- Religion sérère
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La religion sérère, Fat Rog (« la voie du divin »), regroupe les croyances, pratiques et enseignements religieux du peuple sérère installé dans la région de Sénégambie. Les Sérères croient en une divinité suprême universelle appelée Rog. Les croyances religieuses sérères se fondent sur des chants et des poèmes anciens ; elles comprennent la vénération et les offrandes aux dieux, déesses, saints et anciens Sérères, ainsi qu'aux esprits ancestraux (Pangool), mais aussi des croyances astronomiques et cosmologiques, des rites d'initiation, des pratiques médicales et une histoire du peuple sérère[1],[2].
Sommaire
Croyances
Divinité
Les Sérères croient en une divinité suprême universelle appelée Rog (également orthographiée Roog) et parfois dénommée Rog Sene (« Rog l'Immensité »). Ils ont une tradition religieuse élaborée traitant des diverses dimensions de la vie, de la mort, de l'espace et du temps, des communications avec les esprits ancestraux, et de la cosmologie. Il y a aussi d'autres dieux et déesses moindres tels que la déesse Mendis (Mindiss n'est pas un dieu mais le génie (une femme) protecteur de Fatick (une région du Sénégal) et du bras de mer qui porte son nom), déesse de la rivière, le dieu Thiorak (également orthographié Tulrakh), dieu de la richesse, et le dieu Taahkarr (aussi orthographié Takhar), dieu de la justice ou de la vengeance[3]. Le nombre total de cérémonies religieuses et de fêtes sérères est supérieur à celui de toutes les fêtes abrahamiques rassemblées (celles du judaïsme, du christianisme et de l'Islam) ; chacune est aussi ancienne que le peuple sérère lui-même[2]. Rog Sene est le créateur ; il n'est ni un dieu, ni une déesse, mais au-dessus d'eux ; ni diable, ni génie, il est le seigneur de la créature[4]. Rog est l'incarnation même de la foi, mâle et femelle, auquel on fait des offrandes au pied des arbres (comme le baobab, arbre sacré), la mer, le Sine (fleuve sacré), dans les foyers ou dans les sanctuaires collectifs. Rog Sene est inaccessible sauf, dans une moindre mesure, par les Grands Prêtres et Prêtresses Sérères (Saltigué), qui ont été initiés et possèdent les connaissances et le pouvoir d'organiser leurs pensées en une seule unité cohérente.
Esprits ancestraux
Les Sérères ordinaires adressent leurs prières au Pangool (l'esprit des ancêtres, qui sont les intermédiaires entre le monde des vivants et le divin). Un Sérère orthodoxe doit rester fidèle à l'esprit des ancêtres car son âme est sanctifiée en raison de cette intercession. L'importance du Pangool est autant historique que religieuse. Les esprits des ancêtres sont reliés à l'histoire du peuple sérère du fait de l'association du Pangool à la fondation des villes et des villages sérères : un groupe de Pangool devait accompagner les fondateurs du village, appelés Lamanes (ou Lamans, les anciens rois sérères), sur leur chemin en quête de terres à exploiter. Sans eux, les exploits des Lamans n'auraient pas été possible. Les anciens Lamans ont érigé des sanctuaires au Pangool, devenant ainsi les prêtres et les gardiens du Sanctuaire. En tant que tel, ils sont devenus les intermédiaires entre la terre, le peuple et le Pangool[5]. Lorsqu'un roi, une reine ou tout autre membre de la lignée Lamane passe dans le monde des esprits, la communauté sérère tout entière les célèbre en l'honneur des vies exemplaires qu'ils ont vécues sur la terre en conformité avec les enseignements de la religion sérère. En adressant leurs prières au Pangool, les Sérères reprennent les chants anciens et offrent en sacrifice des buffles, des moutons, des chèvres, des poulets ou des récoltes.
