Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique

Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique

Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique est un bref essai philosophique d'Emmanuel Kant publié en 1784.


Sommaire

Présentation de l'œuvre

L’Idée d'une histoire universelle est un article publié en 1784. Le contexte historique est celui du siècle des Lumières: les découvertes de nouvelles terres, la guerre d’indépendance des États-Unis, l'agitation qui préfigure la Révolution française, font de cette époque une époque mouvementée et expliquent les raisons d'être de l'Idée. La philosophie kantienne dans son ensemble pose trois questions essentielles et c'est à la troisième que tente de répondre l'Idée: 1) Que puis-je savoir ? 2) Que dois-je faire ? 3) Que puis-je espérer ? 1) Kant place l’homme rationnel au centre du monde comme Copernic place le soleil au centre du système planétaire. 2) Kant postule la liberté de l’homme : il n’est pas déterminé dans ses actions morales autrement que par une volonté autonome qui trouve ses racines dans la raison humaine. 3) Kant se donne, pour des raisons pratiques (la nécessité d'agir et la compréhension des phénomènes observables) des horizons qui permettent de donner un sens au monde qui nous entoure.

Problématique générale : L’histoire humaine est le théâtre d'une succession sans fin d’évènements : guerres, épidémies, conquêtes, catastrophes naturelles, accords et traités, découvertes scientifiques, évolutions artistiques, mais aussi des évènements qui appartiennent à chaque individu : mariages, naissances, études, profession, discussion avec autrui, menu du repas… Kant se demande si l’histoire humaine n’est qu’une succession chaotique d’évènements (si l’humanité patauge sur-place sans une quelconque évolution), ou s’il est possible de l’envisager comme un récit qui a un sens, qui suit un fil conducteur. Peut-on déceler un progrès parmi ces évènements d’apparence chaotique ? Faut-il considérer l’histoire comme la réalisation d’un dessein caché ? S’agit-il là d’une bonne hypothèse méthodologique pour l’historien ? Bref, l’histoire a-t-elle un sens ?

Enjeux : Si l'histoire a bien un sens, la perspective d’une évolution, voire d’un progrès de l’homme, rend possible un optimisme contre ceux qui ne voient dans l’histoire qu’un témoignage répétitif de la misère humaine. Si au contraire nous ne trouvons pas de continuité, l’histoire ne peut être considérée comme un tout et nous aurions une diversité d’histoires séparées.

Kant présente, dans l'Idée, comment il est possible (de quels présupposés on a besoin) de se faire une idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique.

Introduction

Kant commence par exposer les difficultés qu’on rencontre lorsqu’on s’interroge sur le devenir historique. Il note ainsi comme première difficulté que l’histoire, comme toute science humaine, s’intéresse à des êtres libres. Dégager des lois concernant les actions humaines est donc difficile, c’est néanmoins possible : quand on dit qu’un objet obéit à des lois naturelles, nous usons d’une métaphore. Seul un homme peut obéir à une loi, ce qui suppose qu’il la connaisse et même qu’il puisse y désobéir. Les astres ne suivent pas leur trajectoire parce qu’ils connaissent les lois de Newton. Les lois de leur mouvement ne sont que des relations par lesquelles nous connaissons les choses. Il ne faut donc pas confondre notre connaissance du réel et le réel. Ainsi, en tant qu’objet de connaissance, les choses sont soumises à des lois nécessaires, et indépendamment de notre connaissance, elles peuvent être dites libres. Par conséquent, considérer que l’histoire est l’application de lois naturelles nécessaires ne remet pas en cause la liberté des hommes.

La deuxième difficulté naît du fait qu'il est impossible que l’historien connaisse exhaustivement tous les évènements historiques particuliers; il ne saurait donc donner un sens à l'histoire. Si l'on veut découvrir un mouvement d’ensemble dans l'histoire, il faut donc embrasser du regard la totalité de l’histoire de l’espèce humaine tout entière. L’histoire est ainsi universelle. Kant donne un exemple pour montrer que cette méthode est légitime : il compare les mariages, les naissances et les morts, lesquels sont le produit de la volonté libre des hommes, aux variations atmosphériques, qui sont des phénomènes naturels soumis au déterminisme. L’irrégularité du temps qu’il fait d’un jour à l’autre concourt pourtant à la croissance des plantes, ce qui témoigne finalement d’une certaine régularité : le climat, lequel nous connaissons avant même d’en connaître le détail et les mécanismes. Il en va de même pour les libres actions humaines.

