Bataille de Dyrrachium (1081)

Bataille de Dyrrachium (1081)

41° 18′ N 19° 30′ E / 41.3, 19.5

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Bataille de Dyrrhachium
Italy and Illyria 1084 v2.svg
L'Italie et les Balkans en 1084
Informations générales
Date 18 octobre 1081
Lieu Durrës, Albanie
Issue Victoire normande
Belligérants
Empire byzantin Duché d'Apulie
Commandants
Alexis Ier Comnène
Georges Paléologue
Robert Guiscard
Forces en présence
20 000 hommes 30 000 hommes
Pertes
5 000 morts
7 000 déserteurs
moindres mais substantielles

La bataille de Dyrrhachium (près de lactuelle Durrës, en Albanie) eut lieu le 18 octobre 1081 et opposa lempire byzantin sous la conduite de lempereur Alexis Ier Comnène et les Normands dItalie du Sud, dirigés par Robert Guiscard, duc dApulie et de Calabre. Laffrontement, qui se termina par la victoire des Normands, se produisit aux abords de la ville de Dyrrhachium (aussi connue sous le nom de Durazzo), capitale byzantine de lIllyrie.

Après la conquête de lItalie byzantine et de la Sicile sarrasine par les Normands, lempereur byzantin, Michel VII, fiança son fils à la fille de Robert Guiscard. La déposition de lempereur Michel fournit à Robert Guiscard le prétexte quil cherchait pour envahir lEmpire byzantin en 1081. Son armée mit le siège devant Dyrrhachium, mais sa flotte fut défaite par les Vénitiens. Le 18 octobre, les Normands engagèrent le combat contre larmée byzantine commandée par lempereur à lextérieur de la ville. Au début, laile droite de larmée byzantine réussit à mettre en déroute laile gauche des Normands. Les mercenaires varègues se joignirent aux forces byzantines dans la poursuite des fugitifs mais furent rapidement isolés du gros des troupes et massacrés. Les chevaliers normands au centre des troupes attaquèrent alors le centre de larmée byzantine, la battirent et la mirent en déroute.

Cette victoire permit aux Normands de semparer de Dyrrhachium en février 1082 et davancer vers lintérieur, semparant de la plus grande partie de la Macédoine et de la Thessalie. Mais Robert Guiscard dut bientôt quitter la Grèce, lempereur romain germanique, Henri IV, ayant attaqué le pape, son allié. Guiscard laissa son fils Bohémond en charge des troupes de Grèce. Après une série de succès sur lempereur, Bohémond fut cependant défait par celui-ci près de Larissa. Forcé de retourner en Italie, Bohémond perdit successivement tous les territoires gagnés initialement par les Normands au cours de cette campagne. Ce fut le début de la restauration de lempire sous les Comnènes.

Sommaire

Toile de fond

Les Normands venus du nord de la France arrivèrent dans le sud de lItalie en 1015 et se mirent dabord au service des seigneurs lombards de la région comme mercenaires[1] . Recevant des terres en échange de leurs services, les Normands furent rapidement suffisamment puissants pour contester lautorité du pape; celui-ci fut défait lors de la bataille de Civitate en 1054 et dut reconnaître lautorité normande[2] . En 1059, le pape créa Robert Guiscard, qui appartenait à la famille des Hauteville, duc dApulie, de Calabre et de Sicile. Toutefois, une grande partie de lApulie et de la Calabre était encore entre les mains des Byzantins, alors que la Sicile appartenait aux Sarrazins[3].

En 1071, Robert et son frère Roger sétaient emparés du dernier château fort byzantin en Italie, Bari. Lannée suivante ils conquirent lensemble de la Sicile, mettant fin à lémirat islamique de Sicile. Lempereur Michel VII envoya en 1073 une ambassade pour proposer une union entre son fils, Constantin, et la fille de Robert, Hélène[4]. Guiscard accepta et envoya sa fille à Constantinople. Toutefois, la déposition de Michel VII en 1078 par Nicéphore Botaniatès mit fin aux chances dHélène daccéder au trône[5]. Ceci fournit à Guiscard le prétexte quil cherchait pour envahir lempire alléguant que sa fille avait été maltraitée. Toutefois, une révolte en Italie le força à retarder ses projets[6].

