- Internement des Japonais-canadiens
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L’internement des Japonais-canadiens est l'incarcération de ressortissants japonais et canadiens d'origine japonaise en Colombie-Britannique dans des camps d'internement durant la Seconde Guerre mondiale.
L'internement a commencé en décembre 1941, à la suite de l'attaque sur Pearl Harbor aux États-Unis. Le gouvernement fédéral canadien a donné l'ordre d'interner en se basant sur un risque de sabotage et d'espionnage. De nombreux enfants ont été internés et élevés dans ces camps, comme David Suzuki, Joy Kogawa et Roy Miki. Le gouvernement canadien a promis aux Canadiens d'origine japonaise que leurs biens leur seraient retournés après leur libération mais, cependant, ces actifs ont été bradé aux enchères.
Malgré la crainte largement répandue au sein de la population pendant la Seconde Guerre mondiale, les preuves historiques montrent que les autorités militaires canadiennes et la Gendarmerie royale du Canada ne croyaient pas à une invasion japonaise. Il est maintenant établit que les Canadiens japonais n'étaient pas une menace pour la sécurité nationale. Après la guerre, et la défaite du Japon, les internés ont eu le choix entre la déportation ou le transfert à d'autres parties du Canada. Les protestations publiques finalement provoqué l'abrogation de la loi et une commission royale a été nommé en 1947 pour examiner la confiscation des biens. En 1988, le gouvernement canadien a donné des excuses officielles et a annoncé les détails de l'indemnisation des citoyens concernés.
Voir aussi
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Japanese Canadian internment » (voir la liste des auteurs)
Catégories :- Camp d'internement de la Seconde Guerre mondiale
- Relations entre le Canada et le Japon
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