Éthérique

Éthérique

Corps éthérique

Le corps éthérique ou corps vital, serait, en occultisme et en ésotérisme, l'un des sept corps subtils des êtres vivants (voir Septénaire), après le corps physique et avant le corps astral. Sa fonction serait de vivifier et unifier le corps physique ; il serait le siège de l'aura et de chakra.

Ce concept s'inscrit dans la croyance d'un système énergétique accessible par la perception extra-sensorielle. Malgré la consonance du terme, l'éthérique ne désignerait pas une quelconque substance ténue, mais ce qui donne à toute substance sa forme.

Synonymes selon Pierre A. Riffard[1] : âkâsha (éther, en sanskrit), "âme végétative" (chez Aristote), "âme nutritive", "corps animique", "corps de sensibilité" (chez Rudolf Steiner), "corps vital" (chez Max Heindel), "corps énergétique", "double éthérique", "double fluidique", "double vital", "force vitale", jîva (principe vital) (dans l'hindouisme), prânamaya-kosha (enveloppe faite de souffle vital) (dans le Vedânta), "principe vital", "soi fait de souffle" (dans l'hindouisme), "véhicule de vitalité" (vehicle of vitality chez Crookall).

La notion de corps éthérique n'est admise ni par la science (sauf par l'école des vitalistes) ni par la philosophie (sauf par les néoplatoniciens).

Sommaire

Historique de la notion

  • Équivalent en Égypte pharaonique ? Il est toujours délicat de vouloir établir des concordances entre deux notions de civilisations différentes. Cependant, beaucoup d'égyptologues s'accordent pour voir dans le ka des anciens Égyptiens l'équivalent de la force vitale des Occidentaux. Ainsi Christian Jacq : "L'initié égyptien prend conscience des neufs éléments essentiels de l'être : [1] le corps [djet], image matérielle du grand corps céleste ; [2] ka, dynamisme créateur ; [3] [l'âme], ba, possibilité d'incarner le divin sur cette terre ; [4] l'Ombre [shut], reflet de la vérité ; [5] l' akh, lumière de l'esprit ; [6] le Coeur [ab], siège de la conscience ; [7] le sekhem, puissance de réalisation ; [8] le Nom [rèn], vérité ultime de toute création ; [9] le sakh, corps spiritualisé. (...) Tout ce qui vit a son 'génie', a son ka ; ce dernier est à la fois dynamisme de l'homme pensant, puissance sexuelle, substance vivante contenue dans les aliments. Le ka enveloppe la vie et la mort."[2] "Le ka est une puissance génératrice et créatrice répandue dans l'univers, d'où la signification d'énergie vitale."[3] Valéry Sanfo : "Nous pouvons considérer le ka comme correspondant au corps doublé éthéré, le ba au corps astral, le chu au corps mental supérieur ou corps causal."[4]
  • Origine hindouiste. Plusieurs notions hindouistes sont utilisées en Occident, qui concordent peut-être avec la notion de "corps astral", "corps éthérique", etc. D'abord, âkâsha : "dans la philosophie hindoue, c'est le cinquième Élément (bhûta), représenté par l'éther, l'immensité de l'espace, l'essence de tout ce qui est incréé et éternel"[5] ; le mot signifie, en sanskrit, "espace", mais aussi "espace et lumière dans le corps subtil (sûkshma-sharîra)".[6] Ensuite, les hindous, particulièrement dans les Upanishad et dans la philosophie du Védânta de Shankara (788-820 ? 700-750 ?), admettent l'existence de corps subtils (linga-sharîra : signe-corps ; sûkshma-sharîra : corps subtil). La philosophie du Védânta distingue "cinq enveloppes" (pañcha-kosha) du Soi dans trois corps : [1] annamaya-kosha (enveloppe de nutrition] dans le corps grossier (sthûla-sharîra) ; [2] prânamaya-kosha (envelope d'énergie vitale : souffle de vie), [3] manomaya-kosha (enveloppe mentale : le penser), [4] vijñânamaya-kosha (enveloppe d'intellect), ces trois dans le corps subtil (sûkshma-sharîra), et [5] ânandamaya-kosha (enveloppe de béatitude : ultime corps subtil) dans le corps causal [kârana-sharîra], avant [6] le Soi, l' âtman lui-même. Le prânamaya-kosha des hindous correspond le mieux au "corps éthérique", en tant qu'énergie vitale.
"En vérité, différent de ce soi qui consiste en l'essence de la nourriture [l' annamaya-kosha, l'enveloppe nourricière, le corps physique], bien que situé à l'intérieur de la gaine de celui-ci, se trouve un autre soi intérieur qui, lui, est fait de souffle, d'énergie vitale (prâna). Oui, c'est par lui qu'est remplie l'enveloppe de nourriture (annamaya-kosha). Et ce Soi possède également la forme humaine, calquée sur celle de l'enveloppe de nourriture. Prâna, le souffle vital, l'inspir, est bel et bien sa tête ; vyâna, la rétention, est son flanc droit ; apâna, l'expir, est son flanc gauche ; l' âkâsha [éther], l'espace-air, est son tronc ; la terre est ses membres inférieurs et son support." Taittirîya-Upanishad [1] (VIIe s. av. J.-C.).
  • Les Grecs, depuis Empédocle, n'admettaient que quatre Éléments : Terre, Eau, Air, Feu. Platon n'ajouta pas l'Éther, mais il fit de l'Éther une sorte d’Air plus subtil (Phédon, 109 c ; Cratyle, 410 b ; Timée, 58 a). Le concept d'Éther est véritablement créé par Aristote, dans un ouvrage de jeunesse, le Sur la philosophie (Peri philosophías) (vers 350 av. J.-C.). Il aurait été influencé sur ce point par le pythagoricien Occelos de Lucanie : "Occelos de Lucanie et Aristote, aux quatre Éléments ont adjoint un cinquième corps, doté d'un mouvement circulaire et dont ils pensent qu'il est la matière des corps célestes" (Sextus Empiricus, Contre les mathématiciens, X, 316). Chez Aristote, l’Éther forme la matière des astres et de l’âme (c’était le Feu, chez Platon), il est chaud et donc principe de vie.[7] Dans De la génération des animaux (II, 3, 736b29), Aristote l'affirme : la nature de l'âme est différente, elle a pour chaleur un "souffle qui correspond à l'élément des astres". L'âme est éthérique parce qu'il est faite d'Éther, l'Éther est l'Élément supérieur, il est la matière des astres, il est mouvement (perpétuel), donc chaleur, donc vie. Le disciple de Platon, Philippe d'Oponte, dans l' Épinomis (parfois attribué à Platon lui-même ; vers 340 av. J.-C. ?), déclare : « Nous avons distingué cinq espèces de corps, ce sont le Feu et l’Eau, l’Air comme troisième espèce, la Terre comme la quatrième, l’Éther enfin comme le cinquième » (Épinomis, 981 bc).