Après avoir conscrit tous les hommes en âge de porter les armes, Guiscard remit son armée en état[7]. En même temps, il envoya une ambassade à Constantinople avec comme instructions de réclamer un traitement adéquat pour Hélène et de sassurer de lappui du domestique des Scholes (général impérial stationné à Constantinople), Alexis Comnène[8]. On ignore le résultat de ces démarches, mais il est certain que lambassadeur se fit rapidement un ami d'Alexis. Pendant son retour, il apprit que celui-ci avait déposé Botaniatès[9] et avait accédé au trône sous le nom dAlexis Ier.

Lambassadeur tenta de persuader Robert Guiscard que le nouvel empereur désirait sincèrement la paix avec les Normands. Mais ce nest pas ce que cherchait Guiscard; il envoya plutôt son fils Bohémond en avant-garde en Grèce. Bohémond débarqua à Aulon il fut bientôt suivi par son père[10].

Préludes

Alexis I
Alexis I d'après un manuscrit de la Bibliothèque du Vatican

La flotte normande composée de 150 navires, dont 60 transportaient les chevaux, appareilla en direction de lempire byzantin à la fin mai 1081. Larmée comprenait 30 000 hommes renforcés par 1 300 chevaliers normands[11]. Elle se dirigea dabord vers Avalon en territoire byzantin elle fut rejointe par plusieurs autres navires de Raguse (aujourdhui Dubrovnik), république des Balkans ennemie de Byzance[12]

Après avoir quitté Avalon, Guiscard se dirigea vers Corfou qui dut capituler en raison de la faiblesse de sa garnison. Ayant ainsi créé une tête de pont pour recevoir des renforts dItalie, il avança vers Dyrrhachium, capitale et port principal de lIllyrie[13]. La cité était bien pourvue en défense, sallongeant sur une étroite péninsule parallèle à la côté dont elle était séparée par des marais. Guiscard fit monter le camp sur la péninsule face aux remparts de la ville[14]. Cependant, alors que la flotte sapprêtait à faire voile vers Dyrrhachium, elle fut prise dans une violente tempête et plusieurs bateaux coulèrent[11].

Pendant ce temps Alexis, ayant appris que les Normands sapprêtaient à envahir le territoire byzantin, fit appel au doge de Venise, Domenico Selvo, demandant son aide en échange de droits de commerce[11]. Le doge, craignant que les Normands ne contrôlent le détroit dOtrante, prit la tête de la flotte vénitienne et attaqua celle de Bohémond à la tombée de la nuit. Les Normands contre-attaquèrent avec courage, mais leur inexpérience des batailles navales les perdit. La flotte vénitienne, forte de sa propre expérience, attaqua en formation serrée, dite « port de mer », et grâce au feu grégeois parvint à disperser la flotte normande et à entrer dans le port de Dyrrhachium[15].

Le siège de Dyrrhachium

Robert Guiscard, que ne découragea pas cette défaite navale, mit le siège devant Dyrrhachium. La garnison était commandée par le général Georges Paléologue, soldat expérimenté envoyé par Alexis avec lordre de résister coûte que coûte jusquà ce que lempereur puisse réunir une armée et venir libérer la cité[16].


Pendant ce temps, une flotte byzantine arriva qui, après sêtre jointe à la flotte vénitienne, attaqua la flotte normande et la mit en déroute. La garnison de Dyrrhachium pour sa part résista tout lété en dépit des catapultes, balistes et autres engins de siège de Guiscard. Elle fit de nombreuses sorties; au cours de lune d'elles le général Paléologue combattit toute la journée avec une pointe de flèche dans le crâne. Une autre sortie permit de démolir la tour de siège érigée par Guiscard[16].

