- Georges Guibourg
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Georgius
Georgius, nom de scène de Georges Auguste Charles Guibourg, chanteur, chansonnier, comédien, scénariste et écrivain français, né le 3 juin 1891 à Mantes-la-Ville, décédé le 8 janvier 1970 à Bazoches-sur-Guyonne. Il est le fils de Georges Charles Joseph Guibourg, instituteur, rédacteur influent (c'est Georgius qui le dit) au Petit Mantais puis rédacteur en chef d'un journal hebdomadaire qui s'appelait La France aérienne, fils et petit-fils de commerçants et d'artisans et de Clémentine Augustine Bouteilly, née à Saint-Pierre-sur-Dives, dans le Calvados, fille, petite-fille et arrière-petite-fille de cultivateur.
Artiste touche-à-tout, auteur de nombreuses chansons à succès, il fut un véritable phénomène du music-hall pendant l'Entre-deux-guerres.Sommaire
Un artiste prolifique
Georges Guibourg commence sa carrière en 1908, en chantant des chansons dont il dira plus tard : « Ma vraie nature ne s'était pas encore révélée et je pleurnichais ce répertoire pompier que j'ai tant parodié par la suite. J'en sentais le ridicule, mais j'avais la conviction que le public aimait ça. ». Mais, au fur et à mesure des différents engagements avec des cabarets, il se met à écrire quelques chansons comiques.
Mais c'est en 1912 qu'il entame vraiment sa carrière de chansonnier. Appelé au théâtre de la Gaieté-Montparnasse pour remplacer un chanteur comique, ses chansons plaisent tellement que le théâtre lui fait signer un contrat pour un an - il y restera trois ans ! Il écrit durant cette période beaucoup de chansons, à raison de cinq par semaine (!) et s'associe avec de nombreux compositeurs pour la musique. En 1916 il commence à écrire des pièces de théâtre, qu'il joue ensuite avec sa troupe, créée en 1919, les Joyeux Compagnons.
En 1923, il est l'un des chansonniers les plus connus en France. Ses apparitions et ses revues ont un franc succès : il se produit même une émeute à l'Alcazar de Marseille, car les locations ne peuvent satisfaire la demande. Sa chanson la plus connue à l'époque est La plus bath des javas, une parodie des javas à la mode. Il continue à tourner, à monter des revues avec sa troupe, rebaptisée le Théâtre Chantant en 1926.
1930 est une année faste pour lui : il sort La route de Pen-Zac, dont il vendra plus de 160 000 disques, un record pour l'époque ! Les spectacles s'enchaînent, et tout le monde se presse pour le voir. Les surréalistes et les intellectuels l'apprécient beaucoup, et Robert Desnos parle de lui dans ses chroniques musicales. C'est à cette époque qu'il obtint son surnom : l'Amuseur public numéro 1.
En 1934, il devient furtivement directeur du Théâtre de la Gaîté-Montparnasse où il joue ses créations tout en programmant des artistes d'avant-garde telles Dora Stroeva ou Marianne Oswald puis ouvre La villa chagrin à Montmartre.
La même année, il reprend le rôle créé par Maurice Chevalier dans l'opérette Dédé au Théâtre des Bouffes-Parisiens.
En 1936, nouveau succès, avec Au Lycée Papillon, qui bat lui aussi des records de vente. Suivent ensuite Ca c'est de la bagnole et On ne peut pas plaire à tout le monde. En 1941 il joue Sganarelle dans Le Médecin malgré lui à la Comédie-Française. Il continuera ses revues pendant la guerre, ce qu'on lui reprochera à la Libération. Il sera de fait interdit de scène pendant un an, période qu'il met à profit en écrivant des romans policiers. Il écrit en 1927 les paroles et interprète La noce à Rebecca (qui fut également chantée par André Perchicot en 1928 et par Fernandel) et qui hors contexte fut mal interprété comme antisémite, alors qu'il a tout au long de sa carrière a régulièrement fait appel à des musiciens et des compositeurs d'origine juive et il a été l'auteur et interprète d'une chanson anti-hitlérienne "Il travaille du pinceau" en 1938 et comme il a chanté durant l'occupation on lui interdit accès à la scène pendant un an.
