- Mouvement étudiant chilien de 2011
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Mouvements étudiants chiliens de 2011 Mouvement protestataire d'étudiants avec une pancarte "L'éducation n'est pas à vendre".
Date mai 2011 - présent Localisation Chili Caractéristiques Actions Protestations
Grèves
CyberactivismeRépression Blessés Quelques centaines de protestants
Une douzaine de policiersLes mouvements étudiants chiliens de 2011 forment une série de manifestations réalisées par des étudiants universitaires et du secondaire durant le premier et deuxième semestre de 2011.
Ces mobilisations ont surgi de la part des étudiants qui repoussent le système d'éducation chilien, qui il pourvoit une ample participation du secteur privé par rapport à étatique. Avitaillement, seulement 25 % du système d'éducation chilien est financé par l'État en attendant que les étudiants apportent l'autre 75 %.
Les premières mobilisations ont été convoquées par la confédération d'étudiants du Chili (CONFECH). Les porte-paroleS principaux du mouvement universitaire ont été Camila Vallejo, présidente de la Fédération d'Étudiants de l'Université du Chili (FECH) et Giorgio Jackson, président de la Fédération d'Étudiants de l'Université Catholique du Chili (FEUC). Peu à peu, des étudiants secondaires se sont joints aux mobilisations. À mesure que la mobilisation a crû, se sont incorporés pour la première fois des étudiants de collèges particuliers payés, les Centres de Formation Technique (CFT), les Instituts Professionnels (IP) et les universités privées c'est-à-dire membres de presque tout système d'éducation chilien.
Pendant le mois de juin 2011, les étudiants ont convoqué marches successives dans les villes principales du Chili en atteignant une grande convocation et demandant réformes au système d'éducation chilien qui fortifient le rôle de l'État dans l'éducation. Après un mois de mobilisation contre le gouvernement, celui-ci décide de présenter sa première proposition en livrant un nouveau fond pour l'éducation et en facilitant l'accès aux crédits universitaires[réf. nécessaire]. Les organisations principales ont repoussé la proposition en demandant des mesures plus de fond. Des propositions successives du gouvernement ont ouvert la possibilité de réformes au système, comme un changement constitutionnel qui assure la qualité en éducation, mais ils n'ont pas été considérés suffisants par les étudiants.
Le 22 septembre 2011, les manifestations reprennent à Santiago avec environs 150 000 manifestants selon les organisateurs et 60 000 selon les policiers[1].
Références
- Le mouvement étudiant repart de plus belle au Chili sur RFI, 23 septembre 2011. Consulté le 1er octobre 2011
Articles connexes
- Système éducatif chilien
- Movilización estudiantil en Chile de 2006 (es)
- Movilización estudiantil en Chile de 2008 (es)
- Protestas en Magallanes de 2011 (es)
Liens externes
Catégories :- Mouvement étudiant
- Éducation au Chili
- 2011 au Chili
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