Cassandre de Macedoine

Cassandre de Macedoine

Cassandre de Macédoine

Cassandre (en grec ancien Κάσσανδρος / Kássandros) (né en -358, mort en -297) est le fils aîné du général macédonien Antipater, qui aida Alexandre le Grand à monter sur le trône de Macédoine à la mort de son père, Philippe II, en -336. Après la mort d'Alexandre, en -323 il est mêlé aux luttes pour le pouvoir des diadoques.

Sommaire

La régence d’Antipater

Cassandre envoyé à Babylone

Antipater est chargé de la régence de la Macédoine ainsi que de la Grèce en -334, durant les conquêtes de l'empire perse par Alexandre. Ses pouvoirs sont alors très étendus et il apparaît de fait comme le souverain aux yeux des Grecs. D'abord très proche d'Olympias, la mère d'Alexandre, il a en effet aidé à l'accession au trône d'Alexandre en -336, il s'attire vite la méfiance de cette dernière qui voit d'un mauvais œil ses excès d'orgueil et qui lui reproche d'étaler publiquement son scepticisme vis à vis de la politique conquérante de son fils. Celle-ci envoie de nombreuses lettres à son fils, Alexandre, dans lesquelles elle dénonce l'attitude indigne d'Antipater. Devant l'insistance de sa mère, Alexandre appelle Antipater à Babylone, afin qu'il puisse rendre compte de son attitude, mais celui-ci refuse et choisit d'envoyer son fils Cassandre, plaider sa cause.

Cassandre rejoint Alexandre à Babylone en -324, soit quelques mois seulement avant la mort d'Alexandre, accompagné de son frère, Lolas. La coïncidence entre leur arrivée tardive et la mort brutale du roi alimente rapidement les suspicions quant à leur implication dans ce décès. Alexandre souhaitait en effet relever Antipater de ses fonctions et le voir remplacé par Cratère, un de ses fidèles. Par ailleurs, Lolas était l'échanson d'Alexandre, c'est-à-dire l'officier chargé de servir à boire au roi, ce qui lui donnait nombre d'opportunités d'empoisonner le roi. Cependant cette version des faits n'est dénoncée par Olympias que plusieurs années après la mort d'Alexandre, dans un contexte de luttes pour le pouvoir et de jeux d'alliances, c'est pourquoi des auteurs tels que Plutarque[1] ou Arrien.[2] n'y voient qu'une invention de la reine mère qui espère tirer profit de telles accusations[3].

La succession d'Antipater

La mort de Perdiccas en -321, conduit à une nouvelle répartition des postes. À la mort d'Alexandre, il avait été chargé de la tutelle des rois[4]. Aussi, en -321, c'est à Antipater que revient cette nouvelle charge. En temps que régent de Macédoine, il confie à Antigone, lui aussi ancien général d'Alexandre, le poste de « stratège d'Asie » alors que Cassandre lui est adjoint comme second et nommé chiliarque de la cavalerie. Cassandre, qui n’accepte pas d’être ainsi placé au second rang, entre en conflit avec Antigone. Bien que les préférences d’Antipater aillent vers Antigone plutôt que vers son fils, il se laisse convaincre par ce dernier de revenir en Macédoine accompagné d’Alexandre, le jeune fils d’Alexandre le Grand, plutôt que de le laisser sous la tutelle d’Antigone, marquant ainsi sa défiance alors que la charge de la tutelle du jeune roi était censé revenir à Antigone.

Antipater prend soin d’établir un testament avant sa mort dans lequel il nomme Polyperchon, l’aîné des généraux macédoniens, à sa succession. Ce choix conduit à l’éviction volontaire et réfléchie de Cassandre, suivant ainsi la tradition qui veut que l’on confie la régence au stratège le plus expérimenté. Antipater meurt en -319, à 78 ans. Cassandre, placé sous la subordination de Polyperchon, refuse de se soumettre et revendique l’héritage de son père.

Cassandre s’impose en Macédoine

La coalition contre Polyperchon

Désireux de s'approprier l'héritage dont son père l'avait délibérément évincé, Cassandre obtient le soutien de Ptolémée, le satrape d’Égypte. Ptolémée vient de s'emparer de la Syrie-Phénicie face à Laomédon, qui avait pourtant été choisi pour cette tâche par le pouvoir central, Ptolémée est donc en difficulté avec Polyperchon. Antigone rejoint l’alliance alors qu’il est en conflit contre Eumène de Cardia, qui lui a le soutien de Polyperchon.

