- Westerwaldlied
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Westerwaldlied est une célèbre marche militaire composée par Joseph Neuhäuser en 1932 pour l'armée allemande, à l'époque la Reichswehr. Les paroles ont été écrites plus tard, cette fois pour la Wehrmacht, le chant a été également incorporé au répertoire de la Légion étrangère presque aussitôt.
De nos jours, Wersterwaldlied est toujours chanté par la Bundeswehr et la Légion étrangère. Après la Deuxième Guerre mondiale, le chant fut repris par l'armée de terre française, les paroles ont été modifiées, et le chant est connu sous le titre "Etre et durer".
De nombreux chants de l'armée allemande, datant d'avant la Seconde Guerre mondiale ou pendant, ont influencé le repertoire militaire français. Des chants ont été importés sans modification, c'est le cas dans la Légion étrangère uniquement. D'autres ont été traduit en gardant le même air et les mêmes paroles, c'est le cas par exemple du chant "j'avais un camarade", en allemand "Ich Hatt' Einen Kameraden", ou les oies sauvages, en allemand "Wildgänse rauschen durch die Nacht". D'autres chants ont été complétement modifiés, seul l'air a été conservé, c'est le cas de Westerwaldlied. Si de nombreux chants militaires allemands ont été écrits ou chantés par les armées du troisième Reich, très peu ont été politisés, la plupart des chants étant patriotes.
Les paroles Westerwaldlied font référence à la Westerwald, qui est une chaine montagneuse dans l'ouest de l'Allemagne
Paroles
I
- Heute wollen wir marschieren
- Einen neuen Marsch probieren
- In dem schönen Westerwald
- Ja da pfeift der Wind so kalt. (bis)
Refrain
- Oh du schöner Westerwald
- Über deinen Höhen pfeift der Wind so kalt
- Jedoch der kleinste Sonnenschein
- Dringt tief in’s Herz hinein.
II
- Und die Lise und der Hans
- Geh’n am Sonntags gern zum Tanz
- Weil das Tanzen Freude macht
- Und das Herz im Leibe lacht. (bis)
Refrain
- Oh du schöner Westerwald
- Über deinen Höhen pfeift der Wind so kalt
- Jedoch der kleinste Sonnenschein
- Dringt tief in’s Herz hinein.
III
- Ist das Tanzen dann vorbei
- gewöhnlich Gib’s Keilerei
- Und den Bursch’ den das nicht freut
- Ja man sagt der hat kein Schneid. (bis)
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