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Françoise Sampermans
Françoise Sampermans, née le 10 juillet 1947 à Paris, est une personnalité française du monde des affaires.
Biographie
Titulaire d'une maîtrise de lettres et d'une maîtrise de psycho-sociologie, Françoise Sampermans se destinait à la profession d'enseignante. Cependant, son destin l'appela vers d'autes voies. Elle fut vite surnommée, par un jeu de mot facile, la Superwoman de la presse.
Elle a assumé des responsabilités dans le domaine de la communication au sein du groupe Alcatel (Télécom) de 1974 à 1987. Elle devient ensuite directrice de la communication du groupe Alcatel-Alsthom, de 1987 à 1991. Françoise Sampermans prend la direction générale de la Générale Occidentale, filiale d'Alcatel détentrice du groupe L'Express et de 40% du capital du Point, devenant PDG de L'Express et du Point, et administrateur de CEP communication (1991-1995).
Après son départ d'Alcatel, elle est nommée vice-présidente pour l'Europe du groupe Quebecor qui imprime alors l'Express.
Jean-François Kahn, qu'elle connait depuis l'époque où elle est en charge de la communication d'Alcatel, lui propose le poste de directeur général de Marianne et de l'Événement du Jeudi. Elle est ensuite directeur général du Nouvel Economiste grâce à ses amitiés avec Paul Dubrule et Gérard Pélisson, co-fondateurs du groupe Accor qui rachètent la totalité du capital à Georges Ghosn et à Fimmopresse.
Elle est devenue en 2000 directrice générale des publications au sein des NMPP.
En 2004, Françoise Sampermans accompagne Ivan Levaï dans la relance du titre Tribune Juive disparu des kiosques en 2003. Elle s'appuie sur Martine Heissler, ancienne Directrice générale adjointe du Nouvel Economiste et Lisette Jacquemont, ancienne collaboratrice du pôle Ressources humaines du groupe de communication Euro RSCG.
Elle succède en 2008 à François Léotard à la présidence de l'association pour le rayonnement du château de Vincennes.
En juin 2009, elle devient secrétaire générale de l'association que lance Rachida Dati, "C'est à vous", dont le but déclaré est de « promouvoir la citoyenneté mais pas uniquement dans les quartiers »[1].
Source
Françoise Sampermans, la femme à la double casquette, Céline Edwards-Vuillet, La Tribune de la vente, juin 1999, n°281, pp33-35
Notes et références
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