- Sigma Corporation
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Logo de Sigma CorporationCréation 9 septembre 1961 Fondateurs Kazuto Yamaki (chef d'entreprise) Siège social Kawasaki (Kanagawa) (Japon) Direction Michihiro Yamaki Activité Optique Effectif 871 (2009) Site web www.sigmaphoto.com modifier Sigma est un fabricant japonais d'appareils et d'objectifs photographiques.
C'est le premier fabricant d'objectif indépendant au niveau mondial. Dans ce domaine, c'est une marque innovante et qui propose à des prix plutôt bas du matériel aux possibilités techniques élevées.
Concernant les appareils photographiques (argentiques puis numériques), Sigma est resté jusqu'à présent une marque très marginale, au moins en France où les vendeurs de matériel photo ont préféré vendre le matériel des autres marques plus anciennes.
Sommaire
Les objectifs photographiques
Sigma est surtout connu des photographes comme étant un fabricant d'objectifs indépendant, c’est-à-dire qu'il fabrique en premier lieu des objectifs destinés à être montés sur des boîtiers d'autres marques. Mais depuis les années 1990, Sigma commercialise également ses propres boîtiers photos pour lesquels il est le seul à fournir des objectifs.
Depuis le début des années 1990, Sigma a proposé en permanence une trentaine de modèles d'objectifs pour les appareils photos reflex. Si dans les années 1990, les gammes d'objectifs à mise au point manuelle et d'objectifs autofocus cohabitaient, à présent, Sigma se limite à la fabrication d'objectifs autofocus pour les marques Canon, Nikon, Minolta (dont la division photo a été rachetée par Sony), Pentax (qui s'est associé à Samsung) et Sigma. Avec l'apparition des boîtiers photos numériques à « petit capteur », Sigma a encore enrichi sa gamme qui dépasse en 2008 les quarante modèles.
Les objectifs pour boîtiers argentiques et numériques 24x36 mm
Ces objectifs couvrent le format d'image 24 x 36 mm. La plupart d'entre eux ont vu leur formule optique modifiée ces dernières années (traitement antireflet de la lentille arrière) pour mieux fonctionner avec des appareils numériques.
Sur un appareil numérique dit à petit capteur, ces objectifs sont parfaitement utilisables (sauf le fish-eye 8 mm). On récupère alors la partie centrale de l'image fournie par ces objectifs.
Les fish-eyes
Sigma propose deux fish-eyes :
- un fish-eye circulaire de 8 mm f/3,5 (pendant longtemps proposé avec l'ouverture f/4). Il semblerait que ce soit le seul fabricant à proposer encore ce genre d'objectif. À l'époque des boîtiers à mise au point manuelle, cet objectif était en deux parties. En les séparant, on pouvait mettre un filtre à l'intérieur, mais aussi remplacer le bloc avant seul en cas de choc sur la lentille frontale. Les fish-eyes autofocus qui ont remplacé le modèle initial sont monoblocs et un filtre éventuel (en gélatine) se fixe à l'arrière dans une glissière. Cet objectif n'est pas adapté aux boitiers numériques à petit capteur sur lesquels il fournit quelque chose d'intermédiaire entre l'image circulaire obtenue dans le format 24 x 36 mm et l'image plein cadre des autres objectifs.
- un fish-eye diagonal de 15 mm f/2,8. Porte filtre à l'arrière avec glissière également et un pare soleil non amovible qui protège la lentille frontale..
Les objectifs grand angle
Sigma a proposé avant les autres marques un objectif super grand angle de 14 mm f/3,5 . De petite taille, son défaut était de procurer une distorsion importante. Depuis, tous les fabricants qui ont proposé cette focale, Sigma compris, ont produit des 14 mm ouvrant à f/2,8 . En 2010, il n'y a plus de 14 mm au catalogue Sigma.
Dans les grands angles moins extrêmes, Sigma propose des objectifs lumineux :
- Le 28 mm f/1,8 existait déjà au milieu des années 1990. Il s'agissait d'un objectif compact. Toutefois, en changeant la formule optique au début 2001 pour l'adapter aux boîtiers numériques, Sigma en a augmenté la longueur et le diamètre.
