La Foire aux vanités (homonymie)

La Foire aux vanités (homonymie)
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La Foire aux vanités est le titre français du roman anglais Vanity Fair de William Makepeace Thackeray paru en 1846.

Il désigne également certaines adaptations cinématographiques de ce roman dont :

  • Vanity Fair : La Foire aux vanités (2004), film anglo-américain de Mira Nair

Synospsis

Quittant la pension Chiswick Mall des sœurs Pinkerton et Jemima, Amélia Sedley, fille d’un riche marchand emmène chez elle Rebecca Sharp, pour qu’elle y passe quelques jours avant de rejoindre un poste de gouvernante. Rebecca (Becky) est la fille d’une Française et d’un professeur de dessin, qui, en mourant, l’a confiée à la pension (elle “paye” son séjour en enseignant le français). Quand leur voiture sort de la pension, Rebecca jette par la fenêtre la Bible illustrée que l'on vient de lui offrir.

(3) Le frère d’Amélia, Joseph, gros gourmand rentrant des Indes où il était receveur, est un timide face aux femmes. Il raille Rebecca en lui servant du curry très relevé. Mais elle décide de s’en faire épouser. Tandis qu’Amélia flirte avec George Osborne, le filleul de son père, Rebecca séduit Joseph par sa candeur feinte et par son chant.

(5) Ils sont rejoints par Dobbin – lorqu’ils étaient au collège, William Dobbin, méprisé de tous car son père était épicier, s’est battu pour défendre le petit Osborne. Tous les cinq vont passer une soirée aux jardins de Vauxhall. Joseph, qui doit demander la main de Rebecca, s’y énivre à l’arack et doit être maîtrisé par Dobbin. Deux jours après, Joseph quitte la ville, et la famille Sedley, Amélia exceptée, chasse Rebecca.

(7) Rebecca entre comme gouvernante chez les Crawley (à Crawley-la-Reine) :

= sir Pitt Crawley, baronnet avare et chicanneur ;

• ses fils d’un premier mariage (Giselle) :

• M. Pitt Crawley, dévot rigide (“miss Crawley” au college),

• et Rawdon Crawley, capitaine (qui a tué un adversaire en duel) ;

= sa nouvelle épouse, Rose ;

• ses deux filles, Rose et Violette (confiées à Rebecca) ;

= son frère, le révérend Bute Crawley ;

• marié à Martha, sombre intrigante ;

• deux fils (Jim et Franck) et quatre filles (Martha, Emma, Fanny, Mathilde) ;

= leur demi-sœur, célibataire très riche, Miss Mathilde Crawley.

Les deux frères, Pitt et Bute se haïssent, espérant chacun hériter de Mathilde (dont le préféré est le jeune Pitt) ; dès qu’elle est là, ils feignent l’entente et adoptent un train de vie luxueuse.

(11) Rebecca sait se rendre indispensable en assurant le secrétariat de Sir Pitt.

Martha s’entiche de Rebecca et fait qu’elle dîne à la table des maîtres. Rawdon entreprend une cour maladroite.

(12) A Londres, Amélia aime George Osborne (elle se réjouit de la chute de Napoléon mettant fin à une guerre dangereuse pour lui), qui pourtant la néglige. Les sœurs Osborne, Jane et Maria, méprisent Amélia. Le père Osborne, de fort méchante humeur, remet en question le mariage de George et Amélia, la situation du père Sedley étant fragile.

(14) Rebecca soigne avec dévouement Mathilde Crawley, victime d’une indiges-tion de homard (l'affection qu'elle reçoit en retour désespère sa dame de compagnie, Arabelle Briggs) pendant alors que Rose dépérit sans soin.

À peine apprend-on le décès de son épouse Rose que Sir Pitt demande la main de Rebecca. Elle refuse, avouant qu’elle est mariée. Mathilde Crawley la soutient, promet-tant toute son aide à l’époux inconnu. Mais quand Rebecca quitte sa maison, laissant une lettre où elle annonce qu’elle a épousé Rawdon en secret et qu’elle le rejoint dans un appartement à Londres, elle traite Rebecca de scélérate et Rawdon de dissipateur.

(17) Le vieux Sedley est ruiné – conséquence entre autres du retour de Napoléon de l'île d'Elbe. Il est rejeté par tous, à commencer par son vieil ami John Osborne, qui rompt la promesse de mariage de son fils George avec Amélia. On disperse ses biens aux enchères ; Dobbin achète le petit piano sur lequel Rebecca jouait jadis. Il le fait livrer chez Amélia, qui le croit envoyé par George ; il dépeint à George une Amélia “qui se meurt”, et George se précipite chez elle.

Le régiment de Dobbin et George doit partir en France “à la chasse à l’aigle”.

