Vison d'Amérique

Vison d'Amérique
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 Mustela vison
Mustela vison
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Mammalia
Sous-classe Theria
Super-ordre Eutheria
Ordre Carnivora
Sous-ordre Caniformia
Famille Mustelidae
Sous-famille Mustélinés
Genre Neovison
Nom binominal
Neovison vison
Schreber, 1777
Statut de conservation UICN :

LC  : Préoccupation mineure
Schéma montrant le risque d'extinction sur le classement de l'UICN.

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Le vison d'Amérique (Neovison vison) est une espèce de la famille des Mustelidae, et dans la sous-famille des mustélinés. Son nom scientifique, Neovison ou Mustela vison, vient du latin visio signifiant pet, puanteur (en référence à l’odeur forte se dégageant de leur marquage territorial).

Sommaire

Classification

Anciennement classé dans le genre Mustela, il a à présent son propre genre, Neovison, depuis 2005, ayant un nombre de chromosomes différents des animaux du genre Mustela (2n=30, contre 2n=38 pour le vison d’Europe Mustela lutreola). Une sous-espèce endémique du milieu marin, Neovison macrodon, est aujourd’hui éteinte[1].

Histoire

À l’état sauvage, on le trouve à l’origine en Amérique du nord. Le vison d’Amérique est largement présent en Alaska, dans tout le sud du Canada et dans la large moitié nord des États-Unis. Il y est assez bien représenté, même si l’on constate quelques diminutions des populations ces 10 dernières années.

À l’origine chassé en Alaska pour sa fourrure, c’est Charles Rich, un américain, qui fut le premier à monter un élevage de fourrure, nommé visonnière, en 1872. Ce fut un tournant pour le vison d’Amérique : en effet, les croisements génétiques ont donné lieu à une nouvelle variété de visons d’Amérique, différente de la souche sauvage (morphologie supérieure, couleurs très variables…).

À partir de 1926, le vison d’Amérique quitte l’Amérique du nord vers l’Europe, où de petits élevages voient le jour. Dans certains pays du vieux continent, en Sibérie et en Russie par exemple, des visons d’Amérique sont relâchés pour être piégés à l’état sauvage, les visons d’élevage ayant moins de valeur commerciale. On remarque dès lors ses formidables capacités d’adaptation. Le vison d’Amérique commence donc à conquérir de nouveaux territoires, comme l’Eurasie l’Amérique du sud. À partir de 1940, un peu partout en Europe, des élevages ferment faute de rentabilité (particulièrement suite à la Seconde Guerre mondiale) et relâchent les animaux dans la nature, d’autres s’échappent, et plus récemment il arrive que des élevages entiers soient libérés par des activistes (le dernier en date en France : octobre 2009 en Dordogne, 5000 animaux). C’est ainsi que le vison d’Amérique colonise peu à peu la grande majorité de l’Europe. On le retrouve dans la plupart des milieux naturels, aussi bien en montagne qu’en bord de mer (bien que l’eau salée ne soit pas son milieu de prédilection), menaçant directement la population fragile des visons d’Europe, et provoquant des ravages chez certaines espèces menacées (par ex. les sternes en Bretagne)


Morphologie

Le vison a la morphologie caractéristique des mustélidés : corps allongé, dos courbe, pattes courtes avec 5 doigts pourvus de griffes non rétractiles, ainsi qu’une longue queue. Les pattes arrière sont semi-palmées. Il est équipé, comme les autres mustélidés, de glandes anales malodorantes qu’il sécrète en cas de danger.

Le vison d’Amérique observe un dimorphisme sexuel, surtout concernant le poids et la taille. Dans la nature, les mâles font de 900 gr à 2 kg, pour une longueur comprise entre 58 et 70 cm queue comprise. Une femelle fera de 600gr à 1,2 kg, pour environ 40 à 65 cm de long. Les individus d’élevages peuvent être bien plus gros : certains mâles vont jusqu’à 90 cm de long pour 4 kg !


Le vison est pourvu d’une dentition de carnivore, avec 4 canines proéminentes. Le vison d’Amérique possède 34 dents.

