- Parti marocain liberal
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Parti marocain libéral
Pour les articles homonymes, voir Parti libéral.Le Parti Marocain Libéral (PML) est un parti politique marocain.
Les Principales Familles Politiques Présentes dans le Parti
Famille Libérale
La famille Libérale marocaine est née en 1967?. Le premier parti marocain qui s’est apparenté de cette idéologie a été le Parti … Marocain.
Famille Conservatrice
Le Conservatisme n'a qu’un faible poids politique au Maroc. Cette faiblesse est certainement due au fait que, même si plusieurs parti se réclame de Droite, il pratique une certaine de Gauche.
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Historique Partisane
Issu de l'Union constitutionnelle, le Parti Marocain Libéral (PML) est né le 23 Mars 2002 suite au départ de Monsieur ZIANE et ses «amis libéraux de Droite». Cette dissidence est due au fait que les Partisan de ZIANE ont quitté l’UC car selon eux «L’Union Constitutionnelle ne respectait pas les idéaux Libéraux» inscrit dans son Manifeste.
2006, plus précisément les 16 et 17 Décembre lors du Congrès de Kénitra, vis la reconduction par 68% des Adhérents, de Mohammed Ziane, pour un second mandat de 4 ans, au Poste de Président du Parti, Coordinateur National du Parti et Porte-Parole National du Parti.
Scrutins nationaux
- Élections Législatives de 2002
- Les Élections Législatives Marocaines de Septembre 2002 furent une première épreuve politique pour le Parti. Il remporta 3 des 325 Sièges disponible de la Chambre des Représentants alors que le parti était né que 6 mois avant cette échéance électorale transparentes. Le Parti est représenté au sein de la Chambre des Représentants par les députés suivants : [X]
- Élections Municipales de 2002
- Le Parti est présent dans plus de XXX Villes avec un total national de 1AAA Conseillers Municipaux et ZZZ Maires.
- Élections Sénatoriales «des Conseillers» de 2004
- Le Parti ne dispose d’aucun Sénateurs.
Néanmoins le partis lors des élections législatives du 7 septembre 2007, ne parvint pas a décrocher un siège avec moins de 0,1% des voies.
Programme «Source : Le Pacte des Principes du Parti Marocain Libéral»
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- Ce paragraphe nous présente les principaux axes que le Parti considère comme axes important
- Politique
- Droit à l’initiative, la Création, à la Santé, à l'Information et à l'Éducation
- Séparation et Égalité des Pouvoirs
- Pluripartisme
- Référendum
- Juridique
- Indépendance Politique de la Justice.
- Économique
- «Il est interdit d’interdire»
- Libre-Entreprise
- Concurrence
- Social
- Tolérance
- Éducation et l'Enseignement
- Actuellement Indéterminée
- Environnement et Agriculture
- Respect de l'Environnement
- Culture
- En phase de Traduction
- Régionalisation
- En phase de Traduction
- Artisanat
- En phase de Traduction
- Question Arabe
- En phase de Traduction
- Religion
- En phase de Traduction
- Politique Étrangère
- En phase de Traduction
Organisation
Direction Nationale
Les Secrétaires Nationaux
Militantisme
Le Parti Marocain Libéral revendique, en son sein, environ 3 000 adhérents à jour de Cotisations en Février 2007.
Composantes
Le Parti Marocain Libéral a décidé lors du Congés National Libéral des 16 et 17 Décembre 2006, tenu à Kénitra, a décidé de faire la cour tant aux femmes qu’au Jeunes pour les former en tant qu'Élites du futur.
La Jeunesse Libérale
Les Femmes Libérales
Amitiés Internationales et Nationales
Partis Étrangers Associés
Les Partis Étrangers Associés au Parti Marocain Libéral (PML), le sont pour pouvoir convaincre les pays de l’importance du Libéralisme et ses côtés positifs dans le Développement du Monde.
Partis Nationaux Associés
Le Parti Marocain Libéral (PML) a décidé de s’associer à plusieurs Partis Nationaux Marocains dans le but final de pouvoir développer le Maroc en total respect à l’idéologie Libéral. Voici donc les Parti Marocains associés de prés ou de loin au Parti Marocain Libéral (PML).
- Parti XXXX Marocain
Controverse
En dépit de son engagement pour la promotion des idéaux libéraux au Maroc, la position prise par Me. Ziane, le Président du parti, dans l'affaire opposant l'ESISC aux Journal Hebdomadaire permet d'autres interprétations.
Selon le rapport de Reporters Sans Frontières, "Comme nous l’avions déjà affirmé lors du verdict, cette décision est tout à fait disproportionnée. Plus qu’une sanction, elle représente la mise à mort de cette publication déjà contrainte à verser, il y a quatre ans, près d’un million de dirhams au ministre des Affaires étrangères à l’issue d’un premier procès en diffamation”, a ajouté l’organisation." "Dans un communiqué de presse, publié le 16 février 2006, le conseil d’administration de l’ESISC avait affirmé qu’il “renoncerait aux dommages et intérêts qui lui ont été alloués et se contenterait d’un dirham symbolique” si le Journal Hebdomadaire “reconnaissait ses fautes”. Lors du procès, l’avocat de ce centre avait demandé la somme de 500 000 euros. Le procureur du roi avait soutenu cette requête alors que rien ne l’y oblige. Cependant selon Ali Amar, directeur général du Journal Hebdomadaire, la rédaction avait proposé au responsable de l’ESISC la publication d’un droit de réponse qu’il n’a jamais utilisé."[1],[2] http://www.lejournal-hebdo.com/article.php3?id_article=6226 http://www.rsf.org/article.php3?id_article=20238
Liens externes
Références
- ↑ Reporters sans frontières - Maroc
- ↑ rhttp://www.lejournal-hebdo.com/article.php3?id_article=6226
Voir aussi
- Portail du Maroc
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