Jacques de Guillebon (écrivain)

Jacques de Guillebon (écrivain)
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Jacques de Guillebon
Activités Écrivain, essayiste, journaliste
Naissance 1978
France
Langue d'écriture français
Œuvres principales
  • Nous sommes les enfants de personne
  • La France excédée
  • Le nouvel ordre amoureux
  • Contre Culture

Jacques de Guillebon (né en 1978) est un écrivain, essayiste et journaliste français. Il écrit essentiellement dans la presse catholique, royaliste et antilibérale.

Sommaire

Éléments biographiques

Ancien collaborateur de la revue Immédiatement, Jacques de Guillebon en fut le directeur de publication de 2002 à 2005, année où la revue cesse de paraître[1]. Directeur-délégué de la revue catholique La Nef de 2005 à 2009, il quitte ensuite ces fonctions pour y devenir éditorialiste[2]. De 2009 à 2010, il travaille pour le mensuel gratuit aujourd’hui disparu Direct Soir[3].

Il a aussi collaboré depuis 2002 au Figaro Magazine[4], à Famille chrétienne[5], à Valeurs actuelles, au Spectacle du Monde, à L’Homme nouveau, au Messager de Saint-Antoine, et à Marianne, ainsi qu’aux sites Causeur, Atlantico, et La Cause littéraire.

Il est également éditorialiste de la revue Permanences ou écrit pour l’Action française[6].

Prises de position

Jacques de Guillebon anime aussi avec quelques autres, le site Anarchrisme[7],[8].

En novembre 2011, il prend violemment parti contre les manifestations de catholiques traditionalistes devant le Théâtre de la Ville à l’occasion de la représentation d’une pièce de Romeo Castellucci. Il est pris pour cible par les nationaux-catholiques, comme Bernard Antony, qui lui décerne ironiquement le Prix Dolorès Ibarruri.

En avril 2011, dans une chronique intitulée Celle par qui le scandale…, Jacques de Guillebon commente la montée de Marine Le Pen dans les sondages : « Marine le Pen incarne un mouvement qui la dépasse et qui a la puissance de se changer en événement historique ». Il compare la situation de la France à celle des pays arabes en révolution : « Il n’y avait pas de raison que seul l’autre côté de la Méditerranée ait droit à se débarrasser de ses despotes » [9][10].

Il conteste intégralement le libéralisme, notamment sur le site de Causeur[11]. En août 2011, après le carnage en Norvège du à Anders Breivik, il livre sur le site Atlantico une interprétation complexe de l'acte du personnage, renvoyant dos à dos dans l'horreur les fascistes et les libéraux[12].

Dans le numéro de La Nef de novembre 2011, il commente ainsi le nationalisme : "Libérer l’intelligence, c’est ce que réclame le Saint-Siège et cela ne se fera aujourd’hui dans les ordres politique et économique qui sont tant liés qu’en remettant en cause une « forme corrompue de nationalisme […] suivant lequel l’État estime pouvoir, de façon autarcique, réaliser le bien de ses concitoyens. » L’Église, par ce texte, ramène tranquillement le pacte westphalien à sa juste mesure, qui était transitoire comme un moindre mal, et réclame un nouvel effort vers le Bien commun."[13]

Ouvrages

Livres

Directions de collectif

Contributions

Collaborations

Préfaces

Articles connexes

Notes et références

Liens externes


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