La Main Visible Des Managers

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La Main visible des managers

La main visible des managers (The Visible Hand: The Managerial Revolution in American Business) est un livre de l'économiste et historien américain Alfred Chandler (1918-2007) publié en 1977 et couronné par un prix Pulitzer.

Chandler essaie de comprendre pourquoi lentreprise permet une meilleure économie de la coordination que le marché ; sa réponse est que lorganisation permet de pouvoir donner, aux managers, une pleine vision sur de la chaîne de coopération dun bien produit, puis distribué.

Lobjet de sa démonstration nest plus seulement lentreprise, mais cette fois-ci, plus généralement, léconomie de la chaîne de coopération dun bien.

Historiquement, le modèle de la firme moderne, et sa logique monopolistique ou oligopolistique, a supplanté léconomie du marché traditionnel. Pour un même bien, Chandler étudie donc cette évolution historique du passage entre ces deux institutions économiques de la coordination. C'est-à-dire, auparavant le marché et ses coûts dasymétrie dinformation entre les intermédiaires ; puis sest progressivement développé le système hiérarchique de lentreprise, comblant les asymétries dinformation ; les hiérarchies étant le meilleur moyen davoir une pleine visibilité sur les différentes fonctions de production, et en réduire ainsi leur coût. Pour ce faire, Chandler synthétise les grandes étapes : du marché traditionnel, au développement des intermédiaires, des chemins de fer, puis des fusions. Pour enfin arriver au système de coordination par la grande firme, au moyen de lémergence dune nouvelle catégorie demployés, cruciale pour le fonctionnement de lentreprise : les cadres.

Sommaire

Léconomie du marché traditionnelle, coûteuse car opaque

Pour Chandler, léconomie du marché traditionnel est sans visibilité. C'est-à-dire que de petits espaces de transactions sont coûteux, puisque les biens et les denrées y arrivent de manière imprévisibles. Les différents intermédiaires peuvent se rémunérer largement sur cette asymétrie dinformation ; les fournisseurs nen sont pas moins incertains des arrivages, ce qui complique tout type de gestion dentreprise.

Comme palliatifs, furent développées des institutions commerciales pour ce marché traditionnel, mais qui restèrent opaques. En effet, ces intermédiaires pouvaient être coûteux, puisque les facteurs de visibilité, ceux des prix et des volumes de marchandises arrivants, étaient des plus réduits. Le marchand du monde colonial restait central : « lélément de base de léconomie urbaine était la boutique à une seule personne ».

Pour rompre avec ce marchand colonial, toute une série de techniques et de spécialisations dans le commerce vont sétablir. Celles-ci afin de réduire lincertitude, c'est-à-dire les difficultés de prévoir ou de standardiser les procédures commerciales. Au premier rang desquels, les transports et les techniques financières sont des facteurs de visibilité des prix ; tous deux émergèrent lun à lautre de manière consubstantielle. Mais pour que ces techniques financières fussent esquisséespour une visibilité des transactions par labstractionil fallait que les transports et les systèmes financiers puissent disposer dune meilleure information commerciale. Et le foisonnement de journaux, ainsi que les nouveaux systèmes de communication attendaient tous deux lémergence de pratiques gestionnaires développées.

Ce sont les techniques de gestion qui rendirent davantage visible les échanges économiques pour un même bien. Luttant ainsi contre lopacité du marché traditionnel. En effet, les premières visibilités gestionnaires furent des garanties financières, des garanties sur les transports, assurant des livraisons plus régulières, sur des prix plus sûrs et fixés à lavance. Les premières sociétés par action développèrent lexigencedes prêteurs de fondsdune comptabilité régulière et rigoureuse. Mais les techniques de gestion furent rudimentaires. Ce nétait pas la taille de lentreprise qui restreignait le développement des techniques, mais la forme organisationnelle qui prévalaitlentreprise mono divisionnaire. Pour favoriser cette coordination des informations et des transactions dans la production, les techniques gestionnaires vinrent petit à petit donner plus de visibilité dans une même usine de production et pour les entités contractantes autour delle.

