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Phare du cap Ferrat
Phare du cap Ferrat 
Position Localisation Saint-Jean-Cap-Ferrat, Alpes-Maritimes,France Construction 1952 Hauteur 34 m Élévation 78 m Feux éclat tournant / 5s Lanterne halogène 1000 W Automatisation oui Gardienné non Visiteurs non modifier 
Le premier phare du cap Ferrat existait depuis 1827, mais l'actuel date de 1949.
Sommaire
Historique
Sur l'emplacement actuel du phare, se trouvait autrefois une tour à feu qui servait à guider les bateaux dans la rade de Villefranche-sur-Mer.
En 1827, cette tour fut remplacée par le régime sarde par un premier phare. C'est une tour octogonale en pierre de taille avec attique cylindrique supportant le soubassement de la lanterne de 33,50 m de hauteur, érigée par le service des phares piémontais, lui donnant une élévation de 71 m au-dessus de la mer.
La tour fut détruite en 1944 par les troupes allemandes.
Le phare est inscrit dans l’inventaire général du patrimoine à compter du 12 décembre 2003[1].
Phare actuel
Le phare du cap Ferrat en pointe de la presqu'île du même nom se situe sur la commune de Saint-Jean-Cap-Ferrat et domine son port.
Il fut construit en 1949 par les Ponts et Chaussées de l’époque et fut allumé en 1952. C'est une tour octogonale et pyramidale en maçonnerie de pierres apparentes sur un soubassement pyramidal et pentagonal en pierres apparentes. Le phare est relié au premier étage d'un bâtiment carré abritant des logements de gardiennage. Un local technique, à côté, termine l'ouvrage.
Il est automatisé.
Sophie Duez est la marraine du phare du Cap Ferrat.
Le cap Ferrat est également doté d'un sémaphore. Il fut construit en 1862 sur décision de Napoléon III, qui voulait établir une chaîne de transmission sur le littoral. Il est aujourd'hui sous le contrôle de la Marine nationale pour ses missions de régulation du trafic maritime, mais également de surveillance des départs d'incendie sur la côte.
Un sentier littoral a ainsi été aménagé et, partant de la Plage de Passable, il contourne toute la presqu'île jusqu'au village de Saint-Jean, petit port de pêche devenu station touristique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, ce sentier, appelé chemin des douaniers, fut en partie détruit par les Italiens.
Annexes
Notes et références
Articles connexes
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