Jean Tremblay

Jean Tremblay
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Jean Tremblay
Jean Tremblay lors d'une séance du conseil municipal de Saguenay (mars 2011).
Jean Tremblay lors d'une séance du conseil municipal de Saguenay (mars 2011).

Naissance
Chicoutimi, Québec, Canada
Nationalité Flag of Quebec.svg Québécois
Canada Canadien français
Profession Notaire, Politicien

Jean Tremblay (né en 1948[1]) est un homme politique de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean (Québec, Canada). Notaire de profession et homme d'affaires, il est élu maire de Chicoutimi en 1997[2],[3]. Après les réorganisations municipales québécoises, il devient le premier magistrat de la ville de Saguenay lors de l'élection du 25 novembre 2001[4].

Son mandat est renouvelé lors des élections de novembre 2005[5] avec 72 % des voix et de nouveau en novembre 2009 avec 78 % d'appui[6],[7].

Sommaire

Formation et carrière professionnelle

Jean Tremblay acquiert une licence en droit de l'Université Laval en 1974. Diplômé en droit notarial à la même université en 1975, il devient membre de la Chambre des notaires du Québec la même année.

Il exerce la profession de notaire à Chicoutimi à partir de 1975. En 1979, il devient actionnaire associé du restaurant Saint-Hubert de Chicoutimi. Il sera également actionnaire majoritaire d'une entreprise immobilière[Laquelle ?] de 1979 à 1997. Il enseigne au département des sciences administratives de l'Université du Québec à Chicoutimi durant l'année scolaire 1980-1981.

Carrière politique

Jean Tremblay est élu maire de la ville de Chicoutimi en 1997. À la fin des années 1990, il est un ardent défenseur de la fusion des sept municipalités (Chicoutimi, Jonquière, La Baie, Laterrière, une portion du territoire de Canton-Tremblay, Lac-Kénogami et Shipshaw) en la nouvelle ville de Saguenay. Il publie Le courage de changer les choses[8], un document visant à expliquer et convaincre les citoyens de l’utilité et les avantages de créer la nouvelle ville de Saguenay.

À la suite des réorganisations municipales québécoises, il devient maire de la nouvelle ville[9] de Saguenay le 25 novembre 2001.

Il est le premier maire des grandes villes au Québec à implanter une nouvelle forme de gestion municipale nommée « gestion par activité »[10],[11].

Après des relations tendues avec le directeur général de la ville[12] et une semaine après la création de Saguenay, le conseil de ville congédie le directeur général de la ville[13] Bertrand Girard[14]. Le congédiement est déclaré illégal en novembre 2009 et Ville Saguenay et le maire sont condamnés à verser 583 000 CAD à Girard[14].

En 2002, il fonde l'organisme Promotion Saguenay[15] et en assure la présidence. En novembre 2002, il fait un bilan du développement local et régional, des causes de la désintégration des régions et des éléments de solution dans le document Les régions du Québec en crise. Bilan, enjeux et voie de solution[16] présenté au Sommet des régions[17]. La même année, il devient membre de l'Union des municipalités du Québec (UMQ). Il siège au comité exécutif à partir de 2004.

En novembre 2002, un sondage réalisé par Unimarketing/Le Progrès-Dimanche présente un taux de satisfaction de 74,5 % à l'endroit du maire Jean Tremblay[18].

En 2003, le maire Jean Tremblay crée un conseil du trésor. Son mandat est d'élaborer et de recommander au comité exécutif et au conseil municipal, la mise en œuvre de politiques et de mesures qui assureront une gestion efficace des ressources humaines, financière, matérielles et technologiques[19].

En 2004, il dote Saguenay d'un bureau de l'ombudsman[20]. La même année, Saguenay engage la firme L'immobilière pour son rôle d'évaluation municipale en écartant illégalement les firmes concurrentes[21]. Poursuivies par la firme BTF, Saguenay et L'immobilière sont condamnées en Cour supérieure et en Cour d'appel du Québec à verser 2,5 millions CAD plus intérêts à BTF. Tremblay veut porter la cause en cour suprême, mais cette dernière rejette l'appel en avril 2010[22].

Lors de l'élection du 6 novembre 2005, Jean Tremblay est réélu comme maire en obtenant 71,4 % des voix. La candidate du Parti Vision Nouvelle Mireille Jean, récolte 26,5 % de l'électorat et André Reid pour sa part reçoit 2,1 % du vote[23].