Divinité et humanité
Dans la religion sérère, Rog Sene est l'élément vital auprès duquel les âmes incorruptibles et sanctifiées retournent à la paix éternelle après leur départ du monde vivant. Rog Sene n'interfère pas dans les affaires quotidiennes du monde vivant, mais voit, sait et entend tout. Des dieux et déesses inférieurs agissent au nom de Rog dans le monde physique. En tant que tels, les individus ont leur libre arbitre pour vivre une bonne vie spirituellement remplie conformément aux doctrines religieuses, ou à l'opposé de ces doctrines par un mode de vie non sanctifié dans le monde physique. Rog Sene n'interfère pas dans la façon dont on vit, on dispose donc de la volonté de faire ce que l'on croit être juste. Ceux qui font le bien et vivent une vie spirituellement remplies seront légitimement récompensés dans la vie future. Ceux qui vivent leur vie contrairement aux enseignements seront de plein droit jugés dans l'au-delà.
Après la vie
Il n'y a pas de paradis ou d'enfer dans la religion sérère, où l'immortalité de l'âme et la réincarnation sont des croyances fortes. Les esprits des ancêtres —le Pangol— qui ont vécu des existences pures leur vie durant et ont atteint le plus haut degré de spiritualité, sont canonisés et vénérés comme saints après leur mort et obtiennent le pouvoir d'intercéder entre les vivants et le divin. Ils sont les seuls à posséder, en raison de leur pureté, la possibilité de se réincarner. L'acceptation par les ancêtres après la mort est proche de la notion de paradis, et le rejet d'une âme perdue est proche de celle de l'enfer dans la religion sérère[6].
Totems de famille
Chaque famille sérère a un totem (Taana). Les totems représentent les interdits aussi bien que les protections. Ils peuvent être des animaux, des plantes, etc. Par exemple, le totem de la famille Diouf est l'antilope. Toute brutalité contre cet animal par la famille Diouf est interdite. Son respect procure à la famille Diouf une sainte protection. Le totem de la famille N'Diaye est le lion et celui de la famille Sarr est la girafe[7].
L'ordre secret de la Saltigué
Les hommes et les femmes peuvent être initiés dans l'ordre secret du Saltigué. Conformément à la doctrine religieuse sérère, pour devenir un aîné spirituel (Saltigue), il faut être initié, ce qui est réservé à un petit nombre, en particulier dans les mystères de l'univers et du monde invisible. Le Xoy (également orthographié Khoy) est une cérémonie religieuse et un événement spécial dans le calendrier religieux des Sérères. C'est le moment où le Saltigué (grands prêtres et prêtresses sérères) viennent prédire l'avenir face à la communauté. Ces devins et guérisseurs adressent des sermons lors de la cérémonie de Xoy qui ont trait au temps qu'il va faire, à la politique, à l'économie, etc. C'est un événement très spécial qui rassemble dans cette région du Sine-Saloum des milliers de personnes venues de toutes les parties du monde. Les Sévères ultra orthodoxes et les Sérères syncrétisés (convertis à l'Islam ou au Christianisme et qui mélangent leur religion nouvellement acquise avec l'ancienne religion sérère) ainsi que les peuples non sérères comme le peuple Lébou (qui forment un groupe distinct mais qui vénèrent toujours les pratiques religieuses de leurs ancêtres sérères) entre autres, se rassemblent à Sine pour cette ancienne cérémonie. Les Sérères qui vivent en occident planifient parfois leur pélerinage plusieurs mois à l'avance. L'événement se déroule pendant plusieurs jours où les prédictions des Saltigué occupent une place centrale. La cérémonie débute habituellement dans la première semaine de juin à Fatick[8].
