Thermes de Trajan

Thermes de Trajan

41°53′30.72″N 12°29′46.61″E / 41.8918667, 12.4962806

Exèdre des thermes de Trajan
Exèdre sud-ouest des thermes de Trajan
Les Sette sale (citerne)

Les thermes de Trajan sont des bains publics construits à Rome par l’architecte Apollodore de Damas vers 104 ap. J.-C. sur la colline de l'Oppius, en partie au-dessus des fondations de la Domus aurea de Néron, et inaugurés le 22 juin 109 ap. J.-C. Les Thermes de Trajan constituent un ensemble monumental gigantesque pour l'époque. Sa construction marque d'ailleurs à la fois le règne de Trajan, mais aussi l'Empire qui est alors à son apogée. Cet édifice s'inscrit dans la lignée des thermes impériaux de Rome, constituant un exemple d'évergétisme impérial s'incarnant dans l'urbanisme de la Rome du Haut-Empire.

Sommaire

Description

À l'époque de leurs constructions, ces thermes sont les plus grands du monde. Sa partie centrale (Les structures thermales à proprement parler) mesure 190 mètres sur 212 (40 280 m²), et la partie périphérique fait 330 sur 315 mètres (10 hectares). On peut comparer ces dimensions avec celles des Thermes de Titus, et constater le gigantisme de l'édifice. En thermes utiles, les thermes de Trajan pouvaient utiliser plus de 7 000 m3 d'eau.

Les Thermes de Trajan sont orientés sur un axe Nord-Sud avec un désaxement d'environ 30°. Ils sont construits sur les ruines de la Domus Aurea de Néron, qui a été enterrée pour servir de fondation. Cette orientation semble nouvelle puisqu'elle n'est comparable qu'avec les Thermes de Titus, et sera reprise plus tard (Pour les Thermes de Caracalla par exemple). Cette orientation n'est pas anodine puisqu'elle est optimisée pour recevoir un maximum d'ensoleillement. L'entrée se faisait au Nord, par un structure proche d'un Propylée Grec. À droite et à gauche de cette entrée se situe 2 pièces à double abside dont la direction converge vers le côté nord de la Natatio. Après ce portique d'entrée, on débouche en face sur la Natatio (piscine d’environ 53,3 x 50 m), qui est une salle à ciel ouvert avec une piscine d'eau à température ambiante ou froide. Ces Thermes sont construits sur le Mont Oppius, au nord des Thermes de Titus. Une grande citerne-réservoir, appelée aujourd’hui les « Sette Sale » (les Sept salles), assurait probablement l’alimentation en eau de la Domus aurea, puis des thermes. Il subsiste des vestiges importants des thermes de Trajan : la grande exèdre (au sud), les deux exèdres servant de bibliothèque (sud-est et sud-ouest) et un nymphée en exèdre (au nord-est).

L'organisation des Thermes observe une parfaite symétrie axiale (Comme dans les Thermes de Titus). Cette symétrie a certainement une origine esthétique (on a pensé dans un premier temps à une séparation Hommes/Femmes dans la pratique thermale, cependant les Thermes n'étaient pas ouverts aux femmes dans un premier temps, et un système d'horaires décalés fut mis en place pour assurer la mixité pratique de l'édifice). La Natatio est encadrée sur ses côtés par deux Apodyteria, les vestiaires de l'époque, apodyteria prolongées chacune par une sorte de rotonde à 4 absides dont le rôle n'est pas encore précisé (il s'agirait peut-être de Frigidarium). Deux exèdres a Hypocaustes (Système de chauffage par le sol) ont été identifiés, notamment grâce aux substructures de chauffage (Tubuli, praefurnium). Le baigneur passait ensuite dans une salle intermédiaire destinée à s'accommoder de la chaleur : le Tepidarium, puis par le Sudatorium, salle destinée à se nettoyer par la sudation, et présente dans les thermes de grande dimension. 2 salles peuvent être identifiées comme des Unctuaria, sortes de salles de massage. Le centre de la partie thermale est occupé par plusieurs salles centrales : le Caldarium est la seule salle chauffée au maximum. Ici cette pièce est bordée de 3 absides (Sud, Est, Ouest). Il semblerait que la couverture de ces absides fut assurée par des coupoles, au vu des élévations encore visibles dans les ruines. Le Caldarium comprenait certainement plusieurs piscines chauffées, et un poste d'eau froide. Le Caldarium est exposé au Sud, il aurait été doté de nombreuses fenêtres destinées à éclairer la pièce sans en perdre la chaleur. Après le Caldarium, on peut ensuite remonter vers le nord dans des salles froides, via un Tepidarium, afin d'atteindre notamment l'énorme Frigidarium cruciforme (forme proche de celle des thermes de Titus). À partir du Frigidarium, on peut repartir dans les palestres, ou continuer vers la Natatio, il y aurait donc un trajet cyclique à l'intérieur des thermes pour voyager de salles en salles selon le parcours thermal pratiqué par les Romains.