(19) Miss Bute Crawley sequestre Mathilde, l’accablant de soins et de ragots soigneusement rassemblés contre Rebecca et Rawdon. Le médecin l'enjoint de cesser cette emprise, ce qui provoque son départ pour Brighton.

(20) Après que la mère Sedley a ramené Osborne à Amélia, Dobbin s’investit dans leur mariage : il plaide en vain sa cause auprès du père Sedley, qui, résolument soutenu par ses filles, Maria et Jane, décide que George va épouser au plus vite miss Swartz, une belle et richissime Noire.

Néanmoins Dobbin, très ambivalent dans sa recherche du bonheur d’Amélia, organise sa noce avec George, en présence de son frère Joseph.

Quelques jours après, on retrouve à Brighton Joseph Sedley ; George et Amélia Osborne, Rawdon et Rebecca Crawley, et bientôt Mathilde toujours sequestrée par Martha.

Dobbin annonce le mariage de George à Jane Osborne – qui attendait une demande en mariage ; elle comprend vite que son frère deshérité, sa “valeur vénale” s’accroît de 30 000 livres. Puis au père Osborne, qui comprend le rôle que Dobbin. Il raye le nom de George sur sa Bible, refait son testament et ferme à jamais la porte à Dobbin (et aux espoirs de Jane).

(25) Apprenant ceci, Osborne s’en prend à Dobbin pour l’avoir poussé au mariage. Amélia, déjà délaissée par son mari, se réjouit de devoir partager avec lui une vie de pauvre.

Le révérend Bute s’étant cassé la clavicule en tombant de cheval, Martha doit rentrer et abandonner Mathilde. Rebecca s’arrange pour rencontrer Biggs, mais la porte de Mathilde reste fermée à Rawdon.

(27) Amélia est reçue avec admiration par les officiers du régiment et par la femme du major, Peggy O’Dowd. Tous embarquent pour Ostende sur la Belle-Rose. Vie mondaine en Belgique, Opéra. Rebecca attire tous les regards (ceux du général Tufto), mais surtout George flirte ouvertement avec elle (il glisse un billet dans un bouquet …), et Amélia se sent de plus en plus abandonnée.

(30) Départ des hommes (sauf Joseph) pour la bataille de Waterloo. Le domestique rêve de défaite des Alliers pour s'approprier les biens de ses maîtres. Rebecca vient minauder auprès de Joseph pour s'assurer une voiture en cas de débacle ; elle est accusée par Amélia de vouloir séduire George.

Les déserteurs répandent dans Bruxelles la nouvelle de la victoire de Français. Pris de panique, Joseph cherche un cheval pour prendre part à la fuite. Rebecca lui vend le sien hors de prix.

À Waterloo, George a été tué d'une balle au cœur.

(33) À Crowley-la-Reine, la lutte pour l’héritage de Mathilde continue : Rawdon, devenu colonel, lui envoie des trophées de guerre (achetés à bas prix) ; sir Pitt – qui vit dans la débauche (avec sa domestique, Betsy Horrocks) – et Martha lui envoient des canards et des fruits. Le fils Pitt “fréquente” Jane de la Moutonnière. Pitt convainc Jane et sa mère, lady Southdown, qui répand la divine parole antipapiste et les médecines charlatanes, de s’attirer les grâces de Mathilde. Jane la conquiert, en particulier en jouant aux cartes.

Martha décide d’envoyer au combat son fils James, cancre criblé de dettes. Il est reçu avec gentillesse par Mathilde, enchantée d’enrager ainsi Pitt. Mais James énivré par Pitt fume une pipe dans sa chambre et est chassé par Mathilde.

À Paris, Rebecca après un hiver de mondanités donne un fils au colonel Rawdon. À cette nouvelle, Mathilde hâte le mariage de Pitt et Jane, et leur légue sa fortune.

(35) Le père Osborne ne pardonne pas à George d’être mort sans lui avoir fait allégeance. Lors d’un pélérinage à Waterloo, il croise Dobbin, qui plaide – en vain – la cause d’Amélia, détachée de ce monde par la douleur, et très bientôt maman.

Après la naissance du petit Georgy, elle retrouve en lui une certaine joie de vivre. Elle ne voit même pas les soins dont Dobbin l’entoure. Il part.

(36) À Paris, Rebecca, qui a confié son fils à une nourrice, mène grand vie à peu de frais (Rawdon se fait joueur professionnel). Apprenant la mort de Mathilde, qui lègue tout à Pitt, Rawdon part pour Londres récupéer son héritage (= rien) et se déroute sur Bruxelles.

Ayant habilement renégocié sa dette en Angleterre, Rebecca quitte Paris puis Bruxelles, laissant mille dettes derrière elle. L’ancien sommelier de Mathilde, Raggles a racheté une maison ; il la loue avec enthousiasme au neveu de son ancienne maîtresse. Le couple reprend la vie luxueuse gratuite (ruinant Raggles) ; la gent féminine tourne le dos à Rebecca. Rawdon flatte Pitt… qui ne partage pas pour autant son héritage.