Quelques cérémonies sérères
- Xoy (également orthographié Khoy)
- Ndut
- Jobai
- Randou Rande
- Mindisse
- Mbosseh
- Mboudaye
- Tobaski
- Gamo (également Gamou)
- Tourou Peithie[9]
- Daqaar Mboob
- ... etc[10]
Pélerinage Raan à Tukar
Le pélerinage se déroule dans le vieux village de Tukar fondé par Jegan Joof (également Djigan Diouf) au XIe siècle[11]. Il est dirigé par les descendants de la lignée Lamanic. Il a lieu chaque année, le deuxième jeudi après l'apparition de la nouvelle lune d'avril. Dans la matinée du Raan, le Laman prépare des offrandes de mil, de petit-lait et de sucre, mélange appelé foox dans la langue sérère. Après le lever du soleil, le Laman fait une visite à l'étang sacré - le sanctuaire saint de Luguuñ (le Pangool - les saints ou les esprits des ancêtres) qui a guidé Jegan Joof lors de sa migration depuis Lambaye (nord du Sine). Le Laman fait son offrande au Luguuñ et passe la matinée en prière rituelle et méditation. Après cela, il fait une tournée dans Tukar et effectue des offrandes rituelles de lait, de millet et de vin ainsi que de petits animaux, dans les sanctuaires principaux (arbres et lieux sacrés) pendant que les gens se dirigent vers le chef des Saltigué - les prêtres héréditaire de la pluie, sélectionnés dans la lignée Laman pour leurs talents divinatoires[12].
Jour de repos
Dans la religion sérère, le lundi est le jour de repos. Des activités culturelles telles que Laamb (lutte sénégalaise), mariages, etc. sont également interdits le jeudi[13].
Loi religieuse des Sérères
La doctrine sur le mariage sérère
Courtiser une future épouse est autorisé, mais avec des limites. Les femmes donnent le respect et l'honneur de la religion sérère. La femme ne doit pas être déshonorée, et en doit s'engager dans une relation physique qu'après qu'elle a été mariée. Si un homme désire une femme, l'homme doit fournir des cadeaux à la femme comme une marque d'intérêt. Si la femme et sa famille acceptent, cela devient alors un contrat implicite et elle ne devrait donc pas accepter la cour de tout autre homme ou les cadeaux d'un autre homme dont le but est de lui faire la cour[14],[15].
La doctrine sur la relation avant le mariage sérère
Lorsqu'un jeune homme et une jeune fille étaient trouvés engagés dans des relations avant le mariage, les deux étaient exilés pour éviter la honte aux familles, même si une grossesse a découlé de cette relation[14].
La doctrine sérère sur l'adultère
Lorsqu'une femme mariée, par exemple, s'était engagé dans une relation adultère avec un autre homme, les deux adultères étaient humiliés de différentes manières. Le mari lésé prenait les sous-vêtements de l'autre et les accrochait sur sa maison pour montrer que l'amant avait rompu les lois sociales en commettant l'adultère avec son épouse. L'amant allait devenir la personne la plus détestée de la société Sérère. Tout le monde se moquerait de lui, personne ne voulait se marier avec quelqu'un de sa famille, et il était excommunié. Cela est considéré comme l'expérience la plus humiliante pour un homme. Les Sérères sont régis par un code d'honneur appelé "Gorie", beaucoup d'hommes se sont suicidés parce qu'ils ne pouvaient plus supporter une telle humiliation. Quant à la femme nifidèle, ses sous-vêtements ne seraient pas affichés, parce que dans la culture sérère les femmes sont respectées et tenues en haute estime. Toutefois, elle serait aussi humiliée, mais sous une forme différente : les femmes mariées tressent leurs cheveux dans un style particulier que seules les femmes mariées ont le droit de porter (c'est un symbole de leur statut, les plaçant au plus haut degré de respect parmi les femmes). La femme adultère perd ce droit, et les femmes de sa famille dénouent ses cheveux. Là encore, cela est tellement humiliant et dégradant pour une femme mariée, que de nombreuses femmes se sont se suicidées plutôt que d'affronter la honte. L'homme lésé peut pardonner à sa femme et à l'amant de sa femme s'il choisit de le faire ; dans ce cas, les amants adultères et leurs familles doivent se rassembler près du roi, du chef ou ou du groupe des anciens, et demander officiellement pardon. Ce sera en face de la communauté parce que les règles qui régissent la société ont été rompues. Cette doctrine s'étend à la fois aux hommes et aux femmes mariés ; la protection est accordée au conjoint lésé, indépendamment de son sexe[15],[14].
