Mouvement Résistances

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Mouvement Résistances
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Président du mouvement Daniel Richard
Fondation 16 février 2009
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Siège 5, rue des Immeubles Industriels
11e arrondissement de Paris
Secrétaire général Victor-Hugo Espinosa
Coordination Djuric Diana
Porte-parole régional François Pecqueur
Membres fondateurs Stéphane Maillard, Andrée Guiguet, François Pecqueur, Michel Giran
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Présidents du groupe
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Représentation du parti
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Sénateurs {{{Sénateurs}}}
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Affiliation européenne {{{européenne}}}
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Site Web www.mouvement-resistances.org
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Le mouvement résistances est un parti politique français créé en février 2009 et destiné à être le porte parole politique des personnes militant au quotidien dans les associations. L'ambition du mouvement est de fédérer les citoyens, notamment issus du monde associatif, pour créer un réseau d'influences suffisamment fort, pour replacer le citoyen au centre de la société. Il souhaite agir autrement, en réglementant les lobbies, en pénalisant les multinationales qui ne respectent pas l'humain et en soutenant toutes sortes d'actions, telles que le boycott ou la désobéissance civile, dans la mesure où ça reste légal.

Sommaire

Création du mouvement

Le mouvement résistances est né de la rencontre de deux personnalités, Daniel Richard et Victor-Hugo Espinosa, engagés tous deux dans le changement des mentalités autour des problèmes environnementaux.

Daniel Richard est un homme d'entreprise (Président des 3 suisses de 1987 à 1997, puis de Sephora de 1998 à 2002), militant écologiste, il rejoint le WWF en janvier 2001 en tant que Président et participa comme négociateur au grenelle de l'environnement en 2007. Son combat écologique, ses interventions au niveau international l'on convaincu que le citoyen n'est plus défendu que par quelques ONG à faibles moyens, ne se plaçant en outre jamais sur le plan politique.

Victor-Hugo Espinosa, militant inlassable, coordinateur du réseau Ecoforum, regroupant près de 150 associations environnementales, médiateur développement durable, environnement, santé et risques auprès du conseil général des Bouches du Rhône, chargé de mission auprès du WWF de 2007 à 2008, créateur des actions Ecoalerte et de la manifestation annuelle sur l'environnement à Marseille depuis 2000. Il est engagé depuis 20 ans dans la défense de l'environnement, son souhait est de porter les débats sur la place publique, et surtout politique, car il a mesuré la rapidité des facultés d'oubli de nos dirigeants politiques.

La prise de conscience commune des enjeux et de l'urgence planétaire, le souhait de concrétiser cette réflexion, et de se poser en interlocuteurs, mais cette fois sur le plan politique -au sens le plus noble du terme- les ont amené à franchir le pas et à créer un mouvement qui sera l'émanation des associations, qui sera leur porte-parole au niveau régional puis national.

Pour le mouvement Résistances, la priorité est clairement donnée aux associations engagées au quotidien sur le terrain, qui connaissent les enjeux économiques, environnementaux, sociaux, éthiques, les solutions durables, qui proposent de nouvelles voies, et pour lesquelles une représentation politique représenterait un réel moyen de se faire entendre.

L'éthique du mouvement Résistances est très forte, sa charte est ambitieuse, et l'exemplarité est donnée comme base et fondement. Les objectifs ne sont pas individualistes, ce qui donne à Résistances une configuration tout à fait singulière et la positionne clairement au service des intérêts citoyens de défense de conditions de vie durables et équitables.

Il est nécessaire de permettre aux millions de citoyens qui militent bénévolement dans le monde associatif, de retrouver une force politique au sein d'un mouvement nouveau, utilisant des formes nouvelles de liens.

Il s'agit de créer de nouvelles plates formes de convergences sur des sujets précis, en élaborant des propositions de concertations. De créer un mouvement de société civile inscrit dans un combat politique pour le citoyen.

Charte de Résistances

La charte de résistances met en avant les principes et fondements du mouvement, l'adhésion au mouvement nécessite une adhésion à la charte.