Ainsi les premières visibilités organisationnelles se développèrent. Trois dispositifs, qui participèrent à la visibilité des activités au-delà du contrôle « personnel » des activités, furent présentés. Premièrement, le livre des plantations fut un souci de recenser tous les types de fluxbiens, facteurs, humainsdune entreprise ; le développement de la comptabilité donnait des relevés de létat des lieux de gestion et des prix visibles ; et le regroupement des facteurs de production dans une même usine débutait les premières formes dentreprise moderne intégrée.

Les « limites techniques » de vision, sur les activités de lentreprise, furent premièrement en amontlapprovisionnement. Les capacités dinformation administrative sur lentreprise ont déterminé les principales étapes du développement de la firme moderne.

Voir et gérer sur une grande distance : les chemins de fer comme innovateurs des techniques de gestion.

Pour constituer la forme de lentreprise moderne intégrée, il fallait avoir une visibilité sur ses techniques en interne: celle de la coordination intra administrative. C'est-à-dire la coordination économique et organisationnelle ; puis une période de grandes fusion acheva une seconde visibilité, par ladministration inter entreprise.

Les premières entreprises modernes furent les compagnies ferroviaires. Car il fallait savoir gérer lafflux des demandes dopérations rigoureuses, sur un grand volume, et par un très grand nombre de petites unités. En effet, les singularités de lindustrie ferroviaire, la plus grande structure productive dalors, firent émerger le développement des techniques de gestion les plus avancées. Cest, en effet, un besoin de coordination et contrôle qui émanait dentreprises aux tailles inégalées. Il fallait des nouvelles organisations, avec des nouvelles procédures administratives et des systèmes dinformation, à la fois comptables et processuels, pour avoir une vue et un contrôle sur ces larges territoires.

Ces grandes entreprises avaient également un grand besoin de capitaux, de finances extérieures ; de ce fait, les gestionnaires ne furent plus propriétaires de lentreprise. Et ce secteur ferroviaire, de par sa taille et la complexité, fut un moteur des innovations en termes de pratiques de gestion : à la fois financières et administratives.

Cest à la suite dun accident que le besoin dune surveillance continue sur le vaste et interdépendant territoire du réseau ferré émergea. Ce qui était premièrement un coût pour les entreprisedévelopper le contrôle et la coordination sur la gestion commune des réseauxdevint rapidement un des avantages comparatifs premiers de ce secteur. De plus, afin de « maintenir la direction et le contrôle général de tous les services possibles le plus près possible des exécutants », il fallait un contrôle plus fiable : avec des mesures chiffrées, en flux continuel. Ce sont les innovations de la statistique et de la comptabilité qui affirmèrent le contrôle toujours croissant des activités. Linformation de gestion fut plus précise, plus normée ; cette gestion devenait « une science et un art ».

Et le développement de ces techniques de flux dinformations a permis de concevoir lopportunité des premiers regroupements inter firmes. Alors, ce contrôle intra firme devint, de plus en plus, une coordination inter firme, puisquil fallait gérer dans un réseau toujours plus grands ; et léconomie des réseaux est ainsi fait que les coûts fixes sabaissent fortement par laccroissement de la taille. Ce sont les cadres moyens, administratifs, qui travaillaient aux synergies de réseaux ; les cadres gestionnaires avaient, quant à eux, peurs des investissements lourds par fusions. Mais le besoin était pourtant bien réel dune visibilité par les techniques inter administratives. Dans un premier temps, ce sont les coordinations de types spéculatives qui créaient des grands ensembles ; ensuite, les cadres intermédiaires ont innové, en termes de techniques de gestion : pour mailler une coordination bureaucratique des flux dinformations entre eux.

Ainsi est le modèle de lentreprise, celui coordonnant un vaste réseau de flux dinformations. Mais le modèle grand réseau complexe est de longues années de stratégies de regroupement. Celles-ci furent à la fois administratives, et financières; d'abord sous forme de « communautés informelles », qui restèrent sur des échecs; jusquaux regroupements capitalistiques par fusion, grâce à de grands spéculateurs, les propriétaires furent poussés à développer de grands ensembles, par la coordination des cadres moyens.

Voir en amont et en aval : léconomie de la coordination entre la distribution et la production de masse.

