Nicolas Michielacato Loverdo

Nicolas Michielacato Loverdo

Nicolas Michielacato Loverdo, né le 3 novembre 1773 était un général du Premier Empire décédé le 26 juillet 1837.


Nikolaos (Nicolas) Loverdo Mikelatos, futur général de l’armée française, naquit le 5 août 1773 dans le village de Kontogennada, sur le territoire de Pali en Céphalonie. Il était le fils du Comte Georges Loverdo.

Après avoir terminé ses études primaires en Céphalonie, il fut envoyé à Venise afin de continuer sa préparation en vue de son admission à l’Université de Padoue où son père avait l’intention de lui faire étudier le droit. Le fils, cependant, montra plus d’intérêt pour les études politiques, les mathématiques et les sciences. Après un temps, il partit pour Paris où les développements politiques le conduisirent vers de nouveaux champs d’activité.

Le jeune Nicolas adopta avec enthousiasme les nouvelles idées démocratiques et finalement s’engagea dans l’armée. L’adjudant+major grec Loverdo servit sous Napoléon dans la 13ème armée des Alpes. Le 16 avril 1796, à la bataille de Modène, il fut sérieusement blessé à la tête et fut obligé de se retirer du service actif durant sa convalescence.

Après la paix de Campo-Formio, en 1797, lorsque les Iles Ioniennes furent cédées à la République Française, Loverdo servit dans l’État-major du Général Gentily qui avait reçu le commandement militaire et civil pour Corfou. Là, il fut versé, hors-cadre, dans l’administration civile, devint le premier conseiller au Sénat et bientôt promu au rang de conseiller principal (Segretatio in Capo) auprès du gouvernement central de Corfou.

Ce fut aux environs de cette époque que la dénommée " Société Patriotique " fut créée par un certain nombre de penseurs et d’érudits. Ses membres se réunissaient pour écouter des conférences sur différents sujets politiques. À une de ces rencontres, le jeune Loverdo lut un texte mettant en avant le fait que " le gouvernement d’un seul homme ou d’une oligarchie détruit les droits des hommes et sape un nation de son énergie. " Le texte fut publié durant la 6ème année de la République, dans une série d’essais politiques, édité par la société, bien qu’il n’y eut aucune indication de l’endroit où il fut imprimé.

Cependant, les gouvernements monarchiques unirent leurs forces pour frapper un grand coup contre la France démocratique et c’est ainsi qu’en novembre 1798, la flotte russo-turque fit son apparition dans la Mer Ionienne et que commença le siège de la ville de Corfou. Les instincts martiaux de Loverdo revinrent au premier plan : il démissionna de l’administration civile et se réengagea comme capitaine, organisant et entraînant 2 compagnies de fusiliers grecs fortes de 200 hommes. Les compagnies furent levées à ses frais et servirent sous ses ordres à la défense du " Neocastro " de Corfou. Ce fut cette action qui lui gagnèrent les louanges de l’Inspecteur-Général Dubois qui écrivit que Loverdo " exécuta ses obligations civiles et militaires avec grand zèle, avec une remarquable force physique et intelligence ; son dévouement au service de la France est enviable. " Après la chute de Corfou le 5 mars 1799, l’amiral russe Usakov invita Loverdo à occuper un poste dans le nouveau gouvernement, mais rien ne put l’amener à abandonner le drapeau français.

C’est pourquoi il fit la traversée pour Ancone avec ses compagnies grecques et rejoignit l’armée italienne, comme capitaine d’artillerie sous les ordres du Général Dobelle. Il combattit à l’aile gauche de l’arrière-garde à la bataille de Nioni et fut blessé à la cuisse gauche. Avant même que sa blessure soit guérie il retourna dans l’action à Marengo où il fut promu au rang de lieutenant-major.

Impressionné par les remarquables capacités de Loverdo, le colonel Guériot écrivit une lettre de recommandation au premier consul Bonaparte, proposant un poste ministériel pour le jeune homme, une position où il pourrait utiliser ses très larges connaissances de la politique (Loverdo servait alors comme adjudant-major du colonel Guériot, sur recommandation de Marmont).