En 2005, il engage Saguenay dans des poursuites contre des multinationales afin de récupérer des paiements de taxes sur les barrages hydroélectriques privés présents sur le territoire de la ville[24].

En 2007, le premier magistrat entreprend les démarches nécessaires afin d'implanter un port d’escale pour croisières internationales dans l'arrondissement de La Baie[25].

En octobre 2008, Jean Tremblay est invité comme conférencier à la 28e assemblée générale de l'Association internationale des maires francophones (AIMF) qui se tient à Québec. Il y présente notamment le projet de collaboration internationale entre la ville de Saguenay et la ville vietnamienne de Nam Dinh[26].

Le 1er novembre 2009, les électeurs de Saguenay sont invités à se prononcer lors de l'élection municipale. Jean Tremblay est réélu avec 77,8 % des voix contre 22,2 % pour le candidat Michel Potvin[27].

En septembre 2010 lors d'une allocution publique, le maire Jean Tremblay a commenté l'état actuel des infrastructures de la ville de Montréal. Il affirmait que « Cette ville est à refaire »[28].

Lors d'une entrevue accordée au journal Le Quotidien en novembre 2011 concernant la fusion 10 ans plus tard, Jean Tremblay y dresse son bilan[29] et déclare qu'il est toujours prêt à servir et qu'il se présenterait encore deux mandats[30]. Son adversaire aux dernières élections municipales Michel Potvin, admet que le maire apparaît indélogeable pour au moins le prochain mandat[31]. Dans une série d'articles publiés par le journal La Presse en novembre 2011, Jean Tremblay déclare que « [l]a fusion a mis un terme aux chicanes de clocher entre les municipalités[32]. »

Prière du conseil municipal

En septembre 2006, Christian Joncas et Alain Simoneau, deux militants du Regroupement des citoyens de Saguenay, déposent une plainte à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) contre le maire Jean Tremblay, reprochant au maire de réciter une courte prière catholique au début de chaque séance du conseil de ville. Adaptée d'une tradition de l'ancienne ville de Chicoutimi, la prière municipale se lit ainsi :

« Dieu tout puissant, nous te remercions des nombreuses grâces que Tu as accordées à Saguenay et à ses citoyens, dont la liberté, les possibilités d’épanouissement et la paix. Guide-nous dans nos délibérations à titre de membre du conseil municipal et aide-nous à bien prendre conscience de nos devoirs et nos responsabilités. Accorde-nous la sagesse, les connaissances et la compréhension qui permettront de préserver les avantages dont jouit notre ville afin que tous puissent en profiter et que nous puissions prendre de sages décisions. Amen »

— Prière municipale de Saguenay, Prière au conseil: la parole à Simoneau[33]

Malgré la plainte, le conseil de ville décide de maintenir la récitation de la prière[34]. En octobre de la même année et à la suite d’une enquête effectuée par la Commission des droits de la personne, une séance de médiation[35] est organisée entre les parties afin de trouver un arrangement satisfaisant. À la suite de cette médiation, Christian Joncas retire sa plainte.

Le 20 septembre 2007, Jean Tremblay présente, au nom de Ville Saguenay, un mémoire intitulé Mémoire sur les accommodements raisonnables[36] à la Commission Bouchard-Taylor lors du passage de cette dernière à Saguenay. Il y défend la place de la religion catholique dans l'espace public québécois. Le mémoire suscite diverses réactions[37],[38].

Le 15 mai 2008, la CDPDJ déclare que la récitation d'une prière au conseil municipal de Saguenay porte atteinte aux libertés de conscience et de religion[39]. Refusant de se conformer à la décision de la commission, le maire, appuyé du conseil municipal, maintient la pratique.

En août 2008, toujours appuyé par le MLQ, Simoneau déclare qu'il poursuit Ville Saguenay et Jean Tremblay, réclamant 100 000 $ en dommages et intérêts et frais extra-judiciaires pour abus de droits et atteinte à la liberté de religion et de conscience[40]. Simoneau demande l'arrêt de la récitation de la prière municipale et exige le retrait d’une statuette du Sacré-Cœur située dans un coin en surplomb de la salle des délibérations de l'arrondissement Chicoutimi, ainsi que d'un crucifix installé sur un mur dans la salle du conseil de l’arrondissement de La Baie[40]. Le 27 novembre 2008, un avis de poursuite de Jean Tremblay et Ville Saguenay est envoyé au procureur général du Québec[41].