Autant Rebecca délaisse son fils, le petit Rawdon, autant son père l’aime et joue avec lui. Un jour de poney, il rencontre le père Sedley et le petit Georgy. Tandis que Joseph est reparti aux Indes, la famille vit afortunée. Aux Indes aussi, Dobbin les couvre à distance d’affection et de cadeaux.

(39) Sir Pitt est victime d’une attaque. Martha accourt et trouve la “gouvernante” Betsy Horrocks, en train d’ouvrir le secrétaire contenant les bijoux. Elle la chasse.

Le fils Pitt s’installe à Crawley-la-Reine avec Jane et sa mère, Lady Southdown, et ses enfants Mathilde et Pitt Binkie. Après la mort de Sir Pitt, il commence à financer la rénovation du domaine.

Malgré l'opposition formelle de Lady Southdown, il invite son frère Rawdon à l’enterrement. Rebecca – qui a recueilli Arabelle Briggs – voit en cette mort l’occasion de gravir une nouvelle marche. Elle charme Jane et sa dévote de mère.

(42) Le père Osborne marie sa fille Maria à un financier, mais casse l’amour de sa seconde fille, Jane, avec un peintre – elle restera vieille fille. Chez les demoiselles Doddin, le petit Georgy croise sa grand-mère Osborne.

(43) Aux Indes, Peggy O'Dowd complote pour que Dobbin, qui aime toujours Amélia, épouse sa parente Glorvina. Quand une lettre de sa sœur lui apprend qu’Amélia va confier son fils (qui atteint 8 ans) au vieil Osborne et se remarier, il quitte les Indes.

(44) Rebecca flatte l’ambition parlementaire de Pitt, qui rénove son domaine et l’opinion du comté pour sa famille. Elle y gagne l'admiration de Pitt et la haine de Jane. Mais elle méprise Pitt et le raille auprès de son ami Lord Steyne.

(45) Le vieil Osborne propose de recueillir Georgy et de subvenir aux besoins d'Amélia, même si elle se remarie. Elle refuse d’abandonner sa seule raison de vivre.

(47) Rebecca est présentée à la Cour, parée de diamants offerts par Pitt et surtout par Steyne. Elle est – honneur suprême – invitée à un dîner chez Steyne, où les femmes la rejettent ouvertement.

(50) Chez Sedley, Amélia lutte contre la misère pour garder son fils, mais quand elle apprend que son père a vendu la rente qu’envoie Joseph pour se lancer dans quelque chimérique entreprise, elle décide de laisser Georgy à Osborne. L’enfant n’exprime aucune peine de quitter sa mère : il entre chez les riches.

(51) Rebecca fait maintenant partie de la meilleure société londonienne. Blasée, elle participe en particulier à des charades où les syllabes sont cachées dans des scénettes.

Steyne fait inscrire le petit Rawdon dans une public school et Rawdon le voit partir avec tristesse, ce qui accroît le mépris que Rebecca a pour lui. Après quelques questions à Briggs, Steyne mesure l’ampleur des mensonges de Rebecca ; il “retire” d’alleurs Briggs de chez Rebecca et lui trouve une bonne place.

(53) Au sortir d’une soirée chez Steyne, Rawdon est arrété par les recors et mené à la prison dorée de M. Moss (où l’on peut dîner au champagne). Il écrit à Rebecca, qui lui répond qu’elle s’active, mais doit s’aliter. Furieux (car il va rater la sortie dominicale de son fils), il écrit à sa belle-sœur. Jane accourt et le libère.

Chez lui, il découvre Rebecca et Steyne, intimes. Il frappe Steyne et le jette au sol ; puis il force Rebecca à ouvrir son secrétaire, découvrant ainsi la fortune et les bijoux qu’elle y a amassés depuis des années. Parmi eux un billet de mille livres, signé Steyne et daté du jour.

Raggles et les domestiques se révoltent, tandis que la gouvernante française disparaît avec, entre autres, les bijoux jetés au sol.

Déterminé à tuer Steyne en duel, il court confier son fils à Pitt. Rebecca survient et aurait convaincu Pitt de son innocence si, pour la première fois de sa vie, Jane ne s’était opposée à son mari. Rawdon désigne le capitaine Macmurdo comme témoin. Ce dernier rencontre celui de Steyne, Wenham (un pékin !), qui jure avoir été invité avec son épouse la veille chez Rebecca – ce qui sauve son honneur. Avant ces événements, Steyne avait fait nommer Rawdon gouverneur de Coventry-Island (pouvoir, gros salaire et risque de maladies). Macmurdo le convainc d’accepter.

