Pierre Rousseau (vulgarisateur)

Pierre Rousseau (vulgarisateur)

Pierre Rousseau (Montbazon 1905, Limeil-Brévannes 1983), vulgarisateur scientifique français, est l’auteur d’une cinquantaine d’ouvrages scientifiques destinés au public cultivé.

Premier enfant de Jean Baptiste Rousseau (clerc de notaire) et de Marie Renée Lefort (sans profession), Pierre Jean Baptiste Rousseau voit le jour le 11 février 1905 à Montbazon (Indre-et-Loire). Suivront deux frères : René, qui disparaîtra pendant la première bataille de France, en 1940, et Jean, qui fera une carrière de pilote à Air France.

Durant sa jeunesse Pierre Rousseau fut amené à la science par les livres de l'Abbé Moreux qui dirigeait chez Fayard une collection d'astronomie populaire. À 13 ans il construit sa première lunette astronomique, et à 17 ans publie son premier article scientifique.

Elève doué en mathématiques (il décrochera en 1918 une bourse départementale, puis une bourse nationale en 1920), il construit à treize ans sa première lunette astronomique. À dix-sept il publie son premier article scientifique, avant même l’obtention de son baccalauréat.

En 1923, grâce à l’appui de Jean Becquerel, il est nommé maître d’internat stagiaire au collège de Montargis. Malgré ses demandes répétées pour obtenir un poste dans une ville universitaire afin de pouvoir préparer ses licences, le jeune Pierre Rousseau navigue ainsi plusieurs années entre Fontainebleau, Blois et Vendôme.

En 1929, sa certification en mathématiques générales obtenue, Pierre Rousseau est enfin muté à Paris. D’abord affecté au lycée Charlemagne, il fera un rapide passage à Janson de Sailly avant d’être nommé répétiteur au lycée Buffon.

L’année 1931 voit le jeune Pierre Rousseau sous les drapeaux, pour remplir ses obligations militaires. Certifié en Astronomie approfondie en mars 1932, il obtient une double licence, l’une en Philosophie (Psychologie, morale et Sociologie, 1935), l’autre en sciences mathématiques et physiques.

Parallèlement à ses études, Pierre Rousseau assure la chronique scientifique de plusieurs journaux. Ses écrits les plus intéressants de cette période paraissent dans la publication La Nature, revue de vulgarisation scientifique fondée en 1873 par Gaston Tissandier : L'électronique à l'aide de l'astronomie : la lunette à électrons (février 1937), Les atmosphères planétaires (novembre 1937), La dérive des continents à la lumière des dernières recherches (avril 1938), Le système solaire vogue-t-il dans une nébuleuse obscure ? (juin 1938), La prodigieuse énigme des naines blanches (Octobre 1938).

Il accumule ainsi de l’expérience et de la matière pour ses livres à venir. Sa rubrique scientifique lui vaut un abondant courrier ; quelques années plus tard, il confiera « Combien de fois ais-je reçu des lettres d’inventeurs, depuis le mot d’une vieille dame de 91 ans, retraité des PTT qui avait passé sa vie à méditer sur l’univers et me priait de faire parvenir le fruit de ses cogitations à Jean Perrin, jusqu’aux questions naïves d’un jeune homme qui, joignant un timbre pour la réponse, me demandait de lui envoyer les plans de la « machine à fabriquer les corps radio-actifs artificiels » de M. Joliot ! ».

Aussi, quand l’administration le mute en 1935 au Lycée Félix Faure de Beauvais, il quitte l’Education nationale sans trop d’hésitations pour rejoindre l’Observatoire de Meudon – établissement rattaché à l’Observatoire de Paris – comme « Astronome stagiaire au Service du Méridien ». À cette époque, la situation de l’astronomie n’est guère brillante. L’effectif total des astronomes n’atteignait sans doute pas les cent cinquante en France. À peine commençait-on à moderniser les observatoires et à faire disparaître les mangeoires et râteliers des laboratoires de Meudon, installés dans les écuries de l’ancien château.

