- Panzerlied
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La Panzerlied est l'une des plus célèbres chants militaires de la Wehrmacht. Elle a été composée en juin 1933 par lieutenant Kurt Wiehle. Ce chant militaire a été intégré au carnet de chant de la Légion étrangère avec d'autres paroles sous le tires de Képi blanc. Il est aussi connu pour être chanté dans le film La Bataille des Ardennes (1965) avec Robert Shaw.
Paroles et traduction
Paroles allemandes Traduction approximative Première strophe Ob's stürmt oder schneit, ob die Sonne uns lacht,
Der Tag glühend heiß, oder eiskalt die Nacht,
Verstaubt sind die Gesichter, doch froh ist unser Sinn,- Ja, unser Sinn,
Es braust unser Panzer im Sturmwind dahin.
Que la tempête souffle avec violence, qu'il neige ou que le soleil nous sourie.
Que le jour soit brûlant ou la nuit glaciale,
Les visages sont couverts de poussière, mais notre coeur est joyeux,
oui est joyeux.
Notre char gronde dans la tourmente.Seconde strophe Mit donnernden Motoren, So schnell wie der Blitz,
Dem Feinde entgegen, Im Panzer geschützt.
Voraus den Kameraden, Im Kampf steh'n wir allein,
ja wir allein.
So stoßen wir tief In die feindlichen Reihn.Avec un moteur qui fait grand bruit, rapide comme l'éclair,
Nous roulons à la rencontre de l'ennemi, protégés par le char,
devant les camarades, nous sommes seuls dans le combat,
oui, nous sommes seuls ;
nous poussons ainsi profondément dans les rangs ennemis.Troisième strophe Wenn vor uns ein feindlicher Panzer erscheint,
Wird Vollgas gegeben Und ran an den Feind!
Was gilt denn unser Leben, Für unsres Reiches Heer, Ja Reiches Heer?
ja Reiches Heer
Für Deutschland zu sterben Ist uns höchste Ehr.Quand une armée ennemie apparait devant nous,
on met plein gaz et on se lance contre elle,
Que vaut alors notre vie pour l'armée de notre reich?
oui pour l'armée de notre reich.
mourir pour l'allemagne est pour nous l'honneur le plus grand.Quatrième strophe Mit Sperren und Minen hält der Gegner uns auf,
Wir lachen darüber und fahren nicht drauf.
Und droh'n vor uns Geschütze, versteckt im gelben Sand,- Im gelben Sand,
Wir suchen uns Wege, die keiner sonst fand.
avec des obstacles et des mines, l'ennemi nous arrête,
nous en rions et ne roulons pas dessus.
aucun risque nous sommes protégés, cachés dans le sable jaune
oui, dans le sable jaune.
Nous cherchons des chemins que personne n'aurait trouvés d'habitudeCinquième strophe Und läßt uns im Stich einst das treulose Glück,
Und kehr'n wir nicht mehr zur Heimat zurück,
Trifft uns die Todeskugel, ruft uns das Schicksal ab,- Ja, Schicksal ab,
Dann wird uns der Panzer ein ehernes Grab.
Et si un jour, la chance infidèle nous abandonne,
nous ne rentrerons plus au pays natal.
La balle mortelle nous touche, le destin nous rappelle,
oui le destin
alors, le char devient pour nous un tombeau d'airain.Liens externes
Notes et références
Catégories :- 1933
- Chanson allemande
- Chant militaire
- Ja, unser Sinn,
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