- Rock à Toulouse
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Rock Toulousain : ces deux mots ne représenteront jamais que la somme de tous les groupes, plus ou moins éphémères, qui se sont faits, défaits, mais n'auront que rarement dépassé l'audience régionale. L'histoire du Rock à Toulouse est aussi intéressante qu'elle peut l'être dans les autres villes de l'hexagone ; elle est incroyablement riche, puisant comme ailleurs ses racines dans la préhistoire du temps des Chats Sauvages et des Chaussettes Noires. Ce qu'il convient d'appeler milieu rock est en permanente effervescence dans cette ville qui ne sacrifie pas autant au farniente que le voudrait sa réputation méridionale.
Sommaire
Les années 1970
Les années 1970 à Toulouse furent plutôt teintées jazz-rock avec une franche tendance progressive. De petites associations s'étaient constituées pour tisser sur toute la région un réseau, jusqu'alors quasi inexistant, de contacts, de lieux de concerts et de groupes. L'objectif était de créer l'infrastructure idéale et propice à l'épanouissement des formations musicales qu'elles soutenaient. Ainsi, toute une série de groupes, dont le chef de file fut un temps Potemkine, apparut à cette époque. parmi eux : Nuances, Rahan, Tangara et Madrigal, Pèche Melba (qui deviendra plus tard "Week End Millionnaire").
Le blues est une autre couleur dominante du rock toulousain. Un groupe va en être le précurseur, sur une longue période (avec des reformations à la "bluesbreakers"), c'est Blues Condition. Cette tradition perdure aujourd'hui et il n'est pas un pub qui n'accueille son combo un soir de la semaine. Dès le milieu des années 1970, le jeune Paul Personne, très influencé par Jimi Hendrix, donne le ton en formant Bracos Band qui deviendra en 1979 Backstage.
À la fin de cette période, bien avant que les musiciens de la ville rose ne soient touchés par l'explosion punk à laquelle on assiste outre manche, une nouvelle génération de groupe fait son apparition dont Taxi-Way et Banlieue Grise sont les plus représentatifs. Les deux formations ont des racines communes qui puisent autant dans le rock de Led Zeppelin et des Rolling Stones que dans le boogie sudiste de Point Blank, de ZZ Top ou d'Allman Brothers. Ces groupes, constitués de musiciens accomplis, à la différence de la génération qui suivra, avaient de réelles ambitions professionnelles ; ils tournaient énormément. Cependant, bien que les maisons de disques se soient un temps montrées intéressées, aucun projet discographique sérieux n'aboutira. On retiendra également Nitro et son guitariste Jean-Marie Hernandez, lui aussi très (trop) influencé par Jimi Hendrix.
La fin des années 1970 marque une période de troubles dans la programmation des "grands" concerts qui, généralement, se déroulent au Palais des Sports, devenu depuis un des temples de la musique classique sous le nom de Halle au Grains. Devant la flambée du prix des places (quelques dizaines de francs), une seule riposte : rentrer gratis, à tout prix. Il s'agissait moins d'aller voir un concert que de se castagner avec les CRS. Little Bob, de passage à Toulouse, en fera un de ses titres judicieusement baptisé Riot In Toulouse. Les tourneurs se mirent alors à apprécier des villes alternatives comme Pau ou Montpellier : ce fut le trou noir pour Toulouse. Seules alternatives : l'acoustique pourrie du hall Comminges de Colomiers, le Club Le Pied, véritable institution du concert de rock situé à 50 kilomètres de la ville, et les 500 places capitonnées (et fragiles) du Théâtre du Taur intra-muros.
Les formations historiques
- Flyers Pigs (1970 à 1974) : des élèves de terminale du Lycée Berthelot - influence musique de Detroit (Stooges, MC5,...)
- ADN'ckrystall (1977 à nos jours) : musique électronique
- Blues Condition (1966 à 1985)reformés en 2007. Rock Blues.
- Nuances 1973 à 1977 Hurel Grau Lahana Veronique disque 45t Alfred le borgne, Olga
- Banlieue Grise (1977 à 1980) : Rock 70'
- Backstage (1979 à 1981) : Rock Blues
- Bracos Band (1974 à 1979): Rock, Blues
- Marie et les Antoines (Années 1980): rock, blues
- Nitro (Nitroglycérock) : Rock hendrixien
- Paul Personne (1976 à nos jours) : Blues, Rock
- Potemkine (1971 à 1980) : Rock progressif
- Quartz (1976 à 1984) : Hard FM
- Taxi Way (1977 à 1982) : Southern Rock
- Weekend Millionnaire : Rock d'inspiration californienne, FM
Les années 1980
Succédant aux années 1970 chargées de mouvements divers et ayant vu naître et mourir, comme un feu de paille, le mouvement punk anglo-saxon, les années 1980 à Toulouse ont été, comme dans tout le pays, extrêmement riches.
