Céramique de Saint-Uze

Céramique de Saint-Uze

La céramique de Saint-Uze est l’appellation actuelle d’un type de céramique qui fut produite dans plusieurs villages de la Drôme à partir du début du XIXe siècle et au cours du XXe siècle, notamment dans le village de Saint-Uze (Drôme)[1].

Le célèbre pichet à eau Ricard par Revol
Plat rond, Boissonnet

Il s’agit d’un type de grès-cérame, un grès fin[2], opaque, émaillé, dénommé « porcelaine à feu ». Il ne s’agit pas d’une faïence ou d’une « terre de fer »[3]. Un grès fin est composé de kaolin et de feldspath servant de fondant pour la formation d'une phase vitreuse[4].

Cette céramique est surtout connue pour la très grande variété de ses modèles. Elle fait l'objet de l'engouement des collectionneurs[5].

Cruche à eau, Boissonnet
Terrine Bleu de Saint-Uze, Manufacture Revol vers 1900.

Sommaire

Historique

L’histoire industrielle de cette céramique drômoise est caractéristique de la période d’industrialisation de la France rurale. Celle-ci fait suite à la période d’intenses recherches de carrières de kaolin, ingrédient essentiel d’une faïence fine découverte en Allemagne (Meissen), puis en Limousin.

  • La manufacture Revol:

En 1789, deux frères de la famille Revol, Joseph-Marie et François, découvrent dans la commune de Saint-Barthélemy-de-Vals, au lieu-dit Douévas, une carrière de sable kaolino-feldspathique qui leur permet de créer deux fabriques de grès fins à Ponsas vers 1800, puis à Saint-Uze. Les frères Revol s’associent au chimiste M. Raymond pour fabriquer des ustensiles de cuisine et de chimie, dont des creusets, qu’on achetait alors en Allemagne. Cette terre d’acier est rendue complètement imperméable par un début de vitrification. On en fait des ustensiles hygiéniques (appellation "porcelaine hygiénique" ou "hygiocérame"[6]).

Cette première céramique Revol créée par Raymond et produite à partir de 1800 est d'un blanc grisâtre opaque, sans couverte, seulement traitée au sel en fin de cuisson. Cette production de la manufacture de Ponsas est constituée de creusets pour la chimie, de cruches à bière, de bouteilles à encre et d'ustensiles de pharmacie. Ce grès est réfractaire, il résiste aux chocs thermiques et aux attaques chimiques.

La manufacture est transférée à Saint-Uze en 1800. La production se diversifie avec des ustensiles culinaires blancs ou d’un beau brun (hygiocérame). Elle est appelée porcelaine brune ou porcelaine de ménage[7]. L’exposition de Paris de 1806 prime ces produits pour la qualité de leur émail et leur solidité[8].

En 1893, la création d'une ligne de chemin de fer entre Saint-Vallier et le Grand-Serre, passant par Saint-Uze, accélère considérablement le commerce des produits céramiques

Les produits Revol sont également présentés avec succès à l’Exposition Industrielle de Paris de 1834. Toutefois, cette production de grès fin est marquée en France à cette époque par des difficultés, en comparaison de la situation en Angleterre, comme le coût des salaires, des combustibles, du transport des matériaux jusqu'aux lieux de production[9]. A la suite du succès progressif de cette production dans le nord de la Drôme, d’autres fabriques de grès fin voient le jour, jusqu’à une douzaine dans les villages de Saint-Uze, Saint-Vallier, Ponsas, Andancette, Érôme, Epinouze. Les productions se diversifient : isolateurs électriques, carrelages, encriers, éviers, articles funéraires, objets publicitaires dont les pots à eau ou pichets jaunes Ricard.

Cette industrie déploie une intense activité entre les années 1880 et les années 1930[10]. La famille Revol a été le précurseur de cette céramique et en est encore actuellement le dernier représentant. La lutte entre les différents fabricants a été rude. On distingue alors les fabricants de longue date (Revol) et de petits fabricants, anciens ouvriers, moins entreprenants économiquement, qui disparaissent progressivement pendant le XXe siècle[11].

