Revue de synthese

Revue de synthese

Revue de synthèse

2007 (6e sér.)
Fond. « Pour la science »

La Revue de synthèse a été créée par Henri Berr en 1900 sous le titre Revue de synthèse historique. Elle a connu divers partenaires éditoriaux depuis sa création. Aujourd'hui elle est publiée sous forme papier et sous forme électronique avec les éditions Springer Verlag à Paris.

Sommaire

Histoire

En 1900, l’objectif de Henri Berr en fondant la Revue de synthèse était de répondre aux excès de l’érudition et du cloisonnement des disciplines. Lieu de rencontre interdisciplinaire, notamment entre les philosophes et les historiens, les géographes et les sociologues, la revue acquit très vite une légitimité dans le champ des revues savantes et exerça une influence significative dans l’émergence d’une nouvelle histoire qui s'est concrétisée d'abord avec la création de la collection encyclopédique L'Évolution de l'Humanité animée par Henri Berr lui-même et par Lucien Febvre, puis avec la création par Lucien Febvre et Marc Bloch, en 1929, des Annales d'histoire économique et sociale.

La Revue a connu plusieurs séries. De 1900 à 1913, la première d'entre elles manifestait le projet initial de Henri Berr[1]. Au bout de dix ans[2] et parallèlement à la formation de la collection L'Évolution de l'Humanité, la seconde série, publiée de 1913 à 1930, continuait les objectifs de la Revue de synthèse historique[3] et les étendait aux débats qui alors touchaient aux renouvellements des sciences mathématiques et physique, à ceux de la philosophie et de l’histoire des sciences, et à la formation des nouvelles orientations des sciences sociales. La Revue est devenue l’organe de la Fondation « Pour la science » et du Centre international de synthèse, créés en 1925 par Henri Berr. Elle se transforma quelques années plus tard en une troisième série, parue de 1931 à 1985, intitulée Revue de synthèse[4].

C'est sous ce titre qu'elle paraît encore aujourd’hui. La réorientation de 1931 est contemporaine de la création des Annales. La Revue de synthèse accueillit dès lors les travaux de philosophie, d’histoire des sciences et de réflexion sur les sciences sociales et les sciences humaines alors que la nouvelle revue traitait d’histoire économique et sociale. La quatrième série, publié comme la précédente en partenariat avec les Éditions Albin Michel de 1986 à 2001, a visé, dans le contexte de l'affaiblissement des certitudes en histoire économique et sociale, à réactiver l’histoire intellectuelle et de l’histoire des sciences à l'initiative de Jacques Roger, d'Ernest Coumet et de Jean-Claude Perrot[5]. Au terme de seize années de travail collectif, elle a renoué avec la question initiale : comment formuler l’agenda de l’histoire et des sciences sociales en le soumettant aux impératifs actuels de la critique philosophique et de l’exigence des sciences mathématiques, physiques et biologiques. Une cinquième série vit le jour en partenariat avec les éditions Rue d'Ulm de l'Ecole normale supérieure et couvrit les années 2002 à 2006, prolongeant cette longue tradition d’explorations prudentes et rigoureuses des articulations et des rencontres entre des disciplines distinctes mais nécessairement solidaires et l’état critique actuel des sciences et des sciences sociales[6].

Un siècle après sa création, la Revue de synthèse a tiré un bilan des transformations des rapports entre les disciplines et des renouvellements techniques et économiques propres à l'édition scientifique[7]. Elle a ainsi été conduite à ouvrir en 2007 une sixième série en partenariat avec les éditions Springer Verlag, prolongeant son action sur la scène scientifique internationale[8]. « Nous nous sommes formé l’idéal — écrivait déjà Henri Berr au bout de dix ans — d’une revue qui se rajeunirait et se renouvellerait sans cesse, en portant toujours son effort du bon côté ».