Dans ce nouveau paysage, on trouve encore les seniors Banlieue Grise et Taxi-Way. Avec l'aide de Gaspa, une association pleine d'espoir, ces derniers mettent sur pied au printemps 1980 un festival à la grande salle de la piscine avec en groupe vedette Little Bob et Diesel. Pendant deux soirées, une dizaine de groupes rock et hard se succédent devant 7000 spectateurs et sans la moindre intervention des forces de l'ordre. Aucun incident n'est à déplorer[1] et ce festival marque la fin du fameux trou noir de la programmation des concerts.
Les jeunes branleurs
Assez rapidement, l'influence directe du punk s'est estompée pour faire place, dès 1981, à une scène très diversifiée allant puiser ses racines du rock des années 1950 aux origines de la new-wave : les groupes se cherchent une identité. Beaucoup se séparent avant d'avoir trouvé quoi que ce soit, mais d'autres, patients et travailleurs, affirmeront leur répertoire jusqu'à le produire en vinyle, presque simultanément, au travers de majors ou de labels indépendant, dans la deuxième moitié des années 1980.
Cette nouvelle génération est celle des branleurs, par opposition à leurs prédécesseurs consciencieux. Cette qualification n'a rien de péjoratif. Elle définit une nouvelle façon d'envisager le rock et la scène : ce sont des formations qui se prennent beaucoup moins au sérieux et qui sont bien plus préoccupées par le fun que par la rentabilité et la crédibilité de leur démarche. Quant à la pérennité des entreprises, nul ne s'en soucie : on se fait, on se défait et on fait autre chose avec les mêmes. Fort heureusement, les exceptions sont nombreuses et de jeunes formations s'attaquent rapidement à la consolidation de leur projet respectif.
Les exceptions
Les Ablettes, Classé X, Apple Pie, les Fils de Joie en sont quelques exemples. Les premiers, originaires de Fumel, se sont réellement accrochés à la besogne. Ils ont tourné, ont travaillé, se sont fait connaître et ont engrangé des résultats bien au delà de la région. De l'énergie punk des débuts, ils ont su retenir ce qu'il fallait de mélodique pour se coller à une réalité du rock français qui avait, alors, toutes les chances de réussir. Bien que leur réputation n'ait jamais franchi les limites de la grande région, Classé X, n'en a pas moins rapidement, au moyen d'un rock teinté de provocation théâtrale, gagné un public conséquent et fidèle, séduit par la personnalité charismatique de leur chanteur. Apple Pie, pour leur part, développent un rock qui sent bon les Who, chargé d'harmonies vocales. Leur look BCBG sorti des grandes écoles les conduira à faire toutes les concessions (malheureuses) pour obtenir un matraquage sur les ondes locales qui ne les mènera nulle part.
A cette même époque, un style beaucoup plus synthétique a également tenté sa chance. Les adeptes de l'électronique se sont retrouvés dans Major Kyo, Procédé Fulbert et MKB Provisoire. Ces derniers furent particulièrement novateurs en distillant un fond sonore de synthés lugubres et de guitares approximatives sur un chant déclamé, l'ensemble constituant un cocktail vengeur brassant des influences de punk, de new wave et de rock dissident.
Eux aussi de la nouvelle génération, les Incorruptibles sont issus du croisement de deux groupes éphémères constitués dans les derniers mois des années 1970' : Lipstick et des Lords. Conduits tout d'abord par Gill Dougherty qui s'émancipe en 1982 pour entreprendre une carrière autonome, ils finissent par trouver leur voie avec le chanteur guitariste Étienne Zenone dans un rock français carré et cohérent qui leur vaudra l'attention de Dynamite, le batteur de Bijou. Pour autant, leur musique ne donnera lieu à aucune production.
Les Fils de Joie, enfin, issus de Fly Killers, eux-mêmes issus de Slash, développent dans un premier temps un répertoire exclusivement constitué de reprises des Ramones avant de se lancer dans la composition de titres originaux comme Le Requin Vert ou Adieu Paris. Cette évolution leur permet d'accéder à une audience nationale en 1984 sous la houlette d'Alain Maneval.
