Radios Francophones Disponibles Sur Internet

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Webradio

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Les webradios (ou netradios) sont des stations plus ou moins semblables aux stations de radio, mais qui sont diffusées sur Internet grâce à la technologie de la lecture en continu.

Comme pour les stations de radio classiques, il existe des webradios généralistes et d'autres avec de la musique thématique. Ceci est d'autant plus facile que les émissions ne sont pas soumises à des quotas comme ceux imposés par le CSA ou le CRTC aux radios FM. Il en existe des milliers car, techniquement, n'importe qui peut créer sa propre station de radio.

En France, les webradios bénéficient également d'un régime spécifique concernant les droits d'auteurs. Elles appartiennent à une catégorie spécifique à la SACEM. Ainsi, tout créateur français d'une webradio doit légalement s'acquitter d'un droit auprès de la SACEM et éventuellement d'autres sociétés d'ayant-droits pour la diffusion de musique (en effet, la SACEM n'a pas toujours d'accord avec les représentants d'artistes étrangers notamment).

D'autre part, certaines webradios ne diffusent que du contenu sous copyleft, donc sans obligation de s'acquitter de redevances sur le droit d'auteur.

Beaucoup de ces webradios peuvent proposer à leurs auditeurs un contenu sans publicité, vu la relative facilité de diffusion par le vecteur Internet qui requiert beaucoup moins de moyens que les radios FM. Les webradios fonctionnent relativement souvent en tant qu'association et peuvent être financées par un système de donations.

Sommaire

Historique

La première webradio a été créée en utilisant la technologie du multicast. La première webradio diffusée 24h/24 s'appelait Radio HK et est née en février 1995. La « technologie » utilisée était différente : un CD audio tournait en boucle et était diffusé par le logiciel d'audio-conférence CU-SeeMe. Radio HK a ensuite été une des premières à adopter les serveurs RealAudio.

Médium de communication, jusqu'ici destiné à des auditoires relativement restreints, avec un contenu habituellement ciblé pour une clientèle particulière et caractérisée par le fait que la diffusion soit souvent restreinte à Internet, par des amateurs bien que de plus en plus de stations fassent preuve de structure, de professionnalisme et ayant jusqu'aux mêmes droits de diffusion que les stations terrestres conventionnelles.

Cependant, depuis le début des années 2000, une prise d'intérêt importante des radios FM existantes pour la diffusion sur Internet, que ce soit en lecture en continu ou par des podcasts (balados), indifféremment du fait que les stations soient publiques, associatives ou commerciales. Des entreprises de presse ou de l'audiovisuel (Télérama, Libération, ARTE...) ont également profité de la montée en puissance d'Internet dans les foyers et les bureaux pour créer leurs propres radios en ligne, à l'instar d'Arte Radio, première webradio française de service public, créée en 2002.

Les stations de webradio peuvent attirer de quelques dizaines à plusieurs dizaines de milliers d'auditeurs selon la popularité du site, de l'émission, des animateurs, de la régularité des diffusions et de la capacité du ou des serveurs.

En 2007, une partie des webradios créées par des petites structures (simple particulier ou petites associations) vont devoir fermer du fait de la nouvelle règlementation sur les webradios dictés par les sociétés de production (SACEM et SCPP entre autres) qui demandent des droits de diffusion trop important comparé aux recettes de ces webradios...

La société suisse de grande distribution en ligne LeShop.ch lance le 4 avril 2008 LeShop.FM, première webradio d'une marque non lié à l'audio visuel.

Écouter une webradio

Pour écouter une webradio, il suffit d'un lecteur multimedia adapté et d'une connexion Internet ayant une bande passante suffisante.