Au début du XXIe siècle

La Revue de synthèse caractérise en 2009 son activité en ces termes :

Grâce au concours d'universitaires français et étrangers, la Revue de synthèse accueille aujourd'hui des travaux d'histoire intellectuelle, d'épistémologie, de philosophie, de sociologie, d'histoire économique, sociale, juridique et culturelle. Elle a la vocation d'animer les réflexions situées au carrefour entre la philosophie, l'histoire des sciences et l'histoire générale en encourageant les recherches et les échanges sur les questions touchant aux fondements des sciences sociales, aux renouvellements de l'enquête sur les sciences, aux développements des voies nouvelles propres à l'histoire intellectuelle.

Ainsi la revue se propose d'étudier l'activité cognitive historiquement datée des savants, des philosophes, des hommes de pouvoir ou des clercs ; elle réinsère l'élaboration des concepts et des idées, au sens classique du terme, dans son milieu génétique : l'environnement anthropologique, linguistique, institutionnel et social qui en autorise l'expression et la diffusion. En bref, la Revue de synthèse porte la plus grande attention à l'histoire du travail intellectuel. Elle cherche à éclairer les critères de scientificité des sciences sociales. Elle occupe à ce titre une place originale dans l'ensemble des publications françaises et internationales.[9]

Dans un contexte de mutation des partages disciplinaires en France et à l'étranger, la Revue de synthèse entend assumer aujourd'hui sa charge en renouant plus que jamais avec sa fonction originelle, au carrefour entre philosophie, histoire, sciences et sciences sociales, agissant au coeur de la formation des futurs savants et intervenant plus facilement à l'échelle internationale du fait de son partenariat depuis 2007 avec l'éditeur scientifique Springer Verlag.

La rédaction de la Revue observe que de tels renouvellements ne peuvent avoir lieu de manière pertinente sans une réflexion sur l’itinéraire de savoirs spécialisés au XXe siècle. Elle encourage donc délibérément, depuis le début des années 1990, les travaux sur l’histoire des sciences et l’histoire intellectuelle du siècle dernier, cela par l’organisation de journées d’études, par la mise à disposition de ses archives à l’Institut pour la Mémoire de l’édition contemporaine (IMEC), par la publication d'ouvrages spécialisés, enfin par la numérisation de son corpus en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France.

La Revue de synthèse est dirigée depuis 1995 par Éric Brian. Depuis 2007, elle est préparée par une équipe rédactionnelle formée fin 2007 par Laurie Catteuw, Étienne Anheim, Vincent Bontems, Caroline Ehrhardt et Valérie Tesnière. Son comité de rédaction est composé de Charles Alunni, Mathieu Arnoux, Claude Blanckaert, Michel Blay, Dominique Bourel, Jean-Pierre Cléro, Jochen Hoock, Dominique Margairaz, Pierre-François Moreau, Jean-Claude Perrot, Olivier Remaud, Dinah Ribard et Jean-Marc Rohrbasser[10]. Les perspectives de la sixième série sont indiquées dans l'article bilingue Travail de synthèse et diversité des langues/Synthesis work and diversity of languages qui ouvre le n°1 de l'année 2007.

Diffusée en parallèle par la voie électronique et la voie papier, la Revue de synthèse paraît à un rythme trimestriel à partir du premier fascicule de l'année 2008. Il s’agit à chaque fois ou bien de rendre compte d'un chantier entretenu de longue haleine ou bien d'un dossier d’actualité de la recherche grossi de textes additionnels ou de documents pertinents. Une part importante de la publication est réservée aux revues critiques, aux chroniques de la recherche, aux comptes rendus et aux notes de lecture[11].