La doctrine sérère relative au meurtre
Tenue religieuse
Tandis que les chrétiens utilisent la croix à porter sur leurs cous, les Sérères utiliser quelque chose appartenant à leur ancêtre telles que les cheveux d'un ancêtre ou un ancêtre de précieux appartenant lequel ils se transforment en juju (charme religieuses) et de le porter, soit dans leur personne ou visiblement sur leurs cous[14].
Médecine, récoltes et offrandes
Les Sérères ont aussi une ancienne connaissance de herboristerie qui est transmis et prend des années à acquérir[16].
Le gouvernement Sénégalais a mis une école et un centre de préserver ce savoir ancien et de l'enseigner aux jeunes. Le CEMETRA (Centre Expérimental de Médecine Traditionnelle de Fatick) Composition seul composé d'au moins 550 guérisseurs Sérères professionnel dans la région Sérère du Sine-Saloum[17].
En Ndiane, "une partie du village Mbourouwaye dans la région de Thiès, située à 100km de Dakar, au début de la zone sahélienne, ce petit village a été fondé par certains habitants de Mbourouwaye qui cherchaient de nouvelles terres. Elle est essentiellement habitée par un groupe ethnique, les Sérères, qui pratiquent l'agriculture et l'élevage. Il existe un lien historique entre ces personnes et leurs terres ... les membres de ce groupe adoré leur Dieu appelle Rog Sene .. à travers le Pangool (représentant leurs ancêtres) En conséquence, ils offrent des cadeaux et de nourriture à des endroits spéciaux appelés Tuur. Plusieurs pratiques traditionnelles liées aux activités terrestres et agricoles sont connus, deux exemples sont décrits ci-dessous:
- Prédiction des cérémonies organisées par le Saltige, qui sont considérés comme les gardiens du savoir autochtone. Ces réunions sont destinées à fournir de l'information et les gens en garde contre ce qui se passera dans le village pendant la saison des pluies suivante.
- Préparation des semis, une cérémonie appelée "Daqaar Mboob" visant à assurer le mil bonne ou la production d'arachide. À cette fin, chaque producteur doit obtenir quelque chose qui s'appelle Xos, suite à une cérémonie compétitif composé de la chasse, les courses, etc."[16]
Influence de la religion sérère en Sénégambie
Tout comme les festivals de vieux païen sont empruntés et modifié par le Christianisme[18], qui est venu plus tard, les festivals religieux anciens Sérères sont également empruntés par les musulmans Sénégambie. Les Sérères sont une des tribus très peu en Sénégambie si ce n'est la seule tribu en dehors de la Diola qui ont réellement un nom pour Dieu [s] qui n'est pas emprunté à l'arabe, mais indigènes à leur langue. La raison à cela est, bien que les autres tribus avaient des noms pour leurs divinités dans les temps anciens, quand ils ont commencé à se convertir à l'islam en grand nombre, ils ont perdu cette partie de leur histoire la différence des Sérères. Tous les festivals Sénégambie musulmans comme Tobaski; Gamo; Korité; Weri Kor etc sont empruntés à des festivals Sérères anciennes religieuses. Ils ne sont pas Arabes, mais au nom de Sérère à l'origine. Tobaski était une ancienne chasse Sérères Festival; Gamo a été un festival Sérères ancienne de divination; Korite (du mot Sérère Kor) était un rite d'initiation masculine; Weri Kor a été la saison (ou mois) mâles Sérères anciens passés par leurs rites d'initiation. "Gamo" (vient du vieux Sérères mot "Gamahou" aussi Gamohou). Aïd Al Kabir ou Eid Adha (qui sont l'Arabe) sont totalement différentes de Sérères Tobaski, mais les musulmans Sénégambie a emprunté le mot de religion Tobaski Sérère pour décrire l'Aïd al Kabir. En similitude, ils ont aussi emprunté le mot de religion Gamo Sérères. Le mot arabe car il est Mawlid ou Mawlid une Nabi-(qui célèbre la naissance de Mohamed). Weri Kor (le mois du jeûne, Ramadan en Arabe) n'a rien à voir avec l'islam soit, ni ne Koriteh ou Korité (Aïd-el-fitr en langue Arabe qui célèbre la fin du mois de jeûne) a quelque chose à voir avec l'islam. Ils sont tous empruntés des mots de la religion Sérère.
