- École de technologie supérieure
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École de technologie supérieure 
Devise Le génie pour l'industrie Informations Fondation 1974 Type Université publique Régime linguistique Français Localisation Coordonnées Ville Montréal, Québec Pays Canada Campus Urbain Direction Directeur Yves Beauchamp Chiffres clés Enseignants 170(2010) Étudiants 5500(2010) Diplômés/an Environ 700 Divers Mascotte Les Piranhas Affiliation Université du Québec Site web www.etsmtl.ca/ Géolocalisation sur la carte : Québec
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L’École de technologie supérieure (ÉTS) est une constituante du réseau de l'Université du Québec. Spécialisée dans l’enseignement et la recherche appliqués en génie et le transfert technologique, elle forme des ingénieurs et des chercheurs reconnus. Depuis sa création, elle entretient un partenariat avec le milieu des affaires et l'industrie, tant avec les grandes entreprises qu'avec les PME.
L’ÉTS rassemble près de 25 % de toute la population étudiante au baccalauréat en génie au Québec, ce qui la classe au premier rang des établissements universitaires qui offrent cette formation de premier cycle. Au Canada, elle se situe parmi les cinq plus grandes écoles ou facultés de génie[1].
Sommaire
L’ÉTS entend favoriser l’acquisition des connaissances par l’expérimentation. Au baccalauréat, la formule de l’enseignement coopératif ajoute une formation pratique aux connaissances théoriques des étudiants.
Par vocation historique, et en dehors de la tradition du cheminement des études dans le système d'éducation québécois, l'École de technologie supérieure accepte les étudiants en provenance des filières technologiques (DEC technique) de niveau collégial (cégep). Or, la tradition dans le système d'éducation québécois veut qu'un étudiant accède aux études universitaires en génie à la suite d'études dans une filière scientifique pré-universitaire (DEC sciences de la nature).
Les baccalauréats offerts à l'ÉTS sont spécifiquement conçus afin d'harmoniser l'intégration des connaissances déjà acquises par une clientèle étudiante en provenance d'une filière technologique au niveau des études universitaires en génie. Certains contenus sont donc retranchés (notion technique élémentaire déjà abordée dans les filières technologiques au collégial) et d'autres ajoutés (notamment le volet science, peu développé dans les filières technologiques au collégial).
Depuis septembre 2007, l'ÉTS accepte, au même titre que la faculté ou les écoles d'ingénierie classiques les étudiants en provenance des filières scientifiques pré-universitaires. Par contre, ceux-ci doivent préalablement compléter un cursus universitaire préparatoire en technologie (Cheminement en technologie) d'une durée d'un an avant d'être admis dans un baccalauréat en génie à l'ÉTS. Ce cursus visant à fournir les notions techniques élémentaires aux étudiants en provenance d'une filière plus scientifique.
Pour la formation de ses étudiants en génie appliqué, l’ÉTS a adopté la formule de l’enseignement coopératif au 1er cycle. Alternant trimestres de cours et stages pratiques en entreprise, cette méthode constitue l’une des caractéristiques principales de l’ÉTS. En plus de leurs cours, tous les étudiants de baccalauréat doivent obligatoirement réussir trois stages en industrie totalisant au moins douze mois pour obtenir leur diplôme. Les étudiants ont donc 2 trimestres de cours réguliers par année.
Cheminement typique possible d'un étudiant en fonction des stages pratiques en entreprise :
Automne Hiver Été Automne Hiver Été Automne Hiver Été Automne Hiver Session 1 Stage 1 Session 2 Session 3 Stage 2 Session 4 Session 5 Stage 3 Session 6 Session 7 Session 8 La majorité des membres de son corps professoral ont à leur actif une expérience de travail en milieu industriel. Ils sont appuyés par une vingtaine de maîtres d’enseignement (physique, mathématiques, langues, communications, etc.) et d’une centaine de chargés de cours.
L'ÉTS offre aux étudiants de multiples occasions d'appliquer concrètement les notions vues en classe. Plus de 400 d'entre eux sont inscrits dans une vingtaine de clubs scientifiques[réf. nécessaire]. Les étudiants de l'ÉTS participent chaque année à de nombreuses compétitions d'ingénierie : formule SAE, véhicule solaire, canot de béton, véhicule tout-terrain amphibie, sous-marin complètement autonome, sous-marin à propulsion humaine, moto-neige écologique, etc. Cela leur a valu maints prix prestigieux qui ont contribué à la reconnaissance de l'École tant au Canada qu'à l'étranger[2]
L’ÉTS développe son réseau avec le soutien de son Bureau des relations internationales et du recrutement étudiant (BRIRE), qui coordonne les actions de recrutement d’étudiants à tous les cycles.
