- Oscar Kiss Maerth
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Oscar Kiss Maerth (né en 1914, décédé à une date inconnue) est un auteur pseudo-scientifique né en Hongrie[1].
Durant sa vie, il effectua de nombreux voyages en Asie, en Amérique du Sud ainsi qu’en Australie avant de s’installer, avec sa femme et ses trois enfants, en Italie sur les bords du lac de Côme. Il s’attela à la restauration de la Villa Passalacqua.
Théories
Il a écrit un célèbre ouvrage pseudo scientifique intitulé « L’étrange naissance de l’homme », publié en 1971. Il le rédigea alors qu’il se trouvait dans le monastère chinois de Tsin San. Dans son travail il nie farouchement les thèses créationnistes et évolutionnistes de l’homme. Pour lui, l’homme serait le descendant d’un singe né de l’accouplement improbable d’une espèce africaine et d’une autre asiatique. Cet être hybride fut rejeté tant par la branche paternelle que maternelle. Esseulé, il essayait en vain de trouver une femelle avec laquelle il pourrait s’accoupler. Il en trouva finalement une qu’il prit de force à une horde ennemie. Ces derniers mécontents de voir cet intrus décidèrent de l’attaquer. Pour survivre, l’être hybride tua un de ses singes, et affamé il consomma son cerveau. Il constata que ce met lui augmentait considérablement ses facultés intellectuelles mais également ses besoins sexuels. Comme une drogue, il y prit donc rapidement goût. Les singes devenant cannibales s’entretuèrent ainsi toujours plus pour accroître sans cesse leurs désirs. Néanmoins, cette nouvelle alimentation, artificielle pour une espèce herbivore, entraina de profonds bouleversements hormonaux. Le temps passant, cet animal assoiffé de sangs perdit ses poils, se mit à marcher sur ces deux jambes, et se reproduisait à outrance.
Ce processus de cannibalisation aurait débuté il y a environ 1 millions d’années pour se terminer vers 50 000 ans avant JC. A cette époque-là, l’homme aurait pris conscience qu’à force de s’entre dévorer, son espèce risquait de disparaître. Il instaura donc des lois, comme le mariage, pour enrayer définitivement ce phénomène.
Cette augmentation considérable et anormale du cerveau aurait entraîné, chez l’homme, des désordres psychologiques irréversibles.
Maerth appui ses thèses grâce à ses rencontres avec des êtres cannibales dans des tribus reculés qu’il interrogea longuement. Un jour, il remarqua, alors qu’il mangeait du cerveau de singe, dans un restaurant en Asie du Sud, que l’absorption de cet aliment lui provoquait des sensations bien étranges[2].
Œuvre
Notes et références
- (en) J. L. Casti, Paradigms lost: images of man in the mirror of science, New York, Morrow, 1989, 1re éd. (ISBN 978-0-688-08131-7) (LCCN 88037232), p. 155
- Oskar Kiss Maerth, L'étrange naissance de l'homme, 1971
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