Face à cela, Polyperchon cherche de nouveaux appuis et promulgue un édit, en -318, dans lequel il proclame la liberté des Grecs, il annonce par ailleurs sa volonté de retourner aux institutions du temps de Philippe et d’Alexandre. De plus, Polyperchon reconnaît les difficultés auxquelles les Grecs ont été soumis, mais en retourne la responsabilité aux partisans de l’oligarchie, alors que Cassandre avait accordé son soutien à ces derniers. Cet édit met en difficulté Phocion, le chef de la faction oligarchique d’Athènes ainsi que Nicanor, le frère de Cassandre, chargé de diriger la garnison macédonienne d’Athènes. Nicanor qui cherche à s’emparer du Pirée est battu par Alexandros, le fils de Polyperchon, qui lui aussi souhaitait mettre la main sur cette région. Cette victoire sur l’oligarchie est de courte durée, rapidement Cassandre s’empare du Pirée, malgré une armée peu conséquente. Polyperchon qui voit son prestige s’amoindrir choisit de se concentrer sur la cité de Mégalopolis, qui refuse d’appliquer son édit. C’est une nouvelle défaite pour Polyperchon, de plus en plus affaibli. De plus, Cassandre bénéficie en -317 de l’élection de Démétrios de Phalère comme « archonte décennal », qui choisit d’instaurer une oligarchie modérée à Athènes et accepte de s’allier à Cassandre.

La régence de la Macédoine

S’il n’a pas le contrôle à proprement parler d’Athènes, Cassandre n’en a pas moins gagné l’alliance que convoitait Polyperchon pour cette cité. C’est donc en bénéficiant d’une grande popularité qu’il rentre en Macédoine et obtient facilement les faveurs d’Eurydice[5], la reine de Macédoine en attendant la majorité du jeune Alexandre IV. Il se fait rapidement proclamer régent, alors que Polyperchon est déchu de ce titre et qu'Eurydice lui ordonne de rendre son armée à Cassandre. Cassandre marche donc contre Polyperchon en -317. Polyperchon appelle à l’aide Olympias, la mère d’Alexandre le Grand. Celle-ci profite de l’absence de Cassandre en Macédoine et s’empare de Philippe III, sans cependant qu’il n’y ait de réels combats, les soldats macédoniens renonçant à s’attaquer à la mère d’Alexandre le Grand[6]. Elle le fait exécuter et contraint Eurydice, sa femme, au suicide. Olympias fait également exécuter cent de leurs partisans, dont Nicanor, le frère de Cassandre. Celui-ci apprend la nouvelle alors qu’il combat à Tégée et, alors que ses officiers poursuivent les combats contre Polyperchon, il fait assiéger Pydna, où Olympias s’est réfugiée. Par crainte de l’influence encore forte de la reine mère, notamment face aux soldats macédoniens, qui ont renoncé à la combattre, il la fait exécuter en -316 [Justin insiste sur la dignité de la reine, lorsque lui fût porté le coup final, Justin, Abrégé des histoires philippiques de Trogue-Pompée, livre XIV, VI]. Cassandre s’empare ensuite d’Alexandre IV et de sa mère, Roxane, et entre dans la dynastie d’Alexandre en épousant Thessalonique[7]

Première coalition contre Antigone

Antigone agit en maître

En -316, Cassandre est régent de Macédoine et bénéficie d'un appui considérable en Grèce. Parallèlement à cela, Antigone se lance en conquête pour étendre au mieux son pouvoir sur l'Asie. Bien qu'il n'ait pas le titre de souverain, il agit comme tel et parvient à écarter les divers satrapes qui lui font face pour les remplacer par ses propres hommes, notamment en écartant Peucestas, un de ses fidèles, qui pourtant était à l'origine de sa victoire récente sur Eumène, mais qui bénéficiait d'une trop grande popularité. Sa puissance grandissante commence à inquiéter ses alliés, surtout qu’Antigone vient de mettre la main sur un trésor considérable à Kyinda, en Cicilie, s’imposant ainsi comme le plus riche et le plus puissant des diadoques.

Une coalition s’engage contre Antigone regroupant Cassandre, Lysimaque et Ptolémée. Les trois hommes réclament un nouveau partage des satrapies, la Lycie et la Cappadoce pour Cassandre, la Phrygie hellespontique pour Lysimaque, la Syrie pour Ptolémée. Antigone, qui est âgé de 68 ans environ, s’apprête à entrer en guerre. Il s’allie à Polyperchon et son fils Alexandros, qui se sont repliés sur des terres du Péloponnèse ainsi qu‘avec Eacides, roi d'Épire, un cousin d’Olympias, hostile à Cassandre. Enfin, il s’allie avec les partisans de la démocratie en Grèce, puisque Cassandre s’appuie sur la faction oligarchique d’Athènes pour gouverner.