Les jeunes fous
Au delà des exceptions subsiste une multitude de groupes issus d'un noyau d'une quarantaine de musiciens qui au fil des mois s'échangent, se mélangent, se remplacent, se trahissent, se critiquent mutuellement mais s'adorent probablement. Cependant, leur mouvement a du mal à prendre de l'ampleur. Il est toujours aussi difficile de trouver une salle pour se produire. Le pied tient le coup, mais le Théâtre du Taur s'essouffle et fini par fermer ses portes au rock lorsque ses fauteuils volent en éclat lors du concert de Stiff Little Fingers. Les groupes et leur public, constitué tout au plus de 600 fidèles, se replient alors vers le Théâtre des Mazades et sur l'Eden, un ancien cinéma Karaté situé dans le quartier Saint Cyprien.
Cette migration est chaudement soutenue par plusieurs groupes qui contribueront ainsi à amorcer la pompe du nomadisme. Les Diam's sont de ceux là avec leur rock teinté d'humour. Leurs titre phare sont Rock n Roll Chez Les Soviets et Qui a Tué Marylin ?, mais ils reprennent également La Poupée Qui Fait Non de Polnareff. Il connaîtront un réel essor en 1981 avec l'arrivée du guitariste Michel Bonneval qui, plus tard, rejoindra Gamine à Bordeaux. Dans un registre différent, les Boom Boom Desperados sont les premiers à remettre le british beat à l'honneur au printemps 1982. Leur répertoire comporte quelques compositions en anglais, et un grand nombre de reprises de Brinsley Schwarz, Johnny Guitar Watson... Assurément, les experts de la reprise se retrouvent au sein des Taxmen qui s'appliquent à reproduire les Kinks, Choir et autres Stones. De ce mouvement sortiront aussi les Little Helpers emmenés par Jeff, DJ du Roxy[2], qui se tournent vers un rythm'n'blues de facture classique. De ce paysage très marqué par le pub rock chanté en anglais émerge cependant le groupe Rock Urgence qui préfèrent interpréter leurs propre compositions en français.
Tout ce petit monde se produit dans des conditions plus que précaires, les uns assistant aux concerts des autres, souvent dans des bars qui finissent par y gagner quelques jours de fermeture administrative mais qui n'hésitent pas pour autant à pousser quelques tables pour faire place aux groupes. La construction du nouveau Palais des Sports de Compans Cafarelli n'y changera rien.
Les acteurs des années 1980
- Les Ablettes : Rock Français
- Action Shakers (1982 à 1983) : pub rock
- Alliés (Les) : New Wave
- Apple Pie : Rock mélodique
- Art Mengo : Reggae, puis chanson
- Block 24 (1984 à 1985) : Rocn n Roll, Rockabilly
- Boom Boom Desperados (1983) : Rock
- Boris Désastre (1989-1991) : Rock
- Boy Scouts (1983 à 1987) : Pop, Noisy, Rock
- Bus : New Wave
- Café Noir (1981 à 1984) : Rock
- Caniveau Hyènes Mordorées (1979 à 1980) : Rock
- Carottes Rapées (Les) (1983 à 1985) : Fanfare rock
- Chevy's Tigers (1983) : Rock n Roll
- Classé X (1980 à 1985) : Cold Wave, New Wave
- Dau Al Set : New Wave
- Diams (Les) (1980 à 1983) : Rock, Pop, Ska
- Dougherty (1978 à 1993) : rock, power pop (80')
- Duo Duo (1983, 1984) : Pop électronique
- Evadés d'Alcatraz (Les) (1982 à 1984) : Chanson Rock n Roll, Rockabilly
- Fils de Joie (1978 à 1986) : Rock, New Wave
- Fraise des Bois : Blues
- Gringos (1982, 1983) : Chanson Rock n Roll
- Incorruptibles (Les) (1980 à 1984) : Rock français
- Jezebel Rock : groupe Rockabilly sous le label Big Beat Records (1978 à 1986)
- Johnny Pujol : Rock Blues
- Jomo : Jean Marc Leclercq (1978 à nos jours) : Rock
- Kambrones (1982 à 2005) : Speed-Punk
- Kill De Bleu : Blues
- Latin Lovers (1982, 1983) : Rock, Pub Rock
- Little Helpers : Pub Rock
- Lipstick (1979 à 1980) : Rock Français, Punk
- Lords (1979 à 1980) : Rock, Punk français
- Madame Bovary : New Wave
- Major Kyo : New Wave
- Maria Et : New Wave
