de ses études secondaires classiques, Catherine Arley entre au Conservatoire national supérieur d'art dramatique. Elle jouera dans des pièces de boulevard et dans quelques films, participera à la création française du Fleuve étincelant de Tennessee Williams. Elle renonce à sa carrière de comédienne après son mariage et au moment où son premier roman, Tu vas mourir, paraît en 1953 chez Denoël dans la collection “Oscar” dirigée par Marcel Duhamel. Malgré cet accueil encourageant, son second roman, La Femme de paille, une histoire d’escroquerie à l’adoption, est refusé par tous les éditeurs français à qui elle le propose. Elle se tourne alors vers l’étranger. Publié en Suisse en 1954, puis traduit dans vingt-quatre pays, son roman se voit adapté au cinéma par Basil Dearden avec Gina Lollobrigida et Sean Connery. La renommée internationale qu’elle acquiert ne lui permet pas plus facilement de trouver un éditeur en France. De 1962 à 1972, elle ne publie que trois romans : Le Talion (1962), Les Beaux Messieurs font comme ça (1968) qui lui vaut le Prix international du suspense, et Les Valets d’épée (1968).

Ce n’est qu’en 1972 qu’elle réussit à être éditée en France : Pierre Genève (alias de Marc Schweizer) lance la collection « Suspense » chez Eurédif et il en fait son auteur vedette. C’est la période faste de Arley qui publie, entre autres, Duel au premier sang (1973, porté à l’écran par Sergio Gobbi sous le titre Blondy), Les Armures de sable (1976) et À tête reposée (1976), récit d’un drame vécu à travers le père d’un condamné à mort, écrit avec beaucoup de sobriété et qui obtient le Prix du Suspense français 1979.

En 1980, Eurédif arrête sa collection policière. Catherine Arley émigre vers Le Masque qui publie simultanément des inédits et des rééditions pendant deux ans. Son roman À cloche-cœur reçoit le prix du Roman d'aventures en 1981. Le Fleuve noir publiera, en 1990, En 5 sets ; mais ses derniers romans paraîtront directement en traduction japonaise où ils seront aussitôt adaptés pour la télévision. Catherine Arley a également tiré une pièce de théâtre de La Femme de paille qui sera programmée à la télévision en 1976.

Georges Rieben a souligné chez cette « avocate du Diable », « son goût pour le drame romantique, sa connaissance de l’humain prisonnier de ses petites misères, soumis à son destin »[2]. Dans ses romans, Catherine Arley déploie un grand sens du suspense, n’hésitant pas à ajouter des pointes de cruauté et des touches d’humour.

Avec sa carrière internationale, Catherine Arley aura vendu plus de deux millions d’ouvrages entre Collins, son éditeur anglais et Random House, son éditeur américain. Elle restera comme l’un des auteurs phares des années 70/80, ayant su se forger une place à part dans la littérature policière d’expression française par ses histoires anti-conformistes et immorales. Catherine Arley a souffert du manque d’audace des éditeurs français qui privilégiaient le roman noir et le néo-polar à son époque.

Citations

« Dans ma jeunesse, j'ai été témoin d'existences où il ne se passait jamais rien. Par contre-coup, j'écris des "suspenses" : ce sont des tranches de vies où il se passe toujours beaucoup de choses en un bref laps de temps. De plus, c'est un travail artisanal qui demande une précision d'horloger. Pour tout vous dire, il ne me déplaît pas d'inventer, à l'usage de mes lecteurs, une astucieuse escroquerie, qui me rapportera finalement à peu près autant que si je l'avais commise. Les risques supprimés, restent les avantages. »[3]
« Nous sommes tous - et toutes ! - capables de tuer. Pour chacun de nous il s'agit, le cas échéant, d'une motivation différente, mais chacun est prêt à tuer : les uns par pitié, les autres par haine ou par cupidité. C'est ce côté obscur de l'être humain qui m'intéresse et que je tente d'expliquer, de décrire. »[4]
« Le crime parfait me fascine. J'aime ce mécanisme impitoyable et précis. Du reste, dans tous mes romans, il y a un personnage qui échappe à la justice : c'est ce qui m'intéresse vraiment, infiniment plus que les escarmouches amoureuses que tout le monde connaît par coeur, c'est le cas de le dire. »[5]

Bibliographie

Romans

Tu vas mourir

  • Paris : Denoël, 1953, 255 p. (Oscar ; 15)
  • Paris : Publications Zed, 1963, 188 p. (Haute tension ; 6)