1941-1942 Il est le directeur artistique de trois théâtres : l'Étoile, le Théâtre Antoine et l'Ambigu.
Après-Guerre, il continue à chanter, mais beaucoup moins qu'avant. S'il quitte définitivement la scène en 1951, il poursuit l'écriture de saynètes (2000 écrites durant toute sa vie), de romans policiers (30), de chansons (1500) et de scénarios jusqu'à sa mort. Un de ses romans policiers, Mort aux ténors (écrit sous le pseudonyme de Jo Barnais), a été adapté en téléfilm en 1987.
Georgius s'éteint le 8 janvier 1970 à Bazoches-sur-Guyonne.
Discographie
- 1920 - "Le fils-père"
- 1922 - "Sur un air de shimmy" (Mercier-Georgius)
- 1922 - Jules (...-Georgius)
- 1922 - "Sur la pointe des pieds" (Mercier-Georgius)
- 1922 - "Un Agent courait" (...-Georgius) (c)
- 1922 - "Les Archers du Roy" Chanson de cape et d'épée (Gey-Georgius) (a)
- 1922 - "Pour se faire remarquer" (...-Georgius)
- 1923 - "Le tango neurasthénique" (Chagnon-Georgius)
- 1923 - "Il n'osait pas se décider" (Chagnon-Georgius)
- 1923 - "Ma gosse" (...-Georgius)
- 1923 - "Méfiez-vous d'Anatole" (Chagnon-Georgius)
- 1924 - "Mais le lendemain" (...-Georgius)
- 1924 - "Quand Charlot joue du saxophone" (Trémolo-Georgius) (a)
- 1924 - "Totor... Tonton... Tintin" (...-Georgius)
- 1924 - "La Plus bath des javas" (Trémolo-Georgius) (**) (a)
- 1924 - "Né un samedi soir" (...-Georgius)
- 1924 - "Par politesse" (Gabaroche-Georgius) (*)
- 1925 - "La plus bath des javas"
- 1925 - "Hortensia la fille du jazz-band" (Trémolo-Georgius)
- 1925 - "L'Homme du milieu" (Alix-Georgius)
- 1925 - "Regarde où tu mets le pieds" (...-Georgius)
- 1925 - "On ne voit pas tout ça quand on aime" (...-Georgius)
- 1925 - "Chez les Bédouins" (...-Georgius)
- 1925 - "Dans les villes d'eaux" (...-Georgius)
- 1925 - "À la russe" (...-Georgius)
- 1925 - "Eh ! Dis ! Mimi ! Tu t'rends compte" (...-Georgius)
- 1925 - "J'ai pas pu" (...-Georgius)
- 1925 - "Passons la monnaie" (Poussigue-Georgius)
- 1926 - "Jacky apprend le charleston" (Trémolo-Georgius)
- 1926 - "Y s'retourne sur toutes les femmes" (...-Georgius)
- 1926 - "Les Absents ont toujours tort" - Version Odéon - (...-Georgius)
- 1926 - "Les Absents ont toujours tort" - Version Pathé - (...-Georgius)
- 1927 - "La noce à Rebecca"
- 1927 - "L'Amour excuse tout" (...-Georgius)
- 1927 - "La Double route ou la bis-route" - Édition Salabert - inédit
- 1927 - "La Double route ou la bis-route" - Version Odéon - (...-Georgius)
- 1927 - "Tape là-dessus, tape là-dessus" (...-Georgius)
- 1927 - "Veux-tu qu j'te fasse un dessin" (...-Georgius)
- 1927 - "Tellement innocente" (...-Georgius)
- 1927 - "Qu'est-c' qu'il faut fair' pour gagner son bifteck !!!" (...-Georgius)
