- Johnny Hallyday Story
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Johnny Hallyday Story - Palais des sports Live par Johnny Hallyday Pays France Sortie 1976 Genre Variété française
Rock
LiveProducteur Jacques Revaux Label Philips Albums de Johnny Hallyday Derrière l'amour Hamlet Johnny Hallyday Story - Palais des sports est le 7e album live de Johnny Hallyday, il sort le 20 octobre 1976.
L'album est réalisé par Jacques Revaux.
Sommaire
Historique
Du 28 septembre au 30 octobre, Johnny Hallyday se produit à guichets fermés au palais des Sports de Paris. Absent d'une scène parisienne depuis cinq ans[1], le spectacle « Johnny Hallyday Story » a battu tous les records d'affluences en attirant 200 000 spectateurs en 35 représentations (un show sur une telle durée, est à l'époque totalement exceptionnel).
Le show « Johnny Hallyday Story » est - et c'est une première - en deux parties à thèmes :
- « Les années 60 », avec en début de récital la période « 61-64 », pour finir sur celle de « 66-67 », de Retiens la nuit à Noir c'est noir. Elle débute par Da dou ron ron et s'achève par La Bagarre, avec sur scène motos et blouson noirs, où l'on change : « si c'est pas pour la bagarre, alors c'est pour mon fric » de 1962[2], par : « Si c'est pas pour la bagarre, alors c'est pour elle » - elle = une charmante personne que Johnny serre bien fort, (non ce n'est pas sa mère), et protège - avant de finir en un baston général et... quelques sirènes de police.
- « Les années 70 » s'ouvre par Rock'n'Roll man, suivit de 2 37ème étage qui précède Que je t'aime, (étonnamment placé en 2e partie, n'est-elle pas de 1969 ?). Le tour de chant alterne rocks et chansons "étiquetés variétés". Cette seconde partie fait la part belle aux albums Derrière l'amour (six chansons) et Rock à Memphis. Le spectacle s'achève sur La Musique que j'aime, précédé par une longue intro à la guitare de Jean-Pierre Azoulay sur laquelle évolue Johnny aux rythmes des accords.
Autour de l'album
- Référence originale : Philips 664 1559
- Le double CD édition 1992 est l'exacte reproduction du double album de 1976.
- Référence originale : Philips 510 154-2
- L'édition CD de 2003 propose l'intégralité du tour de chant et présente quelques différences dans les commentaires de Johnny au public.
- Référence originale : Mercury Universal Music 077 192-2
Ce show, mis en scène par Bernard Lion, et dont la conception est entièrement renouvelée, est l'acte fondateur de ce que seront les spectacles à venir du chanteur. Les moyens techniques utilisés sont importants et novateurs. Pour la première fois Johnny Hallyday utilise fumée et lasers. Danseuses et danseurs, sur une chorégraphie de Jojo Smith, sont sur scène aux côtés de Johnny, ainsi que des cascadeurs.
André Diot et pour la première fois Jacques Rouveyrollis conçoivent les jeux de lumières. C'est aussi la toute première fois, (sur une scène parisienne), qu'un certain Éric Bamy est dans les Chœurs.
En revanche, le guitariste Jean-Pierre Azoulay, (dit « Rolling »), joue avec Johnny pour la dernière fois. Une fois achevée la tournée en province, (courant 1977), leurs routes vont se séparer.
Titres
- Nous donnons ici l'ordre chronologique du récital tel que le restitue le double CD de 2003. Les titres en gras n'étaient pas inclus sur l'album de 1976.
Musiciens
- Piano, piano wurtitzer, synthétiseur / Orchestration et direction musicale : Jean-Marc Deutere
- Piano Fender, Éminent : Claude Arini
- Guitare solo : Jean-Pierre Azoulay
- Pedal steel guitar, guitare rythmique : Marc Bozonnet
- Basse : Gérard Mondon
- Batterie : Alain Weiss
- Percussion : Gilles Perrin
- Trompettes : Geoffrey Reynolds, Pierre Ploquin, Guy Marco, Alfred Hovsepian
- Trombones : Christian Guizien, Hamid Belhocine, Marc Steckar, Christian Fourquet, Jean Costa
- Saxophones : Jean-Louis Chautemps, Serge Roux, Michel Gaucher
- Saxophone ténor, flute, vocal sur La fille de l'été dernier : René Morizur
- Saxophone baryton : Mick Picard
- Chœurs : Jocelyne Lacaille, Pierrette Bargoin , Claudia Alexandre, Jacques Ploquin, Érick Bamy
Notes et références
- exception faite des quelques représentations données à l'Olympia en 1973, à la demande de Bruno Coquatrix qui avait alors quelques problèmes de comptabilité. Hallyday chanta sans cachet à l'Olympia demandant à Coquatrix de ne payer que les musiciens]
- La chanson la bagarre fut créé sur la scène de l'Olympia en 1962
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