- Les 24 mm f/1,8 et 20 mm f/1,8 sont apparus également en 2001.
Objectif standard lumineux
Alors que Sigma propose des boîtiers photographiques depuis le début des années 1990, il n'avait jamais proposé d'objectif standard et de petit téléobjectif lumineux : 50 mm f/1,4 et 85 mm f/1,8 comme l'ont fait tous les autres fabricants d'appareils photos japonais dès les années 1970 (pour les 50 mm f/1,4).
Sigma met fin à ce retard en proposant à partir de juin 2008 un 50 mm f/1,4, puis un 85 mm f/1,4 vers 2009.
Les téléobjectifs
Avant les années 2000, Sigma a fabriqué des téléobjectifs puissants qui restaient à des prix abordables :
- 300 mm f/4
- 400 mm f/5,6
- 500 mm f/7,2 Ce dernier disposait d'un autofocus, mais la vitesse de mise au point était lente.
- 600 mm f/8 à miroir et à mise au point manuelle.
Avec le développement des télézooms, Sigma n'a conservé comme focales fixes que des objectifs lumineux bien plus coûteux (quoique plus abordables que leur concurrents des grandes marques) :
- 300 mm f/2,8
- 500 mm f/4,5
- 800 mm f/5,6
Les zooms grand angle
Sigma semble être un spécialiste des objectifs grand angle. Au milieu des années 1990, il a été le premier fabricant à proposer un zoom grand angle descendant en deçà de 20 mm de focale, en l'occurrence un 18–35 mm f/3,5-4,5 . Cet objectif a été remplacé fin 1997 par un 17–35 mm f/2,8-4 lorsque des concurrents ont également proposé cette gamme de focales.
Dans les années 2000, Sigma a été deux autres fois recordman du monde en matière de courtes focales en proposant :
- un 15–30 mm f/3,5-4,5 fin 2001 (vendu jusqu'en 2007),
- un 12–24 mm f/4,5-5,6 fin 2004.
L'objectif 12–24 mm est toujours en vente, et aucun autre fabricant n'a depuis produit d'objectifs avec des focales identiques ou inférieures pour le format 24 x 36.
Un 20–40 mm f/2,8 est apparu fin 2001, mais il n'est plus au catalogue de 2010.
Les zooms transtandards
Au début des années 1990, Sigma proposait un objectif 24–70 mm f/3,5-5,6 compact qui a disparu du catalogue vers 2005. En 2008 on trouvait :
- des zooms transtandards lumineux :
- 28–70 mm f/2,8 et 28–70 mm f/2,8-4
- 24–70 mm f/2,8 apparu en 2001 et 24–60 mm f/2,8 plus compact vers 2005
Seul le 24–70 mm f/2,8 est encore commercialisé en 2010 en 2 versions : classique et avec moteur ultrasonique appelées HSM chez Sigma.
- des zooms transtandards de forte amplitude :
- 24-135 mm f/2,8-4,5 apparu fin 2003
- 28-200 mm f/3,5-5,6 et 28-300 mm f/3,5-6,3 Ces deux modèles datent des années 65 mais ont évolué plusieurs fois depuis leur version initiale.
La encore, seul le 28-300 mm f/3,5-6,3 est encore commercialisé en 2010.
Les télézooms
Sigma propose deux télézooms lumineux :
- 70-200 mm f/2,8 (qui date des années 1990)
- 120-300 mm f/2,8 apparu en 2003
Plusieurs télézooms d'amplitude 3 à 4 apparus au milieu des années 1990 étaient encore proposés en 2008 :
- 70-300 mm f/4-5,6 existe en 2 versions : apochromatique et classique.
- 135-400 mm f/4,5-5,6
- 170-500 mm f/5-6,3
Depuis, les 2 derniers de la liste ont vu leur focale minimale réduite et existent en 2010 avec un stabilisateur optique intégré.
- 120-400 mm f/4,5-5,6
- 150-500 mm f/5-6,3
Les télézooms les plus extrêmes (à différents niveaux) de la marque sont :- 80-400 mm f/4,5-5,6 le premier de la marque équipé d'un stabilisateur optique. Il n'est plus commercialisé en 2010.