Réveillons-nous

Une trop grande majorité des partis politiques, des gouvernements, des administrations, des économistes, des institutions internationales, des multinationales ont déclaré la guerre aux citoyens et à notre planète. Les conséquences sont considérables sur les systèmes du vivant, sur les valeurs fondamentales de l’homme, les institutions démocratiques et citoyennes et, au final, sur nos vies quotidiennes. Notre travail et notre patrimoine sont utilisés au profit d’intérêts financiers et manufacturiers, au lieu de l’être pour notre capital naturel et humain. Une telle économie dévoyée peut-être considérée comme une économie de la mort. Il est urgent de réagir. En tant que citoyen, en tant qu’être humain, nous devons entrer en résistance, pour nous, pour nos enfants et pour l’ensemble des systèmes du vivant. - Il y a urgence à une vraie transformation des sociétés de notre monde. - Il y a urgence à résister, avant de nous réinventer. Historiquement c’est le courage des résistances qui a permis à l’homme de se sauver. Il est inconcevable de laisser faire, quand on s’attaque à des valeurs aussi fondamentales que celles de la solidarité, de la transparence, aux valeurs républicaines. Il est temps pour chaque citoyen de se réapproprier les moyens de faire changer le monde. Pour cela, il faut résister à un « progrès » économique chimérique, pour aller vers le vrai sens de notre vie.

I – RESPECTONS LE VIVANT

- Entrons en résistance contre la privatisation et de la marchandisation du vivant, pour le respect de la biodiversité et la gestion publique des biens communs (air, eau, biodiversité). - Militons contre le réchauffement climatique par un scénario énergétique intelligent, basé d’abord sur les économies d’énergies, le développement des énergies renouvelables et la sortie progressive du nucléaire. Par ailleurs ce scénario doit être appuyé par des investissements de recherche sur les nouvelles énergies. - Entrons en résistance contre l’empoisonnement généralisé causé par l’élévation de la toxicité présente dans tout ce que le vivant respire, boit, mange. Respectons le principe de précaution et donc effectuons les études nécessaires avant toute commercialisation et consommation de produits chimiques d’organismes génétiquement modifiés ou de produits issus des nanotechnologies.

II – RESPECTONS L’HOMME

Résistances doit lutter contre toutes les atteintes aux droits de l’Homme et militer avec tous les mouvements humanistes et pacifistes et contre toutes les guerres. Le respect de l’Homme passe par le respect de son intégrité physique. Il est plus qu’alarmant de voir les maladies de longue durée se multiplier (cancers, leucémies, Alzheimer). Il est urgent qu’une politique de limitation des toxicités sous toutes leurs formes soit mise en place. Il faut donner priorité aux politiques de prévention par rapport aux politiques curatives pour des raisons économiques et de limitation des souffrances. Il est également urgent d’envisager les soins dans leur totalité et ne pas laisser ce monopole à l’industrie chimique, en s’ouvrant aux médecines alternatives. Il est aussi urgent de lutter contre une société sur-consommatrice et sur-prescriptive d’ antidépresseurs et devenue ainsi dépendante des pouvoirs en place. L’identité, les comportements et le contenu de la vie des citoyens ne doivent donner lieu à aucun fichier portant atteinte à la vie privée et aucune dissémination des données sans leur autorisation. Les libertés fondamentales nécessaires à l’exercice d’une vraie démocratie doivent être entièrement respectées. Il est inacceptable aujourd’hui de se contenter de constater l’augmentation des morts de la faim et de la soif dans l’indifférence des pays riches. Nous sommes tous interdépendants, ne serait-ce que par les écosystèmes. Au-delà de la morale, la solidarité est strictement nécessaire. Au niveau écologique, la planète est une, les hommes disséminés à sa surface, qu’ils le veuillent ou non, qu’ils le sachent ou non, sont tous unis dans le même mouvement de vie, et ce qui atteint les uns concerne aussi les autres. Il n’y a donc pas de grandeur et de respect de l’homme sans solidarité. La recherche spirituelle est inhérente à l’état d’Homme, elle est aussi inhérente à la recherche de l’harmonie sur la terre, elle fait partie du respect de l’homme. Aujourd’hui le développement des idées entraîne une grande diversité d’opinions et d’appartenances, Résistances soutient la multi appartenance et lutte contre tous les intégrismes.

III – RESPECTONS LA DEMOCRATIE

Aujourd’hui, Résistances doit lutter contre les dénis de la démocratie et manipulations, où le citoyen, une fois qu’il a mis son bulletin dans l’urne, n’est plus pris en compte. Cette lutte s’inscrit dans le respect des valeurs républicaines. Résistances place la citoyenneté au centre de cette évolution. Un grand nombre de changements doivent intervenir pour que les citoyens récupèrent leurs pouvoirs. Notamment : - La transparence complète sur l’ensemble des dépenses et des engagements publics ; - La fiabilité de l’information, la concertation et la médiation ; - Le suivi de l’activité réelle des élus et leur exemplarité, notamment la suppression du cumul des mandats, cause d’inefficacité, de déresponsabilisation ; - Le retour à l’indépendance des médias et la réglementation forte des pratiques de lobbying ; La mise en place de sanctions importantes contres les multinationales responsables de comportements dangereux ou anti-sociaux Le développement du droit des consommateurs, notamment la reconnaissance des actions groupées.