Les pythagoriciens récents, dans les Mémoires pythagoriques (IIe s. av. J.-C.) semblent admettre trois éthers : 1) le chaud (le feu solaire astral et divin), 2) le froid (l'air) et 3) le dense (l'eau, le sérum, le liquide, le sang...) ; et deux sortes d'âmes : 1) une âme faite d'éther chaud, l'intellect (correspondant à la vie animale), et 2) une âme faite de d'un mélange de deux éthers, chaud et froid, l'âme végétative (correspondant au non-vivant, c'est-à-dire au non sentant et non mobile).[8]

L'épicurien Lucrèce (I, 231) dira : "L'éther nourrit les astres (Aether sidera pascit).

  • Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim, auteur de la fameuse Philosophie occulte (1510) semble distinguer le véhicule éthéré de l'âme (aethereum animae vehiculum), l'esprit et la raison (partie individuelle et personnelle de l'âme). Le véhicule n'est pas une partie de l'âme mais une chose aérienne et céleste qui porte l'âme ; par son intermédiaire Dieu diffuse l'âme à partir du milieu du coeur dans toutes les parties du corps. Il est le moyen grâce auquel l'âme reste enfermée dans le corps physique. Ce véhicule éthéré, immortel comme l'âme, accompagne l'âme du juste qui est mort jusqu'au choeur des bienheureux.[9]
  • Chez Paracelse les choses sont un peu confuses. Comme le dit Daniel-P. Walker, "dans les écrits de Paracelse, si on les additionne tous, l'homme a trois corps (élémentaire, sidéral, céleste), deux âmes (éternelle, vitale), quatre esprits (terrestre, sidéral, animal, divin)". Le corps éthérique correspondrait au corps sidéral (Astralleib). Mais il vaut mieux dire que la notion de corps éthérique répond, chez Paracelse, aux idées d'Astre (Astrum), Constellation (Gestirn), Éther, qui représentent une puissance invisible mais naturelle qui pénètre le monde, qui donne le mouvement, la vie, qui fait accéder à la Lumière (La Grande Astronomie, 1537).
  • Dans les années 1850, le baron Karl von Reichenbach, célèbre chimiste, découvreur de la paraffine et de la créosote, métallurgiste et expert en météorites, s'enticha d'une notion : l'od, la force odique. "Od est le mot capable d'exprimer la dynamique d'une force qui, avec une puissance qui ne peut être interrompue, pénètre rapidement chaque chose et court à travers tout l'univers."
  • Du côté des savants, l'école vitaliste (essentiellement Paul-Joseph Barthez, dans Nouveaux éléments de la science de l'homme, 1775) soutient qu'il existe en chaque individu un "principe vital", distinct à la fois de l'âme pensante et des propriétés physico-chimiques du corps, et gouvernant les phénomènes de la vie.
  • La théorie théosophiste septénaire des corps a été exposée pour la première fois, d'après Blavatsky, par Allan Octavian Hume, le célèbre ornithologue, en 1881 [2]. Annie Besant, qui a succédé à Helena Blavatsky à la tête de la Société Théosophique, écrit : "La matière physique forme sept subdivisions, qu'on peut distinguer les unes des autres, et dont chacune produit, entre ses propres limites, des combinaisons infiniment diverses. Ces subdivisions sont : le solide, le liquide, le gaz, puis l'éther sous quatre états aussi distincts les uns les autres que sont distincts entre eux le solide, le liquide et le gaz. Le corps physique de l'Homme se compose de matière physique en ces sept états, – son corps grossier consistant en solides, liquides et gaz, et son double éthérique se composant des quatre subdivisions de l'éther, respectivement désignées par éther I, éther II, éther III et éther IV. (...) Les fonctions du corps astral proprement dit a souvent été attribuées au double éthérique, auquel on donnait parfois à tort le nom de corps astral. Le double éthérique se compose des éthers physiques seulement, et que, s'il est extériorisé, il ne peut ni quitter le plan physique, ni s'éloigner notablement de sa doublure" (Annie Besant, L'homme et ses corps, 1911).