Suivant les directives de Guériot, cette lettre de recommandation fut présentée à Bonaparte, par son collègue Rulhière. Loverdo écrivit un rapport à Bonaparte dans lequel il proposait la réoccupation par la France des Iles Grecques, afin de maintenir son influence en Égypte et protéger son commerce en Méditerranée orientale.

Il est possible que ce soit à l’issue de ce rapport que 3 mois après le Traité de Lunéville, Bonaparte donna les ordres pour que des renforts soient envoyés à Tarente afin de reconquérir les Iles Ioniennes et pour Loverdo d’aller à Ferrare où il devait superviser le transport de l’artillerie et autres fournitures pour Tarente.

Loverdo se jeta avec un grand zèle dans la tache de rassembler, depuis Turin, Alexandrie, Tortoni et Mantoue, de grandes quantités d’armes à feu. Il fit tout son possible pour qu’elles soient transportées d’abord à Ancone puis à Tarente. Les britanniques essayèrent en vain de les intercepter, mais Loverdo fut plus malin qu’eux : quelques fois, se cachant parmi les Iles du Po où les anglais le recherchaient avec de petits bateaux, d’autres fois attendant que le mauvais temps force l’escadre anglaise à se tenir éloignée de la côte. Une grande quantité de fusils et de munitions avait déjà été transportée à Ancone et à Tarente lorsque arrivèrent les nouvelles du commencement des négociations avec Londres : l’opération fut annulée et les approvisionnements renvoyés dans les entrepôts. Loverdo eut l’ordre de se présenter chez le général Seroux, chargé de l’artillerie pour l’armée de l’Italie du Sud. Après un séjour de quelque temps, il fut envoyé à l’Ile d’Elbe, en mission secrète, où il resta jusqu’à la signature de la paix. Après avoir accompli sa mission il revint auprès du général Seroux.

Cependant aux environs de cette époque, il apprit que son père avait eu une attaque et par conséquent – sa propre santé étant défaillante – il demanda la permission de retourner dans sa Céphalonie natale, dès lors que les hostilités auraient cessé, pour une période de récupération. Avant de quitter le casernement il demanda une attestation écrite de ses services à la fois du général Seroux et du général Lacombe Saint-Michel. Les 2 hommes furent heureux d’accéder à sa requête.

La paix libéra l’Égypte du contrôle de la France et de l’Angleterre mais Napoléon avait encore des plans pour l’Orient. C’est pourquoi, alors qu’Horace Sébastiani faisait du " tourisme " en Égypte et sur la côte syrienne, Loverdo, juste arrivé à Corfou, reçut du représentant de la République Française dans les Iles Ioniennes ( Alexandre Romieux) une enveloppe envoyée par Murat contenant les instructions secrètes du 1er Consul.

Les instructions étaient qu’il longe les côtes d’Albanie, Akarnania, Aitolia, Epire et le Péloponnèse, forme les chefs locaux et leur explique les plans militaires nécessaires. Après avoir achevé cette mission secrète, il envoya ses observations au 1er Consul et revint en Céphalonie où il trouva son père se remettant de son attaque. C’est pourquoi il envoya sa demande pour rejoindre l’armée française en Italie.

Cependant, le gouvernement des Iles Ioniennes proposa, sur recommandation du représentant français, qu’il assume le poste d’inspecteur général de l’artillerie et du corps des ingénieurs. Loverdo déclina l’offre, et ce, au moment même de l’arrivée à Zakynthos (Zante) de Sebastiani et où le gouvernement fut conduit à suspecter le rôle joué par 2 officiers français. Dans l’intervalle de nouvelles instructions secrètes étaient arrivées, lui ordonnant de retourner en Grèce et de conduire des négociations secrètes avec Samuel, chef des Souliotes, Zacharias, chef des « klephtes » du Péloponnèse et Zannetakis, bey du Magne. Heureux à la perspective de voir son pays libéré, Loverdo s’activa pour conduire sa seconde mission.

