- Vieillesse (nouvelle)
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Vieillesse est une nouvelle d’Anton Tchekhov (en russe : Starost).
Sommaire
Historique
Vieillesse fut initialement publié dans la revue russe Les Éclats, numéro 47 du 23 novembre 1885 sous le pseudonyme A.Tchékhonté[1].
Résumé
L’architecte Ouzelkov, conseiller d’état actuel dans la table des rangs revient pour son travail dans sa ville de naissance après dix huit années d’absence.
Il demande au portier de l'hôtel des nouvelles de ses anciennes connaissances, beaucoup ont disparus ou sont ruiné, seul l’avoué Chapkine semble être resté le même, il va le voir. Chapkine est heureux et lui raconte les détails du divorce entre la défunte Mme Ouzelkov et Ouzelkov.
Ouzelkov ayant quitté la ville, il avait mandaté Chapkine d’arranger son divorce aux torts de sa femme, elle y avait consenti contre dix mille rouble alors qu’il avait prétendu quinze mille à Ouzelkov, puis elle avait sombré dans la débauche et l’alcool et était morte peu de temps après.
Chapkine emmène Ouzelkov sur sa tombe, il est ému, il voudrait pleurer : « Oh ! Pleurer ! Pleurer ! » Mais les larmes n’arrivent pas à sortir, elles sont bloqués par la vieillesse.
Notes et références
- ISBN 978 2 296 11343 5) Voir Dictionnaire Tchekhov, Page 305, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (
Édition française
- Vieillesse, traduit par Édouard Parayre, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1967 (ISBN 978 2 07 0105 49 6).
Catégories :- Nouvelle d'Anton Tchekhov
- Nouvelle parue en 1885
- Nouvelle publiée dans Les Éclats
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