Titres de numéros parus

  • Sixième série (depuis 2007).
    • Tome 130 : Réalisme et mythologie de la raison d'État. 2. Des combats pour l'histoire (n°3, 2009) ; Réalisme et mythologie de la raison d'État. 1. Une question de mémoire historique (n°2, 2009) ; Les Machines. Objets de connaissance (n°1, 2009).
    • Tome 129 : Le Travail intellectuel au Moyen Âge. Institutions et circulations (n°4, 2008) ; Les Moyens techniques de l’art. 2. Max Weber à l’épreuve d’un siècle d’histoire musicale (n°3, 2008) ; Les Moyens techniques de l’art. 1. Portée de la sociologie musicale de Max Weber (n°2, 2008) ; Civilisations. Retour sur les mots et les idées (n°1, 2008).
    • Tome 128 : Leibniz, Wolff et les monades. Science et métaphysique (n°3-4, 2007) ; L’Histoire par le livre (XVIe-XXe siècle) (n°1-2, 2007).
  • Cinquième série (de 2002 à 2006 : 5 tomes, 7 livraisons).
    • Tome 127 : Le Marché dans son histoire (n°2, 2006) ; Questions de temps. Coïncidences et récurrences (n°1, 2006).
    • Tome 126 : Sciences et philosophie au XXe siècle. L’École de Zurich et le programme surrationaliste (n°2, 2005) ; De l’Édit de Nantes à la Révocation (n°1, 2005).
    • Tome 125 : Fabrique des archives, fabrique de l’histoire (2004).
    • Tome 124 : Géométrie et cognition (2003).
    • Tome 123 : Circulation et cosmopolitisme (2002).
  • Quatrième série (de 1986 à 2001 : 16 tomes, 43 livraisons).
    • Tome 122 : Histoire des jeux, jeux de l’histoire. Journées Coumet (n°2-3-4, 2001) ; Objets d’échelles (n°1, 2001).
    • Tome 121 : Anthropologies, États et populations (n°3-4, 2000) ; Histoire des sciences économiques (n°1-2, 2000).
    • Tome 120 : L’inscription de la nature (n°4,1999) ; Les Jésuites dans le monde moderne (n°2-3, 1999) ; Pensée des sciences (n°1, 1999).
    • Tome 119 : Mathématiques à l’épreuve de l’écriture (n°4, 1998) ; Histoire du scepticisme (n°2-3, 1998) ; Actualité et épistémologie (n°1, 1998).
    • Tome 118 : Éléments d’histoire des sciences sociales (XVIIIe-XXe siècles) (n°4, 1997) ; Théories de la Libre république du Quattrocento aux Lumières (n°2-3, 1997) ; Philosophie dans la France des Lumières (n°1, 1997).
    • Tome 117 : Autobiographie et courants spirituels (n°3-4, 1996) ; Henri Berr et la culture du XXe siècle (n°1-2, 1996).
    • Tome 116 : Puissance du langage et histoire (n°4, 1995) ; John Toland (1670-1722) et la crise de conscience européenne (n°2-3, 1995) ; Varia (n°1, 1995).
    • Tome 115 : Les territoires de la psychologie (n°3-4, 1994) ; La classification des sciences (n°1-2, 1994).
    • Tome 114 : Varia (n°3-4, 1993) ; Actualité de la métaphysique ? (n°2, 1993) ; Épistémologie de l’économie (n°1, 1993).
    • Tome 113 : Animalité et anthropomorphisme (n°3-4, 1992) ; Le commerce culturel des nations (n°1-2, 1992).
    • Tome 112 : De l’État. Fondations juridiques, outils symboliques (n°3-4, 1991) ; Du fait statistique au fait social (n°2, 1991) ; Auguste Comte. Politique et sciences (n°1, 1991).
    • Tome 111 : Traditions et sociétés (n° 4, 1990) ; La difficile institution de l’Europe (n°3, 1990) ; Sciences cognitives (n°1-2, 1990).
    • Tome 110 : Varia (n°3-4, 1989) ; Moments de la pensée libérale (n°2, 1989) ; Réception et contresens (n°1, 1989).
    • Tome 109 : Une histoire des sciences de l’homme ? (n°3-4, 1988) ; Transferts culturels franco-allemands (n°2, 1988) ; Condorcet (n°1, 1988).