Réédition sous le titre : Mourir sans toi

  • Paris : Eurédif, 1973, 216 p. (Suspense ; 6)
  • Paris : Eurédif, 1976, 187 p. (Suspense poche ; 16)

La Femme de paille

  • Genève ; Paris : Jeheber, 1954
  • Paris : Eurédif, 1972, 249 p. (Suspense ; 4)
  • Paris : Eurédif, 1975, 249 p. (Suspense poche ; 10)
  • Paris : Librairie des Champs-Élysées, 1982, 251 p. (Club des Masques ; 479)

Le Talion

  • Paris : Presses internationales, 1962, 192 p. (Inter-Police choc ; 20)
  • Paris : Inter-Presse, 1967, 231 p.
  • Paris : Eurédif, 1972, 205 p. (Suspense ; [2])
  • Paris : Eurédif, 1975, 251 p. (Suspense poche ; 7)
  • Paris : Librairie des Champs-Élysées, 1981, 222 p. (Club des Masques ; 434)

Les Beaux messieurs font comme ça - Prix International du Suspense 1968

  • Paris : Nalis, 1968, 240 p. (Le Roman du mois)
  • Paris : Cercle Européen du Livre, 1969, 253 p. Précédé d’un reportage indiscret sur l’auteur par Françoise Janin.

Réédition sous le titre : La Baie des Trépassés

  • Paris : Eurédif, 1977, 201 p. (hors coll. GF)
  • Montréal : Presses Sélect, 1980, 201 p. (Poche Sélect ; 263. Série Mystère 3)
  • Paris : Librairie des Champs-Élysées, 1982, 221 p. (Club des Masques ; 468)

Les Valets d’épée

  • Paris : Edmond Nalis, 1968, 253 p. (Le Poche du mois ; N° 10)
  • Paris : Eurédif, 1974, 222 p. (Suspense ; N° 14). ISBN 2-7167-0260-8
  • Paris : EURÉDIF, 1977, 186 p. (Suspense poche. 2e série ; N° 28). ISBN 2-7167-0506-2
  • Paris : Librairie des Champs-Élysées, 1982, 156 p. (Club des masques ; N° 492). ISBN 2-7024-1297-1
  • Vingt millions et une sardine (Eurédif « Suspense » n° 1, 1972)
  • Le Pique-feu (Eurédif « Suspense » n° 3, 1972)

Le Fait du prince

  • Paris : EURÉDIF, 1973, 212 p. (Collection Suspense ; N° 5)
  • Paris : EURÉDIF, 1976, 186 p. (Collection Suspense poche. 1re série ; N° 13). ISBN 2-7167-0370-1
  • Cessez de pleurer, Melfy ! (Eurédif « Suspense » n° 9, 1973)
  • Duel au premier sang / Blondy (Eurédif « Susp. » n° 10, 1973)
  • Oublie-moi, Charlotte ! (Eurédif « Suspense » n° 11, 1974)
  • Robinson-Cruauté (Eurédif « Suspense » n° 12, 1974)
  • La Galette des rois (Eurédif « Suspense » n° 16, 1975)
  • La Garde meurt… (Eurédif « Suspense Poche » n° 1, 1975)
  • Bête à en mourir (Eurédif « Suspense Poche » n° 8, 1975)
  • Les Armures de sable (Eurédif « Suspense Poche » n° 14, 1976)
  • À tête reposée (Eurédif, Suspense Poche n° 107, 1976, Prix du Suspense français 1979)
  • La Banque des morts (Eurédif hors coll., 1977)
  • L’Enfer, pourquoi pas ! (Eurédif hors coll., 1978)
  • L’Amour à la carte / À cloche-cœur (Eurédif hors coll., 1979 / Masque n° 1647, 1981, Prix du Roman d’Aventures 1981)
  • L’Homme de craie (Masque n° 1619, 1980)
  • L’Ogresse (Masque n° 1653, 1981)
  • Une femme piégée (Masque n° 1673, 1982)
  • Le Battant et la cloche (Masque n° 1694, 1982)
  • En 5 sets (Fleuve noir grand format, 1990).