La lecture peut se faire sur différents supports :

  • Un ordinateur
  • Configuration : au niveau du matériel, il faut une carte son et un dispositif d'écoute : haut-parleurs ou casque ou écouteurs. Au niveau logiciel, il faut un navigateur web équipé du plug-ins (ou du greffon) adapté au flux audio. Il existe aussi des logiciels capable de lire les flux indépendamment d'un navigateur web ; on les appelle des lecteurs "stand-alone".
  • Fonctionnement : il suffit de lancer le lecteur "stand-alone" ou l'hyperlien situé sur le site Web de la radio ; le logiciel recherche le flux d'information et l'envoie à la carte son qui le restitue aux haut-parleurs.
  • Avantages/limites : la navigation Web offre la plus vaste collection de webradios, l'information la plus complète sur le flux (nom de la musique en cours de diffusion, interprètes, lien à des sites marchands pour acheter la musique, données complémentaires [dans le cadre d'émissions culturelles, par exemple]), accès à des rediffusions, etc. Le problème est d'avoir un ordinateur allumé (encombrement, bruit, emplacement fixe, complexité d'emploi par rapport à une radio, côut de la consommation éléctrique). Certaines de ces limites sont partiellement résolues avec l'apparition des connexions WiFi et les ordinateurs de poche (ultraportables).
  • Une radio internet

Il s'agit d'une radio capable de traduire un flux d'information capturé sur Internet en ondes sonores, sans le secours d'un ordinateur.

  • Configuration : la radio doit être connectée à un réseau local, souvent par modem routeur Wi-Fi (elle peut ainsi être placée à n'importe quel endroit accessible aux ondes WiFi du routeur) et plus rarement par câble.
  • Fonctionnement : la radio communique directement sur un site de référence sur internet via le modem et récupère une liste de radios (souvent plusieurs milliers de radios). Après avoir sélectionné une station sur l'écran, la radio se connecte automatiquement.
  • Avantages/limites : simplicité d'emploi et services complémentaires (accès à la bande FM, réveil, arrêt à une heure donnée, raccourci pour accéder aux radios favorites, manipulation par télécommande, etc.). Mais la liste des webradios disponibles et leur classement dépend du fabricant et des accords qu'il passe avec les diffuseurs de flux. Le nombre de radios est inférieur à ce qui est disponible sur le Web ; parfois les radios proposées n'existent pas ou plus (problème de mise à jour de la liste). La radio supporte un nombre limité de types de flux (souvent le MP3 ou le WMA, plus rarement l'OGG) ; l'extension à de nouveaux types de flux est difficile, voire impossible.
  • Autres dispositifs

Certains téléphones portables connectés à Internet sont capables de lire des webradios.

Certaines webradios proposent plusieurs flux correspondant aux mêmes programmes mais avec différentes qualités d'écoute, même parfois une très faible qualité pour les téléphones portables. Afin de parer à d'éventuelles micro-coupures dans la réception du flux d'information, le lecteur multimédia utilise la technique de la mémoire tampon (enregistrement du flux quelques secondes avant sa diffusion effective).

La diffusion

Modèles techniques de diffusion

Modèle client-serveur

Schéma de diffusion d'une webradio en client-serveur

Dans ce modèle, une webradio génère un flux audio (voix des animateurs, chansons, jingles...) vers un serveur de lecture en continu qui se charge de le diffuser aux clients qui s'y connectent. Dans le cas d'une station classique, elle prépare le flux en studio (avec platines, ordinateurs, mixage, micros, etc.) qui est ensuite encodé : le signal analogique est codé dans un format numérique à l'aide d'un codec. Elle envoie ce flux audionumérique vers le serveur de lecture en continu, qui se charge de le redistribuer vers les auditeurs de la webradio. Bien souvent, les webradios n'ont pas à franchement parler de studio, et fonctionnent de manière beaucoup plus simpliste. Par exemple, dans le cas d'une radio qui diffuse de la musique, tout peut se faire directement en numérique : un lecteur multimédia se connecte au serveur de lecture en continu et joue une liste de titres plus ou moins aléatoirement. Une webradio peut techniquement diffuser des flux numériques d'autres sortes, par exemple de la vidéo, à l'aide des mêmes briques logicielles.

La principale différence avec les radios hertziennes est que le serveur de lecture en continu ne diffuse le flux qu'aux clients qui se connectent, là où les radios classiques diffusent des ondes en continu. C'est cette caractéristique qui justifie l'appellation client-serveur. Quand un auditeur (un client) se connecte à la radio (au serveur) via une page web, un lecteur multimédia, son ordinateur crée une connexion avec le serveur de lecture en continu. Ce dernier envoie alors le flux de données binaires dans cette connexion. Le flux binaire peut être codé en mp3, ogg, wma, RealAudio etc. La connexion peut se faire via un protocole standard ouvert (http par exemple) ou fermé (dont l'utilisation est protégée par brevet : par exemple rtsp). Le lecteur multimédia de l'auditeur décode alors le flux et convertit les données numériques de manière à ce que l'ordinateur puisse produire le signal audio qui permet à l'auditeur de l'écouter (par exemple, via une carte son).