    • Tome 108 : Périodisation en histoire des sciences et de la philosophie (n°3-4, 1987) ; Varia (n°1 et 2, 1987).
    • Tome 107 : Varia (n°4, 1986) ; Histoire des idées et théorie de l’évolution (n°3, 1986) ; Questions d’histoire intellectuelle (n°1-2, 1986).
  • Troisième série (numéros parus de 1956 à 1985 : 30 tomes, 66 livraisons).
    • Tome 106 : Varia & Tables 1931-1985 (n°120, 1985) ; Philosophie et épistémologie juridiques (n°118-119, 1985) ; Varia (n°117, 1985).
    • Tome 105 : Varia (n°115 et 116, 1984) ; Médecine et sciences de la vie au XVIIIe siècle (n°113-114, 1984).
    • Tome 104 : Histoire des sciences et mentalités (n°111-112, 1983) ; Varia (n°109 et 110, 1983).
    • Tome 103 : Littré. Langues, philosophie, politique, sciences (n°106-108, 1982) ; Varia (n°105, 1982).
    • Tome 102 : R. A. Fisher et l’histoire de la génétique des populations (n°103-104, 1981) ; Varia (n°101-102, 1981).
    • Tome 101 : Varia (n°99-100, 1980) ; Pourquoi des Dix-huitièmistes ? (n°97-98, 1980).
    • Tome 100 : Les néo-lamarckiens français (n°95-96, 1979) ; Varia (n°93-94, 1979).
    • Tome 99 : Varia (n°92, 1978) ; IIIe centenaire de la mort de Spinoza (n°89-91, 1978).
    • Tome 98 : Varia (n°85-86 et 87-88, 1977).
    • Tome 97 : Varia (n°83-84, 1976) ; Les Correspondances. Leur importance pour l’historien des sciences et de la philosophie. Problèmes de leur édition (n°81-82, 1976).
    • Tome 96 : Varia (n°77-78 et 79-80, 1975) .
    • Tome 95 : Varia (n°75-76, 1974) ; Journée Dom Robert Desgabets (n°73-74, 1974).
    • Tome 94 : Varia (n°70-72, 1973) ; Histoire du copernicanisme (n°69, 1973).
    • Tome 93 : Varia (n°65-66 et 67-68, 1972).
    • Tome 92 : Varia (n°61-62 et 63-64, 1971).
    • Tome 91 : [L’Espace et le temps dans la cité grecque et la philosophie antique] (n°57-58 et 59-60, 1970).
    • Tome 90 : [L’Espace et le temps dans les mondes anciens] (n°55-56, 1969) ; Varia (n°53-54, 1969).
    • Tome 89 : Varia (n°49-52, 1968).
    • Tome 88 : Varia (n°45-46 et 47-48, 1967).
    • Tome 87 : Varia (n°41-42 et 43-44, 1966).
    • Tome 86 : Varia (n°40, 1965) ; L’Histoire. Science humaine du temps présent (n°37-39, 1965).
    • Tome 85 : Varia (n°36, 1964) ; Hommage à Henri Berr (1863-1954) (n°35, 1964) ; Varia (n°33-34, 1964).
    • Tome 84 : Varia (n°32, 1963) ; L’Expérience (n°29-31, 1963).
    • Tome 83 : Varia (n°26-28, 1962) ; Sciences et techniques. Leurs rapports au milieu du XXe siècle (n°25, 1962).
    • Tome 82 : [Mathématiques et philosophie] (n°22-24, 1961) ; Journées Fontenelle (n°21, 1961).
    • Tome 81 : Varia (n°17-18 et 19-20, 1960).
    • Tome 80 : Varia (n°13-14 et 15-16, 1959).
    • Tome 79 : Varia (n°9-10 et 11-12, 1958).
    • Tome 78 : Varia (n°8, 1957) ; Journées d’ethnographie française (n°7, 1957) ; Varia (n°5-6, 1957).
    • Tome 77 : Panorama de la science chinoise (n°4, 1956) ; Varia (n°1, 2 et 3, 1956).

Notes et références

  1. Voir le programme paru en 1900
  2. Voir le bilan tracé en 1910
  3. Voir l'annonce de la nouvelle série en 1913
  4. Voir « Au bout de trente ans », 1931
  5. Voir « Aux lecteurs », 1986
  6. Voir « Aux lecteurs », 2002
  7. textes parus en 2004, 2006
  8. Voir sa présentation, 2007
  9. Information de la Revue au Centre national du Livre diffusée par ses partenaires éditoriaux.
  10. Voir l'ours complet
  11. Voir les clés de la Revue indiquées par Henri Berr en 1911, 1925, 1931

Liens externes

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