Plus tard il retourna à Corfou et en 1804 revint à Otrante. Cette période marque le commencement de l’étape purement française de la carrière de Loverdo.

Au commencement, il fut attaché à Murat qui était chargé de conduire des négociations avec Ali Pacha. Mais aussitôt que les opérations militaires recommencèrent, Loverdo envoya une demande, par l’intermédiaire de Murat, au chef des forces françaises en Italie, Masséna, afin de rejoindre son armée. Masséna non seulement l’accueillit avec plaisir, mais également le nomma adjudant-major, lui envoyant la lettre suivante :

" Étant donné les témoignages que j’ai entendu, major, de votre noblesse de caractère et le désir que vous avez exprimé de prendre un poste dans l’armée d’Italie, par la présente, je vous nomme parmi mes adjudants-majors. Je prend grand plaisir à avoir des officiers instruits et honorables dans mon entourage et je suis confiant que vous serez digne d’une telle position.
Vous pouvez présenter cette lettre au service du ministère de la guerre aussitôt que la permission pour votre départ sera accordée, faites hâte de me rejoindre. "

Comme adjudant-major du maréchal Masséna, Loverdo fut présent à toutes les campagnes dans lesquelles le brave général fut impliqué. Il fut avec lui en 1806 lors du siège de Gaëte, près de Naples et durant la campagne de Calabre. Il suivit le général en Pologne où après avoir combattu bravement il fut promu au rang de major le 25 février 1807. Après la paix de Tilsitt, il revint à Paris et fut récompensé de ses services par sa nomination dans l’ordre de la Légion d’Honneur et une rente de 500 francs par an sur le fond milanais de Napoléon.

Quand la décision fut prise de lancer la campagne d’Espagne en 1808, Masséna, qui avait perdu un œil, fut incapable de prendre le commandement des troupes ; Loverdo fut désigné pour mener la campagne avec le rang de major. Il se mit en route, emportant un certificat plus qu’élogieux de ses services, de Masséna ainsi que la lettre servant d’introduction au maréchal Lannes, envoyée de Paris par Masséna le 1er décembre :

" Le major Loverdo, mon adjudant-major, a reçu l’ordre de vous rejoindre pour la campagne d’Espagne. J’ai un profond (énorme) respect pour cet officier, ses capacités, sa bravoure et son expérience ; Cela me chagrine de le voir me quitter mais je dois au moins faire ce que je peux pour être sur qu’il sera bien reçu par d’autres. Donc, Mon Cher Maréchal, je suis heureux de vous l’envoyer rejoindre votre état-major et confiant qu’il justifiera la faveur que je lui ai montrée et confirmera tous les témoignages de ses capacités que je vous adresse. Je l’ai avisé de vous porter cette lettre de ma part et pour assurer qu’il n’y a personne d’autre qui vous respecte plus que je le fais.
Avec mes plus chauds compliment. Masséna "

Dans les combats sanglants de la campagne d’Espagne, Loverdo combattit avec une ardeur digne de ses ancêtres grecs.

Durant le siège de Saragosse, lui parvint l’ordre de rejoindre le corps de réserve à Augsbourg (Allemagne) sous le commandement de Masséna. Le corps de réserve devait faire partie du 4ème corps de la Grande Armée.

En 1809, il combattit à Essling et à Wagram où il eut 2 chevaux tués et lui-même blessé 2 fois à la poitrine. Il gagna une autre promotion : il lui fut attribué la croix de la Légion de l’Empire et fait chevalier avec une rente de 2000 francs. Après la conclusion de la paix, il passa un temps pour sa convalescence avant d’être envoyé au Portugal comme sous-chef à l’état-major de Masséna. En 1812, il fut nommé colonel au 59ème régiment de ligne où il se montra un adepte ardent de la discipline militaire, exécutant toutes ses obligations avec une irréprochable ponctualité, comme le général Clauzel l’attestera. Le 2 août 1813, il fut gravement blessé lors de la défense de la colline d’Echalar contre les assauts répétés des britanniques. Il prit 4 mois de permission pour guérir de sa blessure. Étant encore en permission il fut récompensé de sa bravoure par Napoléon qui le promut au grade de général de brigade, le fit d’abord baron et ensuite par décret du 19 novembre 1813, comte.