Les Thermes de Trajan sont constitués d'une partie intérieure et d'une partie périphérique : l'ensemble n'est pas clos, et l'extérieur est facilement accessible. À l'entrée à gauche et à droite, on pouvait voir des jardins en passant sous un portique, et devant une Nymphea encastrée dans un exèdre. Il y a 4 entrée permettant de rentrer des jardins aux bains à côté des Palestres. L'ordre de pratique entre Bain et promenade semble ne pas avoir d'importance, on pouvait pratiquer une activité physique en extérieur puis venir se baigner, ou se baigner puis aller se promener.

La partie périphérique : La partie en U était certainement un jardin, destiné au sport ou à la détente. La partie périphérique comporte un nombre considérable de salles et alcôves destinées à la lecture et autres activités de détente ou de discussion. Elle abrite aussi 2 bibliothèques dans des Exèdres. Certaines salles avaient peut-être une fonction commerciale en rapport avec la nourriture : vu le temps passé aux bains, les Romains devaient se nourrir le plus souvent sur place. L'exèdre au sud avait une fonction actuellement débattue : Belvédère ? Stade ? Seule la comparaison avec les Thermes de Caracalla possédant des gradins dans une salle de même disposition permet de penser qu'il s'agirait d'un élément dédié au spectacle.

Une grande citerne-réservoir, appelée aujourd’hui les « Sette Sale » (les Sept salles), assurait probablement l’alimentation en eau de la Domus aurea, puis des thermes. Il subsiste des vestiges importants des thermes de Trajan : la grande exèdre (au sud), les deux exèdres servant de bibliothèque (sud-est et sud-ouest) et un nymphée en exèdre (au nord-est).

Plan légendé des thermes de Trajan. N : Natatio ; F : Frigidarium ; C : Caldarium ; A ; Apodyterium ; S : Sudatorium ; T : Tepidarium ; U : Unctuarium ; B: Balnea ; P : Palestre ; Bibl. : Bibliothèque. Les entrées sont signifiées par les flèches.

Influences

Les thermes proviennent de la culture grecque, même si ce sont les Romains qui les inventent dans leur forme canonique. Les thermes sont un lieu de rencontre communautaire basée sur le corps, comme les bains grecs, ou les gymnases. L'influence grecque est palpable partout dans le monde Romain, notamment depuis l'hellénisation qui survient à partir de 150 av. J.-C., la culture hellénique est une marque de bon vivre et de raffinement. L'influence hellénistique est d'ailleurs présente dans toute l'architecture romaine : colonnes, péristyles, portiques, etc. On peut d’ailleurs remarquer que l’architecture de ces thermes, comme d’ailleurs celle des domi des riches aristocrates romains, est fortement inspirée des constructions grecques. La natatio, à l’entrée, est manifestement calquée sur le modèle de l’atrium, étant à ciel ouvert, avec un bassin au centre et un portique sur le pourtour, même si les fonctions étaient différentes. De même, les palestres sont des éléments à l’origine grecs, provenant directement des gymnases dédiés à l’entraînement physique. Enfin, les nombreuses statues qui peuplent les thermes viennent pour la plupart de Grèce ou sont des copies d’originaux grecs. Les Thermes de Trajan présentent cependant quelques éléments typiquement romains. Il est à noter que parmi les sculptures ornant les thermes de Trajan, a été retrouve le groupe statuaire du Laocoon.

Les Thermes de Trajan dans la vie des Romains

Les Bains tiennent un rôle majeur dans la vie des Romains : ils permettaient à ceux qui pouvaient y aller quelques heures d'assurer leur hygiène corporelle (Beaucoup de romains n'ayant pas l'eau courante, malgré les réseaux d’adduction d'eau dont la ville dispose) et de se détendre les jours de faible affluence. Néanmoins cette affluence est aussi un trait recherché : elle permet la socialisation, de nouer des liens, de faire des affaires. Les thermes sont donc un moteur de relations sociales très efficace. Les Thermes de Trajan sont d'ailleurs construits non loin des Thermes de Titus, qui étaient jugés insuffisants en capacité d'accueil, et ils permettent d'apporter du confort aux habitants proches du mont Oppius. Les Thermes étaient un espace de vie sociale et d'épanouissement corporel, que les Romains fréquentaient parfois quotidiennement : ils ont une place prépondérante dans la vie du Citoyen.