Fils de Charles Dollfus (créateur du Musée de l'Air, et Astronome Honoraire de l'Observatoire de Paris-Meudon), Audouin Dollfus, l’un des plus éminents astronomes de notre pays, se souvient de Pierre Rousseau jeune astronome : « Avant la guerre, nous étions qu’une petite dizaine de personnes. Pierre Rousseau était quelqu’un d’effacé – presque trop –, quelqu’un de profond, un excellent écrivain, un excellent vulgarisateur. Ses livres d’astronomie sont admirables ! Je les ai dévorés. Pour illustrer son Mars, Terre mystérieuse, je pense qu’il a obtenu des images de la grande lunette, d’Antoniadi lui-même ».

En 1939, comme des centaines de milliers d’autres jeunes français, il est mobilisé et stationné en Lorraine. Comme il l’indique dans Le monde des étoiles (1950), il est servant de batterie : « Combien de fois l’auteur de ce livre ne l’a-t-il pas contemplé [Jupiter.]…pendant la dernière guerre, avec la modeste « binoculaire » de sa batterie ? ». C’est également l’année de la publication chez Hachette de son premier livre, consacré sans surprise à l’astronomie : L’Exploration du ciel, tiré à 8 000 exemplaires. Dès cet ouvrage, on retrouve l’un des signes distinctifs du style vivant de Pierre Rousseau : l’amour de l’anecdote, le soin apporté à faire ressortir le rôle majeur des savants (on ne disait pas encore chercheur à l’époque), l’importance de l’histoire des sciences. La préface l’annonce sans ambigüité : « L’auteur a voulu montrer l’astronome à l’oeuvre, au prise avec ses appareil et peinant sur des calculs…ont verra ici des savants qui ne sont que des hommes ». Ainsi, dès les premières pages, l’auteur narre l’anecdote – véridique ? – du directeur de l’Observatoire de Paris, furieux de se voir demander une prévision météorologique par un quidam.

Tout en se consacrant plus particulièrement à l’astronomie et aux sciences connexes, il s’est laissé tenté par des disciplines non moins passionnantes, telles que l’épistémologie (Histoire de la Science 1945), l’astronautique (Satellites artificiels 1957), la géologie (La Terre ma patrie 1947, Explication des paysages de France 1967), la physique nucléaire (Histoire de l’Atome 1948) et l’électricité (Le Monde de l'électricité 1971). Son dernier ouvrage fut publié en 1977 aux Nouvelles Editions Latines, (L’avenir de la Terre).

De la fin de la seconde guerre mondiale jusqu’en 1974, Pierre Rousseau distingue trois périodes ; Jusqu’en 1960, il note une foi profonde du public dans l’efficacité de la science et un grand prestige des savants. De 1961 à 1967, il relève l’apparition progressive des économistes et des analystes de systèmes comme sources d’influence dans la politique scientifique. Puis, à partir de 1967, c’est un certain désenchantement à l’égard de la science et de la technologie.

Après avoir publié son dernier ouvrage, L’avenir de la Terre, il est victime d’une congestion cérébrale à la fin des années 1970. Pierre Rousseau perd au cours des cinq dernières années de son existence chacune de ses forces physiques, chacune de ses facultés intellectuelles.

« M. Pierre ROUSSEAU est non seulement l’auteur de 34 ouvrages sur la Science, mais encore le père de l’histoire de la science, ouvrage de 800 pages qui fait autorité en la matière. M. ROUSSEAU a su traduire dans un style limpide, sans encombrement de termes techniques et dans une langue accessible aux lecteurs, le moins initié à la langue scientifique, tous les secrets de la science depuis les Egyptiens jusqu’à la théorie des quanta, en passant par Descartes, Newton, Ampère et Faraday. En des temps où les pouvoirs publics s’efforcent de rendre populaires, auprès des jeunes, les carrières de la Recherche Scientifique, M. ROUSSEAU depuis bientôt 30 ans, montre dans ses ouvrages à grand tirage, collection « Que sais-je ? » en particulier, ce qu’est la science et sait en dévoiler tous ses attraits. La nomination dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur serait de nature à récompenser un homme dont les talents n’ont d’égaux que la modestie. » Exposé des motifs du mémoire de promotion à la légion d’honneur (extrait)

(Notice biographique tirée d'une biographie non éditée établie par Bruno Rasle)

Ouvrages

Nous n’avons fait figurer ici que les ouvrages de Pierre Rousseau publié en France et quelques éditions étrangères. Manque donc la longue liste des articles écrits pour journaux et revues (La Revue de Paris, Historia, Nature, L’œuvre, Marianne, Le Petit Parisien, La Petite Gironde, Science et Vie, etc.).

