Débit d'eau

Débit d'eau

Hydrométrie

Station de jaugeage de la Snoqualmie, rivière de l'état de Washington. Les données sont télétransmises, comme le laisse deviner l'antenne.

L'hydrométrie est la branche de la métrologie qui concerne les mesures d'écoulement de l'eau.

Sommaire

Notion de débit instantané

Le débit instantané est le volume deau passant à travers la section d'un cours d'eau pendant une unité de temps

Q = \frac{V}{t}
  • Q débit (en m³/s)
  • V volume (en m³)
  • t temps (en s)

Les débits faibles peuvent être exprimés en litres par seconde (l/s) ou en mètres cubes par heure (m³/h)

Si le volume est vu comme le produit dune surface (S en mètres carrés) par une longueur (L en mètres) soit V = S \times L, alors le débit est donné par la relation :

Q = \frac{S \times L}{t} = \frac{L}{t} \times S = V_{moy} \times S

Vmoy est la vitesse moyenne dans la section.

La précision dune mesure de débit dépend de nombreux facteurs : méthode employée, soin apporté lors des mesures, rigueur dans le dépouillement, influence du terrain, etc.

Les différentes méthodes de mesure instantanée de débit

Il n'existe pas de méthode, ni dappareillage universel pour la mesure du débit, le choix d'une méthode est conditionné par divers facteurs, on peut citer en particulier :

  • la configuration du site et les conditions d'écoulement ;
  • le matériel de mesure et le temps disponibles ;
  • le nombre de personnes pouvant participer à la mesure ;
  • enfin la précision que l'on souhaite obtenir.

La mesure du débit d'un liquide s'écoulant à l'air libre repose sur trois grandes familles de méthodes (classées selon le principe physique sur lequel elles reposent) qui sont :

  • les méthodes cinématiques
  • les méthodes dynamiques
  • les méthodes physiques

les méthodes cinématiques

Elles considèrent essentiellement la vitesse de l'écoulement. Deux types de méthodes présentées ci-après, se rattachent à cette catégorie :

la méthode capacitive

Cette méthode consiste à mesurer le temps de remplissage d'un volume donné à l'aide d'un chronomètre. Cette methode s'applique bien aux petits débits (quelques litres par seconde) et aux petites sections. La méthode doit être répétée au moins trois fois. Si l'on obtient le même ordre de grandeur les trois fois, on fait la moyenne des trois mesures et on utilise la formule Q = V / T moyen. Cette methode est simple, rapide et peu coûteuse ;

Date 30/03/1966
Volume du seau V (l) 30
temps de remplissage 1 12,3
temps de remplissage 2 12,4
temps de remplissage 3 13,1
Temps moyen Tm 12,6
Débit (l/s) Q = V / Tm 2.4

la méthode par exploration du champ de vitesses

La vitesse de l'écoulement n'est pas uniforme dans la section transversale du cours d'eau.

Il est donc nécessaire d' "explorer le champ de vitesses" en réalisant des mesures en plusieurs points de la section, généralement situés le long de verticales judicieusement réparties sur la largeur de la rivière.

À partir de ces relevés ponctuels, on détermine sur chacune des verticales , une vitesse moyenne qui est considérée comme représentative de la vitesse de l'écoulement sur un élément de la surface mouillée.

Celle-ci étant ainsi découpée en plusieurs éléments juxtaposés, le débit total est obtenu en faisant la somme, sur toute la largeur de la rivière, des produits de la vitesse moyenne de l'écoulement par la surface de l'élement de section correspondant. Les mesures de vitesse de l'écoulement peuvent être réalisées avec différents types de matériels, les plus couramment utilisés étant les moulinets et les flotteurs. Dans les années 1990 est apparue la technique de la mesure par Débitmètre Doppler utilisé en océanographie pour étudier les courants marins.

Article détaillé : débitmètre.

La précision dans la mesure du débit s'en trouve accrue si :

  • les conditions de l'écoulement ne varient pas pendant la mesure  ;
  • les vitesse en tous points sont parallèles entre elles et à angle droit avec la section de mesure ;
  • les courbes de répartition des vitesses le long des verticales ou des horizontales sont régulières ;
  • les dimensions géométriques de la section sont nettement définies.

Afin de respecter ces recommandations, l'emplacement de la mesure retenu doit, autant que possible, présenter les caractéristiques suivantes :

  • le bief doit être rectiligne et présenter une section et une pente uniformes ;
  • l'écoulement doit être éloigné de tout coude ou tout obstacle, naturel ou artificiel, susceptible d'engendrer une perturbation de l'écoulement (les filets liquides doivent être parallèles) ;
  • les sites l'on trouve des tourbillons, des zones d'eaux mortes, des écoulements trop convergents ou divergents sont à éviter.

mesure à laide dun moulinet classique

Les mesures sont généralement faites à partir de moulinets à hélice, à axe horizontal. Le moulinet est composé dun élément appelé « corps du moulinet » comportant un axe horizontal sur lequel tourne une hélice. La rotation de lhélice produit des impulsions qui sont détectées et comptabilisées par un dispositif électronique appelé compteur, connecté au corps du moulinet. Ce compteur indique le nombre de tours effectué pendant le temps présélectionné. Le moulinet est monté sur un support fixé sur une perche graduée, ronde ou ovale.