Techniquement parlant, l'avantage de l'utilisation d'un serveur de lecture en continu réside principalement dans le fait que celui-ci est conçu pour cette activité. On pourrait en effet écouter des flux audios avec un serveur web classique. Un serveur de lecture en continu possède en plus généralement un tampon mémoire assez large contentant une partie du flux à diffuser, et qui permet d'une part de ne pas être trop tributaire de la charge de la machine ainsi que des accès disques (qui ralentiraient la diffusion et pourraient provoquer des « blancs » à l'écoute), mais aussi peut-être de pouvoir renvoyer rapidement des paquets manquant dans le cas d'une dégradation de la qualité de la connexion. De plus, il est en général capable de ré-encoder à la volée les flux, dans un autre format, avec une autre qualité, voire de procéder à des opérations telles que l'égalisation du niveau sonore (afin de garder à peu près le même niveau sonore, quel que soit le niveau de la source).

La limitation technique qui apparaît rapidement avec les webradios concerne la bande passante, principalement avec le modèle client-serveur. Ainsi, cent flux à 128 kilobits/seconde demandent 12 800 kilobits/seconde en bande passante, soit largement plus que ce qui est disponible actuellement pour une connexion Internet domestique, mais qui est accessible à un serveur relié à des connexions 100 mégabits/seconde ou 1 gigabit/seconde (liaisons professionnelles ou universitaires en général). Pour de telles webradios, il est courant de descendre la qualité de la diffusion à 64 voire 32 kbps (au détriment de la qualité du son), ainsi que de diffuser en monophonie. Dans le même ordre d'idée, les serveurs de lecture en continu sont souvent capables de rediriger les utilisateurs qu'ils ne peuvent servir vers des serveurs additionnels.

Ce modèle est le modèle le plus répandu. De nombreux hébergeurs proposent des offres de lecture en continu, et on peut citer un certain nombre de logiciels serveurs très répandus : SHOUTcast (commercial), Icecast (libre), Windows Media Server (commercial), Real Server (commercial). Le développement de l'ADSL et du haut débit en général en France pour les particuliers a certainement contribué à ce succès, et a également permis l'apparition et la croissance de nombreuses webradios, qui peuvent désormais diffuser avec des débits meilleurs, et donc des qualités meilleures.

Cependant, un certain nombre de critiques sont faites à l'égard du modèle client-serveur, et principalement de sa consommation de bande passante. Des alternatives à ce modèle (utilisé avec succès pour d'autres applications) ont été trouvées : cet article en liste quelques unes.

Modèle peer-to-peer

Les webradios peuvent aussi être transmises par peer-to-peer (en:Peercasting), ce qui soulage leurs serveurs et implique plus fortement les auditeurs.

Le flux audio généré par la webradio est encodé et transmis par un premier nœud (souvent dénommé nœud racine) à un ou plusieurs autres nœuds, qui sont les auditeurs. Ces auditeurs retransmettent à leur tour le flux qu'ils reçoivent à d'autres nœuds/auditeurs. Les auditeurs du flux deviennent donc des "répéteurs", et permettent ainsi à d'autres d'écouter la webradio.

Les nœuds s'organisent à l'aide d'un tracker, un serveur qui tient à jour une liste des pairs pour permettre aux nouveaux pairs de trouver quelqu'un à qui se connecter. Ces nouveaux pairs, une fois qu'ils se sont connectés, commencent à retransmettre à leur tour le flux pour d'autres pairs. Ils se déclarent alors auprès du tracker, qui pourra envoyer leur adresse à de futurs nouveaux pairs.

Avec cette méthode, plus une radio a d'auditeurs, plus elle peut en avoir d'autres : le nombre d'auditeurs possibles est donc adapté en permanence au succès de la webradio, contrairement au schéma de diffusion "classique" utilisant un serveur, où le nombre d'auditeurs simultanés possibles est déterminé par avance. Ce mode de diffusion permet également de réaliser des économies de bande passante, si et seulement si la webradio a un nombre important d'auditeurs. En effet, à nombre d'auditeurs réduit, ces protocoles ont une qualité de service très restreinte et sont souvent de qualité médiocre.