De la capitale de cette colonie, Swamptown, Rawdon enverra de l’argent à Pitt pour son fils. Rebecca disparaît.

(56) Georgy est proprement gâté par son grand-père Osborne, qui en fait un petit dandy vaniteux. Sa mère Amélia prend soin de sa propre mère jusqu’à son décès, et de son père.

(57) Dobbin manque mourir à Madras, mais embarque pour l’Angleterre en compagnie de Joseph, qui prend une riche retraite. Il reprend vie quand Joseph lui assure qu’Amélia n’a aucune intention de se remarier.

À peine débarqué, il se précipite à Londres chez Amélia, qui le reçoit avec joie, mais ne cesse d’évoquer le souvenir de George. Quand la petite domestique Polly lui dit combien Dobbin l’aime, elle dit qu’il restera un frère pour elle.

À sa réaction, Amélia comprend que le piano qui était le dernier cadeau de George et sur lequel elle a joué en pleurant depuis onze ans, est en fait un cadeau de Dobbin. Elle n’en jouera plus. Il profite pour lui demander sa main ; elle refuse.

(60) Joseph, poussé par Dobbin, recueille chez lui son père et sa sœur Amélia. Le petit George admire Dobbin plus que tout.

Le père Sedley décède après s’être excusé de sa conduite auprès d’Amélia. De même Dobbin obtient presque le pardon du vieil Osborne pour Amélia, mais celui-ci meurt subitement sans que ça se fasse. Il laisse néanmoins sa fortune au petit Georgy qu’il rend à sa mère.

(62) Voyage en Allemagne. Amélia est enfin heureuse entre Dobbin et Georgy, tandis que Joseph mange et dort. Dans le royaume de Poupernicle, objet d’une guerre d’opérette entre les ambassades de France et d’Angleterre, Joseph retrouve Rebecca à une table de roulette.

Après le scandale fait par Rawdon, elle n’avait pu contacter Pitt, Jane faisant un barrage sévère. Le gouverneur Rawdon lui assure une rente raisonnable si elle quitte l’Angleterre. Le petit Rawdon, recueilli par Pitt et Jane, devient l‘héritier de Crawley-la-Reine à la mort de leur fils Pink Binkie.

Rebecca cherche une place honnête dans la société (anglaise) à Boulogne, Dieppe, Caen, Tours mais à chaque fois sa réputation la rejoint. À l’Hôtel de Mme de Saint Amour (Paris), puis à Bruxelles, elle est plus réaliste et plonge dans l’univers du jeu et de la boisson, entretenue par nombre jeunes hommes : Florence, Lausanne, l’Allemagne. À Rome, elle trouve Steyne qui la fait menacer de mort ; il était au bras d’une Mme de Belladona, il y mourra peu après et la Belladona partira avec diamants et billets de banque.

(65) Joseph rejoint Rebecca dans sa mansarde d’auberge ; elle lui conte l’avoir toujours aimé et n’avoir épousé Rawdon que par dépit – il en est bouleversé. Dobbin rejette l’idée de revoir “cette infernale créature”, mais Amélia, a priori très hostile à Becky se laisse attendrir, quand Joseph lui dit qu’on lui a arraché son fils. Rebecca conte une touchante histoire, où son mari l’a poussée au déshonneur pour avoir son poste de gouverneur. Cependant, dans la salle de l’auberge, Dobbin entend deux étudiants plaisanter sur leur “amie” Rebecca ; il se souvient aussi qu’au matin de Waterloo, George lui a avoué une liaison avec Rebecca, espérant qu’Amélia l’ignorerait toujours.

Dobbin cherche en vain à prévenir Amélia contre Rebecca ; il “rompt” avec Amélia et s’en va.

(67) Rebecca est consternée par l’obstination d’Amélia. Elle lui ouvre le yeux en exhibant le billet écrit par George, la veille de Waterloo, qui proposait de l’enlever. De fait, Amélia avait déjà écrit à Dobbin (qui envisageait à nouveau d’épouser Glorvina O’Dowd), et elle peut l’accueillir avec Georgy sur le quai d’Ostende.

Mariés, ils auront une petite Jane et vivront proches de Pitt, Jane et le petit Rawdon, qui sera baronnet de Crawley-la-Reine à la mort de Pitt.

À Coventry-Island, Rawdon finit par succomber de fièvre jaune.

Rebecca séduit définitivement Joseph en sortant de ses bagages un vieux portait de lui aux Indes, qui l’a, dit-elle, toujours accompagnée. Ils vivront ensemble jusqu’au décès de Joseph, quelques mois plus tard. Bien que cette mort soit fort suspecte, Rebecca héritera des restes de fortune de Joseph et surtout de l’assurance vie qu’il avait souscrite. Rebecca finit dame patronnesse à Bath.

Voir aussi

  • Vanity Fair (homonymie)

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