IV - RETABLISSONS LA JUSTICE SOCIALE

Les règles économiques actuelles du neoliberalisme accroissent partout la pauvreté, réduisent les classes moyennes, et élèvent à un niveau inadmissible les inégalités sociales. Le système et le pouvoir actuel ont failli. Ce en quoi ils croyaient est en train de s’écrouler, leur principal objectif est désormais de se maintenir au pouvoir. La démocratie est prise en otage sous la chape de plomb des médias gouvernementaux. Il faut stopper les intimidations envers les citoyens et les mensonges des élus qui essaient de nous dresser les uns contre les autres par une politique ultra-sécuritaire indigne. Accepterons-nous d’envoyer nos enfants en prison dès l’age de 12 ans pour y rejoindre journalistes, militants et pauvres ? Il n’y a pas d’issue si la justice sociale n’est pas rendue. Seule une véritable économie sociale, écologique peut transformer notre société. Les déséquilibres Nord/Sud ne peuvent être plus longtemps ignorés. Le retour à un travail en commun est nécessaire. Nous pouvons tous vivre ensemble dignement. La technologie, la science, une nouvelle économie de partage nous en donnent les moyens. Les citoyens doivent devenir multinationaux , pas les groupes industriels. Les solutions agricoles, industrielles, économiques existent. Les milliards d’euro doivent cesser d’être « donnés » aux financiers et aux industriels qui ont failli. Réveillons-nous, notre République vaut mieux que cela.

V - CREONS UNE ECONOMIE RESPONSABLE

Les systèmes économiques et financiers devront être complètement transformés. Ils ne doivent plus être au service des financiers, des multinationales, des spéculateurs et des entreprises industrielles. L’heure n’est plus à la régulation, mais à une vraie transformation. L’ensemble des services économiques devraient être mis au service de l’homme et de la planète. Résistances luttera dans ce sens, c’est le challenge des prochaines années, ce changement qui amènera une nouvelle société. Il faut revenir sur les privatisations effectuées, afin que les biens communs soient gérés par les états au sein d’une gouvernance mondiale. Les ressources premières essentielles, air, eau, énergie, doivent avoir un accès géré obligatoirement par les collectivités. Aujourd’hui, les biens communs ne sont pas gérés pour le bien de tous, Résistances exige une gestion au service des collectivités et des hommes. Il faut restreindre l’accès (actuellement illimité) aux biens communs, oser prendre de vraies sanctions, et rechercher absolument l’équilibre mondial, pour aujourd’hui et demain. Le traitement des crises économiques ne doit pas se payer au niveau des citoyens par un recul démocratique. Résistances veut lutter contre les procédures utilisées par les multinationales voyous pour échapper aux impôts, car elles savent utiliser des structures juridiques d’optimisation fiscale dans d’autres pays, en passant notamment par des paradis fiscaux. Le niveau d’exigences vis-à-vis de ces multinationales doit être relevé notamment en instituant des règles coercitives sur le plan commercial. Le consommateur-citoyen doit être soutenu par l’Etat qui doit cesser de favoriser d’une façon injuste l’industrie. Résistances souhaite aussi lutter pour la relocalisation des productions afin de raccourcir les coûts d’approche du consommateur et de responsabiliser les marchés locaux. L’économie doit être gérée à long terme et non à court terme. Il faut prendre en compte les rapports sociaux, et environnementaux. Le raisonnement économique doit se faire dans un cadre systémique et dans une perspective de long terme. Résistances s’engage à lutter pour la création concertée d’une fiscalité écologique. Il est urgent de mettre en place une épargne populaire gérée et garantie par une banque nationale représentant les intérêts de la collectivité et ceci à tous les niveaux, locaux, nationaux et mondiaux. La mondialisation pourrait devenir un élément positif pour l’évolution de l’homme. Son intérêt réel dépasse largement les manipulations politiques d’aujourd’hui. La Chine et l’Inde représentent la moitié de la population de la planète mais ne sont pas à leur vraie place dans les institutions internationales ce qui implique qu’aucune vraie mondialisation ne peut aboutir dans ces conditions. Il faut que les pays actuellement en souffrance aient la possibilité de valoriser leur Histoire et leurs ressources. Les stratégies de puissance des multinationales devraient plutôt être consacrées à réduire la pauvreté et le développement des conflits et des guerres.