Le principal problème de cette technologie vient de la faible qualité de service lors des décrochages créés par la déconnexion de nœuds. Une solution possible serait de faire stocker aux auditeurs une certaine quantité du flux reçu (dans un tampon) pour pouvoir l'envoyer aux pairs qui en font la demande. Il est ainsi possible pour les pairs de reprendre la diffusion du flux quelques instants en arrière, en cas de déconnexion par exemple. Pour que cette méthode soit efficace et utilisable, il faut cependant que le tampon ait une taille suffisante.

Ce modèle est implémenté notamment par les programmes mercora (commercial) et PeerCast (libre).

Modèle multicast

Le multicast résout en partie le problème de bande passante rencontré par les serveurs de lecture en continu : en effet, ceux-ci envoient un flux, qui est ensuite répété par les routeurs à chaque intersection. Pour simplifier, si une webradio diffuse vers 2 auditeurs qui sont derrière le même routeur, mais qu'entre le serveur de la webradio et le routeur des 2 auditeurs, il y a 3 autres routeurs, la webradio va envoyer un unique flux à destination du groupe d'auditeurs. Ce flux va être transmis de la même manière qu'un flux classique (ou unicast) par les 3 routeurs intermédiaires. Lorsqu'il va arriver au dernier routeur, celui des deux auditeurs, ce routeur va dupliquer le stream : un stream pour chaque auditeur. Le principe reste identique quand on augmente le nombre d'auditeurs et de routeurs.

Ce modèle réduit donc les coûts de bande passante, mais le principal problème qui freine voire empêche son adoption, est le fait que les réseaux publics actuels ne supportent pas le multicast. Certains réseaux privés, comme ceux d'universités ou de centres de recherche sont équipés de routeurs multicast, mais le grand public n'y a en général pas accès. Par contre, les réseaux privés de certains fournisseurs d'accès à Internet sont équipés en multicast, et ceux-ci en profitent pour proposer des services en lecture en continu audio et vidéo complémentaires de l'offre d'accès à Internet.

Diffusion en direct et diffusion à la demande

Une webradio, qu'elle diffuse des programmes réalisés en direct ou qu'elle rediffuse des programmes pré-enregistrés, fait de la diffusion en direct, car on ne peut pas contrôler le flux : si on le démarre à deux instants différents, on n'aura pas les mêmes données audio. Tous les auditeurs connectés à une même webradio reçoivent le même flux audio simultanément, à quelques dixièmes de seconde près.

En revanche, la diffusion sur demande (on-demand streaming en anglais) permet de garder le contrôle sur le flux. On peut donc ré-écouter des contenus déjà diffusés. Si on démarre un flux à la demande à deux instants différents, on obtiendra les mêmes données.

La différence entre direct et à la demande est semblable à celle qui existe entre un CD audio d'une chanson et la même chanson entendue à la radio : si on a manqué le début de la chanson à la radio, on ne peut pas la reprendre depuis le début (direct), tandis qu'on garde le contrôle total sur la diffusion avec un CD (à la demande). La SACEM différencie d'ailleurs les webradios dans sa grille tarifaire en fonction de leur capacité à servir des contenus en flux ou à la demande (plus cher).

On peut noter la relative similitude entre diffusion à la demande et Podcasting (qui permet de récupérer le fichier audio chez soi pour l'écouter plus tard), même si le mode de diffusion est techniquement assez différent.

Formats de données

Un des formats audio les plus utilisés pour la lecture en continu est le MP3. Les débits binaires peuvent aller de 24 kilobits/seconde (lorsque les émissions ne diffusent que de la voix) à 320 kilobits/seconde (dans le cas diffusion d'enregistrements audio de meilleure qualité) dans ce format.

D'autres formats et extensions existent, souvent plus adaptés aux connexions basse vitesse (qui sont limitées à 56 kilobits/seconde en théorie et à environ 51 kilobits/seconde en pratique) ou à une ADSL modeste. Un minimum de qualité de son nécessite environ 128 kilobits/sec dans le format MP3, ce qui n'est possible qu'avec un lien intermédiaire ou haute vitesse.

