- Chloropète Aquatique
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Chloropète aquatique
Chloropeta gracilirostrisClassification classique Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Classe Aves Ordre Passeriformes Famille Sylviidae Sous-famille Acrocephalinae Genre Chloropeta Nom binominal Chloropeta gracilirostris
Ogilvie-Grant, 1906Statut de conservation IUCN :
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sont disponibles sur CommonsParcourez la biologie sur Wikipédia : Le Chloropète aquatique, aussi appelé Chloropète des marais, Jaunerolle aquatique et Jaunerolle des marais[1] (Chloropeta gracilirostris) est un oiseau d'Afrique de la famille des Sylviidae. C'est une des espèces qualifiées d'endémique du papyrus.
Sommaire
Morphologie
Le chloropète aquatique est un oiseau de petite taille (14 cm) avec le dos de couleur brun-olive à brun-roux et le ventre jaune avec des nuances olive sur le poitrail et les flancs.
Comportement
Alimentation
Cet oiseau se nourrit de petits insectes.
Répartition et habitat
Sous-espèces et répartition
Il existe deux sous-espèces de Chloropète aquatique[1] :
- Chloropeta gracilirostris gracilirostris (Ogilvie-Grant, 1906): Burundi, est de la République démocratique du Congo, ouest du Kenya, Rwanda, nord ouest de la Tanzanie, ouest de l' Ouganda
- Chloropeta gracilirostris bensoni (Amadon, 1954): embouchure de la rivière Luapula en Zambie, et peut-être dans les zones adjacentes de la République démocratique du Congo[2].
Habitat
Plus souvent entendu que vu, cet oiseau est généralement observé seul ou en couple dans les marais et marécages, ou en bordure des grands lacs africains. Il se trouve le plus souvent dans la partie sommitale des papyrus, et occasionnellement dans les roseaux.
Le Chloropète aquatique et l'Homme
Statut et préservation
Cette espèce est menacée par la disparition de son habitat, due au drainage des zones marécageuses, à l'expansion démographique, à l'envahissement des marais par la Jacinthe d'eau et par la destruction des papyrus par les humains et les incendies. Des actions visant à protéger les marais à papyrus sont en cours au Rwanda et sur la partie kényanne du lac Victoria[2].
Sa population, qui est en déclin, est estimée à moins de 10 000 individus, sur une aire de répartition très morcelée, ce qui justifie le classement de cette espèce par l'IUCN dans la catégorie VU C2a (vulnérable)[3].
Philatélie
La Zambie a émis un timbre à l'effigie de cet oiseau en 1988[4].
Liens et références
Photos et vidéos
- Photo de C. gracilirostris sur le site African Bird Club
- Galerie photo sur ARKive
- Vidéo sur IBC (C.g.gracilirostris, Ouganda)
Notes et références
Liens externes
- Référence Alan P. Peterson : Chloropeta gracilirostris dans Passeriformes (en)
- Référence Avibase : Chloropeta gracilirostris (+répartition) (fr+en)
- Chloropeta gracilirostris sur Birdlife
- Référence ITIS : Chloropeta gracilirostris Ogilvie-Grant, 1906 (fr) ( (en))
- Référence Animal Diversity Web : Chloropeta gracilirostris (en)
- Référence NCBI : Chloropeta gracilirostris (en)
- Référence IUCN : espèce Chloropeta gracilirostris Ogilvie-Grant, 1906 (en)
- C. gracilirostris sur Birds of the world on postage stamps
- Portail de l’ornithologie
Catégories : Statut IUCN Vulnérable | Oiseau (nom vernaculaire) | Sylviidae
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