- Princess Pats Canadian Light Infantry
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Princess Patricia's Canadian Light Infantry
Le Princess Patricia's Canadian Light Infantry est l'un des trois régiments des Forces armées canadiennes avec des bataillons de soldats professionnels. (Le nom du régiment est parfois traduit, incorrectement, par des journalistes non renseignés, par. ex. « Régiment d'infanterie légère canadienne Princesse Patricia » Le nom des régiments, anglophones ou francophones, ne se traduisent pas e.g. Régiment de Maisonneuve en anglais ou en français.) Le régiment est connu par son abréviation « PPCLI », « the Patricia » ou « Princess Pats » (non-preféré). Un soldat est appelé « a Patricia » et plusieurs soldats « quelques Patricias ».
Histoire 1914-1939
Quand la Première Guerre mondiale a débuté au mois d'août 1914, en tant que colonie sans pouvoir de relations étrangère, quand le Royaume-Uni a déclaré la guerre aux empires centraux le Canada est devenu un belligérant allié à la France. Au Canada anglais et au Canada français, la nation souhaitait défendre son territoire et envoyer aux moins quelques soldats au front.
La majorité des régiments nommés et les milices locales ont tenté de se constituer en unités du « Canadian Expeditionary Force », comme l'aurait voulu l'État-major du Canada. Malheureusement, le colonel Sir Sam Hughes, ministre de la milice et de la défense nationale, ne l'a pas autorisé. L'honorable ministre voulait que chaque milicien s'inscrive dans les bataillons d'outre-mer, de n'importe quelle région, ville et sans distinction de langue (sauf le 22e bataillon, formé de Canadiens français, qui deviendra le Royal 22e Régiment dans les années 1920).
Dans ces conditions, plusieurs Britanniques de naissance ont décidé de s'enrôler dans une unité de britannique et professionnelle, pas canadienne. L'homme d'affaires Andrew Gault a fait don de 100 000 dollars canadiens en vue de la création du régiment, et avec la permission vice-régale, il lui a donné le nom d'une fille du gouverneur général du Canada.
La plus grande partie des volontaires avaient déjà reçu formation militaire dans l'armée britannique à tous les régiments sauf un (rectifié en Angleterre quand un homme de la dernier régiment britannique s'est inscrit au PPCLI). Après quelques mois, le régiment a été envoyé au front occidental comme une unité de l'armée britannique et depuis 1915 de l'armée canadienne.
Après la guerre, l'armée canadienne, comme d'autres au monde, a réduit les nombres de ses soldats. Mais le PPCLI est demeuré un des quelques régiments réguliers, tous les bataillons d'outre-mer sont disparus, mais pas avant donné plusieurs des honneurs de bataille aux mêmes régiments de milice local qui ont défendu pour combattre en groupe.
Histoire 1939-1970
Quand la Seconde Guerre mondiale a commencé, le Canada n'a plus resté comme une colonie, il est un pays libre. Donc, le parlement canadien a déclaré lui-même qu'un état de guerre a existé entre le Canada et l'Allemagne. De plus, le Canada a dû de plus prévoir une défense intérieure avec la guerre contre le Japon après 1941.
Le PPCLI s'est ajouté une bataillon à la 1er Division canadienne d'infanterie outre-mer, et des bataillons pour la défense du Canada. Cette division s'est trouvé en Sicile et en Italie péninsulaire entre l'été 1943 et l'hiver 1945, et en Europe du Nord-ouest au fin de la guerre.
Une autre fois, le PPCLI a resté comme un régiment avec les bataillons réguliers du temps de la paix, mais on a ajouté un ou des bataillons miliciens.
Quand la Guerre en Corée a commencé en 1950, le Canada a envoyé un bataillon pour la Division du Commonwealth sous le commandement de l' Organisation des Nations-unies, y compris des bataillons des Patricias, du Royal 22e Régiment et des RCRs (The Royal Canadian Regiment). L'un de ces bataillons du PPCLI a reçu une distinction rare de l'armé américaine pour ses bonnes faits des armes à Kapyong. La Présidence américaines donne le « Presidential Unit Citation » à presque aucun unité militaire hors les forces américaines, mais les Patricia ont été parmi ce petit groupe.
Dans les années 1950 et 1960, une compagnie des Patricias (et deux autres régiments réguliers) a comprise des parachutistes. L'armée, la marine et la force aérienne sont toutes devenues les Forces armées canadiennes entre 1964 et 1968. En même temps que le gouvernement de Pierre Trudeau a sèché des unités et ses obligations de l'OTAN, il a créé une nouvelle unité: « The Canadian Airborne Regiment », en effet un demi-brigade et pas seulement un régiment avec seul une bataillon. Pour le PPCLI, c'était changé mais il survivait.
Activité 1971-
L'organisation des Forces canadiennes a recommencé aux années 1970: « brigades » devenait « groupes » et pour aucune chance « groupes-brigades ». Le premier brigade, groupe ou groupe-brigade est le quel qui se fond au PPCLI avec deux ou trois bataillais réguliers de la mère régimentaire, une bataillon (« regiment » mais avec quelques et pas plusieurs des compagnies ou « squadrons ») blindé, une bataillon (encore une fois, « régiment » des quelques « batteries ») d'artillerie, un escadron des hélicoptères et des autres unités de soutien combattant et non-combattant. Cette grand unité se prend toujours le numéro officiel « 1 » n'importe quel nom officiel, et son nom de blague reste toujours « Army of the West » parce qu'il compris des unités aux provinces de l'ouest du Canada comme le Manitoba et l'Alberta.
Le PPCLI a donné des troupes parachutistes à un « Airborne Commando » du Régiment canadien aéroporté. Au début du RCA, ces soldat étaient les meilleurs parmi les Patricias, mais malheureusement, après des années, ces soldats étaient les pires que le commandement régimentaire voudrait rejeter. En 1993, contre des militaires importants, le gouvernement canadien a envoyé le RCA en Somalie, où soldats de ce régiment avec les liens du PPCLI ont maltraité et tué des prisonniers non-militaires somalis.
Après des questions parlementaires, commissions d'enquête et de scandale publique, le Ministère de la Défense nationale a décidé de supprimer le Régiment canadien aéroport" et d'envoyer les membres des commandos aéroportés aux régiment desquels ils sont arrivés. De plus, au fin des années 1990, le gouvernement a décidé de supprimer le « 4 Canadian Mechanised Brigade Group » qui a stationné en Allemagne pour le compte de l'OTAN depuis les années 1950. Ces faits ont ajouté des soldats au « 1 Canadian Brigade Group » et en grande partie à ce régiment.
Catégorie : Forces armées canadiennes
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