- Caius Helvius Cinna
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Pour les articles homonymes, voir Cinna.Caius Helvius Cinna est un poète latin et un homme politique de la fin de la République romaine, au Ier siècle av. J.‑C..
Ami de Catulle et d´Asinius Pollion, élève du grec Parthénios de Nicée (qui sera le maître de Virgile), il est l´auteur d'un poème épique et mythologique, Smyrna, ainsi que d'un Envoi à Pollion (œuvres aujourd'hui disparues).
En 44 av. J.-C., il est tribun de la plèbe. Victime de son homonymie avec Lucius Cornelius Cinna, qui avait approuvé le meurtre de Jules César, il sera par erreur massacré par la foule lors des funérailles du dictateur[1].
Guy Gelvy Zinn ( lat. Helvius Cinna Gaius ) - Roman poète qui a vécu dans le I. Colombie-Britannique. De sa biographie, nous savons seulement que le poète Catulle , il fait un voyage à la Bithynie dans le cortège de préteur Gaius Memmi pour améliorer leur condition. Catulle, appelle un ami Tsinnu, disant que lui et Tsinnoy transporteurs d'usage courant [1] Cinna poèmes n'ont survécu que dans des fragments, selon laquelle, ainsi que le témoignage d'autres écrivains anciens, nous pouvons conclure que Zinn est l'un des poètes dits de la nouvelle école. Une des caractéristiques de son a été le désir d'imiter la direction de la littérature grecque, dont elle a pris au cours de l'érudition alexandrine et qui était que, au lieu de dominer la première nationale drame historique et didactique épique et faire des petits poèmes sur des thèmes mythologiques (ainsi visés. Epillii) , épigrammes et d'élégies érotiques. De tous ces genres de poésie Tsinne, apparemment, n'a plus epilly «Zmyrna», le destin tragique de la mère d'Adonis , Smyrne ou Myrrha (voir Corresp. article) vers la préparation de laquelle le poète a travaillé 9 ans, et un guide poétique ( «Propempticon») de la Grèce pour Azin Pollion (voir Corresp. article.) Dans ces deux œuvres, Zinn a trouvé beaucoup d'apprentissage et leur a écrit afin que moins ornée d'un siècle pour ses commentaires au besoin. Et «Zmyrna», et «Propempticon» Cinna, apparemment imité le poète grec de Nicée Parphène . Certains ulémas (par exemple, Schwab, dans l'article: «Der Tod des Dichters S. Helvius", 1889) est considéré comme identique avec C. Gelviya Tsinnoy fait que, selon Plutarque (biographie de Brutus, Ch. 20.), A été tué par une foule l'enterrement de César, mais cela est peu probable. Bribes recueillies, voir Zinn, L. Miller dans la publication «Catulli Tibulli Propertii Carmina» (Lpts., 1870) et dans Berensa «Fragmenta poetarum Romanorum» (Lpts., 1886). A propos de Ts voir Kiessling, «De Helvio C. poeta »(BA, 1877), et Ribbeck,« Geschichte der Dichtung römischen »(I, 1894, p. 356 et suiv.).
Notes
- Plutarque, Vie de Brutus, 20 ; Suétone, Vie de César, 84 ; Valère-Maxime, Actions et Paroles mémorables, livre IX, 9
Catégorie :- Poète de la Rome antique
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