C’est la nature semi-artisanale de ces activités qui entraîne cette dispersion. Les ouvriers se rangent en plus d’une dizaine de catégories (modeleurs, polisseurs, tourneurs, mouleurs, garnisseurs, emballeurs, retoucheuses), on emploie alors des enfants et le salaire est amélioré par des légumes cultivés collectivement. Ce milieu ouvrier, aussi bien en Limousin que dans la région de Saint-Uze, verra la constitution de syndicats et l'apparition de grèves avec l’essor d’une conscience de lutte sociale.

Nettoyage du kaolin près du site d'extraction à Saint-Barthélemy-de-Vals
Fabrication des harasses
  • La révolution industrielle à Saint-Uze et Saint-Vallier:

Les succès de l'industrie céramique de la région de Saint-Uze font de la famille Revol une grande famille industrielle dont les dirigeants investissent la vie politique. Hector Revol, maire de Saint-Uze, siège à la Chambre de Commerce de Valence et soutient la création d’une compagnie des chemins de fer de la Drôme. C'est à son initiative qu'une voie de chemin de fer relie Saint-Vallier - Saint-Uze - le Grand-Serre. Dès lors les matériaux ne sont plus uniquement produits localement et sont acheminés par voie ferré.
La commercialisation bénéficie également du nouveau moyen de transport. On fabrique des harasses - des sortes de cages en bois - où l'on empile la vaisselle sur un lit de paille pour des expéditions à travers tout le pays.

Caractères stylistiques

Les "bleus" de Saint-Uze

Décor au tampon bleu de cobalt sous émail.
Tampon de caoutchouc, avec autorisation de M. Laplaud.

La fabrication des pièces utilise du kaolin et du feldspath. Le kaolin a besoin d’être lavé pour ôter une partie de sa silice afin de baisser sa température de cuisson. Il est ensuite mis à sécher. Le feldspath pierreux doit être broyé. On mélange alors ces deux ingrédients qui sont pétris pour obtenir un mélange kaolinfeldspath.
Le « lait » obtenu est raffermi en passant dans des filtres, qui enlèvent l’excès d’eau, et désaéré pour obtenir une pâte lisse et ferme. Cette pâte peut être tournée à la main, ou bien moulée sur le tour, avec un garnissage ultérieur (pour adjoindre des anses). À partir de 1903, la pâte est coulée dans des moules et les pièces présentent parfois des « coutures » caractéristiques de la séparation des coquilles du moule.

Les pièces sont cuites une première fois à 800°C, décorées ou non, puis émaillées par trempage et recuites à 1300°C. La décoration est uniquement brune jusqu’en 1880. Les célèbres décors imprimés à base de cobalt (bleu)[12] apposés par des tampons de caoutchouc sous émail transparent apparaissent à la fin du XIXe siècle. Appelées bleus de Saint-Uze, ces pièces marquent alors le passage d’une production uniquement utilitaire à une production plus décorative répondant à la demande croissante. Ce sont les pièces les plus fréquemment collectionnées.

Le contrôle rigoureux de la composition de la pâte permet d'obtenir un grès-cérame fin très solide pouvant être émaillé (voir la description qu'en fait Louis Figuier dans les années 1870: Média:figuier3.jpg). La cuisson est réalisée dans de grands fours Média:figuierfour.jpg

Les tampons de caoutchouc (photo ci-contre) ont été utilisés à Saint-Uze à partir de 1875-1880[13]. C'est un exemple d'utilisation industrielle de ce nouveau matériau à cette époque. Ces tampons servent à l'application des décors imprimés en utilisant du cobalt sous une couverte transparente. Ce sont les "Bleus de Saint-Uze", vendus comme "porcelaine à feu imprimée".