- 1928 - "Ce n'est pas le genre de la maison" - Version Parlophone - (Halet-Telly)
- 1928 - "L'Homme du milieu" (Alix-Georgius)
- 1928 - "Le Pêcheur" (...-Georgius)
- 1928 - "La Noce à Rebecca" (Raiter-Georgius) (***)
- 1928 - "Le Piéton" (Trémolo-Georgius) (***)
- 1928 - "C'est un chicandier" - version Parlophone - (Trémolo-Georgius) (***)
- 1928 - "C'est un chicandier" - version Pathé - (Trémolo-Georgius)
- 1928 - "Ce n'est pas le genre de la maison" - Version Pathé- (Telly-Halet) (***)
- 1929 - "Il ne faut pas qu'une femme entende des choses comme ça" (Engel-Georgius) (c)
- 1929 - "Les Moins de cent ans" (Lucien Boyer - Verdun - Georgius)
- 1929 - "Au dancing du casino" (Engel-Georgius) (*)
- 1929 - "L'Amour excuse tout" (...-Georgius)
- 1929 - "Le Joueur" (...-Georgius)
- 1929 - "Un Brin de Paris" (Poussigue-Georgius) (***)
- 1929 - "Il fallait y penser" (...-Georgius)
- 1929 - "Les Moins de cent ans" (Lucien Boyer - Verdun - Georgius) (***)
- 1929 - "Un Brin de Paris" - version Pathé
- 1929 - "Les Moins de cent ans" (Lucien Boyer - Verdun - Georgius)
- 1929 - "Il ne faut pas qu'une femme entende des choses comme ça" version Columbia - inédit (Engel-Georgius)
- 1929 - "La Noce à Rebecca" (Raiter-Georgius)
- 1929 - "Un Brin de Paris" - version Columbia
- 1929 - "C'est un chicandier" (Trémolo-Georgius)
- 1929 - "L'Homme du milieu" (Alix-Georgius)
- 1929 - "Un Flirt... et puis c'est tout" - version Pathé S3752 (Lenoir-Georgius) - Inédit
- 1929 - "Un Flirt... et puis c'est tout" - version Pathé X3792 (Lenoir-Georgius) (***)
- 1929 - "Il en connaît des trucs" (...-Georgius)
- 1929 - "Faisons des concessions" (Lenoir-Georgius) (***)
- 1929 - "Si vous en avez" (Eblinger-Georgius) (***)
- 1929 - "Les Vaches et les cochons" (Eblinger-Decaye-Georgius) (*)
- 1930 - "Une Fermeture éclair" (...-Georgius)
- 1930 - "Grand-papa va au bal musette" (...-Georgius)
- 1930 - "Ah ! quelle vie qu'on vit !" (Lenoir-Georgius) (*)
- 1930 - "Il en connaît des trucs" (...-Georgius)
- 1930 - "Encore Paris" (...-Georgius)
- 1930 - "Un Flirt... et puis c'est tout" (Lenoir-Georgius)
- 1930 - "Je suis blasé" (Maubon-Magritte-Georgius) (*) (***)
- 1930 - "Beau Léon" (Magritte-Georgius) (***)
- 1930 - "Fleurs des fortifs" (On l'appelait) (Lenoir-Georgius) (*) (***)
- 1930 - "La Pi-pipe en terre" (Ouvrard [père]-Georgius) (***) (a)
- 1932 - "Oh ! Oh ! Il travaille du chapeau" (Poussigue-Georgius) (***)
- 1932 - "C'est moi Marius" (Maubon-Perly-Chagnon-Georgius) (*) (***)
- 1932 - "Il me faut de l'amour" (...-Georgius)
- 1932 - "Écoutez le refrain des faubourgs" (...-Georgius)