Le BRIRE soutient également les professeurs et les chercheurs dans leurs activités internationales : coopération scientifique, colloques, séminaires, programmes conjoints, doubles diplômes ou cursus intégrés, etc.
Les cours et programmes offerts à l'ÉTS relèvent de divers départements. Chaque département a donc une vocation bien définie pour l'enseignement du génie.
Département de génie de la construction
Le Département de génie de la construction offre des programmes d'études axés sur le génie appliqué en construction.
Département de génie électrique
Le Département de génie électrique chapeaute les programmes d'études qui sont offerts en génie électrique, orientés vers les systèmes informatiques, les télécommunications, le traitement numérique, le contrôle industriel, le transport de l'énergie, la vision et la microélectronique.
Département de génie mécanique
Le Département de génie mécanique offre des programmes d'études qui explorent des domaines tels la mécanique appliquée, le design de machines, la thermofluide et l’énergétique, la vibration, l’automatisation et le contrôle, la CAO/FAO, la mise en forme et les procédés de fabrication.
Département de génie de la production automatisée
Les programmes d'études offerts par le Département de génie de la production automatisée sont multidisciplinaires et répondent aux besoins des entreprises en matière d'informatisation des systèmes de production et d'automatisation industrielle.
Département de génie logiciel et des technologies de l'information
Le Département de génie logiciel et des technologies de l'information a pour mission de former des ingénieurs et du personnel hautement qualifié dans ces domaines.
Ce département a été mis sur pied en 2004 avec la création et la première accréditation du baccalauréat en génie logiciel. Avant cette date, le baccalauréat enseigné à la première cohorte était sous la responsabilité du département du génie électrique.
À ses début, le département ce nommait "Département de génie logiciel". Sa dénomination fut modifiée pour "Département de génie logiciel et des technologies de l'information" avec l'ajout d'un deuxième baccalauréat en 2005 du génie des technologies de l'information. Ce département est également responsable des programmes dans ces domaines d'activité au 2e et 3e cycle.
Également, ce département est responsable des programmes de 2e cycle en gestion de projet.
Service des enseignements généraux
L'objectif principal du Service des enseignements généraux (SEG) est de fournir un enseignement pour les cours de formation de base de l'ingénierie se trouvant commun à l'ensemble des programmes offerts à l'ÉTS. Au total, le SEG est responsable de plus de 30 cours enseignés à l'ÉTS dans les domaines suivants :
- Chimie
- Communication
- Informatique générale
- Langues (français, anglais, espagnol)
- Mathématiques
- Physique
1er cycle
- 7 programmes de baccalauréat en génie (B.Ing. - 123 crédits)
- Baccalauréat en génie de la construction
- Baccalauréat en génie électrique
- Baccalauréat en génie logiciel
- Baccalauréat en génie mécanique
- Baccalauréat en génie de la production automatisée
- Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique
- Baccalauréat en génie des technologies de l'information
- 7 programmes de certificat (30 crédits)
- Économie et estimation des projets de construction
- Génie des technologies de la santé
- Gestion et assurance de la qualité
- Gestion de la construction
- Gestion des établissements
- Production industrielle
- Télécommunications
2e cycle
- 16 programmes de maîtrise (M.Ing. - 45 crédits)
- Génie
- Génie, concentration conception et gestion de projets d'ingénierie canadiens
- Génie, concentration énergies renouvelables et efficacité énergétique
- Génie, concentration génie aérospatial
- Génie, concentration génie de l'environnement
- Génie, concentration gestion de l'innovation
- Génie, concentration gestion de projets d'ingénierie
- Génie, concentration réseaux de télécommunications
- Génie, concentration technologies de la santé
- Génie, concentration technologies de l'information
- Génie aérospatial
- Génie de la construction
- Génie électrique
- Génie logiciel
- Génie mécanique
- Génie de la production automatisée
- 14 DESS (45 crédits)
- Énergies renouvelables et efficacité énergétique
- Génie de la construction : conception et réhabilitation
- Génie de la construction : gestion de projets de construction
- Génie de l'environnement