La colline de l’Oppius, au sommet de laquelle sont implantés les thermes de Trajan, était au début du IIe siècle, un quartier d’habitation populaire bâti d’insulae insalubres, et mal doté en équipements publics. Seuls les thermes de Titus, construits en 80, étaient bâtis à proximité de ce quartier, mais ils étaient encore insuffisants pour faire face à la demande. Ainsi, ces grands thermes ont permis d’apporter ce confort essentiel pour les Romains, dans un quartier populaire, et ainsi d’en faire profiter le plus grand nombre.

Rupture et continuité

Les Thermes de Trajan sont le point final d'un long processus d'évolution dans la conception des bains romains, et plus précisément des thermes impériaux : ils sont composés d'un bloc balnéaire auquel sont adjoints des édifices culturels et ornementaux, les dimensions sont considérables, et les Thermes postérieurs ne cesseront de se baser sur ce plan presque canonique et sur l'organisation générale de l'édifice, tout en essayant de le surpasser. Les thermes de Trajan innovent dans un sens assez particulier : les Jardins et les annexes culturelles font partie intégrante du bâtiment, et sont donc associés aux bains par leurs positions respectives. On voit donc ici la volonté de Trajan d'en faire un centre d'agrément et un centre culturel. Ces Thermes peuvent être qualifiés de Thermes Impériaux, dans la lignée de ceux de Titus. Les Thermes étant gratuits, ils sont autant destinés aux couches populaires de la population qu'aux aristocrates, qui bien que les services de massage et autres soient payants, utilisent les mêmes bains et les mêmes endroits que la plèbe. Cette mixité sociale dans les bains participe à la nouveauté que sont ces thermes : le citoyen lambda peut se sentir l'égal de l'aristocrate et gouter un peu de luxe quelques heures de temps en temps. Les Thermes de Trajan s'inscrivent néanmoins dans une continuité : ils sont toujours conçus de manière fonctionnelle, afin d'assurer une hygiène pour un maximum de personnes, surtout dans une ville telle que Rome, soumise aux épidémies du fait de sa population à l'aube du IIe siècle de notre ère, dépassant le million d'habitants.

Continuité aussi car la place de « bains » reste toujours centrale dans l’édifice, avec une organisation « classique » que l’on peut dans les grandes lignes très facilement rapprocher de celle des thermes de Titus par exemple, notamment dans la symétrie de l’architecture et la circularité du parcours. Mais évolution nette dans la taille et le faste, et surtout dans l’adjonction d’un espace extérieur dédié aux activités culturelles ou de plein air aussi important que la partie traditionnelle. L’implantation dans un quartier populaire, sur les ruines du palais de l’empereur détesté Néron, et le réemploi de certains décors de cette domus aurea, mettant ainsi à la portée de tous les goûts les plus fins, notamment en matière d’art grec, nous permet également d’y voir une nette recherche de la satisfaction du petit peuple. On découvre ainsi une alliance de l’esthétique et du pratique, au service, à la fois, de la vue quotidienne, et de la gloire de l’empereur soucieux du bien-être de ses concitoyens, c’est-à-dire un exemple éclatant de l’évergétisme impérial. On pourrait alors se demander comment les nombreux thermes qui s’en inspireront par la suite, pouvaient renouveler cette conception (outre par une taille toujours plus importante), et montrer ainsi le magnanisme et le modernisme (réels ou supposés) de leurs commanditaires.

Un exemple d'évergétisme impérial

Alors que l’Empire arrivait à son apogée, le règne de Trajan entre 98 et 117 a été marqué par une aura particulière. Trajan a été choisi pour succéder à Domitien pour ses qualités, étant optimus princeps, « le meilleur des princes ». Par la suite, il se fera d’ailleurs appeler princeps, le premier citoyen, selon les valeurs de la République dans lesquelles il a été élevé. Respectant le Sénat, il se comportait plutôt comme un magistrat, s’assimilait aux héros et non aux dieux, frappait des monnaies de type républicain. C'est un empereur pragmatique et pratique : il aménage le port d'Ostie, relance la dynamique de conquête, il s'accorde avec le Sénat Romain et avec certaines valeurs de l'ancienne République : il est soucieux de bien faire le travail pour lequel il est empereur. Il demeure cependant un héritier de la figure du prince, et à ce titre cherche à être aimé du peuple. Il dotera Rome d'un autre complexe monumental célèbre : le Forum de Trajan. Il n’en restait pas moins un empereur, soignant son image, mais toujours en étant proche du peuple, par l’organisation de jeux, de distributions de vivres, ou encore par l’aide à l’éducation des enfants de familles modestes. Ses grands travaux, dont son forum et son marché, servaient son image, mais permettaient aussi de donner du travail au peuple. De même, les territoires conquis militairement sous son règne seront pacifiés et « civilisés ». Proche du peuple, Trajan ne perdait toutefois pas de vue sa position d’Empereur de la plus grande puissance mondiale.