Ainsi lintégration de différentes unités au sein dune même entreprise permettait de déterminer les conditions de concurrence des groupes. Ceux dont les économies déchelle allaient leur permettre de dominer leur marché ; et de restreindre, non seulement la concurrence, mais aussi la capacité dentrée sur leur marché. Premièrement, ces groupes devaient trouver des débouchés. Il fallait pouvoir disposer dune pleine visibilité sur toute la distribution. Cest-à-dire toute une nouvelle économie de la vitesse qui allait développer ces techniques propres de commercialisation, pour diminuer le coût des intermédiaires ; puis en produisant en toujours plus grandes quantité, et en étant toujours plus proches du consommateur. Pour cela, le développement crucial de linformation commerciale passait par les nouveaux moyens de communication, plus fiables et rapides. Lintermédiaire fut grossiste, qui fut lui-même revendeur. Parfois même, celui-ci fut intégré à la firme.

Dès lors, les techniques de distribution étaient intégrées dans la firme moderne ; tout comme les données de gestion : le rapport de la marge brute aux ventes nettes, et surtout le taux de rotation des stocks devenaient les mesures les plus visibles des capacités de distribution des firmes. Même sur de plus grandes distances, linformation commerciale et la régularité de la circulation des biens rendaient possible une gestion de la consommation de masse. Cette économie de la vitesse fit apparaître un nouvel acteur, le distributeur.

Quant à la production de masse, Chandler consacre de larges et intéressants développements sur les techniques de lorganisation scientifique de travail (O.S.T.) ; il conteste son rôle prééminent dans le management moderne, aux dépens des techniques de coordination. En effet, les travaux de Taylor furent ceux dune demande. En période de récession, il fallait définir les cadres organisationnels pour le développement des techniques de comptabilité, et la gestion des coûts dans lentreprise. Ses préconisations furent celles dune séparation complète, entre les ateliers de conceptions et ceux de réalisations. Sil influença grandement son époque, il ne fut adopté par aucun chef dentreprise ; aucune application de la théorie ne se fit sans modification, ses recommandations étaient prises avec parcimonie. De ce fait, après lO.S.T., ce sont les développements continus des techniques de coordination qui furent principalement adoptés. Et lindustrie automobile fut la figure de proue de ce modèle productif phrase, celui de la firme moderne symbolisée par la Ford T., et la coordination extensive des processus de production.

Ce qui primait était la coordination, la gestion, et le contrôle dun flux continu de la production, par delà les ateliers. C'est-à-dire une « économie de la vitesse » qui nest pas réalisée sur la parcellisation des tâches de travail individuelles, mais sur la gestion collective de celles-ci, dans sa globalité.

Lémergence de lentreprise moderne

Lintégration de la production et la distribution de masse relèvent de cette capacité organisationnelle. Pour une même structure, les dirigeants voulaient avoir le contrôle : c'est-à-dire la pleine visibilité de lensemble, des tenants jusquaux des aboutissants de ses affaires. Ce qui revenait à savoir maîtriser la rotation, les coûts et lintensité de production : ce sont les enjeux cruciaux de cette gestion.

Et le manager salarié devient un personnage clef de cette économie, aux États-Unis. Lintégration est une vue sur la production, une autre sur le consommateur. Pour cela, la forme de la firme moderne fut atteinte par une première intégration interne (1880) ; lintégration externe (1890) vint par une période dintenses fusions capitalistiques. Pour comprendre cette évolution, Chandler pose explicitement la question du « pourquoi » de lintégration. En réalité, cette intégration est issue de la concurrence : la place sur le marché et la compétition furent décisives pour ces évolutions irrémédiables. Il y a les entreprises pionnières dont chacune trouva des innovations en termes de production continue : ces entreprises intégrées devinrent les leaders de leurs marchés. Ensuite il y a les entreprises imitatrices, celles qui imitèrent le dynamisme des premières, en construisant leur propre réseau : pour maîtriser à la fois loffre et de la demande, afin dobtenir la taille de multinationales.