La troisième difficulté relevée tient à la nature humaine. En effet, l’histoire est une tragédie, un spectacle d’atrocités ; d’où vient ce désordre ? Pourquoi les hommes ne forment-ils pas une société ordonnée et pacifique comme font les abeilles ? C’est parce que l’homme n’est ni qu’un animal (pulsionnel et instinctif), ni qu’un être raisonnable (purement rationnel). Cette dualité pose donc problème car elle nous empêche de penser un sens de l’histoire. Il faut donc prendre du recul et envisager le sens de l’histoire comme étant un dessein non des hommes mais de la nature ou plutôt de leur nature.

Kant ne se fait pas d’illusions sur la méchanceté de l’homme. Il n’affirme pas que les hommes sont suffisamment raisonnables pour progresser, c’est pourquoi il attribue à la nature un but, celui d’améliorer les hommes malgré eux, sans qu’ils aient à le vouloir. Ce transfert de finalité repose sur une analyse : celle de la nature humaine duelle. Qu’il y ait une nature humaine, permet d’envisager l’existence de lois naturelles concernant l’humanité dans son ensemble, laquelle progresse en suivant ces lois. L’histoire peut ainsi avoir un sens, celui du développement de l’homme selon sa nature.

Première proposition

Pour se faire une Idée d’une histoire universelle de l’homme, il faut en appeler à ce qui est universellement partagé par chacun d’entre nous : notre nature humaine. Et l’on doit considérer que tout, dans la nature est constitué dans un but. Sans ce présupposé, on ne peut penser l’histoire comme étant en marche vers quelque chose. Ce principe s’observe en sciences de la vie : chaque partie ou organe des animaux est utile à quelque chose. Ce principe téléologique est une loi que nous plaquons sur la nature pour que la raison puisse la penser. Sans lui, la nature semblerait œuvrer au hasard et on ne pourrait plus la penser.


Deuxième proposition

Kant parle d’une manière plus large de « dispositions naturelles ». Or l’homme dispose en lui de facultés en germe pour être raisonnable. L’homme ne possède pas seulement un instinct naturel : sa dualité lui donne le pouvoir de concevoir des abstractions et d’imaginer des projets bien plus grands, infinis. Mais justement parce que la raison n’est pas l’instinct, on ne la maîtrise pas immédiatement, elle a besoin d’exercice. Or les hommes meurent au bout de quelques décennies en moyenne, sans avoir eu le temps de développer entièrement leur raison. Il faut donc considérer, selon la proposition 1, que cette disposition naturelle ne doit pas se développer dans chaque individu, mais dans l’espèce tout entière par une suite « interminable de générations où chacune transmet à la suivante ses lumières ». Ainsi, l’éducation est une particularité de l’homme, et c’est un fait naturel.


Troisième proposition

La nature humaine double est de telle sorte que l’homme ne peut se contenter de suivre ses instincts, lesquels sont automatiques, mais il doit suivre un objectif qu’il se donne à lui-même grâce à sa raison. L’instinct consiste à savoir et savoir-faire immédiatement, sans réflexion ni apprentissage. Pourquoi l’homme n’est-il pas un animal comme les autres ? Pourquoi la nature humaine est-elle double ? Pourquoi l’homme a-t-il une raison ?

La nature a donné peu de moyens aux hommes ; la main ne s’utilise pas instinctivement : il faut d’abord choisir un outil, le prendre, et ensuite apprendre à s’en servir. Ainsi l’homme doit travailler pour se perfectionner et ainsi acquérir une habilité et une technique. La main a ainsi une fonction de préhension universelle qui permettra à la raison de se développer.

Ainsi l’homme a tout le mérite de ce qu’il est devenu de telle sorte qu’à défaut d’avoir le bien-être, il peut prétendre à une estime raisonnable de soi. Il s’agit de l’idée agréable et complaisante que l’on se fait de soi-même. La jouissance et le bonheur de l’homme passent donc avant tout par le mérite, préambule à la moralité. On constate que les générations semblent toujours se sacrifier pour les générations suivantes. Leur satisfaction réside dans le mérite qu’elles en tirent.

Quatrième proposition

Pour que l’homme développe toutes ses facultés, la nature humaine est constituée de telle sorte que d’un côté les hommes sont sociables au point de s’associer pour former une société solidaire, d’un autre ils sont insociables au point d’être individualistes et égoïstes (chacun a la volonté de tout diriger dans son sens, d’être le chef). L’homme rationnel prend conscience qu’on ne peut se passer les uns des autres et qu’il faut donc vivre en société ; mais cela uniquement pour des raisons égoïstes (ex : productivité plus grande lorsqu'on collabore les uns avec les autres). Le contrat d’association est ainsi un accord "pathologiquement extorqué". Il conduira l’homme à développer ses facultés sous l’impulsion de l’ambition, de l’instinct de domination ou de la cupidité. Kant espère que cet accord pourra se convertir en un tout moral, c’est-à-dire devenir la source des règles morales de la vie en société, qui seront d’abord respectées pour des raisons égoïstes, puis pour elles-mêmes.