Cosmologie sérère
L'une des étoiles les plus importants cosmologique des peuples Sérères est appelé "Yoonir" (peut signifier "le compagnon", "accompagnateur",etc..). L'étoile de Yoonir fait partie du cosmos Sérères. Il est très important et sacré et juste un des nombreux symboles religieux dans les Sérères religion et la cosmologie. Il est l'étoile la plus brillante de l'univers et communément appelée l'étoile de Sirius. Avec un patrimoine ancien de l'agriculture, Yoonir est très important et sacré dans la religion Sérère[19],[14], car il annonce le début des inondations et de permettre aux agriculteurs Sérères de commencer à planter des graines. Le peuple Dogon du Mali appellent Sigui, tandis que dans le sérère, il est appelé Yoonir - représenté sous la forme de l'Pangool (interceders avec Rog - la divinité suprême du peuple Sérère) et l'homme. Il est avant cet événement où les prêtres et les prêtresses Sérères Haute connu comme Saltigue se réunissent à La Xoy (également orthographié Khoy) Cérémonie annuelle de divination où ils prédire le cours de l'hiver parmi les autres choses utiles à la vie du peuple Sérère. Le "Pangool" (au pluriel) sont les esprits des ancêtres (aussi Saints Sérères ancienne religion sérère) représenté par les serpents[20].
Depuis sa publication de La Civilisation Sereer, Cossan (Cossan signifie l'histoire), Henri Gravrand prit comme point de départ dans La Civilisation Sereer, Pangool de l'histoire dans les Sereer Tekrour il ya 2000 ans, et a noté une importante découverte. Dans le milieu du Sahara, dans le Tassili, il a noté les gravures rupestres répertoriées par Henri L'hôte, où apparaît la trace de l'histoire sérère actuelle, une période remontant à la troisième ou quatrième millénaire. Cette gravure représente l'étoile du Sereer Yoonir, avec deux serpents enroulés, symbolisant la Pangool (esprits ancestraux aussi des saints anciens Sérères dans la religion sérère) ... Le rocher où l'étoile qui apparaît est le symbole de l'sereer Pangool qui était probablement un lieu de culte[20].
- Fixe vers le ciel ou dessiné sur le sol.
- L'étoile (Yoonir)
- Le symbole sereer de l'univers
- Les cinq branches représente la tête d'homme noir debout haute,
- les mains levées représentant le travail et la prière.
- Signe de Dieu
- Image de l'Homme[21].
Notes et références
- Salif Dione, L’Éducation traditionnelle à travers les chants et les poèmes sérères, Dakar, Université de Dakar, 1983, 344 p. (Thèse de 3e cycle)
- Henry Gravrand, La civilisation sérère, Pangool, Dakar, Nouvelles Editions Africaines (1990)
- Day Otis Kellog et William Robertson Smith, The Encyclopedia Britannica : A dictionary of arts, sciences and general literature, Volume 25, p. 64, Published by Werner, 1902
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- ISBN 2747589072), (ISBN 978-2747589079) Issa Laye Thiaw, La femme Seereer, éditions L'Harmattan, 2005, (
- Henri Gravrand, La Civilisation Sereer, Cosaan : les origines, Dakar, NEA, 1983,
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- ISBN 0520235916) Dennis Charles Galvan, pp. 108-111 et 122, 304, University of California Press, 2004, (
- ISBN 0520235916) Dennis Charles Galvan, p. 202, University of California Press, 2004, (
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- ISBN 0967790107 Biblical Archaeology Society. Bible review, Volumes 18-19. Published by: Biblical Archaeology Society, 2002.
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- ISBN 2-7236-1055-1) Henry Gravrand; La Civilisation Sérère - Pangool, Les nouvelles éditions africaines du Sénégal, 1990, pp. 9, 20 et 77, (
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