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Saint-Martin-Labouval
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Pays 
FranceRégion Midi-Pyrénées Département Lot Arrondissement Arrondissement de Cahors Canton Canton de Limogne-en-Quercy Code Insee 46276 Code postal 46330 Maire
Mandat en coursBernard Andissac
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Lot-Célé Latitude
LongitudeAltitude 129 m (mini) – 384 m (maxi) Superficie 13,49 km² Population sans
doubles comptes179 hab.
(1 999)Densité 13 hab./km² Saint-Martin-Labouval est une commune française, située dans le département du Lot et la région Midi-Pyrénées.
Sommaire
Géographie
Saint-Martin-Labouval se situe dans la vallée du Lot entre Cahors et Figeac. Au sud de département, non loin de l'Aveyron, le village dispose d'un site anturel plein de charme mais à l'écart des grandes voies de communication.
Histoire
La haute vallée du Lot a été préservé de toutes les vagues d'invasion et a servi de refuge aux populations locales. Ceci explique pourquoi dès le Ve siècle avant Jésus-Christ, le site de Saint Martin Labouval a été occupé par des autochtones fuiant les invasions celtes. Les traces de romanisations sont absentes, montrant que sous l'Empire romain, la présence civilisatrice du grand état ne s'est pas fait sentir. Lors de invasions germaniques, la vallée retrouve sa vocation de refuge. C'est alors que le village grandit.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 1995 2014 Bernard Andissac Mouvement Démocrate Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique
(Source : INSEE[1])1962 1968 1975 1982 1990 1999 175 234 186 205 170 179 Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Lieux et monuments
Tour sur le causse Saint-Martin-Labouval
Personnalités liées à la commune
Nicolas Épin-Preunaile (1878- 1915), ancêtre de la comédienne, Marianne Épin, est un écrivain régionaliste du Quercy, aujourd'hui oublié. Ce fils de paysan, n'est sous la IIIe république a pu apprendre à lire est à écrire grâce aux lois Jules Ferry instaurant l'obligation scolaire. Après avoir pratiqué divers métiers, il s'installa à Cahors au début du XXe siècle. Il commença à publier en feuilleton dans la presse locale, le petit écho de Cahors (conservé à la bibliothèque municipale de la ville), les aventures amoureuses de Stella Haubilloine et de Martial Queysnaubit. S'inspirant de légendes médiévales comme Tristan et Iseult et de farces de la même époque comme la farce de maitre Patelin, il décrit les amours impossibles de Stella, fille d'un hobereau quercynois et de Martial, un bateleur intrépide qui transporte des marchandises sur le Lot dans un style tragi-comique considéré actuellement comme démodé.
Voir aussi
Notes et références
Liens externes
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Catégorie : Commune du Lot
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