Cinquième proposition

Une fois que les hommes sont entrés en société, l’épanouissement de leurs facultés naturelles ne se fera pleinement que si l’on dispose d’une grande liberté ; mais comme en même temps il faut vivre avec les autres, cette liberté ne sera pas infinie mais limitée par la liberté des autres. Pour réaliser de telles conditions, l’homme doit se donner une "organisation civile d’une équité parfaite" qui établira des lois garantissant la liberté de chacun ; c’est-à-dire un État. Ce n’est pas une arène dans laquelle tous combattent, mais c’est une force publique qui l’emporte sur les forces particulières.

Mais pourquoi les hommes, qui aiment tant la liberté, se donneraient-ils des lois qui restreindraient leur liberté ? Pour Kant, dans l’état de nature règne l’anarchie : chacun agit comme il l’entend et cause les torts qu’il souhaite à son voisin. La convoitise, la jalousie, l’orgueil… conduisent les hommes à se causer les pires maux. Tandis que dans une association civile où l’État fixe un cadre avec des lois, les hommes sont amenés à satisfaire ces passions d’une autre manière : par le développement de la culture, laquelle grandit l’homme. C’est l’analogie de l’arbre et de la forêt : un arbre au milieu de rien lance ses branches en toute liberté et pousse rabougri, tandis qu’un arbre dans une forêt, doit, pour rivaliser avec les autres, pousser beau et droit. Ainsi le cadre donné par le droit rend l’homme droit et discipliné, ses talents sont bien meilleurs.


Sixième proposition

Comment instituer un tel État ? Faire les lois qui garantissent la liberté de tous et les imposer à ceux dont la volonté égoïste est d’agir librement, c’est le rôle d’un maître. Quel sera ce maître et où va-t-on le trouver ? L’État est l’autorité souveraine titulaire abstraite du pouvoir. Mais pour légiférer et faire respecter le droit, il nécessite des hommes concrets. Ce maître sera donc un homme et non une abstraction (un dieu par exemple). Kant répond donc qu’il faut des hommes pour commander aux hommes. Mais que l’on confie le pouvoir à un seul homme (ex : monarchie absolue) ou à plusieurs, « une élite » (ex : aristocratie, démocratie représentative), ce sont toujours des animaux égoïstes qui, sans maître au-dessus d’eux, abuseront de leur liberté. Voici donc l’aporie (paradoxe insoluble, dont la solution parfaite est impossible) : « Le chef suprême doit être juste pour lui-même (ne pas abuser de sa liberté), et cependant être un homme. » L’homme est le seul animal qui ait besoin d’être éduqué ; mais s’il faut un homme pour élever un enfant, personne ne naît pédagogue : les hommes ne peuvent s’éduquer eux-mêmes. De même, il faut des lois pour qu’il y ait des hommes justes, et il faut des hommes justes pour qu’il y ait des lois.

Kant répond à cette aporie que si les hommes sont courbes par nature, on peut néanmoins dire qu’ils sont les uns pour les autres des tuteurs courbes, et dans la forêt sociale, ils tendent vers la rectitude, c’est pourquoi l’humanité ne réalisera jamais qu’une approximation d’elle-même. Il nous faut néanmoins nous rapprocher de l’idée de constitution parfaite. C’est une idée directrice, c’est-à-dire un objectif idéal qu’on sait inaccessible et qu’on se donne comme horizon. Kant précise que pour réaliser la meilleure constitution de cet État, il faudra des concepts exacts (une philosophie du droit pur), une grande expérience (des voyages pour voir comment le droit peut s’imposer quelles que soient les circonstances) et une bonne volonté (que les hommes soient capables d’être bons et vertueux par eux-mêmes et non par imposition).