- 50-500 mm f/4-6,3 (très réactif au niveau de l'autofocus). Il a été équipé d'un stabilisateur optique en 2010, ce qui a pour pour conséquence d'augmenter son diamètre passant de 86 mm à 95 mm pour le diamètre des filtres utilisables.
- 300-800 mm f/5,6
- 200-500 mm f/2,8 (nouveauté 2008, d'un poids de 15,7 kg) il peut être transformé en 400-1000 mm f/5,6 grace à un doubleur de focale spécifique.
Les objectifs macro
Dans les années 1990, Sigma commercialisait un 90 mm f/2,8 pour la macrophotographie. Cet objectif compact atteignait le rapport de reproduction 1:2 et une bonnette spécifique était vendue pour atteindre le rapport 1:1 . Cet objectif a été remplacé à la fin des années 1990 par un 105 mm f/2,8 plus long de plusieurs centimètres, mais couvrant le rapport 1:1 sans accessoire.
Quatre objectifs macro couvrant le rapport 1:1 sont au catalogue Sigma en 2010 :
- 50 mm f/2,8
- 70 mm f/2,8 (apparu vers 2009)
- 105 mm f/2,8
- 150 mm f/2,8 (apparu vers 2007)
N'est plus proposé en 2010 :
- 180 mm f/3,5
Les accessoires
Sigma propose également un multiplicateur de focale par 1,4 et un doubleur, des filtres UV et polarisants.
Les objectifs pour boîtiers numériques au format d'image APS-C
Ces objectifs couvrent seulement le format d'image APS-C des boîtiers reflex numériques les plus courants dits « à petit capteur » (soit 16 x 24 mm ou un peu moins selon la marque). Avec un boîtier au format 24 x 36 mm, l'image est noire dans les angles (sauf pour les focales les plus longues de certains zooms). En contrepartie, ces objectifs sont plus compacts que des focales équivalentes destinées au format 24 x 36 mm.
Leur intérrêt provient du fait qu'on a besoin de focales plus courtes pour obtenir le même champ photographié qu'avec des objectifs et boitiers 24 x 36 mm. De ce fait, certains objectifs 24 x 36 mm (objectifs grand angles et zooms transtandards), ne sont pas aussi intéressants avec des appareils à petit capteur qui ne récupèrent que la partie centrale de l'image produite pour le format 24 x 36 mm.
La plupart de ces objectifs sont disponibles dans les montures Canon, Sigma, Nikon D, Pentax, Sony D, et quelquefois en monture Quatre Tiers (Olympus).
Les fish-eyes
Depuis mars 2008 deux fish-eyes sont proposés :
- 4,5 mm f/2.8 fish-eye circulaire. À noter que le but de cet objectif étant de produire une image circulaire, il ne semble pas y avoir de contre indication pour l'utiliser sur un boitier 24 x 36 mm. L'image sera seulement plus petite qu'avec le fish-eye circulaire de 8 mm.
- 10 mm f/2,8 fish-eye diagonal qui couvre les 180 ° sauf en monture Canon (167 °) à cause d'un capteur plus petit et 154 ° pour les boitiers Sigma antérieurs au boitier reflex Sigma SD1 annoncé pour 2011.
Les zooms grand angle
- 10–20 mm f/4/5,6 (le plus ancien, déjà vendu en 2007, il couvre le même champ qu'un d'un 15-30 mm en format 24 x 36 mm, ou d'un 16-32 mm en monture Canon).
- 10–20 mm f/3,5
- 8-16 mm f4,5-5,6
Ce dernier est équivalent au niveau du champ couvert au 12-24 mm proposé pour le format 24 x 36 mm (13-26 mm en monture Canon). Pour parvenir à un tel résultat, ce zoom Sigma fait appel à une formule optique de 15 éléments en 11 groupes, dont quatre éléments en verre FLD à faible dispersion, assimilable au verre en fluorite[1].
Les zooms transtandards de luminosité moyenne
Ces objectifs sont sensiblement équivalents à des 28-70 à 28-400 mm dabns le format 24 x 36 mm.