Le moulinet est immergé dans le cours deau face au courant, la vitesse de rotation de lhélice est liée, par une relation, à la vitesse locale découlement. Une hélice est caractérisée par son pas et son diamètre. Le pas est la distance parcourue par leau pour générer un tour dhélice. La relation entre la vitesse découlement et la vitesse de rotation de lhélice est appelée « courbe détalonnage « de lhélice.

V = a \times n + b

  • V vitesse du courant en m/s
  • a pas de lhélice en m
  • n nombre de tours dhélice par seconde
  • b vitesse de frottement ou vitesse de démarrage
  • hélice Dumas n°1-71605  :
    •  n < 1,8 \qquad \qquad \quad v =  0,0615 \times n + 0,012
    • 1,8 < n <  6,67 \qquad v =  0,0572 \times n + 0,02

Chaque hélice doit être utilisée dans la gamme de vitesse pour laquelle elle a été tarée.

mesure à laide dun courantomètre électromagnétique

Un autre type dappareil peut être employé pour mesurer la vitesse de lécoulement. Il sagit du courantomètre électromagnétique (sonde électromagnétique associée à un indicateur électronique de vitesse).

Leau, en se déplaçant dans le champ magnétique généré par la sonde, produit une force électromotrice induite proportionnelle à la vitesse de lécoulement.

Ce type de matériel a de nombreux avantages : aucune pièce en mouvement (faible risque de détérioration et entretien réduit), indication directe de la vitesse de lécoulement, gamme étendue de vitesses mesurables -0,1 à + 6 m/s

Ce type de matériel est très intéressant car il permet de mesurer des vitesses très faibles et il nest pas gêné par les herbes aquatiques.


Le dépouillement, réalisé autrefois manuellement, est désormais fait automatiquement grâce à loutil informatique;

mesure à laide de flotteurs

Ce procédé est à utiliser  :

* sil est impossible demployer un moulinet (vitesses ou profondeur excessives, présence de matériaux en suspension ou vitesses trop faibles , etc.) ;

* si lon veut obtenir une estimation rapide du débit.

La vitesse de lécoulement est déterminée en mesurant la vitesse de déplacement de flotteurs largués dans le cours deau. On peut utiliser des flotteurs naturels ou artificiels : bouchons de pêche, bulle deau, morceaux de bois, tubes PVC bouchés, bouteilles, balles de ping-pong, balle de caoutchouc, orange ( presque la même densité que l'eau, naturelle et voyant) etc.

Les flotteurs peuvent servir à la détermination des vitesses de lécoulement en surface, en profondeur, ou moyenne sur une verticale

Q  =  k \times V_m \times S
  • k coefficient de débit inférieur ou égal à 1 (sans dimension) ;
  • Vm vitesse moyenne (en m/s) donnée par le temps moyen mis par le ou les flotteurs pour parcourir une distance ;
  • S section mouillée en m².

les méthodes dynamiques

  • méthode hydraulique

Ces méthodes peuvent être mises en œuvre lorsque lécoulement se produit sur des ouvrages de structure bien déterminée pour lesquels le débit peut être obtenu à partir, notamment, de la hauteur deau mesurée à lamont de louvrage.

La relation utilisée pour obtenir le débit « Q » en fonction de la hauteur deau amont « h » provient de résultats de tests réalisés en laboratoire ou sur le site, constituant l’ »étalonnage » (ou le tarage ) de louvrage. La relation « Q=f(h) » peut se présenter sous la forme dune courbe ou dun tableau donnant directement la correspondance hauteur-débit, ou dune formule hydraulique comportant un ou plusieurs coefficients résultant de létalonnage.

Le niveau de précision que lon peut attendre de ces méthodes dépend évidemment du soin apporté dans la réalisation des mesures, mais aussi :

  • de la qualité de létalonnage préalable et, dans le cas dutilisation de formules, du choix du coefficient adapté ;
  • de limportance de lécart entre les conditions qui ont prévalu lors de létalonnage et les conditions réellement rencontrées lors de la mesure (en particulier, caractéristiques de louvrage et conditions découlement).