Formule dentaire : 3132/3131 = 34 3/3 incisives 1/1 canines 3/3 prémolaires 1/2 molaires

Pelage

Le vison d’Amérique, selon s’il est sauvage ou originaire d’élevage, peut revêtir des dizaines de couleurs différentes. Dans la plupart des cas, il se distingue par une tache blanche sur le menton, mais elle n’est pas systématique : On a parfois remarqué un marquage très épars, voire une absence de marquage. La couleur d’origine est un brun noir pour les poils de jarres, et brun-foncé pour les poils de bourre. Le pelage est dense et très fourni. Au fil des générations d’élevages, la sélection a permis des couleurs et des marquages infiniment variés, dont les noms varient en fonction des visonnières et des pays.

Couleurs de vison d’élevage :

blanc, perle, silver blue cross, saphir cross, palomino cross, dawn cross, pastel cross, balck cross, silver blue, saphir, palomino, topal, aube, pastel, scanglow, scanbrown, scnablack. D’autres couleurs existent, produit de marquages aléatoires des visons : chat, Chalsedony, gletcher, hermine, karelskaja spotted, herggedal shadow, amethist, royal silver, spotted et d’autres…

Mode de vie

Le vison d’Amérique est un animal semi-aquatique, essentiellement crépusculaire et nocturne. Une grande partie de la journée est consacrée à la toilette et au sommeil, la nuit correspond davantage à la période de chasse (qui représente une grande majorité de l’activité puisque le vison ne stocke pas, ou rarement, de nourriture), aussi bien terrestre qu’aquatique.

La baignade est fréquente et quotidienne chez le vison, particulièrement en période de forte chaleur : du fait de son épaisse fourrure, il lui est très difficile de réguler sa température, et plonger dans l’eau est souvent le moyen le plus efficace de se rafraîchir. Les plongées sont de courtes durées (moins d’1 min en général, jusqu’à 2 min s’il reste immobile), et il ne reste pas plus d'une heure consécutive dans l’eau, son poil n’étant pas suffisamment imperméable. Il remonte ainsi régulièrement se sécher sur des places de « ressui », et se lèche soigneusement la fourrure pour l’imperméabiliser à nouveau. Il n’est pas un excellent nageur, la plupart du temps sa technique de nage s’apparente à celle du « petit chien », excepté lorsqu’il plonge : dans ce cas, la propulsion se fait par impulsion des pattes arrières. De se fait, le vison est surtout un nageur de surface. Sous l’eau, il a une vision assez médiocre, et il chasse principalement à l’aide de ses vibrisses (moustaches), qui lui permettent de repérer ses proies en fonction de leurs mouvements. Hors de l’eau, son ouïe fine et son flair aiguisé lui permettront de repérer facilement sa nourriture. Sous l’eau ou sur terre, c’est d’avantage grâce à sa discrétion qu’à sa vitesse qu’il capture ses proies.

Le vison est individualiste, territorial et sédentaire. Il marque son territoire par des secrétions anales et des excréments (fèces) mis en évidence. En période de reproduction le mâle quitte son territoire pour aller à la rencontre de plusieurs femelles. Ces dernières restent sur leur domaine vital, où elles élèveront seules leurs jeunes, avant qu’eux-mêmes partent pour se trouver un territoire propre. Le reste du temps, le vison vit seul, et ne part que s’il est chassé ou menacé.


Habitat et domaine vital

Le vison semble vivre irrémédiablement proche des milieux aquatiques d’eau douce, très variés cependant : on le trouve dans les cours d’eau, étangs, lacs, marais, milieux ouverts et forestier, mais aussi les côtes de l’Atlantique et les milieux urbains, tel que les ports. On le rencontre néanmoins le plus fréquemment sur les moyennes rivières. C’est un animal de plaine, qu’on ne trouve quasiment jamais au-delà de 700 m d’altitude. Généralement, il ne s’éloigne pas de plus d’une dizaine de mètres des rives (150 m au maximum en Espagne).

Le gite du vison n’est pas obligatoirement sous terre. La plupart du temps, en période estivale, il dort caché dans les hautes herbes (dans les formations d’hélophytes). En hiver ou en période de gestation, il occupe des terriers d’autres espèces ou des cavités naturelles. Il habite parfois les troncs creux, les ronciers, les tas de bois, ou utilise le terrier de ses proies…. Le vison ne creuse pas lui-même de terriers. Son domaine vital s’étend généralement entre 1,8 et 3 km de cours d’eau (celui du mâle étant plus grand que celui de la femelle). 18,1 km ont été observés au maximum.