- 1933 - "Vive le nu" (Maubon-Poussigue-Georgius) (***)
- 1933 - "Imprudentes !" (Maubon-Eblinger-Georgius) (*) (***)
- 1933 - "La Valse nègre" (Poussigue-Georgius) (***)
- 1933 - "Le Bluffer" (Poussigue-Georgius)
- 1933 - "Les Bateliers de la Bidassoa" (...-Georgius)
- 1933 - "Nos maisons" (Magritte-Georgius) (***)
- 1934 - "J'ai l'bourdon" (Poussigue-Georgius) (*)
- 1934 - "Rentre" (Poussigue-Georgius) (*)
- 1934 - "La Plus bath des javas" (Trémolo - Georgius) (*) (c)
- 1934 - "Le Pochard" (Poussigue-Georgius) (*)
- 1934 - "Les Archers du Roy" (Gey-Georgius) (*) '(c)
- 1934 - "Roule... roule !" Drame de la voie ferrée (Poussigue-Georgius) (*)
- 1934 - "La Marche des benjamins" (...-Georgius)
- 1934 - "Pour sa paye" (...-Georgius)
- 1934 - "La Vraie gigouillette" Chanson bretonne moderniste (Poussigue-Georgius) '(c)
- 1934 - "Les Mormons et les Papous" (...-Georgius) (c)
- 1935 - "Ploum Ploum Ploum" (Eblinger-Georgius)
- 1935 - "Marie-toi" (Darley-Georgius) (b)
- 1935 - "La Marche Goodrich-Colombes" - disque hors-commerce, publicité pour Goodrich
- 1935 - "Tangos... tangos" (Juel-Georgius) (*) (**) (****) (b)
- 1935 - "Marie" (René Darley-Georgius) (****)
- 1936 - "Ulalie" (Trémolo-Georgius) (****)
- 1936 - "Tu mens" (Poussigue-Georgius) (****)
- 1936 - "Triste lundi, La chanson qui tue les mites" (Gabaroche-Georgius) (*) (**) (a) (b)
- 1936 - "Au Lycée Papillon" (Juel-Georgius) (*) (**) (a) (b) (****)Chanson Au Lycée Papillon
- 1936 - "Juanito le dompteur" (Juel-Georgius) (**) (****)
- 1936 - "Les Merlans" (Dommel-Warms-Georgius) (**) (****) (b)
- 1936 - "Le Cid, Rodrigue as-tu du cœur ?" (Juel-Georgius) (*) (**) (a) (****)
- 1936 - "Quand les andouilles voleront" (Juel-Georgius) (**) (a) (b) (****)
- 1936 - "Du persil dans les narines" (Juel-Georgius) (**) (****)
- 1936 - "Le Fakir" (Claret-Georgius) (a) (****)
- 1937 - "Dure de la feuille" (Claret-Georgius) (**) (a) (b) (****)
- 1937 - "La Chanson de l'exposition" (Juel-Georgius) (**) (****)
- 1937 - "Si tu tâtais mon cœur" (Juel-Georgius) (**) (****)
- 1937 - "Tu y as pris goût" (...-Georgius) (****)
- 1937 - "Monsieur Bébert" (Clamens-Georgius) (*) (**) (b) (****)
- 1937 - "La Mise en bouteille" (Trémolo-Georgius) (**) (a) (b) (****)
- 1938 - "Il travaille du pinceau" chanson contre Hitler (Georgius)
- 1938 - "Ça... C'est d'la bagnole"
- 1938 - "Les Frères Siamois" (Revil-Georgius) (a)
- 1938 - "Partir en péniche" (...-Georgius)
- 1938 - "Qui qu'a fait le coup ?" (Pipon-Georgius) (***)
- 1937 - "Le Badaud du dimanche" (Revil-Georgius) (*) (**) (***) (a)
- 1938 - "La Femme fatale" (Scotto-Berthal-Maubon-Georgius) (*) - Hors commerce, enregistré sur acétate.
