Appartement du roi

Appartement du roi

48°48′17″N 2°7′13.7″E / 48.80472, 2.120472

Image illustrative de l'article Appartement du roi
Plan de l’appartement du roi
1 vestibule
2 salle des gardes
3 première antichambre, dite salon du grand couvert
4 salon de l’œil de bœuf (auparavant la deuxième antichambre ou antichambre des Bassans et la chambre du roi)
5 chambre du roi (auparavant le salon du roi)
6 salon du conseil (auparavant le cabinet des glaces et le cabinet des termes)
A cour de Marbre
B cour Royale

L’appartement du roi est l’ensemble des pièces du château de Versailles qui servirent d'appartement particulier à Louis XIV. Donnant sur la cour de marbre, ces salons se situent dans le « château vieux » sur l’emplacement de l’ancien appartement de la reine. En raison de l’incommodité du Grand Appartement du Roi et de la construction de la Galerie des Glaces, Louis XIV fit aménager cet appartement peu après la mort de la reine Marie-Thérèse. Au XVIIIe siècle, l’appartement fut reconverti en lieu de travail pour Louis XV et Louis XVI.

Au début, l’appartement se composa d’une enfilade de huit salons sortant du palier de l’escalier de la reine. Le nombre de pièces fut réduit à sept en 1701 et à six en 1755.

Sommaire

Le vestibule

Le vestibule est lambrissé en marbres polychromes et éclairé par deux fenêtres donnant sur la cour royale. En 1701, afin d’éclairer l’escalier, Louis XIV fit percer le mur vis-à-vis les fenêtres transformant le vestibule en loggia. À la fin du règne de Louis XIV, le vestibule servit d'entrée à l’appartement du roi, au Grand Appartement de la Reine et à l’appartement de Madame de Maintenon[1].

Salle des gardes du roi

Servant pour la Garde du corps du roi, le décor primitif de cette pièce présenta des tentures en cuir doré et La bataille de Leuze, le 18 septembre 1691 par Joseph Parrocel fut accrochée sur la cheminée. La salle fut illuminée par deux grands lustres blasonnés avec les armes du roi. Le rôle utilitaire de la pièce fut réfléchi dans les bancs simples en bois, les lits de camp et les paravents utilisés par les gardes. Lors du règne de Louis XIV, chaque lundi un table fut dressée avec une nappe de velours galonnée d’or où le roi acceptait de placets et des pétitions présentés par ses sujets[2].

Première antichambre

La première antichambre ou salon du grand couvert (connu également à l’époque de Louis XIV comme la salle où le roy soupe), donna sur la cour de marbre et sur la cour de la reine. Des scènes de bataille – avec La Bataille d’Arbela par Joseph Parrocel qui fut accrochée sur la cheminée – formèrent les éléments principaux du décor[3]. Après les morts de la reine Marie-Thérèse et la dauphine, Marie-Adélaïde de Savoie, l’antichambre servit pour les occasions où le roi dîna seul en public – au grand couvert. Pour ses occasions, une table avec un seul fauteuil furent dressés devant la cheminée. Vis-à-vis la cheminée se trouva la tribune pour les musiciens qui jouèrent lors du repas ; la tribune fut supprimée au XVIIIe siècle[4].

Un des plus célèbres scandales de l’histoire du règne de Louis XIV toucha à sa fin dans cette salle. En 1691, les passements des portières du salon de Mars et un morceau du lit dans le salon de Mercure furent dérobés. Le marquis de Sourches laissa le récit :

« Vers l’entremets, j’aperçus je ne sais quoi de fort gros et comme noir en l’air sur la table, que ne n’eus le temps de discerner ni de montrer par la rapidité dont se gros tomba sur le but de la table. Le bruit que cela fit en tombant, et la pesanteur de la chose fit bondir les plats, mais sans en renverser aucun, et de hasard cela tomba sur la nappe et point dans des plats. Le Roi, au coup que cela tourna la tête à demi et sans s’émouvoir en aucune sorte : « Je pense, dit-il, que se sont mes franges … » Cela fit au moment de murmure … « Voilà, dit le Roi, qui est bien insolent » mais d’un ton tout uni et comme historique. »[5].