- Midnight Lovers (1982, 1983) : Rock, Pub Rock
- Misérables (Les) (1981 à 1983) : Punk, Rock
- MKB Fraction Provisoire (1979 à 1981) : Rock apocalyptique
- Mojo Band : Blues, Rock
- Outsiders : Country électrique, Rock
- Partners (1985 à 1987) : Rock, Pub Rock
- Procédé Fulbert : Cold Wave, New Wave
- Queen Bees (1984 à 1988) : Pop, Rock féminin
- Rock Urgence (1984 à 1985) : Rock, Pub Rock
- Rocky Grazziano (1985 à 1986) : Rock n Roll
- Senore Sevice (1980 à 1981) : Rock
- Shifters (The) (1985 à 1988) : Rock, Noisy Pop
- Shames (1984 à 1985) : Rock
- Strikers (1987 à 1992) : Rock, Rock n Roll
- Surrenders (1984 à 1994) : Pop psychedélique, Rock
- Taxmen (1984 à 85) : Pop
- Thérèse Racket : Chanson existentialiste rock, new-wave
- VB : Cold Wave
- Vespa Bop (1984 à 1985) : Rockabilly, Psychobilly
- Victor Betti (1988 à 1998) Chanson Décalée
- Western Electrique : New-Wave
- Zebda (1985 à 2005) : Rock, Ska alternatif
- Zenone (Étienne) (1984 à ...) : Chanson Rock
Les années 1990
Les années 1990 voient l'épuisement brutal de la scène issue des années 1980. Cette fois encore, une nouvelle génération de musiciens fait son apparition. Si la scène rock garage connaît un nouvel élan, un mouvement Rock, Métal (Sidilarsen, Psykup...) et punk (Punish Yourself) se développe.
- Agora Fidelio (1995 à nos jours ) : Rock intimiste
- Chouchen Brothers (1992 à 1994) : Punk
- Bubblies : indie pop rock (1991 à nos jours)
- Dadoo : Rap
- Deluxe (1995-1997) : pop-rock acidulée aux accents noisy
- Diabologum (1992 à ?) : noisy-rock post-situationniste
- Fabulous Trobadors : Rap occitan
- Hobos (1989 à 1992) : Rock
- Jerry Spider Gang : Rock'n'roll high energy
- Chatterbox : Rock'n'roll, garage
- Shoo Chain Brothers : Rock'n'roll, garage
- KDD : Rap
- Krishna is Dead : Garage Punk
- Les Bêtes (1987 à 2000) : Théâtre Punk rock
- Lucky Jungle Kids : Rock Garage
- Le Prehistoric Pop (1989 à 1992) : Pop rock
- Psykup (1995 à nos jours) : Metal barré
- 7° Lune (1994 à 2000) groupe de rock psyché goth.
- My favourite dentist is dead
- Punish Yourself (1994 à nos jours) : Cyberpunk, Metal industriel
- Rosemary's Babies (1992 à 1995) : Rock
- Sidilarsen (1997 à nos jours) : Fusion Metal, Techno, Ragga
- Sofia : Pop-rock
- Space Beatnicks (1997 à 1998) : Rock Garage
- Spook & The Guay (1994 à 2005) : Ska
- Sweet Apple Pie : Pop sublime
- Victor Industrie (1998 à 2001) : Chanson Française à Prétexte
Les années 2000
Une nouvelle scène rock toulousaine est en train d'émerger, principalement en anglais, autour de groupes tels que The Dodoz, The Shaking Heads, The Rusty Bells, Dancers in Red, The Harry Rags, Meltintone, The Red Lips, Jauhn Lemon, Akrylic, Bogart and The Addictives, The Years, Living Slingshot, The Pumplies ,Only Friday , Deaf Mute ... Bien que d'autres (bien moins nombreux) portent une attention particulière à travailler particulièrement des textes en français (SoulMate, Ox, Inti Watana, ...)
Le punk rock est aussi très présent, comme élément moteur d'une grosse scène alternative "DIY" (do-it-yourself) fédérant de nombreux genres musicaux et notamment structurée autour de l'IntercollectifS depuis 2005... Parmi les entités actives ou hyper-actives de cette collégiale, citons Progrès-Son (rock, depuis 2004: Face-B, Diogen, Bruit Qui Court...) ou le collectif informel des To Loose Punkers (depuis 2004: OpeNightmare, Mändybowlz and the Turbosuckers (RIP), Asso Earplug, Gentleman, dAHUgAROU, Saturn, Charly Fiasco, Molly McHarrel et Ivan Rebroff's Armpits). A elles seules, ces deux structures ont organisé près de 500 concerts sur Toulouse et les environs, dans des lieux aussi variés que le Bikini, L'Autan, les Pavillons Sauvages, le Fairfield, le Cri de la Mouette ou les Vents du Sud (RIP).