Et cette intégration fut également capitalistique, un moyen évident datteindre la taille nécessaire pour la compétition des marchés nationaux. Avec trois temps pour cette intégration par fusion : celui de du temps des ententes et des coopération, par des systèmes fédératifs ou de cartels, ne fonctionnant guère car ne mettant jamais à labri des comportements opportunistes ; pour la période des grandes fusions des années 1880, seules celles qui disposaient de grandes capacité de coordination administrative au préalable allaient réussir ; enfin le temps des fusions de consolidation, de 1890 à 1903, fut celui les synergies à trouver furent davantage en interne, plutôt quà vouloir juguler la compétition en achetant la concurrence. Les réussites des périodes de concentrations capitalistiques et administratifs étaient déterminées par de grandes différences sectorielles et industrielles pour leur intégration verticale. La nature du marché a joué un rôle plus important que les méthodes de production employées ; lintégration a permis une domination oligopolistique, et non monopolistique ; les entreprises qui ont atteint leur forme organisationnelle intégrée purent conquérir les marchés étrangers.

Les cadres comme intégrateurs, rendent visibles les flux économiques.

Face à léconomie invisible traditionnelle, la visibilité des flux économiques est réalisée par la coordination par les cadres managers. En effet, les grandes entreprises sont le fruit dun effort historique de coordination et dintégration des cadres. Cest cette capacité de création des hiérarchies dans lentreprise qui sélectionna les entreprises en position doligopole, et protégées de la concurrence. Ce fut alors une nouvelle catégorie sociale, qui a pris le pouvoir dans les entreprises ; car elle détenait les éléments objectivables de larchitecture administrative de lentreprise moderne : statistiques et données dentreprise, la comptabilité et la maîtrise des procédures internes étaient lapanage de ces nouveaux cadres managers. De la capacité de création organisationnelle des cadres, dépend donc en partie lintégration verticale de la firme. Les premières mesures de coordination furent horizontales, avec des mesures administratives ; pour ensuite pouvoir diriger verticalement la firme, en quête dintégration. Une fracture simposa donc, dans lentreprise, avec la coordination administrative des cadres moyens et les objectifs des cadres gestionnaires. Ces cadres moyens étaient plus entrepreneurs, se sentaient plus concernés dans lavenir de lentreprise, et favorisaient lexpansion et la coordination au-delà des frontières de lentreprise. Au contraire, les cadres supérieurs gestionnaires assuraient, quant à eux, une coordination plus stratégique ; ils exigeaient la rentabilité des projets dexpansion, à affecter les ressources pour lavenir avec les moyens comptables et gestionnaires. Eux, qui sont en relation avec les décideurs financiers des entreprises, vont avoir moins de proportions pour lexpansion de lentreprise. Cependant, la forme organisationnelle de lentreprise moderne a été installée par ceux-ci. Les structures de la firme moderne furent acquises avant la première guerre mondiale, la période daprès va continuer ce processus et le réaffirmer Ce sont principalement les outils de gestion par les statistiques des données dentreprise qui rendirent possible le développement de la firme moderne ; les professionnels vont diffuser leur savoir au-delà de leurs entreprises, des institutions enseigneront ces nouveaux principe ; et le modèle de la firme, la propriété et la gestion administrative et stratégique sont séparées, simposa.

L'entreprise multidivisionnelle du XXème siècle.

Lentreprise moderne à maturité est celle dune adaptation permanente. Avec une professionnalisation des cadres, une institutionnalisation de ses techniques, et la recherche, la prospection de nouveaux marchés, avec de nouvelles synergies : sen suivirent la préoccupation de la diversification. La thèse de Chandler est donc cette visibilité : de linformel au formalisme des règles de gestion ; dune « entreprise dentrepreneur à une entreprise gestionnaire » ; avec ces outils comptables et de gestion qui sont les uniques manières, par ces dispositifs, de gouverner les distances, les fonctions et les hommes qui saccroissent. Avoir, toutes les informations de gestion et de sécurité, qui devaient être visibles sur un tableau, « visible dun coup dœil » (p.114-MSM). Pour contrôler, et ajuster, autant lapprovisionnement, la production, et la distribution de masse.

Si les Etats-Unis furent le pays de lavènement de cette forme moderne dentreprise intégrée, il fallait, pour Chandler, différentier ce modèle de celui des Européens ; afin de mettre en évidence, toute autant la singularité de « lexpérience américaine », que la validité historique des mécanismes économiques de la firme, révélés au cours de sa description historique. Encore une fois, lexplication détude historique comparative fait figure dobjet de démonstration.

Édition française

  • La Main visible des managers, d'Alfred Chandler, éditions Economica, octobre 1989 (traduction Frédéric Langer) (ISBN 2717816917).
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