À l’exception des Que Sais-Je ?, ces ouvrages ne sont plus disponibles en bibliothèques publiques. On recommandera plus particulièrement Histoire de la Science, La Terre ma patrie, Histoires des techniques et des inventions et Explication des paysages de France, que l’on trouvent assez facilement chez les bouquinistes.

  • 1939 « Exploration du ciel », Hachette
  • 1941 « Mars, Terre mystérieuse », Hachette
  • 1941 « Pour comprendre l’astrophysique », Librairie Douin et Cie (préface de l’abbé Moreux)
  • 1941 « De l’atome à l’étoile », Que Sais-je ? no 2 , PUF
  • 1941 « L’astronomie sans télescope » Que sais-je ? no 13, PUF
  • 1942 « La lumière » Que sais-je ? no 48, PUF
  • 1942 « Histoire de la vitesse », Que sais-je ? no 88 PUF
  • 1943 « Notre amie, la Lune », Hachette
  • 1945 « Histoire de la Science », Fayard
  • 1946 « La conquête de la science », Fayard
  • 1947 « La Terre, ma patrie », Fayard
  • 1948 « Histoire de l’atome », Fayard
  • 1949 « Histoire de la Terre. I, L’homme avant l’histoire» et « Histoire de la Terre. II, Jeunesse de la Terre » NEL (2 tomes)
  • 1950 « L’énergie », Fayard
  • 1950 « Jean-François, astronome », Hachette
  • 1950 « Le monde des étoiles », Hachette
  • 1952 « Notre soleil », Hachette
  • 1951 « Découverte du ciel -L’Homme devant les étoiles. T1 », NEL
  • 1952 « Jean-François, électricien », Hachette
  • 1952 « L’astronomie nouvelle », Fayard
  • 1953 « Au cœur de la Terre », Hachette
  • 1954 « La science au XXe siècle », Hachette
  • 1955 « Exploration du ciel », Hachette
  • 1955 « Glaciers et torrents - Energie et lumière », Hachette
  • 1956 « A la conquête des étoiles », Hachette
  • 1956 « Histoire des techniques et des inventions », Prix Maujean 1957 (Académie Française)
  • 1957 « Le monde des étoiles », Hachette
  • 1957 « Satellites artificiels » chez Hachette
  • 1959 « L’astronomie », Livre de poche (Librairie générale française)
  • 1959 « Histoire de l’avenir », Hachette, Prix Nautilus 1960
  • 1961 « Ces inconnus ont fait le siècle », Hachette, Prix de l’Aventure industrielle et scientifique
  • 1961 « Les profondeurs de la terre- Encyclopédie par l'image », Hachette
  • 1961 « Les tremblements de terre », Hachette
  • 1961 « Histoire des transports », Fayard, Prix Thérouanne 1962 (Académie Française)
  • 1962 « L’Univers et les frontières de la vie » Hachette
  • 1963 « Voyage au bout de la science », Hachette, Prix Auguste Furtado 1964 (Académie Française)
  • 1964 « La science du vingtième siècle », Hachette (réédition couronnée par le Prix Jean Macé)
  • 1963 « La lune, terre d’avenir », Hachette (refonte de « Notre amie la Lune »)
  • 1963 « Voyage au bout de la science », Hachette
  • 1964 « L’astronautique », Hachette
  • 1965 « L'invention est une aventure », Hachette
  • 1967 « Explication des paysages de France (La route Paris-Hendaye), Hachette, Prix Broquette-Gonin 1968 (Académie Française)
  • 1971 « Histoire de l’avenir », Hachette
  • 1971 « Le monde de l’électricité », Hachette
  • 1974 « Survol de la science française contemporaine », Fayard
  • 1977 « L’avenir de la Terre », NEL

Quelques éditions étrangères : (Cette liste ne comprend pas les éditions des pays de l’Est)