  • D'après Alice Bailey, dans son Traité du feu cosmique (1925) [3], "le corps éthérique interpénètre le physique dense et le dépasse légèrement. Il est comme un brouillard (gris-bleu?). Il se compose d’un tissu de courants d’énergie, de lignes de force et de lumière. L’énergie circule le long de ces lignes comme le sang dans les veines et les artères. Cette circulation permanente, humaine, planétaire et solaire de force vitale animant le corps éthérique de toutes les formes est la base de toute vie manifestée. Aucune vie n’existe sous une forme séparée. Le corps éthérique d’un être humain fait partie du corps éthérique de la planète donc, il est relié à toutes les formes qui se trouvent dans ce corps éthérique, quel que soit le règne de la nature auquel il appartient. C’est le véhicule emprunté par les courants de vitalité qui maintiennent le corps en vie. Apporte vitalité et énergie au corps physique et l’intègre au corps éthérique de la terre et du système solaire."
  • Dans l'anthroposophie de Rudolf Steiner , le corps éthérique, aussi appelé corps de forces formatrices, est censé être un « corps » de forces vitales modelantes et mouvantes qui imprègnent l'organisme des êtres vivants. Ce corps, constitué d'éther, serait lui même pénétré du corps astral et du Moi, toutefois cet éther n'aurait rien de commun avec l'éther des physiciens du XIXe siècle. C'est son action sur les processus organiques qui maintiendrait le corps en vie, tout en en conservant l'intégrité. Son interaction avec l'organisme serait inégale et différenciée selon les organes. C'est par l'intermédiaire de l'eau et des liquides organiques que les forces formatrices éthériques agiraient sur les substances organiques du corps. Le corps éthérique ne coïnciderait pas exactement avec le corps matériel; il en déborderait quelque peu en formant une sorte d'aura dont la taille serait fonction des forces vitales des individus. Dans les jours qui suivent la mort, le corps de forces éthériques se dissoudrait et retournerait à l'éther universel. Une fois le corps éthérique retiré de l'organisme, les processus extérieurs seraient libres d'agir et de le décomposer. Les quatre tempéraments, dont l'un est généralement dominant chez un individu déterminé, dépendraient notamment de la prédominance dans le corps éthérique de l'un des quatre éthers dont il est constitué. Les végétaux et les animaux auraient également un corps éthérique, mais il ne serait pas aussi perfectionné que chez l'être humain. [10]
  • La notion de « corps éthérique » ou celle d'aura ont été un moment liées à la photographie Kirlian, découverte en 1939. Kirlian, avec un oscillateur à hautes fréquences ou générateur d'étincelles, prit des photos sans appareil photo, juste en utilisant le courant électrique et du film photographique, il vit des halos autour des objets, ses mains, des feuilles, des pierres. - Les scientifiques objectent que l'effet observé n'est dû qu'à l'inhomogénéité de la répartition des charges électriques à la surface de la pellicule du fait de l'humidité inhérente à chaque être vivant, humidité superficielle qui s'ionise sous l'effet de la tension électrique et se dépose sur le film : c'est l'effet corona.