Quoi qu'il en soit, bien peu de ces groupes ont une activité réelle et rien n'indique s'ils ont existé et s'ils existent encore, le plus haut fait de la plupart d'entre eux étant manifestement d'être venu inscrire leur nom dans cet article sans y apporter la moindre contribution supplémentaire... C'est sans doute la raison qui veut que viennent s'ajouter à cette rubrique bien plus de liens que d'informations fondées.
- Anaverbe (2006 à 2009) : Rock Alternatif
- Angry Dead Pirates (2007 à nos jours) : Garage, Grunge lo-fi
- L'Air de rien (2003 à nos jours) : Chansons cuivrées
- Another Fate (2009 à nos jours) : Punk rock mélodique
- Bears In Black : Rock alternatif.
- BeerGoggles (2001-2005) : punk rock mélodique
- Black Bombay (1999-2009) : Fusion Reggae
- Black Hills (2009 à nos jours): rock'n folk.
- Bolchoï (2000 à 2004) : oï!
- Brassen's Not Dead : Punk
- Bruit Qui Court : Rock
- Bubblies : indie pop rock (1991 à nos jours)
- carte-blanche :ska-rock de la ville rose (2004 a nos jours)
- Charly Fiasco : punk rock dislexyque (2006 à nos jours)
- Containers : (2004-2009) : Rock'n'roll High Energy, Alternatif
- Chrysalid (2001 à 2006) : Rock Métal
- DahuGarou : Punk Rock
- Dancers in Red (2008 à nos jours) : Rock Hard-Rock 70
- Diogen (2003 a nos jours) : Rock
- Dodoz (The) 2006 à nos jours : Rock énervé
- Don Joe : Chanson Rock
- Dysto : rock pop
- Elcko : Hard Rock.
- Étienne Marcel : rock pop
- Even No Fear : Emo Rock
- Face-B (2004 à nos jours) : rock sauvage
- Fuzz Orchestra : wild fuzzin' orchestral
- Hector Nickel (2009 à nos Jours): Happy Punk
- Human Shame (ex-Lysart; 2001-2010): rock indus
- od's Kill Machines (2007) : Rock Garage
- Greedy Guts : Punk Rock
- Hi Panda ?! : Rock Perché Alternatif
- Indian Ghost (1993 à nos jours) : Rock
- Ivan Rebroff's Armpits : post D-Beat (2008 à nos jours)
- Jack Sight : Rock Alternatif
- Krank! : Nu Metal Funk
- Leiden (2000 à 2007) : Metal Dark Doom
- Luna Park (2001 à nos jours) : Rock
- Manimal (2003 à nos jours) : Metal Open Death
- Medef inna Babylone (1999 à nos jours) : Punk
- Les AfFeKTés : Punk Rock Artisanal (2007 à nos Jours)
- Les Brutes : Punk Rock (1999 à 2003)
- Living Slingshot : Rock Blues Psychedelic
- Memento : Rock
- Mesryne : Rock Energique
- Molly : Rock, Folk Rock
- Namasté : Indie Rock
- Only Friday : Pop Rock (2008 à nos jours) (www.myspace.com/onlyfriday82)
- OpeNightmare : Punk Rock (2000 à nos jours)
- Peter Z : Rock
- Pink Elephants (2008 à nos jours) : Rock 70's
- Plex'us: (2005 à nos jours) Girls'n'Roll
- Psycho Lemon: Pop Psyché Rock
- Rang du Fond (le) : Chanson Batard
- Samsara (2004 à nos jours) : Rock, Post-rock
- Shiva and the Deadmen (2008 à nos jours) : Garage Psyché
- Sing Sing My Darling : Indie Pop
- Ska War : Ska
- SlogaN (2006 à nos jours) : Alternative Pop
- Something Else : Rock Fusion Alternatif
- SoulMate (2002 à nos jours) : Rock progressif et poétique - fusion rock, jazz, funk
- Space Jahourt (Les) : chansons post-apocalyptiques
- Springtime on Venus : Stoner, Power Rock
- The Deserteurs : Garage Blues Psyché
- The Harry Rags : Garage Psyché punk
- The Pumplies : Garage Rock sexy
- The Red Lips : Indie Pop New Wave
- The Rusty Bells : West Rock Rouillé (2007 à nos jours)
- The Shaking Heads: Rock Garage
- The Wanderers: Classic Rock
- The Years (2006 à nos jours) : Rock
- The Jynks : Indie Rock
- YAA : Indie New Wave Post-Hardcore
- Zarbo : Rock Afro Ska
- Ze Rebels : Rock Punk Déguisements
- Zoomen (2002) : Rock Garage