Les poteries de terre rouge

Poterie de terre rouge émaillée et décorée.
Noter la terre rouge apparaissant sous l'émail craquelé
Cendrier Ricard, Revol
Signature Revol, Terre d'acier

La région de Saint-Uze a également produit des poteries en terre rouge (argile marneuse) additionnée d'argile de Bollène et de sable d'Hostum, ainsi que des tuiles. Cette production a commencé avant la découverte de kaolin par les frères Revol et s'est poursuivie ensuite de manière irrégulière. Ces poteries sont d'aspect rouge brut, vernissée à l'intérieur par une glaçure incolore au sulfure de plomb (alquifoux). Pour maintenir ce type de production, ces poteries ont été parfois entièrement émaillées (faïences émaillées à feu - terre anglaise) par des glaçures blanches ou colorées. Les pièces émaillées en blanc ont pu recevoir des décors au cobalt et une glaçure incolore supplémentaire.

Objets publicitaires célèbres

Toute une gamme d'objets publicitaires ont été créés par Revol, comme les pichets et cendriers Ricard. Ces objets sont encore en vente, dont des répliques de modèles anciens.

Documents historiques & Archives

  • Notice sur les objets envoyés à l'exposition des produits de l'industrie française, Paris, Imprimerie impériale, An 1806. Département de la Drôme. Média:uze1806.jpg
  • L. Costaz. Exposition de 1819. Rapport du jury central sur les produits de l’industrie française, Paris, imprimerie royale, 1819, p. 294 : « M. REVOL de Lyon. Pour ses creusets qui ont paru bien résister aux grands changemens de température et pour ses poteries-grès perfectionnées. »
  • Exposition publique des produits de l'industrie française (1827), Rapport du jury central, Paris, Imprimerie Royale, 1828. Média:Revol1827.JPG
  • Nicolas Delacroix, Statistique du département de la Drome, Paris, Borel et Valence, Didot, 1835, p. 373.Description de la production Revol en 1835 Média:NicolasDelacroix.jpg
  • Les difficultés dans la production de grès fins en France dans les années 1830. Enquête relative à diverses prohibitions des produits étrangers, Paris, Imprimerie royale, 1835. Média:enquetegresfins.jpg
  • Description des grès et porcelaines de la Drôme. Scipion Gras, Statistique minéralogique du département de la Drôme. Grenoble, Prudhomme, 1838, p. 264-265.Média:scipiongras.JPG
  • Exposition des produits de l’industrie française. Rapport du jury central en 1844. Paris, De Fain et Thunot, 1844, tome 3ème, p. 451-452. « MENTION HONORABLE. MM. REVOL père et fils, à Saint-Uze (Drôme) ont fait dans le département de la Drôme des hygiocérames qu’ils appellent porcelaine brune à cause des couleurs ordinaires de cette poterie ; ils ont étendu l’application de cette porcelaine à pâte très-dure, et peu translucide aux cruchons à bière et à eaux minérales. En raison de mérite de leurs produits et de l’étendue de leur établissement, qui occupe 100 ouvriers et 6 fours, le jury leur accorde une mention honorable. »
  • Alexandre Brongniart. Traité des arts céramiques ou des poteries. Paris, Béchet, Mathias, 1844. Classification des céramiques par Brongniart : Média:Brongniartclass.jpg
  • Alexandre Brongniart. Traité des arts céramiques ou des poteries. Paris, Béchet, Mathias, 1844. L'hygiocérame de Fourmy, poterie rendue imperméable par une couverte terreuse brune non plombifère. Média:BrongniartFourmy.jpg