La maladie se répandit dans le camp normand, faisant selon lhistorienne Anne Comnène, 10 000 victimes dont 500 chevaliers[17]. Toutefois, la situation de la garnison de Dyrrhachium devenait désespérée suite aux assauts des armes de siège normandes. Alexis layant appris alors quil était encore à Salonique avec son armée, vint attaquer les Normands avec toutes ses forces. Selon Anne Comnène, Alexis disposait denviron 20 000 hommes; lhistorien John Haldon estime leur nombre à entre 18 000 et 20 000 alors que John Birkenmeier parle plutôt de 20 à 25 000 hommes. Larmée denviron 5 000 hommes venait des tagmatas de Thrace et de Macédoine. À cela sajoutaient des unités délite des excubites et des vestiaires soit environ 1 000 hommes, quelque 2 800 hommes appelés manichéens (des hérétiques bogomiles organisés en unités militaires), une cavalerie de Thessalie, des conscrits en provenance des Balkans, des troupes dinfanterie arméniennes et dautres troupes légères. Aux forces provenant du territoire byzantin sajoutaient quelque 2 000 mercenaires turcs et 1 000 mercenaires francs, environ 1 000 Varègues et 7 000 auxiliaires turcs envoyés par le sultanat seldjoukide de Roum. Alexis retira également les forces dHéraclée du Pont et des forces protégeant les dernières positions byzantines dAsie mineure quil abandonna ce faisant aux Turcs[18] .

La bataille

Les premiers engagements

Ayant quitté Salonique, Alexis vint installer son camp sur le fleuve Charzanès près de Dyrrhachium le 15 octobre[19]. Il tint alors un conseil de guerre pour solliciter lavis de ses généraux au nombre desquels figurait Georges Paléologue qui avait réussi à quitter la ville[20]. La majorité des officiers, y compris Paléologue, préconisaient la patience, arguant que le temps jouait en faveur de lempereur. Mais ce dernier voulait plutôt attaquer immédiatement et prendre larmée de Guiscard par derrière pendant quelle assiégeait encore la ville. Alexis fit prendre position à ses troupes sur les collines situées face à la ville, espérant attaquer les Normands le lendemain[21].


Robert Giscard
Pièce de monnaie à l'effigie de Robert Giscard

Toutefois, Guiscard informé par ses espions de larrivée d'Alexis dans la nuit du 17 octobre, fit passer ses troupes de la péninsule vers la terre ferme. Informé de cette manœuvre, Alexis révisa ses plans et divisa son armée en trois ailes, celle de gauche sous le commandement de Grégoire Pakourianios, celle de droite sous celui de Nicéphore Mélissène pendant que lui-même commandait celle du centre. Guiscard disposa ses forces devant celles dAlexis, le comte de Giovinazzo commandant laile droite, Bohémond laile gauche et lui-même le centre, face à lempereur.

On avait donné ordre aux Varègues de marcher devant la ligne principale, un régiment imposant darchers positionné à courte distance derrière eux[22]. Les archers devaient venir se placer devant les Varègues, tirer une volée de flèches et revenir à leur position initiale, tactique que les archers devaient répéter jusquà ce que les deux armées viennent en contact[21].

Alors que les armées sapprochaient lune de lautre, Guiscard envoya un détachement de sa cavalerie, laquelle avait pris position au centre, feindre une attaque sur les positions byzantines. Il espérait que cette manœuvre arrêterait les Varègues; toutefois ce plan échoua lorsque la cavalerie dut se retirer devant les archers. Laile droite de larmée normande chargea soudainement vers le point le centre et la droite des Byzantins se rejoignaient, dirigeant son attaque vers le flanc gauche des Varègues. Les Varègues tinrent bon pendant que laile gauche byzantine, comprenant certaines des troupes délite dAlexis, attaquait les Normands. La formation normande se désagrégea et les Normands en déroute senfuirent vers la plage. Cest que, selon Anne Comnène, la femme de Guiscard, Sikelgaita, les rassembla, « ressemblant à une nouvelle Pellas, sinon à une seconde Athèna[23] ».