Septième proposition

A quoi bon échapper aux luttes entre les individus si c’est pour qu’ils se retrouvent broyés dans les guerres entre les États ? L’association des hommes exposée aux propositions 4, 5 et 6 est reprise mais cette fois-ci au niveau international, pour aboutir à la nécessité pour les nations, d’entrer dans une société (Cf. SDN) et d’élaborer un droit international. C’est une nécessité même en temps de paix car « Si vis pacem, para bellum » (Si tu veux la paix, prépare la guerre) : les préparatifs militaires, même simplement défensifs, coûtent cher et pèsent sur les peuples. Les États seront donc amenés à préférer la négociation au conflit armé. La diplomatie et les règles internationales sont ainsi l’ébauche d’une SDN. Si chaque État reconnaît un droit international et, par sa contribution, donne à une SDN la force qui permet de faire respecter ce droit, le plus faible sera assuré que le règlement des conflits suivra un principe de justice et non de force.

Kant revient sur la problématique fondamentale de l'Idée : comment se réalisera cette SDN, par hasard (concours épicurien des causes), hypothèse qui ne saurait nourrir notre espérance car elle admet que l’anarchie maléfique se répète dans l’histoire ; ou selon un plan régulier de la nature ? L’histoire des États (les guerres) a-t-elle un sens ? Va-t-elle vers la réalisation d’une SDN ? Tout l’opuscule est la réponse à cette question : nous avons besoin de ce jugement téléologique pour construire notre avenir et ne pas demeurer dans la stupidité des bergers d’Arcadie, ni tomber dans état dramatique de guerre perpétuelle.

Kant nous met en garde sur les apparences trompeuses, révélant par-là son réalisme : « Nous sommes civilisés au point d’en être accablés. […] Mais quant à nous considérer comme déjà moralisés, il s’en faut encore de beaucoup. » : si la culture nous rend libres, elle ne suffit pas à nous rendre moralisés : un savant, que sa subtilité distingue d’un sauvage ignorant et fruste peut fort bien être malhonnête et criminel. Les mondanités et la bienséance publique habillent le jeu de la concurrence et des passions : les réussites techniques et l’accès au luxe, loin de calmer les passions, les excitent et nous poussent à désirer toujours davantage.


Huitième proposition

On peut considérer que l’Histoire est le théâtre de la réalisation du plan caché de la nature : la création d’une constitution politique parfaite. Et cette considération qui promet un avenir meilleur n’est pas seulement théorique, mais pratique, car se faire l’idée d’une histoire qui aurait ce but, c’est se donner les moyens de mieux l’atteindre.

Kant cherche dans son siècle des indices de ce progrès pour confirmer son propos. Il ne prétend pas connaître l’avenir, mais sa démarche est comme celle du mathématicien qui, d’une petite portion de courbe extrapole la courbe entière. Il note d’abord l’interdépendance des États européens. Ensuite Kant voit naître les Lumières d’un essor économique, industriel et commercial : les États acceptent le libre-échange et la libre entreprise car les hommes, conduits par leurs désirs et leur avidité, contribuent à la production et à l’enrichissement national. Le libéralisme économique suppose alors la libre circulation des biens et des personnes, d’où il résulte (mécaniquement et non moralement) une libre circulation des idées, des sciences et des arts et tout ce qui contribue à la liberté politique. Ainsi, la guerre économique est plus profitable à tous que la guerre militaire, laquelle est très coûteuse ; et les États prenant conscience de cela, préparent un grand organisme futur cosmopolitique et universel, dont la SDN et de l’ONU sont les proches réalisations.


Neuvième proposition

Kant apporte une solution positive à sa question posée en introduction. On peut envisager l’histoire de façon universelle et lui attribuer un but : l’unification politique totale. Cette idée est même avantageuse pour ce dessein (cf. prop. 8). Envisager l’histoire philosophiquement, c’est dépasser les détails pour saisir un plan d’ensemble ; son intérêt n’est pas de prévoir l’avenir, mais de nous permettre d’espérer que l’histoire à venir sera plus belle que l’histoire passée. Il ne s’agit pas de remplacer l’histoire empirique étudiée par les historiens ; celle-ci est en effet importante dans la mesure où elle permet à chaque homme de comprendre sa tâche présente en sachant d’où il vient et pourquoi le monde est tel qu’il l’a trouvé. Enfin, imaginer ce que l’histoire retiendra de nous, c’est s’obliger à agir de façon respectable en conservant l’estime de soi.


Conclusion

L’idée de progrès ne permet de comprendre l’histoire que parce qu’elle est l’idée d’un progrès indéfini : supposer l’histoire proche de sa fin anéantirait tout espoir. Il y a donc une fin à l’histoire au sens de but et non de terme. La penser, c’est concevoir l’idée d’un état dont nous devons toujours nous rapprocher sans jamais le croire atteint. Jamais l’être ne rejoint le devoir-être, ni le réel l’idéal.

Voir aussi

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