- Génie de la production automatisée : intégration et automatisation de systèmes
- Génie de la production automatisée : systèmes intelligents
- Génie électrique
- Génie logiciel
- Génie mécanique
- Gestion de l'innovation
- Gestion de projets d'ingénierie
- Réseaux de télécommunications
- Technologies de la santé
- Technologies de l'information
- 20 programmes courts (cycles supérieurs - 15 crédits)
- Démarrage d'entreprise
- Efficacité énergétique
- Exploitation des énergies renouvelables
- Génie de la construction : Gestion des coûts et du temps
- Génie de la construction : Gestion réglementaire
- Génie de la construction : Hydraulique environnementale
- Génie de la construction : Ouvrages d'art et infrastructures urbaines
- Génie de l'environnement
- Génie de la production automatisée : Intégration et automatisation de systèmes
- Génie de la production automatisée : Systèmes intelligents
- Génie électrique (général)
- Génie électrique : Commande industrielle
- Génie électrique : Modélisation et traitement de l'information
- Génie électrique : Télécommunications et microélectronique
- Génie mécanique
- Gestion de l'innovation
- Gestion de projets d'ingénierie
- Réseaux de télécommunications
- Technologies de la santé
- Technologies de l'information
Exemples de différents programmes de 2e cycle Programme de 2e cycle Crédits nécessaires Activités scolaires Activités recherche/synthèse/rapport Maîtrise avec mémoire 45 15 30 Maîtrise sans mémoire (plusieurs options) 45 30 à 39 15 à 6 Maîtrise professionnelle sans mémoire (ex. génie logiciel) 45 36 9 DESS 30 24 6 Programme court 15 15 0 Dans certains programmes, l’ÉTS offre aux étudiants la possibilité d’obtenir une attestation de programme court de 2e cycle (15 crédits). Les crédits obtenus peuvent par la suite être reconnus dans le cadre d’un diplôme d’études supérieures spécialisées (30 crédits) dont les crédits pourront eux-mêmes être reconnus dans un programme de maîtrise (45 crédits).
3e cycle
- 1 programme de doctorat en génie (Ph.D.)
Les maîtrises avec mémoire (activités de recherche à 30 crédits) sont considérées comme une préparation adéquate pour les études de 3e cycle (doctorat).
Les étudiants ont le choix entre le profil Recherche appliquée et le profil Innovation industrielle. Ce dernier inclut une thèse devant être obligatoirement effectuée en industrie.
Création de l'école
L'École de technologie supérieur fut créé à la suite de la création du réseau collégial public au québec (Les CÉGEPs). À l'époque, les premières cohortes de techniciens diplômés sortaient des CÉGEPS et le besoin de créer un corps professionnel intermédiaire entre les techniciens et les ingénieurs devenait de plus en plus présent dans les besoins de l'industrie. Ce corps professionnel était appelé à l'époque un "technicien supérieur" ou encore un "ingénieur de plancher".
L'ÉTS avait donc pour mission d'accueillir les diplômés du collégial technique qui, historiquement dans le système d'éducation québécois, n'avait pas accès aux études supérieurs universitaire après leur diplomation.
En 1978, l'Ordre de ingénieur du Québec refusa de reconnaître la première génération de diplômés de l'ETS détenant le grade de Bachelier en technologie (B.Tech.). Ce litige dura durant 10 ans.
En 1985, avec la supervision du Ministère de l'éducation, l'ensemble des programmes offerts à l'époque à l'ETS ont été revue et normalisé pour être accrédité par le Bureau Canadien des Programmes en Génie afin de décerner le grade de bachelier en génie (B.Ing.), ce qui mis fin au litige et permis aux nouvelles cohortes d'étudiants d'être automatiquement admis au tableau de l'Ordre des ingénieurs du Québec au même titre que les autres écoles de génie.
Évolution de l'école : Ligne du temps
1974
L’ÉTS ouvre ses portes en septembre 1974 dans l’ancien édifice du journal La Patrie, rue Sainte-Catherine, à l’angle de la rue de l’Hôtel-de-Ville, à Montréal[4]
professeurs employés étudiants nombre 2 6 28 Grade décerné à cette époque :
- Bachelier en technologie (B.Tech.)
Programmes offerts à cette époque :
- Baccalauréat en technologie de l’électricité (72 crédits)
- Baccalauréat en technologie mécanique (72 crédits)
1982
Trop à l’étroit dans ses quartiers de l’édifice La Patrie, l’ÉTS loue en plus des locaux à l’École Saint-Jacques, située boulevard de Maisonneuve. [5]
professeurs employés étudiants nombre 29 69 1008 Grade décerné à cette époque :
- Bachelier en technologie (B.Tech.)