3 Bad Pigeons don't wear diapers : Rock Français produit par Michel Françoise
Sources et Références
Publications
- Nineteen (années 1980) : trimestriel rock à diffusion nationale[3]
- Dig It! (années 1990 à aujourd'hui) : fanzine rock'n'roll, garage, punk
- Rock Press (années 1980) : mensuel rock
- La Dépêche du Midi
- Blank Generation (aujourd'hui): fanzine rock gonzo (mensuel) sur le rock en général et la scène toulousaine en particulier
Les Emissions Radios Rock à Toulouse
- Rock généraliste: The Majesty Of Rock, Oc'n'Roll (Radio Occitanie), Descente de Nuit (Radio Mon Païs), Le 5 à 7 du Vendredi, What’s that noise ? (FMR)
- Pop-Rock: Bébés dinosaures (Canal Sud), Echappement à la Lune (FMR)
- Garage, Punk, After-punk, Hardcore: Dig'it, Pustules ô sucre (Canal Sud), Plus de Bruit (Radio Mon Païs), Mange Ta Quaquine, Earplug, GO AHAED !, No control, W.A.V.E (FMR)
- Hard Rock, Heavy Metal: Turbo Rock (Radio Plus), Metal Nemesis (Radio Mon Païs), Hard Mag, NocturnaL TearS, Saturations Métalliques, Métal à 2 (FMR)
- Rockabilly: Dixie Bop Show (Canal Sud)
- Rock local: Délirium City (FMR)
Salles de Concert
- Le Bikini (81 à nos jours) : l'incontournable salle de concerts
- Le Pied (Années 1970 et 80) : à 50 km de la ville, un autre lieu mythique
- Le Boulevard du Rock
- Le Phare à Tournefeuille
- le café soluble (années 1980 ) rue st Michel
- La Dynamo, 6 rue Amélie
Les bars à concerts
- Le Cri de la Mouette : l'un des plus prestigieux bars-concert de Toulouse, il s'agit d'une péniche garée sur le canal de Brienne. Beaucoup de groupes (bien sûr toulousains, mais également du reste de l'Europe) s'y sont produits, et souvent à un prix très accessible
- Le Saint des Seins : bar de la place saint-Pierre proposant quantité de concerts rock (du garage au métal en passant par le rock 70...)
- Le Larsen Lupin: Minuscule bar du quartier des Carmes qui accueille régulièrement des petits groupes locaux souvent prometteurs...
- L'Avenue : une scène et une salle trop petite pour les "illustres", mais idéal pour les groupes en devenir
- La Bodega El Camino : loin d'être focalisé sur le rock, ce bar s'ouvre à tout (jazz, reggae, salsa, etc...) mais offre de bonnes opportunités de découvertes rock
- Le Fairfield Café : auparavant incontournable de la scène rock toulousaine, ce bar a déménagé il y a peu, changeant par la même occasion de style. Il faut désormais favoriser les concerts rock acoustiques aux concerts "faites du bruit"
- Le Country Blues Café : une salle (et notamment un patron) pour du rock à l'état pur, à ne pas servir trop tiède ! Oscille entre rock'n blues des seventies et métal des plus violents
- Le Dollar : bar programmant assez aisément des groupes de métal (entre autres).
- L'Autan : bar punk de Toulouse. A reçu les Bérurier Noir, Métal Urbain, les Vulgaires Machins (CAN), Born To Lose (USA), Rentokill (AUT) ... Concerts et consos pas chers.
- Les Pavillons Sauvages : lieu occupé multiculturel, piloté par une collégiale. Concerts et événements à participation libre mais nécessaire
Notes et références
- Le prix de l'entrée était pourtant de 15 francs, et en d'autres temps, aurait pu justifier une émeute.
- Le Roxy deviendra plus tard l'incontournable Boulevard du Rock, une étape pour tous les groupes nationaux souhaitant se produire à Toulouse.
- Site comprenant des reproductions de pages du magazine Nineteen
Catégories :- Rock par ville
- Artiste ou groupe toulousain
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