En février 2011, le Tribunal des droits de la personne du Québec ordonne à Jean Tremblay et à ville Saguenay de cesser la récitation de la prière au conseil municipal, de retirer les symboles religieux de la salle du conseil et de verser 30 000 CAD à titre de dommages punitifs et moraux à Alain Simoneau[42]. Le maire manifeste son intention de faire appel, utilise l'appareil municipal[43] pour lancer une campagne de financement, recueille environ 60 000 CAD et affirme être prêt à se rendre jusqu'en cour suprême s'il le faut[44],[45]. Le dossier prend une ampleur nationale et vaut au maire une forte couverture médiatique. Il accorde des entrevues au Canada anglais, aux États-Unis et en Europe auprès de divers organismes de presse tels CBC News, Agence France-Presse, La Croix et Sun Média[46],[47].

À la fin mars, la cour d'appel autorise le maire et Ville Saguenay à faire appel de la décision[48].

« [...] ce combat-là, je le fais parce que j'adore le Christ. Quand je vais arriver de l'autre bord, je vais pouvoir être un peu orgueilleux. Je vais lui dire: « Je me suis battu pour vous; je suis même allé en procès pour vous. » »

— Jean Tremblay, La Voix de l'Est[49]

Le 12 juillet 2011, La Presse canadienne affirme que la campagne de financement du maire a recueilli 181 000 $, comparativement à la levée de fonds lancée par le MLQ et ayant recueilli 25 000 $[50].

Relations médiatiques

Jean Tremblay fait de nombreuses apparitions sur des chaînes de télévision régionales et provinciales. Il a été l'animateur d'une série d'émission télévisées présentées sur la chaîne communautaire saguenéenne Canal Vox[51]. Il est invité à l'occasion sur les réseaux nationaux tels LCN pour discuter de différents sujets d'actualité.

En avril 2009, la firme Influence Communication, engagée par Le Journal de Québec, publie une étude concernant le poids médiatique[52] de 11 maires du Québec[53]. Sur cette liste, Jean Tremblay se classe au troisième rang après Régis Labeaume, maire de Québec, et Gérald Tremblay, maire de Montréal. Sur les 11 maires étudiés, le premier magistrat de Saguenay obtient un pourcentage de couverture médiatique local, national et international évalué à 7,5 %[54],[55].

En octobre 2010, la section régionale Saguenay-Lac-Saint-Jean de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec publie un dossier noir[56] sur l'information municipale à Saguenay où huit journalistes de différents médias font état d'intimidation, de personnalisation des dossiers, et accusent l'administration municipale et Jean Tremblay de nuire à la liberté de la presse[57]. Le lendemain, le maire répond qu'il ne compte pas s'excuser ni prendre au sérieux les accusations des journalistes[58].

« Le dossier noir, ça ne me dérange pas trop. Je trouve ça ridicule. Ils feraient ça sur n'importe quel maire, n'importe qui. [...] Ma job, c'est pas de satisfaire les journalistes, c'est de satisfaire les citoyens. »

— Jean Tremblay, Jean Tremblay répond au dossier noir[58]

La même année, Jean Tremblay imagine une nouvelle façon d’informer les citoyens en créant le site interactif Villeenaction.com. Les nouvelles municipales y sont présentées sous forme de capsules informatives, vidéos, courrier électronique et hyperliens et utilise également des réseaux sociaux tels Facebook et Twitter[59].

Infoman

Dans le cadre de l'émission de télévision Infoman, l'animateur Jean-René Dufort a parodié à plusieurs reprises des émissions animées par Jean Tremblay et diffusées à la télévision communautaire saguenéenne[60],[61]. Dufort a ainsi surnommé le maire Jean « là là » Tremblay, en référence à l'idiome des habitants de cette région en général et du maire en particulier[N 1],[62],[63].