- 1938 - "Tu mens" (...-Georgius) - Disque hors commerce, enregistré sur acétate.
- 1938 - "Ca, c'est de la bagnole" (Poussigne-Georgius) (*) (**) (a) (b) (****) (Voir le lien à la fin)
- 1938 - "Elle aime bien sa mère" (Trémolo-Georgius) (**) (****)
- 1938 - "Il faut saisir la chance" (1ière partie)
- 1938 - "Il faut saisir la chance" (2ième partie)
- 1938 - "Deux oeufs durs dans du Porto" (Wrams-Dommel-Georgius) (a) (****)
- 1938 - "Le Chant de l'insigne" (Trémolo-Georgius) (*) (****)
- 1938 - "Kaoutchouski, Le roman authentique du plus grand Cosaque de l'Oural" (Bernadac-Georgius) (*) (a)
- 1938 - "On n'peut pas plaire à tout le monde" (Chobillon-Georgius) (*)
- 1938 - "C'était de la publicité" (...-Georgius)
- 1938 - "Conga-bas, Conga-haut" (...-Georgius)
- 1938 - "Daniel Pinoche" (1ière partie) (...-Georgius) (b) (****)
- 1938 - "Daniel Pinoche" (2ième partie) (...-Georgius)
- 1939 - "Sur la route de Pen-Zac" (Trémolo-Georgius) (*) (**) (a) (b) (****)
- 1939 - "Des idées" (Trémolo-Georgius) (*) (**) (b) (****)
- 1939 - "Monsieur Papouille" (Trémolo-Georgius) (***) (****)
- 1939 - "C'est pour demain" (Prud'homme-Georgius) (***) (****)
- 1939 - "J'ai déjà vu cette tête-là quelque part" (...-Georgius) (b) (****)
- 1939 - "Totor ou Le roman d'un bagnard" (Bernadac-Georgius) (**) (a) (****)
- 1939 - "Il travaille du pinceau" (Ackermans-Georgius) (a) (****)
- 1939 - "Dans la cave de ma maison" (Desmoulins-Georgius) (*) (****)
- 1940 - "Tu n'lis donc pas les journaux" (...-Georgius)
- 1940 - J'lui ai prêté mon stylo (Warms-Georgius) (***) (****)
- 1940 - "Hello remonte ton pantalon" (...-Georgius)
- 1940 - "En vélo" (Birgé-Georgius) (*) (****)
- 1940 - "Méfie-toi de la patrouille" (Trémolo-Georgius) (a) (****)
- 1940 - "Elle a un stock" (Rawson-Georgius) (*) (***) (c) (****)
- 1941 - "Mon heure de Swing" (Rawson-Georgius) (*)(****)
- 1941 - "J'connais la musique" (Mercier-Georgius) (*) (a)
- 1942 - "La Campagne et moi" (...-Georgius)
- 1942 - "La Sérénade à Mézigot" (...-Georgius)
- 1942 - "La Taverne des peinards" (...-Georgius)
- 1942 - "Un Coup de vieux" (Rawson-Georgius) (*)
- 1942 - "Partir la veille" (Trémolo-Georgius) (a)
- 1943 - "Keksekça papa ?" (...-Georgius)
- 1943 - "L'Omnibus de Coucy-les-Coucous" (Birgé-Pothier-Georgius) (*)
- 1943 - "Diguadidou" (Durand-Georgius)
- 1943 - "Totor est un têtu" (...-Georgius)
- 1943 - "Deux commères" (...-Georgius)
- 1943 - "Il en était" (Warms-Georgius) (*) (a)
- 1944 - "Diguadidou"
- 1946 - "Mon cheval de course" (...-Georgius)
- 1946 - "Un Petit événement" (...-Georgius)
- 1946 - "Ta peau de roux" (...-Georgius)
- 1946 - "Dorénavant" (Bourtaye-Scarella-Georgius) (a)
- 1950 - "Si vous étiez venu hier" (...-Georgius)
- 1950 - "La Samba de la vieille vache" (...-Georgius)
- 1950 - "En r'venant de la revue" (Delormel et Garnier)
Finalement, en décembre 1964, Georgius enregistre (à nouveau dans la plupart des cas) douze de ses plus grands succès sous l'étiquette Philips :
- 1964 - "La Plus bath des javas" (Trémolo-Georgius)