Manifestations ?

Quels phénomènes ou quelles expériences, selon les ésotéristes, pourraient servir de "preuve" à l'existence du corps éthérique ? Pour Arthur E. Powell, "le double peut être séparé du corps physique dense soit par un incident, soit par la mort, soit par l'action de produits anesthésiants, comme l'éther ou le gaz, soit encore par mesmérisme [passes magnétiques]." De son côté, Ernest Bozzano note ceci : "Il existe dans le 'corps somatique' un 'corps éthérique' qui, en de rares circonstances de décroissance vitale : sommeil ordinaire, hypnotique, médiumnique, extase, évanouissements, effets des narcotiques, coma, est susceptible de s'éloigner temporairement du 'corps somatique' durant l'existence terrestre"[11] D'autres phénomènes pourraient faire croire en l'existence du corps éthérique, par exemple le membre fantôme (la sensation ressentie sur un membre pourtant amputé), la photographie Kirlian (un halo lumineux). Mentionnons des expériences citées par les ésotéristes, mais contestées par les scientifiques pour leur réalité et dans leur interprétation :

  1. le déroulement de vie. Quand on se noie, il arrive que l'on voit défiler, en une sorte de film, les grands événements de son existence. Cela constituerait un argument dans la mesure où le corps éthérique serait le lieu de mémoire de l'individu.
  2. une grande frayeur. Quand on subit une peur violente et brusque, le corps éthérique pourrait se détacher un instant du corps physique.
  3. l'anesthésie. Quand le corps physique ne ressent plus la douleur physique, le corps éthérique serait détaché du corps physique. Omraam Mikhaël Aïvanhov : "J'ai voulu démontrer à mes amis l'existence du corps éthérique, ce double du corps physique qui lui donne la sensibilité... Je me concentrer [sur une personne] pour la plonger dans un sommeil hypnotique, puis je faisais au-dessus d'elle quelques passes magnétiques pour lui retirer son corps éthérique que je déplaçais dans la pièce voisine. Avec une épingle, je lui piquais légèrement le bras. Elle ne réagissait pas : visiblement elle ne sentait rien. Ensuite, j'allais dans la pièce voisine et là, avec la même aiguille, je piquais légèrement le corps éthérique que je lui avais retiré. Et voilà qu'elle poussait un cri."[12]
  4. le retrait de la force vitale. Certains médiums, initiés, fakirs sont, dit-on, capables de retirer ou accélerer la vie d'un objet vivant. Ils ôteraient la "force vitale", le prâna (le souffle vital, en sankrit), lâkâsha (l'éther), le "corps éthérique", par exemple d'une fleur, qui alors fâne ; à l'inverse, ils pourraient accélerer la poussée d'une plante, le mûrissement d'un fruit. - Pour les sceptiques, il n'y a là que prestidigitation.
  5. l'arrêt de la vie végétative dans la plante. Quand, l'hiver arrivant, les plantes cessent de croître, elles ne seraient plus que corps physique. Selon Rudolf Steiner, "la plante, vers l'automne, doit laisser sortir d'elle le corps éthérique ou corps de vie" (Macrocosme et microcosme, Triades, p. 307).
  6. les chakra. Ces centres subtils seraient "situés dans les corps éthérique et astral".
  7. le membre fantôme. Selon le théosophiste Arthur Powell, "parfois il arrive que les personnes à qui été amputée une partie du corps se plaignent de ressentir de la douleur à l'extrémité du membre coupé, c'est-à-dire à l'endroit correspondant au membre coupé. Ce phénomène dépend du fait que la partie éthérée n'a pas été extirpée en même temps que la partie physique dense ; le voyant constate qu'elle reste visible à la place de l'autre." - Il ne s'agit là que d'une interprétation, parmi bien d'autres.
  8. les spectres. Selon Alexandre Moryason, une catégorie de fantôme est "celle dont la forme est le corps éthérique réel du défunt".[13] Les spirites parlent de "spectre", dans ce cas. - Sans garantie !
  9. la rate et le plexus solaire seraient les sièges du corps éthérique[14], de sorte que leur santé renseignerait sur l'état du corps éthérique.