Théâtre

  • La Femme de paille (L’Avant-scène Théâtre n° 591, 1976)

Nouvelles

  • Le Sens du devoir (in Noir Magazine n° 1, 1954)
  • En un vieux coup de miséricorde (Mystère Magazine n° 300, 1973)
  • À naître de père inconnu (Mystère Magazine n° 307, 1973)
  • Murder-lady (Mystère Magazine n° 309, 1973)
  • L’Amour monstrueux de Traudi (Mystère Magazine n° 313, 1974)
  • Calvaire à forfait (Mystère Magazine n° 318, 1974)
  • Simple question d’humanité (Mystère Magazine n° 322, 1974)
  • Leur Maison sur le wash… (Mystère Magazine n° 324, 1975)
  • La Maison (Mystère Magazine n° 342, 1976)
  • Les Abeilles du grand rituel (Magazine du Mystère n° 1, 1976)
  • Une incroyable histoire (Magazine du Mystère n° 9, 1977)

Théâtrographie

  • La Femme de paille (comédie policière en deux actes, 1976), mise en scène Raymond Gérôme. Texte : Catherine Arley, d’après son roman La Femme de paille. Création : Théâtre Edouard VII, 1976. Décor : Roger Harth. Costumes : Donald Caldwel. Distribution : André Dumas (Edouard le majordome), Nicole Calfan (Hildegarde Maener), Raymond Gérôme (Anton Korff), Louis Seigner (Karl Richmond).

Filmographie

En qualité d'actrice

En qualité d'auteur de l'œuvre originale

  • Blondie (France-Allemagne de l’ouest, 1975) - Film. Titres étrangers : GermicideVortex (US, 1979). Réalisation : Sergio Gobbi. Scénario d’après le roman de Catherine Arley Duel au premier sang. Image : Jean Bordal. Montage : Gabriel Rongier. Durée : 105 min. Interprètes : Catherine Jourdan (Blondie), Mathieu Carrière (Tauling), Bibi Anderson (Patricia Tauling), Paul Guers, Rod Taylor (Christopher Tauling), Christian Barbier (Rex), Yves Brainville (un diplomate), Walter Buschhoff (le docteur Ruth), Robert Le Béal (un diplomate), Hans Meyer (inspecteur), François Patrice (inspecteur), Elisabeth Strauss (la directrice), Maurice Travail (le conférencier), Monique Vita (Maria).
  • Woman of Straw (Grande-Bretagne, 1964) - Film. Titre français : La Femme de paille. Réalisation : Basil Dearden. Scénario : Stanley Mann, Robert Muller et Michael Relph d’après le roman de Catherine Arley La Femme de paille. Production : Michael Relph. Musique : Norman Percival. Image : Otto HELLER (Eastmancolor). Montage : John D. Guthridge. Décors : Ken Adam. Directeur artistique : Peter Murton. Décorateur plateau : Freda Pearson. Costumes : Beatrice Dawson et Christian Dior. Directeur de prod. : Charles Orme. Assististant réalisateur : Clive Reed. Son : Ray Baker. Durée : 117 min. Interprètes : Gina Lollobrigida (Maria Marcello), Sean Connery (Anthony Richmond), Basil Dearden, Ralph Richardson (Charles Richmond), Alexander Knox (Lomer), Johnny Sekka (Thomas), Laurence Hardy (Baynes), Peter Madden (le capitaine du yacht), Danny Daniels, Noel Howlett, A.J. Brown, Robert Bruce, Georgina Cookson, Michael Corcoran, George Curzon, Gilada Dahlberg, Michael Goodlife, Ronald Hatton (Dr Murray), Joseph Wise (Peters), George Zenios (garçon de l’Island Hotel).
  • Un beau petit milliard (France, 1991) - Téléfilm. Réal. : Pierre Tchernia. Scénario : Philippe David, Éric Reynaud-Fourton et Pierre Tchernia. Durée : 98 min. Interprètes : Michel Galabru (Gilbert), Odette Laure (Mathilde / Mélanie), Pascale Roberts (Yvonne), Jean-Claude Bouillon (André), Jacques Dacqmine (M. de Mouriez), Henri Guybert (Felix), Jean-Claude Leguay (Dunoyer), Joel Lefrançois (René), Christiane Muller (Adrienne), Raymond Aquilon (le facteur), Bruno Balph (le collègue), Jacqueline Valois (Gaby), Lily Fayol (Mado), Danielle Rocca (l’intendante).
  • Le Secret du petit milliard (France, 1992) - Téléfilm. Réalisation : Pierre Tchernia. Scénario : Philippe David, Éric Reynaud-Fourton et Pierre Tchernia. Durée : 87 min. Interprètes : Michel Galabru (Gilbert), Odette Laure (Mathilde / Mélanie), Pascale Roberts (Yvonne), Georges Corraface (John), Michel Serrault (Armand), Henri Guybert (Félix), Jacques Dacqumine (le notaire), Joël Lefrançois (René), Alan Boone (Elliott), Éric Averlant (Franck).