Sur un cours d'eau, on peut rencontrer plusieurs sortes douvrages hydrauliques : déversoirs, ou seuils, vannes, orifices, Échelle à poissons, etc. On peut les regrouper en deux grandes catégories :

  • ouvrage étalonné ou copie conforme douvrage étalonné ;
  • ouvrage non étalonné.

La relation hauteur d'eau-débit peut être calculée sans étalonnage pour les seuils réguliers.

Vertedero libre.JPG

Actuellement, les ouvrages sur lesquels le débit doit être contrôlé au titre de larticle « L 232-5 » ne sont pas, pour la plupart, étalonnés. Cependant, cette situation devrait évoluer puisque la réglementation impose aux exploitants, lors de toute nouvelle construction ou de tout renouvellement de concession, linstallation dun dispositif étalonné permettant le contrôle permanent du débit maintenu dans la rivière.

les méthodes physiques

méthode par dilution

La méthode par dilution entre dans la catégorie des méthodes physiques, puisquelle est basée sur la prise en compte des variations de la concentration (propriété physique) dun traceur dans leau. Cependant, les traceurs employés sont souvent des corps chimiques que lon dose par des procédés chimiques ; d lappellation « méthode chimique » ou « jaugeage chimique » pour qualifier également la méthode de dilution.

La méthode n'est exposée ici que de manière résumée et simplifiée : on donne le principe général dun des procédés de mesure par cette méthode (procédé par injection instantanée).

Il faut signaler demblée que cette méthode, plus que les autres, exige beaucoup de technicité et pour une mise en œuvre effective, il est nécessaire davoir suivi une formation pratique préalable ou de faire appel à une ou plusieurs personnes expérimentées pour conduire les opérations.

Ces recommandations étant données, la méthode de dilution présente des potentialités intéressantes, et lorsque les conditions de mesure sont optimales, la précision obtenue est très satisfaisante (de lordre de 5 %). En outre, elle est particulièrement adaptée aux petits débits et reprèsente, dans certaines conditions de site (notamment pour certains tronçons de torrents de montagne), le seul moyen de détermination du débit. Elle est également complèmentaire de la méthode par exploration du champ des vitesses : les caractéristiques découlement convenant à lutilisation de la méthode de dilution sont justement, pour la plupart, celles qui font déconseiller lutilisation de la méthode par exploration du champ des vitesses.

La méthode consiste à injecter un traceur en solution (de concentration connue) en un point du cours deau et à suivre lévolution de sa concentration au niveau dune section située à laval. La distance entre le point dinjection et la section aval choisie doit être suffisante pour que le mélange du traceur avec leau puisse être complètement réalisé. La longueur minimale du tronçon de rivière nécessaire pour assurer ce mélange est appelée communément « longueur de bon mélange ».

La méthode est particulièrement adaptée aux torrents de montagne sur lesquels le brassage est important (tourbillons, lits sinueux, forte rugosité), mais elle peut également être employée sur des cours d'eau plus calmes, à condition de prendre une « longueur de mélange » plus grande.

Linjection seffectue sous forme dune solution concentrée, soit de façon quasi instantanée, soit de façon continue à débit constant.

Seule la méthode par injection instantanée (appelés aussi méthode globale ou méthode par intégration) est donnée ici, car :

  • sa mise en œuvre reste simple (notamment, il ny a pas besoin déquipement particulier dinjection) ;
  • elle n'exige l'injection que d'une faible quantité de traceur, d' moins de risques pour la qualité de leau et un coût modique.
Q = k \left( \frac{C_1}{C_2} \right)
  • k coefficient de débit inférieur ou égal à 1(sans dimension)
  • C1 concentration du traceur au point dinjection
  • C2 concentration du traceur à laval du point dinjection

Les différentes stations permanentes de débit

Les stations classiques

Ce sont des stations qui permettent de calculer le débit grâce à une relation univoque entre la hauteur et le débit . Pour une hauteur h donné , il ny a quun et un seul débit.

Ces stations abritent une centrale dacquisition qui mesure le niveau à pas de temps fixe ou variable et stocke linformation sous forme de fichier hauteur-temps

Les équipes de terrain effectuent régulièrement des mesures ponctuelles de débit, décrivant ainsi tous les régimes hydrologiques ( hautes , moyennes et basses eaux ) .

Chaque mesure de débit permet dobtenir un couple ( hauteur moyenne , débit ) . Lensemble des couples ( h, Q) permet de tracer une courbe passant au plus près des points, courbe qui sappelle la courbe de tarage . La courbe est définie sous forme de fonctions mathématiques , paraboliques ou plus quelconques sous de forme de lignes brisées .

Ces courbes évoluent dans le temps , et des mesures ponctuelles de débit peuvent sécarter de la courbe idéale , on parle alors de détarage comme par exemple au cours de la période la végétation aquatique pousse . Des travaux réalisés sur une rivière , comme un curage , peuvent également rendre une courbe de tarage caduque .