Bibliographie

  • Roland Laplaud. Les céramiques du nord de la Drôme : St Uze, ( 2004, 160 p. (ISBN 2-9521335-0-6).
  • Roland Laplaud. Les "Bleus" de Saint-Uze ( volume 2, catalogue des formes, 2010, 96 p., 650 illustrations[14].
  • René Delaunay. La poterie de Saint-Uze, Saint-Vallier, Ponsas, Anneyron, Erome, Andancette. (1996) - Etudes drômoises , 1 (1996) S. 7-9);
  • Alain Corbin. Archaïsme et modernité en Limousin au XIXe siècle (1845-1880) (nouvelle édition, Presses universitaires de Limoges, Limoges, 1999 (1re éd. 1975), 2 vol. (ISBN 2-84287-101-4);
  • Louis Figuier, Les Merveilles de l’industrie (Paris, Jouvet, 1873-1877, 4 vol.);
  • Yves Herbet. Aux origines de la manufacture Revol, à Saint-Uze (Valence, AUED Études drômoises, revue trimestrielle, n°34 (juin 2008) 12-17).

Notes et références

  1. « La poterie tient depuis longtemps un rang important dans le commerce du département de la Drôme. Celle qu'on fabrique avec les grès de Saint-Uze, Ponsas et Saint-Vallier est après la porcelaine, dont elle a plusieurs qualités, une des plus élégantes qu'on puisse fournir. La pâte et le vernis sont également remarquables par leur finesse, leur netteté, leur poli. Les formes et les détails sont d'une exécution parfaite.» Bulletin de la Société de statistique des arts utiles et des sciences naturelles du département de la Drôme. Valence, 1837, Tome I.
  2. Edouard. Charton. Le magasin pittoresque. Paris, 1839. « Les grès fins se fabriquent surtout en Angleterre. C’est à Wedgwood que l’Angleterre doit cette poterie. Le véritable inventeur en est Bœttcher, qui s'imagina, comme nous dit plus haut, avoir trouvé la porcelaine en fabriquant une poterie de grès fin. Cependant au Japon et en on en fabrique depuis les temps les plus reculés [...] En France, les principales fabriques sont à Saint-Uze et au Montet». Alexandre Brongniart. Traité des arts céramiques, ou des poteries, considérées dans leur histoire, Paris, 1854. « La prétendue première porcelaine européenne faite en Saxe, en 1700, par Bœttcher, était un véritable grès brun rouge, ayant la dureté, le grenu, l'opacité complète de cette poterie, et aucun des caractères de la vraie porcelaine, de celle de la Chine, qu'on cherchait à imiter. Ils étaient mats et comme on ne sut pas d'abord leur donner de glaçure, on leur donna le brillant d'une couverte par la taille et le polissage ». Stéphane Flachat. L’industrie. Exposition des produits de l’industrie en 1834, Paris, 1834, p. 54.« La poterie de grès fine, particulièrement fabriquée en Angleterre, paraît se composer d’un quart d’argile plastique blanche, d’un quart de kaolin, d’une moitié de feldspath ; il en résulte une pâte qui a une assez grande fusibilité, qui peut se passer de verni ou de couverte, ou n’en reçoit pas d’autre que celui qui provient de la volatilisation des parties alcalines des terres qui composent les enveloppes dans lesquelles ces pièces de poterie sont cuites. Cette poterie est susceptible de recevoir des ornemens très-fins et très brillans. » Mittenhoff et Mourot s'installent à Val-sous-Meudon en 1802, puis à Paris, rue de Ménilmontant, en 1807. Il s'agit de l'une des premières fabriques de grès fin en France.
  3. Alexandre Brongniart. Traité des arts céramiques ou des poteries. Paris, Béchet, Mathias, 1844. Classification des céramiques par Brongniart : Média:Brongniartclass.jpg. La terre de fer est une faïence fine dure
  4. J.-M. Haussonne, C. Carry, J.L. Barton, P. Bowen. Traité des matériaux - Céramiques et verres : principes et techniques d'élaboration. Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes, 2005.
  5. Média:saintuze.pdf
  6. L'hygiocérame est inventée par le chimiste Fourmy vers 1800. Il s'agit d'une poterie rendue imperméable par une couverte terreuse brune non plombifère. Média:BrongniartFourmy.jpg. Les hygiocérames de Fourmy sont présentées à l'Exposition de Paris de 1801. Voir Noël Regnier. L'Industrie française au XIXe siècle, Paris, 1878, p. 39