Théâtre à la télévision

  • La Femme de paille (comédie policière en deux actes, 1976). Émission : Au théâtre ce soir n° 248. Réalisation : Pierre Sabbagh. Enregistrement : le samedi 15 mai 1976 au Théâtre Edouard-VII. Télédiffusion : vendredi 3 décembre 1976 sur la première chaîne. Mise en scène : Raymond Gérôme. Décors : Roger Harth. Costumes : Donald Cardwell. Illustration sonore : Fred Kiriloff. Distribution : André Dumas (Edouard le majordome), Nicole Calfan (Hildegarde Maener), Raymond Gérôme (Anton Korff), Louis Seigner (Karl Richmond).

Voir aussi

Références

  1. Ceci pour démentir le décès de l'auteur communiqué par les éditions du Masque et rapporté dans le Dictionnaire des littératures policières de Claude Mesplède (éd. de 2007).
  2. RIEBEN, Georges. « Fiche technique auteur : Catherine Arley ». Ellery Queen Mystère Magazine, novembre 1973 (26e année), n° 309, p. 113-114
  3. Propos recueillis par Françoise Janin. In ARLEY, Catherine. Les Beaux messieurs font comme ça. Paris : Cercle européen du livre, 1968, p. 18-19.
  4. Propos recueillis par Françoise Janin. In ARLEY, Catherine. Les Beaux messieurs font comme ça. Paris : Cercle européen du livre, 1968, p. 19.
  5. Propos recueillis par Françoise Janin. In ARLEY, Catherine. Les Beaux messieurs font comme ça. Paris : Cercle européen du livre, 1968, p. 20.

Bibliographie critique

Articles fondamentaux
  • DAVID, Jean-Marie. « Arley, Catherine ». In Dictionnaire des littératures policières (vol. 1, A-I), sous la dir. de Claude Mesplède. Nantes : Joseph K., nov. 2007, p. 95-96. (Temps noir). ISBN 978-2-910686-44-4
  • DELEUSE, Robert. « Quand l’histoire bégaie... ». In Les Maîtres du roman policier. Paris : Bordas, avril 1991, p. 152. Coll. "Les Compacts" n° 24.
  • LEBRUN, Michel – SCHWEIGHAEUSER, Jean-Paul. « Catherine Arley (1924- ) ». In Le Guide du polar : histoire du roman policier français. Paris : Syros, octobre 1987, p. 171. Coll. "Les Guides culturels Syros".
  • MARTINETTI, Anne. « Catherine Arley ». In Le Masque, Histoire d’une collection. Amiens : Encrage, septembre 1997, p. 56-57. Coll. "Références" n° 3.
  • PÉRISSET, Maurice. « Catherine Arley ». In Panorama du polar français contemporain. Paris : Éd. de l’Instant, juin 1986, p. 24-26.
  • RIEBEN, Georges. « Fiche technique auteur : Catherine Arley ». Ellery Queen Mystère Magazine, novembre 1973 (26e année), n° 309, p. 113-114
  • THOMAS, Robert. « Piège pour une femme de paille seule ». L’Avant-scène Théâtre, 15 juillet 1976, n° 591, p. 34.
Interviews
  • Reportage indiscret sur l’auteur par Françoise Janin in Les Beaux messieurs font comme ça. Cercle Européen du Livre, 1969.
  • « Catherine Arley : les Maîtres du roman policier ». Propos recueillis par Julien Moret et Luc Geslin in Ellery Queen Mystère Magazine n° 296, p. 123-126.
  • PIVOT, Bernard. « Qui a tué ? ». 813 : les amis de la littérature policière, mai 2001, n° 76, p. 33-47. Retranscription de l’entretien de Bernard Pivot avec Léo Malet, Boileau et Narcejac, Catherine Arley, Serge Montigny, ADG et Jean-Patrick Manchette, lors de l’émission Apostrophes du 20 juillet 1979.
  • PÉRISSET, Maurice. « Catherine Arley soumise à la question ». In Panorama du polar français contemporain. Paris : Éd. de l’Instant, juin 1986, p. 259-260.

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Catherine Arley de Wikipédia en français (auteurs)

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