Combat de Leuze, 18 September 1691.jpg
Combat de Leuze, 18 September 1691 vers 1691 par Joseph Parrocel
Halte de cavaliers se désaltérant aprés une bataille.jpg Combat de cavalerie.jpg Charge de cavalerie sous les remparts d'une ville.jpg Alexandre le Grand, vainqueur de Darius à la bataille d'Arbelles.jpg Cavalier conduisant des prisonniers après la prise d'une ville.jpg Charge de cavalerie avec cavalier renversé.jpg
Halte de cavaliers se désaltérant après une bataille vers 1687 par Joseph Parrocel, paroi sud Combat de cavalerie vers 1687 par Joseph Parrocel, paroi sud-ouest Charge de cavalerie sous les remparts d'une ville vers 1687 par Joseph Parrocel, paroi sud-est Alexandre le Grand, vainqueur de Darius à la bataille d'Arbelles vers 1687 par Joseph Parrocel, au-dessus de la cheminée Cavalier conduisant des prisonniers après la prise d'une ville vers 1687 par Joseph Parrocel, paroi nord Charge de cavalerie avec cavalier renversé vers 1687 par Joseph Parrocel, paroi nord

Deuxième antichambre

Primitivement, la deuxième antichambre et la chambre formèrent une partie de l’appartement de la reine ; pourtant en 1684, après la mort de Marie-Thérèse, les deux pièces furent rattachées à l’appartement du roi[6].

La deuxième antichambre servit comme lieu où les courtiers attendaient leurs entrées auprès du roi pendant le petit lever et le grand lever. En raison de la collection des peintures par l’artiste italien, Jacopo Bassano, dit le Bassan, qui furent exposées dans cette salles, la pièce fut surnommée antichambre des Bassans[7]. Le célèbre Noli me tangere par Lambert Sustris orna la cheminée. En 1701, la deuxième antichambre et la chambre du roi furent fusionnées afin de créer le salon de l’œil de bœuf, qui devint l’antichambre principale de la nouvelle chambre du roi[6].

Noli me tangere-Sustris.jpg L'Evanouissement d'Esther.jpg
Noli me tangere vers la deuxième moitié du XVIe siècle Lambert Sustris L'Evanouissement d'Esther vers le dernière quart du XVIe siècle par Véronèse

Prenant son nom de la fenêtre ovale – l’œil de bœuf – dans la voussure sud du plafond, le salon de l’œil de bœuf présent une frise avec des groupes de putti dansant en stuc doré dans les voussures du plafond. Le décor de cette pièce annonce une transition entre le style Louis XIV, qui se trouve au Grand Appartement du Roi et dans la galerie des glaces. Avec un décor qui présenta des glaces, meubles dorés, les peintures L’Evanouissement d’Esther et Judith avec la tête d’Holopherne par Véronèse. Le salon de l’œil de bœuf se présenta comme un des plus somptueuses pièces de l’appartement du roi[8].

Quand Louis XIV s’installa dans la chambre du roi en 1684, la pièce suivante fut désignée pour le salon du roi ou le salon où le roi s’habille. Le salon du roi servait depuis dix-sept années comme lieu où se déroulèrent les cérémonies du lever et du coucher du roi[9].

Chambre de Louis XIV

La chambre fut réalisée sur l’emplacement du salon du roi, une pièce qui remonta à l’époque de Louis XIII. Lors du règne de Louis XIV, elle subit maintes modifications jusqu'à son achevement en 1701, comme celle de la construction de la galerie des glaces qui exigea la suppression des fenêtres à l’ouest donnant sur la terrasse. Avec l’établissement de la chambre du roi, la pièce devint le centre physique et idéologique du château[10].

Marie-Madeleine en extase au pied de la croix.jpg Sainte Cécile-Domenichino.jpg Salon d'Apollon-LE ROI DAVID.jpg
Marie-Madeleine en extase au pied de la croix vers 1628-1629 par Le Guide Sainte Cécile vers le première quart du XVIIe siècle par Le Dominiquin Le Roi David vers le première quart du XVIIe siècle par Le Dominiquin

En raison d’économie, Louis XIV fit garder une grande partie du décor primitif du salon du roi pour sa chambre. Les dessus-des-portes comptèrent le Portrait de Francisco de Moncada et un Autoportrait par Antoon van Dyck, un Saint Jean Baptiste par Le Caravage et Marie Madeline par Le Guide. La Saint Cécilie par Le Dominiquin fut exposée dans la voussure au-dessus de la cheminée et vis-à-vis d'une autre œuvre du peintre : Le Roi David jouant de l’harpe[11].