  7. Porcelaine brune Revol, brun mat ancien et aspect cuivré, Média:revolbrune.jpg
  8. Notice sur les objets envoyés à l'exposition des produits de l'industrie française, Paris, Imprimerie impériale, An 1806. Département de la Drôme, Média:uze1806.jpg
  9. Les difficultés dans la production de grès fins en France dans les années 1830 Média:enquetegresfins.jpg
  10. Exposition internationale (1930 ; Liège, Belgique / Anvers, Belgique). Rapport général de la Section Française. Comité français des Expositions à l'étranger (Paris). « Les poteries en terre commune comprennent les tuyaux de drainage, les pots à fleurs, les pipes en terre, les vases poreux, les poteries ornementales, la poterie d'horticulture et surtout la poterie culinaire, la poterie de ménage et les terres cuites. Cette fabrication très vivace est disséminée dans toute la France; elle est surtout prospère dans l'Alsace, les Vosges, dans la Drôme (Saint-Vallier, Saint-Uze) et dans les Alpes Maritimes (Vallauris). Les fabriques qui travaillent la poterie de grès sont extrêmement nombreuses dans notre pays. La plupart sont de petits établissements. Les véritables usines modernes, spécialisées dans cette catégorie de produits, sont encore peu nombreuses, mais parfaitement aménagées. Les poteries en grès comprennent toute la série des appareils sanitaires, des articles de ménage et des récipients de toutes espèces (à l'exception de ceux spécialement fabriqués pour les produits chimiques), des poteries d'horticulture, objets dont l'usage est aujourd'hui très répandu : tels sont les siphons, cuvettes, éviers, bouteilles, carafes, terrines, casseroles, plats, auges, bassins, réservoirs, fontaines à filtrer et parties de fontaines à filtrer, bordures de jardins, etc.. Les principaux centres sont le département de Saône-et-Loire, avec les régions limitrophes, à Ciry-le-Noble, à Pont-des-Vernes, Palinges, à Digoin, à Paray-le-Monial; le Rhône (Givors, Grigny), la Loire (Le Coteau près Roanne), la région de Beauvais, dans l'Oise, les communes de Saint-Vallier et de Saint-Uze dans la Drôme, la région du Nord avec Aire-sur-la-Lys et Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), Beugnies, Ferrière-la-Petite, Sars-Poteries, Louvroil (Nord) ; l'Alsace (Betschdorf, Diemeringen). Les poteries cuites en grès ne donnent lieu qu'à une importation sans importance qui consiste surtout en poteries communes. Les exportations s'accroissent régulièrement et sont beaucoup plus importantes; elles s'élèvent en 1929 à 4.500 tonnes d'une valeur de 10 millions 1/2 de francs. Parmi les articles exportés, il convient de mentionner particulièrement les appareils sanitaires, les récipients, les articles de ménage, les poteries d'horticulture, les objets d'art, les grès flammés. »
  11. Cette situation est également caractéristique du secteur de la porcelaine en Limousin où l’on distingue les descendants des manufacturiers du XVIIIe siècle, membres de familles enrichies, et d’anciens ouvriers ou chefs d’ateliers. Ceux-ci emploient au maximum une centaine d’ouvriers, ont peu de capitaux, ne font pas d’appel au crédit, et possèdent peu de compétences économiques. Ils ont par contre un sens de la solidarité patronale et travaillent avec leurs ouvriers sans paternalisme.
  12. Catalogue des motifs Média:Motifs.pdf
  13. Source : R.Laplaud.
  14. La majorité des informations présentées proviennent des recherches personnelles de M. Laplaud, spécialiste de cette céramique. Ses ouvrages étant uniquement en vente chez leur auteur, nous indiquons avec son accord ses coordonnées : 05 53 74 03 81 - aestivum@voila.fr

Articles connexes

Liens externes


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