Alimentation

Le vison d’Amérique est un carnivore strict. C’est un prédateur opportuniste, inféodé à tout type de milieux aquatiques Selon son habitat, le vison consomme plus ou moins de poissons, de mammifères, d’oiseaux, d’amphibiens, de crustacés ou d’insectes de façon variée… Les traces de végétaux dans les excréments ne sont qu’anecdotiques.

La plupart du temps, on retrouve ces aliments dans les proportions suivantes : 30% de poissons, 35% de mammifères, 30% d’oiseaux, 5% d’insectes et d’amphibiens. Il consomme essentiellement des animaux fréquentant les milieux humides. Le vison d’Amérique mange environ 10% de son poids par jour.

Reproduction et gestation

La période de rut a lieu dès la fin de l’hiver, en France généralement en février-mars. Le mâle vient séduire la femelle sur son territoire. L’accouplement est souvent assez bref (10 min à deux heures, avec une moyenne de 30 min) : le mâle mord la nuque de la femelle, le maintient au sol, et la pénètre. La femelle s’accouple généralement avec plusieurs mâles différents (2 à 5 mâles, 3 en moyenne). Le mâle parcours de très longues distances pour trouver plusieurs femelles. Il n’y a pas d’implantation différée chez le vison. En revanche il est très sensible à la photopériode, et les conditions climatiques ont une forte inlfuence sur la reproduction.

La gestation dure entre en moyenne 48 à 52 jours (avec des extrêmes de 38 et 72 jours) selon les individus et les conditions, et les naissances arrivent d’avril à juin. Il n’y a qu’une portée par an de 5 visonneaux environs (2 à 7). Les petits naissent aveugles et sourds. Vers l’âge de 3 semaines, leurs yeux s’ouvrent, ils commencent à marcher dans le nid. Lorsqu’ils appellent leur mère, leur cri ressemble au jappement d’un petit chien.

Vers 5 à 6 semaines, ils marchent et jouent, et commencent à manger des aliments carnés. Ils sortent du gîte pour s’aventurer dans l’herbe. Les jeunes sont sevrés à l’âge de 6 semaines Vers 8 semaines, les petits commencent à s’intéresser à l’eau, la mère leur apprend à se nourrir. Ils consomment de plus en plus de proies vivantes. Les visonneaux quittent la mère entre 3 et 6 mois. Le vison est sexuellement mature entre 8 et 10 mois, et se reproduit pour la première fois à un an et demi, certains seulement durant leur deuxième année.

Maladies

Maladies infectieuses Le vison est sujet à un certain nombre de maladies infectieuses, mortelles pour la plupart, dont voici les plus courantes :

- Carré (parvovirus canin) - Entérite virale du vison (EVV) - Coccidiose - Leptospirose - Maladie aléoutienne (ADV) - Maladie d’Aujeszky - Pseudomonose - Rage On rencontre parfois certaines infections hépatiques et la laryngotrachéite infectieuse dans les élevages intensifs de fourrures, mais pour le moment aucun cas de vison vivant à l’état sauvage ne présentait ces pathologies.


Maladies liées à la nutrition: Si ces maladies surviennent essentiellement sur les animaux en captivité, par manque de contrôle de la provenance des aliments (rupture de la chaine du froid ou erreur de dosage) on peut provoquer soit d’importantes carences ou excès, soit de graves maladies liées à la nutrition. Parmi ces trouble l’on trouve :

- L’anémie de nutrition - Hépato-néphrite - Paralysie de Chastek - Empoisonnement par le sel - Polychlorinate de biphenyl (PCB) - Botulisme

Mortalité et longévité

À l’état sauvage, la longévité est estimée entre 6 et 8 ans. Cependant, en captivité, dans de bonnes conditions, le vison d’Amérique peut vivre jusqu’à 16 ans, avec une moyenne d’une dizaine d’année. En visonnière, les animaux sont abattus vers 7 mois, (voire 14 mois selon les élevages), les reproducteurs au bout de 3 ou 4 ans. On a donc assez peu de recul sur la mortalité des visons d’Amérique en captivité, sachant en plus que la plupart des animaux présentent des pathologies dues à la consanguinité (problèmes cardiaques...)