Une courbe de tarage est donc valide dune date à une autre date . Lexploitation de fichiers hauteur - temps dépend de la qualité de la courbe  : si un niveau est dépassé et que lon ne connaîsse pas son débit correspondant , on parle de hauteur hors courbe . Dans ce cas , on extrapole la courbe et on attend parfois des années avant davoir la confirmation de cette extrapolation

  • Coût moyen dune station automatique ( h, t ) télétransmise  : ( 7500 € - 50 000 F )

Certaines rivières naturelles ou canalisées nont pas de courbe de tarage : lensemble des points ( h , Q ) est un nuage de points. Certaines stations débitmétriques mesurent un débit instantané sans avoir besoin de courbes de tarage .

les stations ultrasonores

La technique utilisée sappuie sur la mesure de la durée du trajet dimpulsions ultrasonores traversant la rivière selon un angle par rapport au courant. Le temps selon la vitesse de leau et le débit en est déduit.

  • Ce système nest pas adapté pour les mesures de débit dans les rivières larges et peu profondes ( risque de réflexion sur la surface ou sur le fond .
  • Le cours deau doit être rectiligne sur une longueur au moins égale à 10 fois sa largeur . Sa géométrie doit être stable dans le temps . Leau doit être la plus homogène possible au point de vue température .
  • La présence de bulles dair causées par des chutes deau doit être évitée

Description de la mesure

Plusieurs paires de transducteurs sont montées en opposition sur les rives, à différentes profondeurs bien définies , chaque transducteur se comportant alternativement comme émetteur puis comme récepteur dondes ultrasoniques .

Ces ondes sont reçues par les transducteurs opposés de chaque paire après un temps dépendant de la longueur du trajet, de la vitesse c du son sur ce trajet et de la composante de vitesse de leau.

Si leau est calme, les deux ondes arrivent simultanément, mais si elle est agitée, lune des deux impulsions arrivera avant lautre. Les instants de transit relatifs au trajet considéré sont appelés t1 et t2. À partir de ces instants, la vitesse moyenne de la tranche deau peut être calculée.

Pour un trajet ultrasonique, en effet, la composante vitesse de leau moyenne le long du trajet peut être formulée de la façon suivante : t_1= \frac{L}{c  + V_p} et t_2 = \frac{L}{c - V_p} avec:

  • L longueur du trajet,
  • c vitesse du son dans leau,
  • Vp composante vitesse moyenne,
  • t1 et t2 temps de trajet

Vp est indépendant de c et peut sexprimer en fonction de t1 et t2 :

 V_p = L \times \frac{t_2 - t_1}{2t_1 \times t_2}

La vitesse moyenne de l'eau V1 est alors de  :

V_1  = \frac{V_p}{\cos \theta}
  • cosθ est le cosinus de langle entre la direction de lécoulement et le trajet des ondes ultrasoniques

Le débit total est obtenu en ajoutant les résultats de ces différentes mesures

Q    = \sum_{i=0}^{n} Q_i  \times S_i

  • n nombre de cordes ultrasoniques plus une
  • Qi débit partiel
  • Si surface entre cordes
  • coût dune station ultrasonique  : 40 000à 150 000

les stations électromagnétiques

Cette technique est fondée sur linduction électromagnétique . Des électrodes posées dans les berges de la rivière mesurent un voltage généré par le passage de leau à travers un champ magnétique vertical crée par un enroulement électromagnétique.

Le cours deau doit être tapissé dune membrane lourde isolante. La loi de Lenz-Faraday e = - \frac{dF}{dt} permet décrire :

Q = f(F)

  • F flux magnétique

La technique électromagnétique est utilisable quand leau nest pas homogène à cause dun mauvais mélange de deux sources , ou quand le canal est obstrué par de la vase, des herbes, des dépôts ou des débris

La mesure électromagnétique nest pas affecté par le passage de péniches , par la modification des dépôts et linstabilité des fonds . Elle est insensible à la poussée de végétation aquatique, aux bulles dair et aux matières en suspension . Elle nest pas affecté par des températures variables, ni par des courants obliques .

Par contre cette mesure peut être perturbée par des lignes électriques ou des émissions radio, sources dinterférence

La rivière doit être rectiligne sur une distance égale à 3 fois sa largeur et faire moins de 20 mètres de large en raison du coût de revient .

  • coût dune station électromagnétique : supérieur ou égal à 150 000

Finalité de l'hydrométrie

  • Banque nationale des débits : banque HYDRO
  • Connaissance générale : gestion de leau (sécheresse, inondations)
  • Modélisations des crues
  • Dimensionnement d'ouvrages d'art
  • Mesure de pollution
  • Réseaux d'assainissement

Voir aussi

Liens internes

Lien externe

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