- 18–50 mm f/3,5-5,6 (jusqu'en 2009)
- 18-125 mm f/3.8-5.6 (stabilisé en monture Canon, Sigma et Nikon)
- 18-200 mm f/3,5-6,3 (sans stabilisation)
- 18-200 mm f/3,5-6,3 (stabilisé en monture Canon, Sigma et Nikon)
- 18-250 mm f/3,5-6,3 (stabilisé en monture Canon, Sigma et Nikon, commercialisé en 2009)
Les zooms transtandards lumineux
- 18–50 mm f/2,8 Macro (vendu jusqu'en 2009)
- 17–50 mm f/2,8 stabilisé (vendu à partir de 2010)
- 17–70 mm f/2,8-4,5 Macro
- 17–70 mm f/2,8-4 Macro (stabilisé en monture Canon, Sigma et Nikon)
Les télézooms
Leur intérrêt réside dans des dimmensions réduites et un cout moindre par rapport à des focales identiques qui couvrirait le format 24 x 36 mm.
- 55-200 mm f/4-5,6
- 50-150 mm f/2,8 (vendu jusqu'en 2009)
Objectif standard lumineux
- 30 mm f/1,4
C'est l'équivalent d'un 45 mm en format 24x36.
Les appareils photographiques
Sigma propose des appareils photo reflex depuis la première moitié des années 1990. Ces boîtiers utilisent une monture à baïonnette spécifique de la marque : la monture Sigma SA.
Pour réaliser cette monture, Sigma a repris la monture à baïonnette K de la marque Pentax, mais a choisi un pilotage entièrement électrique des objectifs (pour le diaphragme et l'autofocus) comme dans la marque Canon.
Les appareils argentiques
Le premier appareil reflex proposé par Sigma en 1992 (?) a été le boîtier SA 300.
Proposé au prix des modèles d'entrée de gamme des marques concurrentes, il offrait des possibilités de réglage étendues que l'on ne retrouvait que sur des boîtiers plus coûteux chez les concurrents :
- réglage d'exposition par programme décalable,
- réglage d'exposition avec priorité vitesse ou priorité diaphragme,
- réglage d'exposition manuel,
- braketing automatique,
- test visuel de profondeur de champ,
- autofocus débrayable,
- relevage manuel du miroir,
- surimpression.
Le premier modèle avait la particularité d'offrir une visée très jaune. Un choix technique par rapport à l'autofocus ? Mais par la suite, le boîtier SA 300 N a adopté une visée non colorée.
À la fin des années 1990, Sigma a remplacé ses boîtiers SA 300 N par les modèles SA 7 et SA 9. La rapidité de l'autofocus aurait été améliorée à cette occasion, mais par rapport à un marché où les boîtiers d'entrée de gamme concurrents ont à présent toutes les possibilités de réglage des boîtiers SA 300 et 300 N, les nouveaux modèles Sigma n'ont rien eu de particulièrement novateur.
Les appareils numériques
Pour ses appareils photo numériques, Sigma a choisi d'utiliser un capteur tri-couche de marque Foveon.
Les autres capteurs couleur d'appareils photo utilisent une mosaïque de filtres colorés, de telle manière que la moitié des pixels reçoivent la lumière verte, le quart des pixels la lumière rouge, l'autre quart la lumière bleue. Ensuite, l'appareil photo effectue un dématriçage, c’est-à-dire qu'il reconstitue pour chaque pixel, si nécessaire, les trois couleurs à partir des informations des pixels voisins.
Les capteurs Foveon sont constitués de trois couches sensibles à la lumière. La couche en surface permet de mesurer la lumière bleue, la couche médiane la lumière verte, et la couche en profondeur la lumière rouge. Ainsi, chaque pixel de l'image dispose d'origine des trois composantes colorées. À nombre de pixels égal, ce procédé évite des effets de moirage sur les objets présentant des petits motifs aux couleurs changeantes (vêtement à rayures ou à carreaux par exemple).
Les premiers capteurs Foveon étaient des 3,3 méga pixels, soit 10 millions de composantes colorées et fournissaient la qualité d'image des appareils de 6 mégapixels concurrents (3 millions de photosites pour le vert, 1,5 million pour le rouge et le bleu).