C’est dans ce contexte de friction qu’Antigone établit la proclamation de Tyr, en -315, à l’encontre de Cassandre. Il l’accuse de maintenir prisonniers à Amphipolis Roxane, ainsi que le jeune roi Alexandre, mais aussi d’avoir contraint Thessalonique au mariage, enfin il l’accuse ouvertement du meurtre d’Olympias, dénonçant un procès bâclé ainsi que l'hypocrisie de Cassandre, qui avait promis à la reine mère de l’épargner si elle se rendait, ce à quoi elle s’était résignée. Antigone profite de cette proclamation pour s’auto proclamer régent.

Cassandre n’est pourtant pas militairement le plus dangereux de ses adversaires, mais il est le maître de Macédoine et peut donc bénéficier d’un recrutement militaire important. De plus il détient Alexandre, le roi légitime, ainsi que sa mère, et possède un lien familial avec la dynastie de par son mariage avec Thessalonique. Aussi, pour enfoncer plus encore son adversaire, Antigone proclame la « liberté des Grecs » et dénonce les méthodes de Cassandre qui s’appuie sur les oligarques, alors que ce type de pouvoir est de moins en moins répandu dans les cités grecques. Antigone espère ainsi voir les cités grecques se rebeller contre Cassandre. Ptolémée, qui pourtant est un allié de Cassandre, suit les pas d’Antigone et lance à son tour une proclamation en faveur de l’autonomie des cités. Cette prise de position peut sembler étonnante puisqu’elle va à l’encontre de son allié, mais Ptolémée se méfie également de ce dernier, qui dans le cas où la coalition contre Antigone arriverait à son terme, gagnerait en puissance et deviendrait à son tour un adversaire redoutable.

Les combats en Grèce

Les combats commencent en Grèce en -315. Antigone, qui a le soutien de Polyperchon ainsi que des Etoliens, engage le combat contre Cassandre. Cassandre engage le combat contre Polyperchon et son fils, Alexandros, dans le Péloponnèse. Alexandros est rapidement massacré par les démocrates de Sicyone Polyperchon, affaibli, choisit de se rallier à la cause de Cassandre. En -314, Cassandre gagne plusieurs victoires et reprend les cités de Leucade, d’Appllonie et d’Epidamme. Télesphore débarque en Grèce en -314.

Les royaumes des diadoques en 301 av. J.-C.

Il est le neveu d’Antigone, à qui il vient apporter son soutien. Il bénéficie du soutien d’îles de la mer Egée et remporte plusieurs succès en -313, mais Cassandre parvient notamment à écraser les Épirotes. La victoire de Cassandre est de courte durée alors qu’en -313, un autre neveu d’Antigone intervient en Grèce, Polémée, qui parvient à prendre la Grèce à Cassandre. Très affaiblis, Cassandre et Lysimaque acceptent le traité de paix qu’Antigone leur propose en -312, alors que la guerre se poursuit en Asie entre Antigone et Ptolémée..

Un traité de paix est signé en -311 entre tous les diadoques, épuisés par les quatre ans de guerres qui viennent de s’écouler. Il établit que chacun d’entre eux garde ses possessions et que l’on accorde aux Grecs leur liberté. Antigone est par ailleurs nommé « stratège d’Asie », alors que Cassandre obtient le titre de « stratège d’Europe », tout en gardant la tutelle du roi.

La fin de la dynastie royale

La majorité du jeune roi approchant marque une menace forte pour l’ensemble des diadoques. Or, le traité de -311 garantit à Cassandre de conserver le titre de « stratège d’Europe » jusqu’à la majorité du fils d’Alexandre le Grand. Cette garantie est une condamnation indirecte du jeune roi qui est assassiné en -310, ainsi que sa mère, Roxane. Parallèlement, Polyperchon entre de nouveau en conflit contre Cassandre. Il prend sous sa protection le jeune Héraclès], le second fils d’Alexandre. Cassandre ne fait pas le poids face à l’armée de 20000 hommes levée par Polyperchon, aussi plutôt que de s’engager dans un combat perdu d’avance, Cassandre propose à Polyperchon un partage de la Grèce et le jeune Héraclès est assassiné.

En -308, Cassandre voit son territoire de Grèce convoité par Ptolémée. Celui-ci vient de conclure un accord avec Antigone dans lequel il est décidé qu’Antigone s’appropriera les îles de la mer Egée et Ptolémée la Grèce continentale. Cette conquête n’est pas un réel succès et Ptolémée choisit de rentrer en Égypte après avoir signé un traité avec Cassandre.