Rappelons tout d’abord que l’« évergétisme » désigne une pratique impériale ou aristocratique consistant pour un riche citoyen à offrir à la cité de somptueux monuments, ayant un usage concret ou non, afin que son nom soit retenu par le peuple et associé à la magnanimité, le but final étant bien sûr politique. On retrouve dans ces thermes la double dimension pratique que l’on peut associer au rôle social de cet édifice, avec une immense capacité (environ 1 500 baigneurs), un plan moderne (les thermes « campaniens » comme ceux de Pompéi ou même d’Ostie, datant pourtant du IIe siècle, ne suivaient pas de plan « cyclique », les pièces étant toutes disposées en enfilade sur un côté de la palestre), et dédoublé pour plus de confort. L’idée d’intégrer différentes activités dans un grand complexe peut aussi être rattachée à cette notion d’évergétisme. Mais l’aspect grandiose des thermes, comme le plan symétrique qui a une utilité pratique somme toute limitée, est lui une recherche de magnificence, toutefois aussi rattachée aux aspirations populaires. Par exemple les riches mosaïques, marbres et sculptures qui ornaient l’édifice provenaient pour beaucoup de l’ancienne domus aurea de Néron, et étaient ainsi en quelque sorte retournés au peuple. On voit donc bien le caractère évergétique de cette construction, à la fois conçue pour le plaisir du peuple, et offrant une image resplendissante du pouvoir impérial.

Les thermes impressionnent le passant, marquent le paysage, et imposent le respect face au luxe intérieur et l'intelligence de la conception du bâtiment. Ils constituent une marque de l'évergétisme impérial, dans une continuelle justification du principat romain, dont on sait qu'il fut marqué, durant le Ier siècle, par plusieurs houleuses occurrences d'empereurs « décadents » et dont la mémoire fut bannie. On citera Néron, dont il est important de rappeler que le palais a été partiellement rasé pour servir de fondation aux thermes, et dont le Colosse (représentant Néron lui-même) fut abattu. Colosse en lieu et place duquel fut bâti l'Amphithéâtre Flavien, mieux connu sous le nom de Colisée qui en tire son nom (ColossusColosseo → Colisée).

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Filippo Coarelli, Guide archéologique de Rome, 1991, p. 143-145 (ISBN 2012354289)
  • (en) Samuel Ball Platner, A Topographical Dictionary of ancient Rome, London, Oxford University Press, 1929, in Lacus Curtius Thermae Traiani
  • Jérôme Carcopino, Rome à l’apogée de l’Empire, Paris, Hachette, 1939, 347p.
  • Nathalie de Chaisemartin, Rome, paysage urbain et idéologie. Des Scipions à Hadrien (IIe s. av. J.-C. – IIe s. ap. J.-C.), Paris, Armand Colin, 2003, 269 p.
  • Philippe Descamps, Caracalla, bains et merveilles, dans Les Cahiers de Science & Vie, les racines du monde, no 91, Paris, Excelior, février 2006, 113 p, p. 72-77.
  • Pierre Gros, L’architecture romaine du début du IIIe siècle av. J.-C. à la fin du Haut-Empire, 1. Les monuments publics, Paris, Picard, 1996.
  • Moses Hadas, (dir.), La Rome impériale, Neuilly-sur-Seine, Time-Life, 1965, 190 p.
  • Jean Leclant (dir.), Dictionnaire de l’Antiquité, Paris, PUF, 2005.
  • Alain Malissard, Les romains et l’eau. Fontaines, salles de bains, thermes, égoûts, aqueducs..., Paris, Realia, 1994, 342 p.
  • Michel Tarpin, Roma fortunata, Identité et mutation d’une ville éternelle, Gallion, Infolio, 2001.

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Thermes de Trajan de Wikipédia en français (auteurs)

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