À l’état sauvage, lorsqu’ils ne meurent pas de maladies (ADV, carré….) transmises par d’autres mustélidés, ils souffrent souvent d’affection par des parasites, internes la plupart du temps. Leur qualité d’animal semi-aquatique (et la densité de fourrure qui s’y attache) leur évite la plupart des tiques et puces.

Les collisions routières, la pollution des eaux, les empoisonnements (par consommation de rongeurs infectés) et les pièges restent les principales causes de mortalité du vison. Néanmoins il est parfois victime de prédation :

- en Europe : renard, occasionnellement loutres, gros rapaces chiens errants. - en Amérique : alligator, loup, grand duc de virginie, martre, lynx...


statut

Le vison d’Amérique étant une espèce introduite et invasive. C'est une espèce chassable, inscrite sur la liste des animaux susceptibles d'être classés nuisibles, espèce introduite et invasive.

Il est concerné par: -l'Arrêté Ministériel du 10 aout 2004 (condition de détention des espèces) modifié par AM du 30 juillet 2010 (JO du 10/09/10), (introduction dans le milieu naturel interdite) -Annexe 2 du 10 aout 2004 -Arrêté du 26 juin 1987, (fixant la liste des espèces de gibier dont la chasse est autorisée) -Article L415-3 du code de l'environnement (loi du 12 juillet 2010) modifié par la loi « Grenelle 2 »(concernant les sanctions pénales) -AM du 25 octobre 1995 (contrôle des établissement de détention d'espèces non domestiques) -Loi du 10 juillet 1976 (protection de la nature)

Marquage obligatoire des spécimens avec transpondeur nac/faune sauvage, inscription au registre CERFA n° 12446*01, le détenteur doit obligatoirement être titulaire du certificat de capacité, autorisation préfectorale d'ouverture et tenir un registre journalier ainsi qu'un registre d'entrée-sortie. Son introduction dans le milieu naturel est interdite sur le territoire français.

Domestication

Il faut en outre préciser que depuis 2003 environ le vison d’Amérique est aussi détenu en Europe (Espagne, France, Pays-Bas, Luxembourg, Belgique, Allemagne, Hollande) comme animal de compagnie.

Différenciation avec le vison d’Europe (Mustela lutreola)

Il existe plusieurs façons de différencier le vison d’Amérique de celui d’Europe :

- la taille : le vison d’Amérique est plus gros que son cousin européen à l’âge adulte. - la tache sur le museau : la plupart du temps, le vison d’Europe possède une tache blanche sur la partie supérieure des lèvres et sur le menton, là ou le vison d’Amérique n’en a que sur le menton. S'il n’y a aucune tache, on peut en déduire qu’il s’agit d’un vison d’Amérique. En revanche, le fait qu’il y ait une tache sur la partie supérieure ou inférieure des lèvres n’est pas un critère suffisamment fiable pour permettre une conclusion définitive.

-Le cri : les deux espèces possèdent un cri bien distinctif. Alors que le cri du Vison d’Europe est court et répétitif, ressemblant à un aboiement strident, celui du Vison d’Amérique est long et plaintif.

- les crottes et les empreintes : si elles ne sont pas analysées par procédé ADN (pour les crottes) ou mesurées au mm près grâce à une mousse mémoire (pour les empreintes), cette méthode ne permet pas une identification fiable.


Il existe également plusieurs mesures à réaliser sur des individus (morts, le plus souvent), qui permettent d’avantage de certitude :

- la bulle tympanique : étroite et en forme d’amande chez Mustela lutreola, triangulaire chez Neovison. - les vertèbres caudales : 20 à 21 chez Mustela lutreola, 19 chez Néovison - les racines de la 1ere prémolaire supérieure : 1 chez Mustela lutreola, 2 chez Neovison. .