L'effondrement des Byzantins

la garde Varègue
La garde Varègue d'après les Chroniques de Skylitis

Pendant ce temps, la droite et le centre de l'armée byzantine étaient engagés dans des escarmouches avec les Normands qui leur faisaient face. Toutefois, lorsque la droite normande se fut effondrée, les chevaliers risquèrent dêtre débordés. Cest à ce moment que les Varègues, constitués en majeure partie dAngles et de Saxons qui avaient quitté lAngleterre après la conquête normande, se mirent à leur tour à poursuivre laile droite normande. Les Varègues attaquèrent alors les chevaliers normands avec leurs énormes haches de guerre et ceux-ci furent repoussés, leurs chevaux ayant été pris de panique. Les Varègues se trouvèrent bientôt séparés du gros des forces et, épuisés, ne purent faire face à un assaut. Guiscard envoya alors un imposant détachement de lanciers et darbalétriers contre le flanc des Varègues ils firent de nombreuses victimes. Les quelques Varègues survivants senfuirent vers léglise de larchange Michel. Les Normands mirent immédiatement le feu à lédifice et tous les Varègues périrent dans lincendie[24].

Georges Paléologue tenta une sortie hors de Dyrrhachium mais ne put sauver la situation. Bien plus, Constantin Bodin empereur de Bulgarie et roi de Dioclée, techniquement vassal de lempereur Alexis, fit défection. Les Turcs qui lui avaient été fournis par le sultan Suleyman Ier siècle suivirent lexemple de Constantin et désertèrent[25].

Sans l'aile gauche qui poursuivait toujours les Normands, le centre de l'armée byzantine était exposé. Guiscard en profita pour envoyer sa cavalerie contre le centre de larmée byzantine. Celle-ci commença par mettre en fuite lavant-garde avant de se disperser en plus petits détachements et de charger les lignes byzantines en divers points. Ne pouvant tenir, celles-ci se brisèrent et les Byzantins senfuirent pendant que le camp impérial, resté sans protection, tombait aux mains des Normands[24].

Alexis et sa garde résistèrent tant quils purent mais durent finalement se replier. Pendant cette retraite, Alexis se trouva séparé de sa garde et fut attaqué par les soldats normands. Durant la fuite, il fut blessé au front et, bien qu'il eut perdu beaucoup de sang, parvint tout de même à rejoindre Ohrid il regroupa son armée[26].

Les conséquences

Cette bataille constituait une sérieuse défaite pour Alexis. Lhistorien Jonathan Harris considère quelle fut « aussi sérieuse que celle de Manzikert[27] ». Il perdit ainsi près de 5 000 hommes, y compris la majeure partie de ses Varègues. On ignore combien dhommes les Normands perdirent mais, aux dires de John Haldon, ce nombre devait être substantiel puisque et laile droite et laile gauche se brisèrent et furent mises en fuite[28]. Pour lhistorien Robert Holmes, « la nouvelle tactique des chevaliers de charger avec leur lance couchée, cest-à-dire bien calée sous le bras pour conjuguer les forces de lhomme et du cheval devait savérer un atout majeur[29]. »

Georges Paléologue pour sa part ne put rentrer dans la ville après la bataille et quitta le terrain avec le gros des troupes. La défense de la citadelle fut ainsi laissée aux Vénitiens pendant que la ville elle-même était dirigée par un Albanais du nom de Komiskortes[30].

En février 1082, Dyrrhachium devait tomber après quun Vénitien ou Amalfitain eut ouvert les portes de la ville aux Normands[31]. Larmée normande put alors semparer de la plus grande partie du nord de la Grèce sans se voir opposer de résistance sérieuse. Mais, alors que Guiscard se trouvait à Kastoria, des messagers arrivèrent dItalie pour annoncer que lApulie, la Calabre et la Campanie sétaient révoltées. Il apprit en même temps quHenri IV, empereur du Saint-Empire, était aux portes de Rome et assiégeait le pape Grégoire VII, un allié des Normands[32]. Alexis avait en effet négocié une alliance avec Henri au terme de laquelle, moyennant 360 000 pièces dor, ce dernier avait envahi lItalie et attaqué le pape. Guiscard rentra alors précipitamment en Italie, laissant Bohémond aux commandes de larmée de Grèce[33].