Le ministre de la guerre demanda s’il pouvait avancer son départ pour prendre le commandement que lui avait confié l’Empereur, mais son médecin Monsieur Dupuytren exprima l’opinion que se serait désastreux pour sa santé de partir immédiatement. Finalement, un ordre direct émanant de l’Empereur d’avoir à se présenter sans autres excuses ni délais pour prendre en charge la région du Tarn-et-Garonne et le commandement de la 3ème brigade de la 2ème division (général Travott) du corps de réserve de l’armée des Pyrénées à Montauban. Il fila pour Montauban le 6 décembre.

Là, une situation difficile l’attendait. La récente conscription avait provoqué la colère contre Napoléon. Loverdo s’assura que la discipline régna sous son propre commandement. Il envoya ses troupes construire des fortifications sur la rive droite de la Garonne et resta en contact constant par messager avec le camp principal de Castelnaudary et avec Toulouse.

Cependant les développements politiques commençaient maintenant à survenir avec la même rapidité que l’avance ennemie. À Montauban, la population se montrait ouvertement en faveur des Bourbons ; un grand nombre de ceux qui hébergaient des soldats avec un billet de logement jetèrent leurs affaires dans la rue ; beaucoup portaient un mouchoir blanc à leur bras droit ; d’autres hissaient des drapeaux blancs ; d’autres manifestaient devant chez Loverdo criant " a bas les Bonapartistes ! A bas le Général ! " Loverdo tenta de calmer la colère des mécontents tout en ordonnant à ses troupes de ne pas tirer sur les partisans des Bourbons mais de se préparer à combattre jusqu’à la mort contre les anglais.

Le 10 avril, lui fut apportée une lettre en provenance du camp anglais lui offrant une forte somme en or ou en livres-sterling s’il désertait. Il écrivit immédiatement au maréchal Soult, recommandant que le messager qui avait apporté la lettre soit passé en cour martiale.

Éventuellement il apparut que ce courrier avait été payé 5 francs par un capitaine anglais pour délivrer la missive. Il fut emprisonné mais relaxé après l’arrivée du Duc d’Angoulême le 6 mai. Loverdo résolut de mourir au combat et de défendre jusqu’au dernier homme les rives de la Garonne. Mais le 11 avril 1814, Napoléon abdiquait et déliait l’armée de son serment. Les nouvelles furent apportées à Montauban par courriers envoyés par le ministre de la guerre. Le 14 avril, toute la population locale se déclara contre Napoléon. Officiers et hommes de troupe abandonnèrent leurs postes. Les gens de la région se déversèrent dans la ville et demandèrent de pouvoir traverser jusqu’au camp anglais afin de leur vendre des provisions.

Dans l’impossibilité de communiquer avec Soult, depuis que Toulouse avait été occupé, Loverdo demanda à rencontrer le général Wellington pour discuter d’un cesser-le-feu. La requête fut accordée et Loverdo informa ses supérieurs qui approuvèrent son initiative. Peu de temps après, Marmont ordonna la cessation des hostilités contre les alliés, tandis que le commandant en chef Gazza ordonnait à l’armée de prêter serment aux Bourbons. Étant donné le changement dans le climat politique, Loverdo, lui-même, n’eut d’autre choix que de prêter serment (quoiqu'il fût le tout dernier à le faire).

Quelque temps plus tard, le Duc d’Angoulême arriva dans la ville, accompagné de deux maréchaux et donna à Loverdo le commandement de la 6ème division de l’armée française. Dans cette position, il eut à s’investir pour arrêter les mutineries fomentées par l’or anglais (car ils étaient encore inquiets de la supériorité numérique de l’armée française) dans les 28ème, 103ème et 100ème régiments.

