- Nicolas-Antoine Coulon de Villiers
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Nicolas-Antoine Coulon, Chevalier de Villiers (né en 1682, mort en 1733) est un officier de l'armée française au Québec.
Il était le fils de Raoul-Guillaume Coulon, sieur de Villiers et de Louise de Lafosse (m.1677, Beaumont-Sur-Oise), né en Bretagne, France. En 1705, il maria Angelique Jarret de Verchères (fille de François Jarret de Verchères et de Marie Perrot) à Québec. Quelque temps avant 1718, Nicolas aurait peut-être marié Madame de La Chesaigne[1].
- Les enfants de Nicolas et d'Angelique:
- Marie-Madelaine (n.1707) (1er.m.à Francois Duplessis Regnard Lefebvre en 1728; 2èime.m.à Claude **Marin, sieur de la Perrière; 3èime.m.à Joseph d'Amours, sieur de Clignancourt en 1754).
- Nicolas-Antoine II (1708-1750) (m.Madeleine-Marie-Anne Tarieux en 1743 - fille de Pierre-**Thomas Tarieu et Madeleine Jarret de Verchères)
- Louis (1710-1757) (m.Marie-Amable Prudhomme en 1753).
- François (b.1712) (m.1er.à Elizabeth Groston de St.Ange de Bellerive, m.2èime.à Madelaine **Marin & m.3èime.à Geneviève Esnoul de Livaudais.
- Joseph (b.1718) (m.Anne-Marguerite Soumande en 1754).
- Pierre (bapt.1720)
- Charles-François (bapt.1721)
- Marie-Anne (1722-1789) (m.Philippe-Ignace Aubert de Gaspé en 1745 - fils de Pierre Aubert de **Gaspe et Madeleine-Angelique Legardeur)
- Térese
- Marguerite
- Louise (bapt.1724) (m.Amable Prudhomme en 1753).
- Madeleine-Angelique (bapt.1726)
- Antoine (m.1er.à Marguerite-Marie-Anne Tarieu de la Perade en 1741 et m.2èime.à Madeleine en 1743)[2]
- Marie-Madelaine (n.1707) (1er.m.à Francois Duplessis Regnard Lefebvre en 1728; 2èime.m.à Claude **Marin, sieur de la Perrière; 3èime.m.à Joseph d'Amours, sieur de Clignancourt en 1754).
Nicolas-Antoine est arrivé à Québec en 1703 et en 1715 il fut lieutenant dans l'armée française. De 1725 à 1730, Nicolas était l'Officier militaire en commande du Fort Saint-Joseph. De ce fort, Nicolas conduit en août 1730, un régiment de canadiens et d'amérindiens contre le Fort Mesquakie Renards, construit 60 lieues au sud du Lac Michigan, et se joignant aux forces canadiens du Fort de Chartres et du Fort Miami pour préparé l'extermination de cette tribu. En janvier 1731, les survivants de cette campagne se sont rendus à Nicholas-Antoine au Fort Saint-Joseph, et plus tard dans l'année, ils les accompagnèrent jusqu'à Montréal, où le Gouverneur Beauharnois les pardonnèrent (Les écrits de Montigny à Michilimackinac). De 1731 jusqu'à sa mort, (tué par un Sauk en 1733), il commande et reconstruit le fort à La Baye au Wisconsin[3].
Lien externe
- Biographie du Dictionnaire biographique du Canada en ligne
Références
- Canada-Québec(Synthèse Historique), Montreal, Qc., 1977, p.135
- Canada-Québec(Synthèse Historique), Montreal, Qc., 1977, p.136
- Canada-Québec(Synthèse Historique), Montreal, Qc., 1977, p.162
- Les enfants de Nicolas et d'Angelique:
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