Alexis qui, en raison du prix de cette alliance, était en difficulté financière entreprit de confisquer le trésor de toutes les églises[34]. Ceci lui permit de rassembler une armée près de Thessalonique avec laquelle il put attaquer Bohémond. Toutefois, Bohémond réussit à remporter deux batailles sur Alexis, lune à Arta et lautre à Ioannina. Ceci donnait à Bohémond le contrôle de la Macédoine et de presque toute la Thessalie[35]. Bohémond fit alors avancer son armée vers la ville de Larissa. Alexis, qui avait réussi à lever une nouvelle armée et pouvait aussi compter sur 7 000 Turcs seldjoukides envoyés par le sultan, avança vers cette ville il défit les Normands[36]. Démoralisée, larmée normande qui navait pas touché de solde depuis longtemps se retrancha sur la côte d elle fit voile vers lItalie[37]. Pour les remercier de leur aide, Alexis accorda aux Vénitiens une concession à Constantinople, assortie de privilèges commerciaux. En retour, les Vénitiens reprirent Dyrrhachium et Corfou qu'ils remirent à lempire. Ces victoires marquaient le retour de lempire au statu quo en même temps que samorçait la restauration coménienne[38].

Notes et références

Notes


Références

  1. Brown, 1984, p. 85
  2. Norwich 1995, p. 13; Holmes 1988, p. 33; Brown 1984, p. 93
  3. Norwich, 1995, p. 14
  4. Norwich 1995, p. 14; Anna Comnena. The Alexiad, 1.12.
  5. Treadgold 1997, p. 614; Anna Comnena, The Alexiad, 1.12.
  6. Norwich 1995, p. 15; Treadgold 1997, p. 614
  7. Norwich 1995, p. 16
  8. Anna Comnena. The Alexiad, 1.15
  9. Norwich, 1995, p. 16.
  10. Norwich 1995, p. 17; Gravett & Nicolle 2006, p. 108; Treadgold 1997, p. 614; Anna Comnena. The Alexiad, I.15.
  11. a, b et c Norwich 1995, p. 17.
  12. Norwich, 1995, p. 17.
  13. Gravet & Nicolle 2006, p. 108.
  14. Haldon 2001, p. 133.
  15. Norwich 1995, p. 18; Hooper & Bennett 1996, p. 83.
  16. a et b Norwich 1995, p. 18
  17. Anna Comnena. The Alexiad, 4.3.
  18. Norwich 1995, p. 18; Hooper & Bennett 1996, p. 83
  19. Norwich 1995, p. 18; Anna Comnena, The Alexiad, 4.5.
  20. Haldon 2001, p. 134
  21. a et b Haldon 2001, p. 134; Anna Comnena, The Alexiad, 4.5.
  22. Haldon 2001, p. 134.
  23. Haldon 2001, p. 134; Anne Comnène, The Alexiad. 4.5.
  24. a et b Haldon 2001, p. 135; Norwich 1995, p. 19; Holmes 1988, p. 33; Anne Comnène, The Alexiad, 4.6.
  25. Norwich 1995, p. 20; Treadgold 1997, p. 614.
  26. Haldon 2001, p. 135; Norwich 1995, p. 19; Holmes 1988, p. 33; Anna Comnena, The Alexiad, 4.6.
  27. Harris 2003, p. 34.
  28. Haldon 2001, p. 137.
  29. Holmes 1988, p. 34.
  30. Anna Comnena, The Alexiad, 4.8.
  31. Anna Comnena, The Alexiad, 5.1.
  32. Norwich 1995, p. 20; Treadgold 1997, p. 615
  33. Norwich 1995, p. 21; Gravett & Nicolle 2006, p. 108; Treadgold 1997, p. 615; Anna Comnena, The Alexiad, 5.3.
  34. Norwich 1995, p. 21; Treadgold 1997, p. 615.
  35. Anna Comnena, The Alexiad 5.4.; Treadgold 1997, p. 615.
  36. Anne Comnène; The Alexiad, 5.5-5.6; Gravett & Nicolle 2006, p. 108; Treadgold 1997, p. 615.
  37. Anne Comnène, The Alexiad, 5.7; Gravette & Nicolle 2006, p. 108.
  38. Norwich 1995, p. 22; Treadgold 1997, p. 615.

Bibliographie

Source primaire

Sources secondaires



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