Programmes offerts à cette époque :
- Baccalauréat en technologie de l’électricité (72 crédits)
- Baccalauréat en technologie mécanique (72 crédits)
- Baccalauréat en technologie de la construction civile (72 crédits)
1985
L’ÉTS acquiert l’ancienne polyvalente Émile-Nelligan, située avenue Henri-Julien. Après plusieurs mois de travaux de réfection majeurs, elle s’y installe en 1985. [6]
professeurs employés étudiants nombre 35 86 1238 Grade décerné à cette époque :
- Bachelier en technologie (B.Tech.)
Programmes offerts à cette époque :
- Baccalauréat en technologie de l’électricité (90 crédits)
- Baccalauréat en technologie mécanique (90 crédits)
- Baccalauréat en technologie de la construction civile (90 crédits)
- Baccalauréat en technologie de la production automatisée (90 crédits)
1990
L’ÉTS modifie ses programmes et le Bureau canadien des accréditations des programmes de génie (BCAPG) les approuve en juin 1990. Les diplômés de l’ÉTS sont désormais admis directement à l’Ordre des ingénieurs du Québec. L'école devient officiellement une école d'ingénierie. Un cursus spéciale permettant une passerelle entre le grade de Bachelier en technologie (B.Tech.) à celui de Bachelier en ingénierie (B.Ing) permettre aux anciens étudiants qui désire obtenir le titre professionnel d'ingénieur. [7]
professeurs employés étudiants nombre 50 112 1736 Grade décerné à cette époque :
Bachelier en technologie (B.Tech.)Bachelier en ingénierie (B.Ing)
Programmes offerts à cette époque :
- Baccalauréat en
technologiegénie électrique (105 crédits) - Baccalauréat en
technologiegénie mécanique (105 crédits) - Baccalauréat en
technologiegénie de la construction (105 crédits) - Baccalauréat en
technologiegénie de la production automatisée (105 crédits)
1997
L’ÉTS acquiert l’ancienne usine de la brasserie O’Keefe en 1994 dans le quartier Griffintown dans le centre-ville de Montréal. Après des travaux de réfection majeurs, elle s’y installe en 1997. [8]
professeurs employés étudiants nombre 80 160 2729 Grades décernés à cette époque :
- Bachelier en ingénierie (B.Ing)
- Maître en ingénierie (M.Ing)
- Doctorat en génie (Philosophiæ Doctor) (Ph.D.)
Programmes offerts à cette époque :
- 4 programmes de baccalauréat en génie (B.Ing.)
-
- Baccalauréat en génie électrique (105 crédits)
- Baccalauréat en génie mécanique (105 crédits)
- Baccalauréat en génie de la construction (105 crédits)
- Baccalauréat en génie de la production automatisée (105 crédits)
- 1 programme de maîtrise (M.Ing.)
- 1 programme de doctorat en génie (Ph.D.)
1999
Réalisation de la phase 1 des résidences universitaires situées sur la rue Peel. [9]
La Phase 1- 32 appartements à quatre chambres
- 28 appartements à deux chambres
- 4 appartements à une chambre
- 2 studios
2000
L'achat d'une calculatrice symbolique devient officiellement obligatoire pour tous les étudiants qui entreprennent un baccalauréat à l'ÉTS. Les cours ainsi que la dynamiste de l'enseignement des sciences et des mathématiques à l'ÉTS sont revus et adaptés à la nouvelle réalité de cette technologie. [10]
Les modèles de calculatrices symboliques permis sont les suivants :
- TI-89
- TI-92 Plus
- Voyage 200
2001
Réalisation de la phase 2 des résidences universitaires situées sur la rue Ottawa (rue transversale à la rue Peel). Ceci porte au total à 384 le nombre de places disponibles pour les étudiants. [11]
La Phase 2
- 31 appartements à quatre chambres
- 21 appartements à deux chambres
- 8 appartements à une chambre
- 13 studios
2003
En prévision d'une éventuelle expansion de ses aménagements, l'ÉTS acquiert l'ensemble des terrains et des bâtiments où logeaient les installations brassicoles de Dow, Molson et O’Keefe dans le quartier Griffintown. L'ÉTS est donc propriétaire de tout le quadrilatère délimité par les rues Peel, Notre-Dame, William et de la Montagne. De plus, elle est propriétaire du bâtiment et du terrain situés à l'angle sud-est des rues Notre-Dame et Peel. [12]
2004
L’ÉTS se dote d’un nouveau pavillon, face au bâtiment actuel. La capacité d’accueil est portée à plus de 4 000 étudiants[13].