Bien que le nouveau gouvernement soit obligé de réduire l’effectif de l’armée par économie, Loverdo fut gardé et nommé gouverneur des Basses Alpes (la nomination fut fixée avec l’aide de Masséna). Toutefois, au même moment Louis XVIII qui se souvenait que Loverdo avait été le dernier officier à prêter serment de loyauté aux Bourbons refusa d’admettre son fils à l’École Royale.

Durant les cent-jours, Loverdo resta loyal aux Bourbons et fut détenu à la prison de Grenoble. Après la défaite finale de Napoléon, il fut promu le 14 juillet au rang de lieutenant-général et reçut le commandement de la 8ème division. Le 19 novembre 1815, il devint finalement citoyen français et résident officiel à Paris. Je n’essaierai pas de citer tous les postes qu’il occupa ni les décorations qu’il reçut : je mentionnerai juste qu’il prit part à la campagne d’Espagne en commandant la 3ème division dans le 2ème corps du général Molitor.

Il fut décoré par la France pour sa participation à cette campagne ainsi que par l’Espagne et le Tsar.

Le plan d’occupation d’Alger : Quelque chose pour laquelle les français ont une bonne raison d’être reconnaissant envers Loverdo, est le plan pour occuper Alger. Le plan original incluait un coût de 55 million de francs-or. Président de la nouvelle commission, Loverdo formula les conditions suivantes :

  1. que l’ennemi devrait être attaqué simultanément par terre et par mer
  2. que 40.000 hommes seraient nécessaires, 4.000 chevaux et 130 canons (de campagne, de siège et de montagne) avec les artilleurs nécessaires et des ingénieurs
  3. qu’à part des bateaux de transport, il faudrait 36 navires de combat (frégates, de ligne et vapeurs) aussi bien que de plus petits
  4. il détermina également la quantité précise des équipements et rations pour chaque soldat, et stipula que les vivres et l’eau devraient être adaptés au climat africain
  5. l’expédition devrait appareiller depuis Toulon et Marseille. La date était fixée à la fin avril
  6. le corps expéditionnaire débarquerait sur le rivage de Sidi Ferruch. Loverdo planifiait aussi la meilleure méthode de débarquement.
  7. le coût total de la campagne était calculé à 23.895.168 francs.

Au siège d’Alger, Loverdo combattit héroïquement avec la 2ème division. Il mena ses hommes pour repousser l’attaque surprise des algériens alors que le reste de l’armée continuait à débarquer. Malheureusement, le second fils de Bourmont fut mortellement blessé dans cette attaque. Ainsi cet évènement ajouté au ressentiment de Bourmont, Auguste comte Chauisnes, rendit difficile la position de Loverdo. Il fut accusé d’avoir participé au pillage du palais du Bey d’Alger. Il répliqua que lorsque le 6ème régiment de sa division entra dans le palais, l’état-major de Bourmont était déjà sur place, ce qui n’empêcha pas les reproches du ministre de la guerre qui finalement le mit à la retraite à son retour à Paris.

Loverdo mourut le 26 juillet 1837 à Paris laissant 2 fils. L’un d’eux Alexandre devait suivre les traces de son père, s’élevant au grade de major. Le nom du général Loverdo est inscrit au côté sud de l’arc de Triomphe.

Sources

  • Père Anthimos Mazarakis : Biographies des grecs renommés de Céphalonie – Venise – Phenix 1843
  • Girolano Dandolo : La Caduta dell republica de Venezia (la chute de la République de Venise) – Venise 1857
  • Daniel Grand : Photographies de l’Arc de Triomphe et liste des différents échelons occupés par Loverdo.

Notes géographiques

  • Kontogennada est à environ 35 km de la ville de Lexurion, rivale de Argostoli. Lexurion se trouve à la place de l’ancienne cité (paleis = la vieille) qui fut détruite par les romains. La province prit le nom de Pali.
  • Akarnania en Aitolia, à l’ouest de la Grèce, entre la Mer Ionienne, l’Epire et le Golf de Lépante
  • Mani : un Territoire dans le Péloponnèse, au sud de Sparte.

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Nicolas Michielacato Loverdo de Wikipédia en français (auteurs)

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