Idées

  • Le corps physique et le corps éthérique forment ensemble le corps matériel, appelé chez les hindous stûlopâdhi, "substrat grossier" (stûla = "grossier" ; upâdhi = "limitation, substrat").
  • "Les points d'acupuncture seraient des points particuliers de jonction entre le corps physique et le champ éthérique."
  • Les ésotéristes mettent en parallèles les corps subtils et les plans subtils, c'est-à-dire les niveaux du monde invisible. Il y aurait dans le macrocosme, dans le monde, un plan éthérique, comme dans le microcosme, dans l'homme un corps éthérique ; un plan astral, etc.

Le "cordon d'argent"

Article détaillé : cordon d'argent.

Le cordon d'argent lierait les deux parties du corps matériel : le corps physique (ou corps grossier) et le corps éthérique (ou double vital).

Bibliographie

(par ordre alphabétique)

  • Omraam Mikhaël Aïvanhov, "Le corps de la résurrection", in "Oeuvres Complètes", t. IX : "Au commencement était le Verbe", Éditions Prosveta, Fréjus, 1974.
  • Alice Bailey, La télépathie et le corps éthérique (1950), trad. de l'an., Lucis Trust
  • Annie Besant, L'homme et ses corps (Man and his bodies) (1911), trad., Paris, Éditions Adyar. Théosophisme.
  • Janine Fontaine, La médecine du corps énergétique : Une révolution thérapeutique, J'ai lu
  • Max Heindel, Cosmogonie des Rose-Croix, Philosophie ésotérique chrétienne" (1909), trad., Association rosicrucienne, p. 65-67, 117,629-631.
  • Nocam, Corps éthérique en acupuncture et expérience sur la correspondance planètes-métaux (2004). Relation d'expériences faites sur plusieurs années avec un docteur acupuncteur hors-normes, le Dr Nguyen Tan Hon,
  • Arthur R. Powell : sa quadrilogie résumant les théosophistes Charles Leadbeater et Annie Besant [4] :
    • 1) Le double éthérique (The Etheric Double, 1925) [5], trad. Éditions Adyar, 1927 ;
    • 2) Le corps astral et autres phénomènes astraux (The Astral Body, 1926), trad., Éditions Adyar, 1928 ;
    • 3) Le corps mental (The Mental Body, 1927), trad., Éditions Adyar, 1929 ;
    • 4) Le corps causal et l'Ego (The Causal Body and the Ego, 1928), trad., Éditions Adyar, 1932.
  • Rudolf Steiner, La science de l'occulte (1910), trad. de l'all., Paris, Éditions Triades. Anthroposophie.

Notes et références

  1. Pierre A. Riffard, Nouveau dictionnaire de l'ésotérisme, Payot, 2008, p. 69.
  2. Christian Jacq, La sagesse égyptienne (1981), Pocket, 1997, p. 141.
  3. Christian Jacq, apud Dictionnaire critique de l'ésotérisme, PUF, 1998, p. 701.
  4. Valéry Sanfo, Les corps subtils, trad., Paris, De Vecchi, 2008, p. 106.
  5. Louis Frédéric, Dictionnaire de la civilisation indienne, Robert Laffont, coll. "Bouquins", 1987, p. 49.
  6. Jean Herbert et Jean Varenne, Vocabulaire de l'hindouisme, Dervy-Livres, 1985, p. 21.
  7. André-Jean Festugière, Études de philosophie grecque, Vrin, 1971, p. 395, 401.
  8. Les présocratiques, Pléiade, p. 561-562, 1396.
  9. H.C. Agrippa, De la philosophie occulte, III, chap. 37, 41 et 43. Charles Nauert, Agrippa et la crise de la pensée à la Renaissance, trad., Dervy, 2001, p. 264.
  10. Rudolf Steiner, La science de l'occulte (1910), chap. II : "L'être humain" ; Théosophie. Introduction à la connaissance suprasensible du monde et de la destinée de l'homme (1904).
  11. E. Bozzano, Les phénomènes de bilocation, 1934, trad.? J.M.G., 2006, p. 9.
  12. O. M. Aïvanhov, Éléments d'autobiographie, t. I : Afin de devenir un livre vivant, Fréjus, Prosveta, 2009, p. 94.
  13. note de A. Moryason dans Franz Bardon, Le chemin de la véritable initiation magique,1956, trad. 1989, Wuppertal, D. Rüggeberg éditeur, p. 226.
  14. O. M. Aïvanhov, Oeuvres complètes, t. IX : "Au commencement était le Verbe", chap. "Le corps de résurrection" (1971), Prosveta, 1974, p. 198.

Annexes

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Liens externes

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