Professeurs Employés Étudiants Nombre 150 311 4800 Grades décernés à cette époque :
- Bachelier en ingénierie (B.Ing)
- Maître en ingénierie (M.Ing)
- Doctorat en génie (Philosophiæ Doctor) (Ph.D.)
- Diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS)
Programmes offerts à cette époque :
- 7 programmes de baccalauréat en génie (B.Ing.)
- Baccalauréat en génie de la construction (123 crédits)
- Baccalauréat en génie électrique (123 crédits)
- Baccalauréat en génie logiciel (123 crédits)
- Baccalauréat en génie mécanique (123 crédits)
- Baccalauréat en génie de la production automatisée (123 crédits)
- Baccalauréat en génie des opérations et de la logistique (123 crédits)
- Baccalauréat en génie des technologies de l'information (123 crédits)
- 5 programmes de certificat
- 9 programmes de maîtrise (M.Ing.)
- 1 programme de doctorat en génie (Ph.D.)
2007
Agrandissement du pavillon principal afin de mieux répondre aux besoins des études supérieures (2e cycle) et des laboratoires de recherche.
Depuis septembre 2007, l'ÉTS accepte, au même titre que la faculté ou les écoles d'ingénierie classiques, les étudiants en provenance des filières collégiales pré-universitaires. Par contre, ceux-ci doivent préalablement compléter un cursus universitaire préparatoire en technologie (Cheminement en technologie) d'une durée d'un an avant d'être admis dans un baccalauréat en génie à l'ÉTS. Ce cursus visant à fournir les notions techniques de base aux étudiants ne disposant pas d'une formation technique au préalable.
2008
Réalisation de la phase 3 des résidences universitaires situées sur la rue Notre-Dame Ouest. Ceci porte au total à 850 le nombre de places disponibles pour les étudiants.
La Phase 3
- 190 appartements à 2 chambres (4½)
- 7 appartements à une chambre (3½)
- 5 appartements à 3 chambres (5½)
- 64 studios.
2009
En septembre 2009, l'ÉTS annonce la création d'un centre d'innovation pour l'industrie : le Carrefour d'innovation INGO. INGO fonctionnera selon une formule de condos industriels offerts à des entreprises désirant travailler étroitement avec l’ÉTS à des dossiers d’innovation. Elles auront accès aux laboratoires et à tous les services de l’École comme aux professeurs chercheurs, aux étudiants et aux diplômés, et même à un bassin de stagiaires.
professeurs et maîtres d'enseignement chargés de cours étudiants nombre 155 240 5031 2010
En 2010, l'ÉTS annonce trois grands projets d'immobilisation [14] :
- La Maison des étudiants : Situé entre le pavillon principal et les résidences étudiantes (Phase 3) de la rue Notre-Dame. Le bâtiment comprendra notamment un aréna, des locaux commerciaux, des espaces pour les étudiants, un terrain de soccer ainsi que des jardins et terrasses.
- La Phase 4 des résidences universitaire : Le bâtiment comportera 272 unités et portera ainsi le parc de résidences de l'ÉTS à environ 1320 unité.
- Consolidation de la vision d'un quartier de l'innovation : L'ampleur et la concentration des projets des promoteurs privés et institutionnels dans la revitalisation du quartier Griffintown, associées aux technopôles déjà implantés et au campus de l'ÉTS dont fait partie INGO en 2009, esquissent le portrait d'un nouveau quartier à proximité du centre-ville Montréal avec la participation de l'Université McGill.
Liens externes
Notes et références
- Historique - Du courage des jeunes ingénieurs, Le Devoir. Consulté le 03-07-2008
- http://www.etsmtl.ca/zone2/clubs/invenclub/ (Archive, Wikiwix, que faire ?)
- http://www.etsmtl.ca/A-propos/Departements-services/Departements
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://luciole.ca/gilles/conf/Hull_article_ETS.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.gisguf.org/colloq-form/2005-marrakech/conference/trudel.pdf
- http://www.etsmtl.ca/nouvelles/2010/Quartier-de-l-innovation
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