Publications

Notes et références

Notes

  1. La vidéo d'une réaction du maire à un coup d'éclat de Greenpeace est parmi les inspirations initiales.

Références

  1. Isabelle Hachey, « Une journée avec Jean Tremblay: le maire omnipotent », dans La Presse, 2 avril 2011, p. A22-A23 [texte intégral] 
  2. Catherine Delisle, « Jean Tremblay élu maire : Le règne d'Ulric Blackburn prend fin après seize ans », dans Le Quotidien, 3 novembre 1997, p. 3 
  3. Ahmed Kouaou, « En profondeur - Jean Tremblay - Un maire atypique » sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 23 juin 2009 (dernière mise-à-jour)
  4. Denis Bouchard, « Une victoire de tous les citoyens », dans Le Quotidien, 26 novembre 2001, p. 4 
  5. « Jean Tremblay vainqueur », dans Le Quotidien, 7 novembre 2005, p. 1 
  6. Sylvain Dufour, « Victoire éclatante pour Jean Tremblay », dans Le Quotidien, 1er novembre 2009 [texte intégral] 
  7. « Élections municipales : Jean Tremblay sans surprise », dans Société Radio-Canada, 2 novembre 2009 [texte intégral] 
  8. Jean Tremblay, Le courage de changer les choses. - Un projet à construire pour les générations à venir., Hôtel de ville de Chicoutimi (numérisé par Les Classiques des sciences sociales), 1999 [lire en ligne] [présentation en ligne] 
  9. Denis Bouchard, Chicoutimi tourne une page d'histoire, Le Quotidien, 12 février 2002, p. 3.
  10. Stéphane Bégin, « Des sourires approbateurs de ses pairs », dans Le Quotidien, 26 avril 2008, p. 3 .
  11. François Bourque, « Le modèle de Saguenay », dans Le Soleil, 29 mars 2008, p. 2 .
  12. Catherine Delisle. « Les relations commencent déjà à s'effriter », Le Quotidien, 9 février 2002, p. 6.
  13. Catherine Delisle. « Les élus congédient Bertrand Girard », Le Quotidien, 26 février 2002, p. 3.
  14. a et b Procès contre Saguenay - Bertrand Girard sera dédommagé sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 17 novembre 2009
  15. Denis Bouchard, Promotion Saguenay, Le Quotidien, 31 août 2002, p. 15.
  16. Jean Tremblay, Les régions du Québec en crise. Bilan, enjeux et voie de solution, Ville Saguenay (numérisé par Les Classiques des sciences sociales), novembre 2002 [lire en ligne] [présentation en ligne] 
  17. « Le maire Tremblay livre son manifeste », Le Quotidien, 14 novembre 2002, p. 3.
  18. Johanne de la Sablonnière. « La popularité de Jean Tremblay se maintient », Le Progrès-Dimanche, 17 novembre 2002, p. A10.
  19. « Structure appréciée, Le Conseil du trésor est là pour rester », Le Quotidien, 1er mai 2003. p. 3.
  20. « Bureau de l'ombudsman : Rodrigue Lessard devient secrétaire général », dans Le Quotidien, 17 juin 2005, p. 16 .
  21. Procès contre Saguenay -BTF a gain de cause sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 1er octobre 2009
  22. Louis Tremblay, « BTF: Saguenay doit payer » sur http://www.cyperbresse.ca, Le Quotidien, 8 avril 2010
  23. Isabelle Labrie, « Jean Tremblay balaie l'opposition », dans Le Quotidien, 7 novembre 2005, p. 3 .
  24. Yvon Bernier. « Production hydroélectrique. Saguenay pourrait taxer », Le Quotidien, 23 mars 2005, p. 10.
  25. http://www.toutlemondeabord.com/index.html
  26. Association internationale des maires francophones. « Jean Tremblay sera conférencier », Le Quotidien, 26 septembre 2008, p. 6.
  27. Louis Tremblay, Jean Tremblay est couronné, Le Quotidien, 2 novembre 2009, p. 2-3.
  28. Stéphane Bégin, « Jean Tremblay « varlope » Montréal », dans Le Quotidien, 23 septembre 2010, p. 8 .
  29. François St-Gelais, « Une position d'avenir », dans Le Quotidien, 7 novembre 2011, p. 10 .
  30. Mélanie Côté, « Toujours prêt à servir », dans Le Quotidien, 7 novembre 2011, p. 1-3 .
  31. Jean-Marc Beaudoin, « Au Royaume du Souverain Tremblay », dans Le Nouvelliste, 12-13 novembre 2011, p. 3 .
  32. Patrick Lagacé, « On a échangé nos maires, Big is beautiful », dans La Presse, 19 novembre 2011, p. 3 .