Notes et références

  1. WOZENCRAFT, W. C. 2005. Family Mustelidae. In Mammal species of the world: A taxonomic and geographic reference, 3rd ed., D. E. Wilson, and D. M. Reeder (eds.). The Johns Hopkins University Press, Baltimore, Maryland, p. 601–605

Bibliographie

  • Visons d’Europe et d’Amérique (Fascicules 13 et 14 de Encyclopédie des Carnivores de France)

par A. CAMBY / C. MAIZERET 1990 - Société Française pour l’Étude et la Protection des Mammifères

  • Le Vison - Vie sauvage, Encyclopédie Larousse des Animaux - hebdomadaire n°126, collectif SFEPM
  • Lionel Lafontaine. Loutres et autres mammifères aquatiques de Bretagne. 2005, ed. GMB
  • Martial Villemin. Le Vison : Biologie - Élevage - Pathologie, Collection des animaux à fourrure. Édition VIGOT. 1956 (1e édition)
  • Andrée Tétry et Martial Villemin (1962). Le Vison : Biologie - Élevage - Pathologie (tome I). Collection des animaux à fourrure. Édition VIGOT. 1962 (2e édition)
  • Andrée Tétry et Martial Villemin (1959). Génétique du Vison (tome II). Collection des animaux à fourrure. Édition VIGOT. 1959
  • R. Mamy et MH Motte. Le Vison - Méthodes d'élevage en France et au Danemark. Ed. La Maison Rustique - Paris 1956
  • R. Mamy. Le Vison - Méthodes d'élevage en France - Belgique - Espagne - Italie. Ed. La Maison Rustique - Paris 1962
  • Regroupement CPAQ-CPVQ-GÉAGRI. Vison,2000
  • Rich Faler. The Mink Trapper's Guide. 1996
  • (en) Mink Production par Scientifur 1985.
  • L. Augeron. Le Guide pratique de l'élevage du vison, ed. Maloine, 1974
  • (en) Laboratory Anatomy of the Mink par W. J. Radke, R. B. Chiasson, ed. Brown, 1997

Thèses

  • Perrot Amélie. Le déclin du vison d’Europe (Mustela lutreola) : une origine infectieuse ? le point sur la maladie aléoutienne en France. 2003, Toulouse
  • J.L.G.Morque. Contribution à l'étude physico-pathologique de la reproduction du vison d'élevage. 1981, Toulouse
  • A.P. Jetur. La maladie aléoutienne du vison : épidémiologie, diagnostic, traitement et prophylaxie. 1989, Alfort
  • M.Sense Guilbert. Contribution à l’étude des paramètres de la reproduction du vison. analyse statistique des résultats de l’élevage de l'INRA de Jouy-en-Josas de 1971 a 1986. 1988, Alfort
  • C. Reme. Photorégulation de la reproduction et horloges biologiques chez le vison mâle. Expériences en lumières poly et monochromatiques. 1999, Lyon
  • P.Cappe. L’élevage du vison. 1996, Nantes
  • F. Boucher pinard. L'antibiothérapie chez le vison d’élevage. 1990, Nantes
  • C. Gachet. Étude de l'impact écologique et économique du vison d'Amérique (mustela vison) sur une rivière de basse Bretagne : l'aulne. première approche du régime alimentaire. 1990, Nantes
  • H.E. Jeanbourquin. Contribution à l’étude de la maladie du vison aléoutien : virologie, immunologie, pathogénie. 1987, Alfort
  • N. Weber-Chalas. Connaissances actuelles sur les maladies du vison. 1982, Lyon
  • A. Le Delezir-Lecoq. Contribution à l’étude du botulisme. Essai de mise au point d'un vaccin de type C chez le vison d’élevage. 1986, Nantes
  • J. Guillaume. Contribution à l’étude de la pathologie du vison : les lésions rénales des animaux à fourrure défectueuse. 1966, Alfort
  • J.L. Desfaits. Contribution à l’étude de la maladie aléoutienne du vison. 1968, Lyon
  • M. Denicourt. Contribution à la splanchnologie du vison. appareil digestif et appareil respiratoire. 1964, lyon
  • B. Coche (1962). Aspects pratiques de l’élevage et de la pathologie du vison en France. 1962, Lyon
  • B. Coche (1964). Aspects pratiques de l'élevage et de la pathologie du vison en France, 1964
  • M. Liberge. Statut parasitaire du vison d’Europe (mustela lutreola) en France : étude comparative de la faune helminthique du vison d’Europe, du vison d'Amérique (mustela vison) et du putois (mustela putorius). 2004, Toulouse
  • M. Liabeuf. Contribution à l'évaluation des risques sanitaires pour le vison d’Europe lies à la présence d’élevages et de populations férales de visons d'Amérique dans le sud-ouest de la France. 2005, Nantes
  • J.M.Petit. Alimentation du vison. 1989

Voir aussi

Liens externes

Taxinomie :

Elevage :


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