Reflex
Le premier boîtier numérique Sigma a été le SD 9. À l'époque, la sensibilité du capteur Foveon était faible, d'où un boîtier limité à 400 ISO et produisant quand même des images bruitées. Par la suite, le boîtier SD 10 utilisant le même capteur a offert la sensibilité de 1 600 ISO avec une bien meilleure qualité.
Ces deux modèles de boîtiers sont équipés à l'arrière de la monture de l'appareil d'un filtre antipoussière pour protéger le capteur (la poussière sur le capteur et surtout un mauvais nettoyage est la principale cause de retour en SAV des boîtiers reflex numériques).
Ils ne fournissent que des images raw compressées et nécessitent un logiciel Sigma (vendu en même temps que l'appareil) disponible sous Windows et Mac OS 9 pour gérer les fichiers image et les transformer dans des formats plus universels. Certaines revues photo ont critiqué ce choix de Sigma de ne pas offrir comme ses concurrents l'option d'images au format JPEG. C'est un véritable problème pour les utilisateurs d'autres systèmes d'exploitation comme Linux, pour lesquels Sigma ne fournit ni de logiciel prêt à l'emploi, ni l'algorithme de décompression de ses fichiers raw, ce qui permettrait ensuite à des informaticiens de mettre au point les plugins appropriés.
Pour la fin 2006, Sigma annonce la commercialisation d'un nouveau boîtier SD 14 dit 14 mégapixels (en réalité 1 720 x 2 760 = 4 747 200 pixels sensibles aux trois couleurs), ce qui devrait bien le placer par rapport aux capteurs 10 mégapixels des marques concurrentes (5 millions de pixels pour le vert et 2,5 millions pour le rouge et le bleu).
Ce nouveau boîtier fournit à la fois des fichiers raw compressés et des images au format JPEG.
Un défaut commun à tous les boîtiers reflex Sigma jusqu'au SD 10 était qu'ils ne disposaient que d'un capteur pour la mise au point autofocus. Si cela ne posait pas de problème au milieu des années 1990, par la suite, même les modèles d'entrée de gamme des marques concurrentes ont eu trois, puis cinq capteurs ou plus. Avec cinq capteurs autofocus sur le SD 14, Sigma comble l'essentiel de son retard.
En 2010, le nouveau boîtier SD 15 a été commercialisé. Il utilise le même capteur mais dispose d'un écran arrière plus grand (3" contre 2,5") et d'une définition nettement supérieure (460000 pixels contre 150000). Il autorise désormais 21 images successives en rafale. Sa sensibilité maximale est de 3200 ISO contre 1600 pour le SD14, et il permet des poses B jusqu'à 2 minutes, contre 30 secondes sur son prédécesseur.
Pour 2011, Sigma a annoncé un nouveau boitier de nom SD1 équipé d'un capteur Foveon de 3200x4800 pixels par couleur (ce qui permet à Sigma d'annoncer un total de 46 mégapixels). Alors que les précédents boitiers Sigma utilisaient un capteur plus petit que les capteur Canon (environ 14x21 mm), le nouveau capteur Foveon aura les mêmes dimensions que les capteurs Sony (16x24 mm) équipant la plupart des appareils photos numériques.
Compacts
Sigma a été le premier fabricant à commercialiser des appareils compacts dotés d'un capteur identique à ceux de ses reflex : les DP1 (DP1s, DP1x) et DP2 (DP2s). Ces appareils compacts sont équipés d'une focale fixe.
Voir aussi
Autres opticiens :
Concurrents directs dans la fabrication d'appareils photo :
Lien externe
- (fr) Sigma France
- Liste des objectifs compatibles Nikon avec un moteur autofocus intégré sur le wikipédia anglophone.
Sources
Une grand nombre d'informations issues de cette page sont issues du journal mensuel Chasseur d'images en particulier :
- les fiches test et les essais d'objectifs publiés dans la revue,
- les annonces de nouveau matériels.
Egalement utilisés :
- les dépliants édités par Sigma France de différentes années, notamment le dépliant "catalogue d'objectifs"
- le site web de Sigma France.
Notes et références
- 8-16mm F4,5-5,6 DC HSM, sur sigma-photo.fr (consulté le 2 juin 2010)
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