  • 1949 «La conquista de la ciencia», Barcelona Edit.Destino
  • 1956 « Astronomia senza telescopio » Milano, Garzanti, collection "Saper tutto" no 72, Traduzione di Lea Magazzari
  • 1959 « Man's Conquest of the Stars » 1st American Edition DJ Shelfworn.
  • 1959 « Man's Conquest of the Stars » Jarrolds London, Translated from the French by Michael Bullock
  • 1959 « Moderne uitvindingen, de techniek in de 20ste eeuw » Utrecht, spectrum 431
  • 1960 « Sie prägten unsere Zeit - Die unbekannten Wegbereiter der modernen Technik», Bechtel - Verlag München
  • 1960 « Geschichte der Zukunft» Paul List Verlag München
  • 1961 « Man's Conquest of the Stars» WW Norton, NY
  • 1965 « Os tremores de terra », Lisboa Editorial Verbo
  • 19xx « História das Técnicas e das Invenções »
  • 1967 « The Limits Of Science », Scientific Book Club
  • 1971 « La vida extraterrestre» Edit.Bruguera (également 1974)

Citations

« Quittons cet âge antédiluvien, celui de M. Fallières et du déjeuner à cent sous, pour sauter dans notre âge à nous, celui de M. Coty, de la côtelette à cent francs et de la bombe à hydrogène ! Le voilà, le siècle de la science ! C’est celui qui, commencé en 1900 dans l’euphorie, la croyance au progrès et l’espérance dans l’avenir, nous conduit, vaille que vaille, vers l’an 2000 à travers forces vicissitudes. Siècle de la science, certes, il l’est – et même beaucoup plus que Jules Verne ne l’avait prévu. Mais cette science là n’est plus la muse innocente dont les vieux savants modèle 1900 charmaient la quiétude égoïste dans leur tour d’ivoire. [...] À ce moment-là, comme de nos jours, la France avait horreur du progrès. Elle se défournait avec dégoût du laboratoire et du tableau noir pour se livrer au plaisir enchanteur de la poésie symboliste et des manifestations antiscientifiques. Tournure d’esprit assurément fâcheuse » in La science du XXe siècle (publié en 1954).

« Combien de fois ais-je reçu des lettres d’inventeurs, depuis le mot d’une vieille dame de 91 ans, retraité des PTT qui avait passé sa vie à méditer sur l’univers et me priait de faire parvenir le fruit de ses cogitations à Jean Perrin, jusqu’aux questions naïves d’un jeune homme qui, joignant un timbre pour la réponse, me demandait de lui envoyer les plans de la « machine à fabriquer les corps radio-actifs artificiels » de M. Joliot ! ».

« Si vous étiez monté, en juin 1950, dans les salons du premier étage de la Sorbonne, où se tenait, comme chaque année, l’Exposition du matériel scientifique, vous vous seriez sans doute arrêté, surpris, devant le stand du Centre d’Etude des Télécommunications. On y voyait une sorte de buste humain, très schématiquement réalisé, avec une tête recouverte de toile et une bouche. Une bouche qui parlait. C’était un robot qui fabriquait sa voix par ses propres moyens et qu’avaient imaginé les deux chercheurs MM. Chavasse et Fromentin. Quand les cybernéticiens l’auront accouplée avec un cerveau électronique, il est permis de prédire un bel avenir à cette tête inanimée et parlante ». in La science du XXe siècle.

« Vouloir expédier une fusée sur la Lune alors que l’on n’était pas capable d’en lancer une à dix kilomètres : évidemment, les sceptiques avaient beau jeu, et ils ne s’en privèrent pas d’ironiser. Le signataire de ces lignes fut de ceux-là, et il se laissa aller, dans les quotidiens d’alors, à tirer d’innocentes fléchettes sur les astronautes en chambre. Les ironistes n’avaient pas tort. Mais ce sont les astronautes qui ont raison aujourd’hui. Car, dix ans plus tard, le tableau a changé. La petite fusée expérimentale des Oberth, Goddard et Damblanc s’est muée en une V-2 de treize tonnes qui grimpe, dans un grondement de tonnerre, jusqu’aux confins de l’atmosphère : et le plus gros obstacle qui se dressait à l’encontre de la conquête des astres – la valeur prohibitive du rapport de masse, liée au trop faible pouvoir calorifique de tous les combustibles connus – vient d’être levé avec la découverte de la possibilité d’utilisation de l’énergie atomique. Désormais la chose est certaine : le voyage à la Lune a cessé d’être une utopie, et cette génération ou la suivante ne passera point que les Christophe Colomb du ciel ne s’élancent sur les routes libres de l’espace » in. L'Astronautique.

Notes et références


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