Seconde coalition contre Antigone

Les diadoques deviennent rois

Fort de nombreux nouveaux succès, Antigone prend le titre de basileus d'Asie (« roi ») et devient Antigone 1er en -305, toujours avec l’ambition de restaurer à son profit l’ancien empire d’Alexandre. Les autres diadoques se voient contraints d’en faire de même, afin de s’assurer une légitimité face à ce nouveau roi, Cassandre devient Cassandre de Macédoine en -305 et Ptolémée, Ptolémée 1er la même année.

En -307, Cassandre avait repris l'offensive en Grèce, afin de se réapproprier l'ensemble du territoire qu'il avait accepté de partager avec Polyperchon. Démétrios, le fils d'Antigone, met alors fin au siège de Rhodes, pour se concentrer sur Athènes. Polyperchon quant à lui, parvient à récupérer l'emprise qu'il avait perdue sur le Péloponnèse. En -304, Cassandre parvient enfin à repousser les Etoliens, mais sa victoire est de courte durée puisqu'il fait face à l'arrivée de Démétrios, le fils d'Antigone, qui vient de finir le siège de Rhodes et repousse Cassandre jusqu'aux Thermopyles. Cassandre est alors littéralement dépouillé de son royaume. Il perd Sicyone et Corinthe alors que Démétrios parvient également à prendre le Péloponnèse, affirmant son pouvoir en la Méditerranée.

La reprise des combats

La montée en puissance de Démétrios fait peur aux diadoques qui, plus par stratégie que par bonté d'âme, apportent leur soutien à Cassandre en montant une nouvelle coalition contre Antigone. Celle-ci regroupe alors Séleucos (roi de Syrie), Lysimaque, Ptolémée et Cassandre et met fin à la nouvelle avancée d'Antigone qui meurt durant la bataille d'Ipsos, en -301. Cette bataille est décisive puisqu'elle entraîne le démembrement définitif du royaume d'Alexandre le Grand. Les vainqueurs se partagent le royaume d'Antigone, Ptolémée en Coelé-Syrie, Cassandre se maintient en Macédoine et en Grèce, Lysimaque annexe une partie de l’Asie Mineure à son royaume, quant à Séleucos, le grand vainqueur de la bataille, il obtient la partie orientale de la Syrie, enfin, Démétrios, qui réussit à sortir vivant des combats, obtient quelques places fortes, notamment en Phénicie.

La mort de Cassandre

La grande Alliance qu’avait entraînée l’avancée dangereuse d’Antigone ne dure pas, notamment entre Ptolémée et Séleucos qui se disputent la Syrie. Séleucos choisit alors de s’allier à Démétrios et celui-ci, fort de cette nouvelle alliance choisit de s’emparer de la Cilicie, alors aux mains de Pleistarchos, un frère de Cassandre. Cassandre en profite pour jouer les médiateurs et offre la Cilicie à Démétrios en échange de l’assurance de ne pas le voir envahir la Grèce. Cette assurance le renforce considérablement dans sa position de roi de Macédoine, mais Cassandre meurt peu de temps après, en -297, alors qu’il vient de gagner une victoire contre les Celtes en Grèce. À sa mort, son fils Philippe IV lui succède brièvement[8] et se sont ses deux autres fils, Antipater et Alexandre, qui se déchirent une nouvelle fois le royaume.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

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Sources littéraires

  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, livres XV-XX.Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Justin, Abrégé des histoires philippiques de Trogue-Pompée, XVI.Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Plutarque, Vie d'Alexandre, Livre, 77.Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Études historiques

  • Edouard Will, Histoire politique du monde hellénistique, Éditions du Seuil, Paris, 2003.
  • Maurice Sartre, l’Anatolie hellénistique de l’Egée au Caucase, Armand Colin, Paris, 2003.
  • Pierre Briand, Antigone le Borgne, Les Belles lettres, Paris, 1973.
  • Ollivier Battistini et Pascal Charvet, Alexandre le Grand, Histoire et dictionnaire, Laffont, collection « Bouquins », Paris, 2004.

Notes et références

  1. Plutarque, Vie d'Alexandre, 77, 1-3
  2. Arien, Anabase, VII, 27, 1-2
  3. Arrien ira jusqu'à juger ces hypothèses d'« indignes de l'histoire ».
  4. Alexandre IV qui n'est pas encore né et Philippe III, le demi-frère d'Alexandre, mentalement déficient
  5. Eurydice est la femme de Philippe III
  6. Justin, Abrégé des histoires philippiques de Trogue-Pompée, livre XIV, IV.
  7. En -315, il fonde la ville du même nom, en l'honneur de sa femme, une des filles de Philippe II.
  8. Philippe IV devient roi de Macédoine au printemps -297, à 18 ans, mais meurt 4 mois après son accession au trône.
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