- La Plage des enfants perdus
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La Plage des enfants perdus
Données clés Titre original شاطئ الأطفال الضائعين Réalisation Jillali Ferhati Scénario Jillali Ferhati Acteurs principaux Fatima Loukili
Larbi El Yacoubi
Mohamed Timod
Souad FerhatiSociétés de production Héraclès Productions (Maroc)
FAS (France)
2M international (Maroc)Pays d’origine Maroc Genre drame psychologique Sortie 1991 Durée 88 minutes Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
La Plage des enfants perdus (شاطئ الأطفال الضائعين) est un film marocain réalisé par Jillali Ferhati, sorti en 1991.
Sommaire
Synopsis
Dans un village côtier marocain, Mina s'est isolée enfermée par son père à cause d'une grossesse, portant en elle le deuil de son amant qu'elle a assassiné par accident suite à une dispute. Sa belle-mère stérile prend sa revanche, elle exhibe une fausse grossesse dans les rues du village. Mais la petite communauté commence à se poser des questions. pourtant Mina trouvera la force de crier la vérité.
Fiche technique
- Titre original : شاطئ الأطفال الضائعين
- Titre français : La plage des enfants perdus
- Réalisation : Jillali Ferhati
- Scénario : Jillali Ferhati
- Photographie : Gilberto Azevedo, Jacques Besse
- Montage : Nathalies Perrey
- Musique :Djamel Allam
- Son : Francis Baldos
- Décors: Abdelkrim Akkelach
- Société(s) de production : Héraclès Productions (Maroc), Ministère des Affaires Etrangères (France), FAS (France), 2M international (Maroc)
- Pays d'origine : Maroc
- Langue : arabe marocain
- Genre : drame psychologique
- Durée : 88 minutes
- Date de sortie : 1er novembre 1991 Maroc
Distribution
- Souad Ferhati : Mina
- Fatima Loukili : La belle-mère
- Larbi El Yacoubi : le père
- Mohamed Timod
- Mohamed Larbi Khassan
- Nezha Zakaria Ramzi
Récompenses
- Prix d’interprétation féminine (Souad Ferhati) lors de la Biennale des Cinémas arabes à Paris.
Autour du film
- La lagune de l'oued Tahadart prêt d'Assilah a été le cadre du tournage du film La plage des enfants perdus[1].
Citations
- « J’ai voulu raconter une histoire universelle qui touche le cœur de chacun, quelle que soit sa culture ou son origine. La dissimulation n’est pas spécifique à la tradition arabe. La peur du scandale est partagée par toutes les sociétés. Ce qui m’intéresse, c’est le secret, celui qui lie la fille et le père, celui de la belle-mère, celui des habitants du village qui se livrent à la contrebande. La mer est un secret, le sel respire un secret. Alors que le cinéma arabe se montre plutôt bavard, j’ai choisi la sobriété pour ramener les spectateurs à l’essentiel, la vérité des personnages. Je suis un peintre frustré. Par le cinéma, je rassemble peinture et écriture » dit Jillali Ferhati[2].
Notes et références
- www.petitfute.com
- www.filmfestamiens.org
Lien externe
Catégories :- Film marocain
- Film sorti en 1991
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