  33. Serge Lemelin. « Prière au conseil: la parole à Simoneau », Le Quotidien, 2 avril 2009, p. 2.
  34. « Le maire Tremblay tient à sa prière », Le Quotidien, 27 septembre 2006, p. 12.
  35. « Joncas propose au maire une séance de médiation », Le Quotidien, 4 octobre 2006, p. 12.
  36. Jean Tremblay, Mémoire sur les accommodements raisonnables., Ville Saguenay (numérisé par Les Classiques des sciences sociales), 20 septembre 2007 [lire en ligne] [présentation en ligne] 
  37. François St-Gelais, « Les gens s'arrachent le mémoire! : Jean Tremblay à la commission Bouchard-Taylor », dans Le Quotidien, 26 septembre 2007 [texte intégral] 
  38. (fr) Jean Tremblay, maire de Saguenay et fervent catho sur YouTube [vidéo]
  39. Prière au conseil municipal de Saguenay - LA COMMISSION DES DROITS DE LA PERSONNE ET DES DROITS DE LA JEUNESSE CONSIDÈRE QUE LA RÉCITATION D'UNE PRIÈRE PORTE ATTEINTE AUX DROITS sur http://www.alarielegault.ca, 15 mai 2008
  40. a et b Serge Lemelin, « Un opposant réclame 100 000$ » sur http://www.cyberpresse.ca, Le Quotidien, 5 août 2008, p. 14.
  41. Avis au Procureur général du Québec sur http://www.alarielegault.ca, 27 novembre 2008
  42. Droits de la personne -Plus de prière au conseil municipal de Saguenay sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 14 février 2011
  43. Vous voulez faire un don dans le dossier du procès de la prière à Saguenay sur http://www.ville.saguenay.qc.ca, 2011
  44. Jeanne Corriveau, « Prière au conseil municipal - Saguenay en appel », Le Devoir, 23 février 2011
  45. Patrice Bergeron, « Prière: la Cour d'appel entendra la requête du maire de Saguenay » sur http://www.cyberpresse.ca, La Presse canadienne, 29 mars 2011
  46. Anne-Marie Gravel, « Les convictions du maire », Le Quotidien, 13 juin 2011
  47. J.M. Ballester Esquivas, « Jean Tremblay Alcalde, Una oraciön por los vecinos de Saguenay », Alba Del Tercer Milenio, 2011.
  48. Richard Hénault, « Prière à Saguenay: le maire pourra faire appel » sur http://www.cyberpresse.ca, Le Soleil, 30 mars 2011
  49. Laurent Busseau, « De Saguenay à Saint-Césaire : un Fondamentaliste catholique renaissant... », La Voix de l'Est, 26 mars 2011
  50. Patrice Bergeron, « Prière à Saguenay: Jean Tremblay a recueilli 181 000 $ » sur http://www.cyberpresse.ca, La Presse canadienne, [[[Québec (ville)|Québec]], 12 juillet 2011
  51. Patrick Voyer, Jean Tremblay deviendra historien, Le Quotidien, jeudi 14 août 2003, p. 4.
  52. Jean Laroche, « La visibilité attire les votes », Le Journal de Québec, mercredi 15 avril 2009, p. 6.
  53. Jean Laroche, « Saguenay la prière fait jaser », Le Journal de Québec, mercredi 15 avril 2009, p. 6.
  54. Samuel Tremblay, « Tous les yeux vers Jean Tremblay », Le Quotidien, 18 février 2011.
  55. Jean Laroche, « Maires du Québec - Popularité : Labeaume haut la main », dans Le Journal de Québec, 14 avril 2009 [texte intégral (page consultée le 22 avril 2009.)] 
  56. Section régionale de la FPJQ, « Dossier noir de l'information municipale au Saguenay-Lac-Saint-Jean », Fédération professionnelle des journalistes du Québec, 14 octobre 2010
  57. Information municipale - Un dossier noir dénonce Jean Tremblay sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 15 octobre 2010
  58. a et b Jean Tremblay répond au dossier noir sur http://www.radio-canada.ca, 15 octobre 2010
  59. « Des vidéos du maire. Saguenay se lance sur Youtube », Le Quotidien, 6 octobre 2010, p. 18.
  60. (fr) Infoman: Jean Tremblay sur YouTube [vidéo]
  61. (fr) Infoman Maire de saguenay La foudre sur YouTube [vidéo]
  62. Greenpeace à Grande Anse - Les deux derniers militant sont libérés, Société Radio-Canada, 17 septembre 2007 (dernière modification)
  63. Aux couleurs de l'automne - 5 octobre sur http://www.radio-canada.ca, Société Radio-Canada, 2011

Annexes

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