Extension du MP3, le MP3Pro. Ce dernier double en lecture la qualité d'un flux reçu (un 64 kb/sec est égal alors à un 128 kb/sec). Au moins 2 lecteurs sont compatibles avec ce système de réduction de débit : JetAudio (le 'décodeur' mp3PRO y est intégré d'origine) et Winamp auquel il suffit d'ajouter le plug-in ou codec mp3PRO. Apparu après le MP3, l'AAC permet également dans un débit moindre, d'améliorer la qualité sonore restituée.

Parmi les formats ouverts pouvant être streamés, on peut citer Ogg Vorbis. Il permet, avec des débits inférieurs au MP3, mais supérieurs à l'AAC, de réaliser une certaine économie de bande passante.

Logiciels de lecture en continu

Lecteur audio/vidéo

le format vidéo wm de microsoft est souvent utilisé dans les conteneur asf, et la version amélioré du avi : mastroska. les codec window media gère de façon transparente par différents codecs l'audio, la vidéo, les images et les DRM.[1]

streaming home user
Technologie OS Vidéo Audio Image Animation Stream XML
Flash Player 9.0.64.0 (Moviestar) pocket pc, Windows Macintosh Linux video H264 (MPEG4 AVC), flv, codec Sparx de Sorenson, codec VP6 de On2 audio High Efficiency-AAC gif png jpeg swf
RealPlayer Windows, Macintosh, Linux, Unix, téléphone mobile, lecteur DVD, console de jeux divx wmv asf asx rv mp4 m4e avi mpa mpe mpeg mp2 mp1 wma ra wav cda rpLa CD mp3 smi/smil rtsp ssm sdp smi pls m3u pls xpl wax rt
Rhythmbox Linux ogg, mp3, m3u, wma, wav...
QuickTime Windows Macintosh Quicktime Movie, AVI Video for Windows, FLC Autodesk animator, DV, 3GPP Wav aiff Ulaw GSM AAX CAF ACC SDP (Stream Descriptor) M3U
Winamp Windows rpl DVD, mpg, mpe, mpa, mp4,rm, rmvb, rv, wm mp3,cda, wav, ra, wax wma, asx, asf m3u, rt, mpa, rp, wax
Windows Media Player Windows Macintosh avi wmv wvx SVS video asf asx wpl wm wmx wmd wmz (Windows Media Files), mpeg / mpg / mpe / m1v / m2v / mod / mp2 / mpv2 / mp2v / mpa (MPEG Movie Files) wma/wax cda wav mp3 m3u (MP3 Audio format) midi mid rmi (MIDI Files) aif aifc aiff (AIFF Audio Files)

Serveur sur réseau local

le format vidéo wm de microsoft est souvent utilisé dans les conteneur asf, et la version amélioré du avi : mastroska. les codec window media gère de façon transparente par différent codec l audio, la vidéo, les images et les DRM.

streaming home user
serveur Multicast/p2P audio/video protocole payante/gratuite mime
Window media connect (WMC) wmvideo, wmv Screen, wmv Image http / image, music, video protocol gratuit
orb wm rp 3gp Flash "window media connect" like payant "video/x-ms-asf" and ""audio/x-ms-asf"
Tversity AVI, MPG mp3
Pimp Streamer

Serveur sur internet

streaming internet
serveur Multicast/p2P audio/video protocole payante/gratuite mime
youtube
shoutcast mp3, Nullsoft Streaming Video (NSV) shoutcast gratuit audio/mpeg
ffmpeg / ffserver http,
Helix realplayer/ stream server 3GP rm/ payant
Darwin Streaming Server H.264, MPEG-4 et 3GPP/ mp3 rtp/rtsp /Icecast gratuit
Icecast ogg Vorbis, Theora, mp3 http, Nullsoft Streaming Video (NSV) gratuit audio/mpeg
IceShare BitTorrent Ogg application/octet-stream & application/ogg
flash media Server 2
vlc multi uni cast video mpeg 124/mp3 vorbis rtp http rstp mms/mmsh[2] gratuit audio/x-pn-realaudio-plugin

Notes et références

Articles connexes

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