- 1964 - "Camille" (...-Georgius)
- 1964 - "Imprudentes !" (Maubon-Eblinger-Georgius)
- 1964 - "Méfiez-vous d'Anatole" (Chagnon-Georgius)
- 1964 - "Les Archers du roy" (Gey-Georgius)
- 1964 - "Un Flirt... et puis c'est tout" (Lenoir-Georgius)
- 1964 - "Sur un air de shimmy" (Mercier-Georgius)
- 1964 - "Partir en péniche" (...-Georgius)
- 1964 - "Le Fils de la bohémienne" (...-Georgius)
- 1964 - "Sur la pointe des pieds" (...-Georgius)
- 1964 - "Fleurs des fortifs" (On l'appelait) (Lenoir-Georgius)
- 1964 - "Le Gardien du phare de Joinville" (...-Georgius)
Filmographie
- 1932 - Pas de femmes de Mario Bonnard avec Fernandel, Raymond Aimos, Francine Chevreuse, Teddy Dargy
- 1933 - La maison hantée de Roger Capellani avec Max Berger, Amy Cariel, Monette Dinay, Paulette Dubost, Roger Goupil, Maximilienne, Suzy Pierson et Trévoux
- 1934 - Le club des fauchés de André Pellenc (court-métrage d'après la pièce de Georgius)
- 1934 - Un train dans la nuit de René Hervil avec Dolly Davis, Charles Dechamps, Alice Tissot
- 1935 - Sans elle de M.Deleric (court-métrage)
- 1935 - Avec les pompiers de René Bussy (chanson filmée)
- 1935 - Le train d'amour de Pierre Weill avec Nino Constantini, le Moralès de Judex 34 de Maurice Champreux (1934), Colette Darfeuil et Vanda Gréville
- 1936 - Le lycée Papillon de Louis Cuny (chanson filmée)
- 1936 - Vous n'avez rien à déclarer ? de Léo Joannon avec Raimu (dans le rôle de Papillot), Pierre Brasseur (dans celui d'Edmond Trivelin) et Pauline Carton (dans celui de Madame Trivelin) et Saturnin Fabre
- 1938 - Champion de France de Willy Rozier
- 1939 - Le vrai marsouin
- 1940 - Vingt-quatre heures de perm' de Maurice Cloche
- 1949 - Tête blonde Maurice Cam (scénario de Georgius, qui ne joue pas le film) avec Jules Berry, Pauline Carton, Jeanne Fusier-Gir, Marcel André, Mouloudji, Jean Tissier.
- 1951 - Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier
Romans
- 1954 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 295 : Mort aux ténors
- 1956 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 330 : Tornade chez les flambeurs
- 1958 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 442 : Crochet pour ces dames
- 1959 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 481 : À toi de donner
- 1959 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 530 : Arrêtez le massacre !
- 1960 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 569 : Flics-flacs
- 1962 - roman policier "Série Noire" de Gallimard : Numéro 727 : Du bromure pour les gayes
Il écrira, par ailleurs d'autres romans policiers, aujourd'hui introuvables :- La guerre des crabes n'aura pas lieu
- Comme deux gouttes d'eau
- Les mémoires d'un tueur
- Doucement les basses
- Quatre fois treize
- Jusqu'à l'os
- Montmartre
- by night
- Brouillard sur la Thémis
- Le premier attendra l'autre
Voir aussi
Bibliographie
- Georgius, l'amuseur public N°1 - Jean-Jacques Chollet - Éditions Christian Pirot (1997).
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