À l’ouest se situa la ruelle où se trouvait le lit du roi séparée de l’autre partie de la pièce par une balustrade. Le décor de la ruelle avec une ornementation d’agrafes, de volutes et de treillages sculptées anticipèrent le style Régence. Au-dessus du lit se trouva la sculpture « La France triomphante » par Nicolas Coustou et fut accompagné de deux Renommées par François Lespingola[12].

Les tentures de la ruelle et du lit furent tissées de nouveau comme projet de la restauration du château de Versailles entamé par des initiatives de la Cinquième République. Les tentures originales furent restaurées en 1763 ; en 1785, Louis XVI fit brûler le brocart afin de récupérer plus que soixante kilogrammes de l’or. Les tentures actuelles ne représentent pas les tentures primitives de la chambre du roi ; plutôt, le brocart fut tissé de nouveau d’après un dessin pour la tenture d’hiver de la chambre de la reine. Peu après le début du projet les dessins pour la tenture de Louis XIV furent trouvés, main en raison d’économie – le tissage fut déjà en marche – la chambre du roi fut restaurée avec les tentures d’hiver de la chambre de la reine[13]. Le 1er septembre 1715, Louis XIV, âgé de 76 ans, y mourut.

Cabinet du conseil

Cette pièce devint cabinet du conseil avec la construction du salon de la guerre, qui fut érigé sur l’emplacement du salon de Jupiter – la pièce qui servit comme salle du conseil au sein du Grand Appartement du Roi. Primitivement surnommé cabinet du roi à partir de 1684, la pièce fut réaménagée en 1701 avec un nouveau décor qui présenta les murs lambrissés avec des glaces ; par conséquent, cette pièce fut rebaptisée cabinet des glace. En dépit du luxe des glaces, la pièce fut meublée dans une manière utilitaire. En plus de la table de conseil dressée avec une nappe en velours, il y eut trois fauteuils, douze tabourets pliants et une chaise-longue qu’utilisa Louis XIV en 1686 lors de la crise de la fistule anale[14].

De toutes les pièces de l’appartement du roi, cette pièce fut une expression des goûts personnels de Louis XIV. En plus de la collection des bijoux, le décor présenta des œuvres par Nicolas Poussin et Giovanni Lanfranco et un clavecin.

Le caractéristique personnel de cette pièce fut contrebalançé par le fait que dans cette pièce gouverna Louis XIV la France : des conseils y fut convoqués ; Louis XIV y reçut les écrivains et les artistes chargés avec la promulgation de sa gloire ; et des audiences particulières y eurent lieu[15].

La dernière pièce de l’appartement du roi de l’époque de Louis XIV fut le cabinet de termes. Ainsi surnommé en raison du décore qui présenta vingt termes, cette pièce fut également connue comme le cabinet des perruques parce que Louis XIV y fit ranger ses perruques. La pièce servit comme garde robe où le roi se changea sa perruque, sa chemise et son chapeau à maintes reprises chaque jour. Le soir, Louis XIV fit assembler ses enfants, membres de sa famille et des courtières préférés[16].

Le cabinet des glaces et le cabinet des termes furent supprimés en 1755 lorsque Louis XV commanda une nouvelle salle du conseil – la pièce actuelle. Ange-Jacques Gabriel fut chargé avec la décoration et les boiseries furent le chef-d’œuvre de Jules-Antoine Rousseau[17].

Notes

  1. Félibien 58 ; Piganiol de la Force 118 ; Verlet 209
  2. Félibien 59 ; Piganiol de la Force 118 ; Verlet 209-210
  3. Piganiol de la Force 118-119
  4. Verlet 162 ; Félibien 338
  5. Verlet 210
  6. a et b Verlet 211
  7. Piganiol de la Force 119
  8. Kimball 50-61 ; Félibien 339 ; Verlet 212
  9. Verlet 213
  10. Félibien 60-61 ; Verlet 214 ; Baillie 169-99
  11. Félibien 61
  12. Verlet 214
  13. Meyer 1987 ; Verlet 214
  14. Félibien 65 ; Piganiol de la Force 123-124 ; Verlet 217
  15. Verlet 217
  16. Félibien 347 ; Verlet 220
  17. Verlet 316


Références

  • Baillie, Hugh Murray, « Etiquette and the Planning of State Apartements in Baroque Palaces », dans Archeologia, vol. CI, 1967, p. 169-199 

  • Félibien, Jean-François, Description sommaire de Versailles ancienne et nouvelle, Paris: A. Chrétien, 1703 

