- Génocide bamiléké
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Le génocide bamiléké est le nom donné aux agressions commises par la France[réf. nécessaire] au Cameroun notamment à l'Ouest du pays, sur le peuple bamiléké. Ces agressions se sont déroulées entre 1955 et 1971[réf. nécessaire] et ont causé la mort de plus de 400 000 personnes[réf. nécessaire] constituées essentiellement de la population civile[1].
Au regard du nombre des victimes, le génocide bamiléké est l'un des plus meurtriers que l'histoire de l'humanité ait jamais connu[réf. nécessaire]; il est aussi l'un des moins connus dans le monde et le moins médiatisé au Cameroun. Selon Shanda Tonme, le silence sur le génocide s'expliquerait par la position privilégiée qu'occupe la France dans le monde aujourd'hui et le manque de patriotisme des dirigeants du Cameroun. Ces derniers font tout pour freiner ou supprimer les tentatives d'enquête et de fouille dans l'ouest du Cameroun, et le recueillement de témoignages pouvant apporter la lumière sur ce crime de masse. Ceci éviterait que les acteurs de ce génocide soient jugés, car beaucoup restent encore en vie[2].
Le but des travaux entrepris par certains scientifiques camerounais aujourd'hui est de suivre toutes les traces pouvant fournir les indications sur ce drame.
Il faut rappeler ici que de nombreux Bamilékés ont une croyance basée sur le culte des ancêtres et que, selon cette croyance, tant que les funérailles de ces victimes ne seront pas organisées, ceux-ci, de même que l’ensemble des Camerounais, ne connaitront ni la paix véritable ni la prospérité.
L'origine du génocide bamiléké
Le témoignage des familles des victimes
Le témoignage des corps expéditionnaires français
Les conséquences du génocide bamiléké au Cameroun: Tribalisme
Tribunal pénal international et tribunal pénal belge à compétence universelle
Réticence aux enquêtes
Organisation des funérailles nationales pour les victimes
Articles connexes
Références
- (fr)(Max Bardet, OK Cargo, Grasset) la saga africaine d'un pilote d'hélicoptère
- (fr)(Shanda Tonme) La France a-t-elle a commis un génocide au Cameroun? Les bamiléké accussent
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