  • Kimball, Fiske, The Creation of the Rococo, Philadelphia: Philadelphia Museum of Art, 1943 

  • Meyer, Daniel, « L'ameublement de la chambre de Louis XIV à Versailles de 1701 à nos jours », dans Gazette des Beaux-Arts, vol. 113 (pér. 6), février, p. 79-104 

  • Piganiol de la Force, Jean-Aymar, Nouvelle description des châteaux et parcs de Versailles et Marly, Paris: Chez Florentin de la lune, 1701 

  • Verlet, Pierre, Le château de Versailles, Paris: Librairie Arthème Fayard, 1985 

Sources supplémentaires

  • Batiffol, Louis, « Le château de Versailles de Louis XIII et son architecte Philbert le Roy », dans Gazette des Beaux-Arts, vol. 10 (pér. 6), novembre 1913, p. 341-371 

  • Batiffol, Louis, « Origine du château de Versailles », dans La Revue de Paris, april 1909, p. 841-869 

  • Berger, Robert W., « The chronology of the Enveloppe of Versailles », dans Architectura, vol. 10, 1980, p. 105-133 

  • Berger, Robert W., Versailles: The Chateau of Louis XIV, University Park: The College Arts Association, 1986 

  • Brejon de Lavergnée, Arnauld, Le cabinet des tableaux du Roi (1661-1685/1686), 1985 

  • Combes, sieur de, Explication historique de ce qu'il y a de plus remarquable dans la maison royale de Versailles, Paris: C. Nego, 1681 

  • Jestaz, Bertrand, « Jules Hardouin-Mansart et ses dessinateurs », dans Colloque de Versailles, 1985 

  • Josephson, Ragnar, « Relation de la visite de Nicodème Tessin à Marly, Versailles, Rueil, et St-Cloud en 1687 », dans Revue de l'Histoire de Versailles, janvier-mars 1926, p. 150-67 ; 274-300 

  • LeGuillou, Jean-Claude, « La création des cabinets et des petits appartements de Louis XV au château de Versailles 1722-1738 », dans Gazette des Beaux-Arts, vol. 105 (pér. 6), avril 1985, p. 137-146 

  • LeGuillou, Jean-Claude, « Le château-neuf ou enveloppe de Versailles: concept et evolution du premier projet », dans Gazette des Beaux-Arts, vol. 102 (pér. 6), décembre 1983, p. 193-207 

  • LeGuillou, Jean-Claude, « Remarques sur le corps central du château de Versailles », dans Gazette des Beaux-Arts, vol. 87 (pér. 6), février 1976, p. 49-60 

  • LeGuillou, Jean-Claude, « Le Grand et le Petit Appartement de Louis XIV au château de Versailles », dans Gazette des Beaux-Arts, vol. 108 (pér. 6), juillet-août 1986, p. 7-22 

  • Lighthart, Edward, Archétype et symbole dans le style Louis XIV versailles : réflexions sur l’imago rex et l’imago patriae au début de l'époque modern., Thèse doctoral, 1997 

  • Marie, Alfred, Naissance de Versailles, Paris: Edition Vincent Fréal & Cie, 1968 

  • Marie, Alfred et Jeanne, Mansart à Versailles, Paris: Editions Jacques Fréal, 1972 

  • Marie, Alfred et Jeanne, Versailles au temps de Louis XIV, Paris: Imprimerie Nationale, 1976 

  • Marie, Alfred et Jeanne, Versailles au temps de Louis XV, Paris: Imprimerie Nationale, 1984 

  • Meyer, Daniel, « L'appartement intérieur du Roi », dans Revue du Louvre, vol. 3, 1976, p. 175-183 

  • Monicart, Jean-Baptiste de, Versailles immortalisé, Paris: E. Ganeau, 1720 

  • Nolhac, Pierre de, « La construction de Versailles de LeVau », dans Revue de l'Histoire de Versailles, février 1899, p. 161-171 

  • Nolhac, Pierre de, La création de Versailles, Versailles: L. Bernard, 1901 

  • Nolhac, Pierre de, Versailles, résidence de Louis XIV, Paris: L. Conrad, 1925 

  • Nolhac, Pierre de, Versailles au XVIIIe siècle, Paris: Louis Conard, 1926 

  • Saule, Béatrix, « Trois aspects du premier ameublement du château de Versailles sous Louis XIV », dans Colloque de Versailles, 1985 

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