VI – LIBERONS LA PAROLE DES SCIENTIFIQUES

Il faut stopper la privatisation de la recherche comme celle du vivant. L’Homme est capable d’accroître considérablement ses connaissances, ce qui constitue sa noblesse mais la soif des profits peut amener n’importe quelle marchandisation. D’urgence, il faut créer un nouvel organisme dépendant des nations unies pour diriger les nouvelles connaissances et les nouvelles technologies. L’expertise manipulée, sous pression, doit être éradiquée au profit d’une expertise libre. Il faut réhabiliter les scientifiques et leur donner davantage la parole par la mise en place de comités scientifiques indépendants (pas de juge et partie). Il faut se donner les moyens pour que la parole des scientifiques soit prise en compte plus régulièrement et plus systématiquement, en développant le statut de « lanceur d’alerte ». Il faut que la gestion des budgets de recherche soit plus tournée vers le développement de l’homme et vers la recherche de transformations utiles à la société. La recherche ne peut être laissée aux mains de multinationales irresponsables qui nous amènent vers des catastrophes irréversibles . On ne peut pas prétendre régler les problèmes environnementaux sans les scientifiques. Les institutions de contrôle par la collectivité (agences sanitaires…) ont perdu trop souvent leur crédibilité en faisant intervenir dans leurs commissions de contrôle des experts inféodés aux multinationales concernées. Les exemples de l’amiante, du plomb, des dioxines, des pollutions électro-magnétiques démontrent l’importance et la profondeur du problème. Tromper le citoyen alors qu’on est censé le défendre est lamentable. Il ne faut pas s’étonner alors de voir la crédibilité des scientifiques remise en cause par la société civile. Résistances exige une expertise indépendante et contradictoire lorsque la santé publique est en jeu.

VII – CREONS UNE NOUVELLE GOUVERNANCE

Toutes les gouvernances actuelles, et notamment au niveau mondial, obéissent aux lobbies néo-libéraux, que ce soit le FMI, la Banque Mondiale ou d’autres. En conséquence, elles ne peuvent agir pour le bien des hommes et de l’environnement. Cependant, les problèmes planétaires obligent à décider au niveau mondial. Il faut donc une vraie transformation de ces institutions en les ouvrant à une meilleure représentativité des peuples en les fermant aux multinationales, en incitant le citoyen à résister dans un cadre pacifiste.

VIII – CREONS DES LIENS AVEC LES MOUVEMENTS CITOYENS

Le monde associatif regroupe partout une énergie unique et formidable. Des mouvements de citoyens se battent souvent isolément pour se faire respecter, pour améliorer leurs conditions de vie et assurer leur développement. La mission de Résistances est de les connecter, les soutenir. Il est nécessaire de s’unir de façon nouvelle en respectant les appartenances de chacun, en utilisant les nouvelles technologies de connection. C’est en s’alliant sur les problèmes concrets que nous pourrons construire une puissance citoyenne qui sera la seule à pouvoir permettre la transformation fondamentale de notre société. Pour un citoyen responsable : Le citoyen doit reprendre la main pour vraiment gérer présent et futur. Il ne peut le faire qu’en se responsabilisant. Donc, en investissant dans l’éducation, la connaissance, l’information, le droit et le respect des autres. Il devra participer à la gestion des biens communs en restant solidaire. Une meilleure connaissance des éco-systèmes, de leur situation, doit entraîner un comportement plus responsable. Les droits à la santé, à la conscience, à la spiritualité, à l’entreprise, à la collectivité doivent être absolus. Ainsi, le citoyen pourra exercer sa responsabilité humaine mondiale. Résistances doit se battre pour que l’économie ne vienne altérer ces droits comme c’est le cas actuellement. Pour cela, Résistances promeut une éthique du vivant. La laïcité est une condition nécessaire de la responsabilité du citoyen. C’est aussi le cas de la lutte absolue contre la pauvreté où qu’elle soit. Solidarité humaine avec le vivant. Lutte absolue contre la guerre où qu’elle soit.

IX – DONNONS LE POUVOIR A LA JEUNESSE

Résistances doit regrouper les jeunes et participer à leur prise de pouvoir. Ce sont eux qui vont payer les endettements fabuleux que leurs parents ont, même malgré eux, cautionnés, eux qui vont subir les catastrophes climatiques et sanitaires, conséquences de la recherche éhontée de profit, eux qui vont réunir tous les hommes en une seule terre. Eux qui reviendront librement à la recherche du sens. Résistances est créé pour aider à l’apparition d’une nouvelle civilisation. Conscient de l’harmonie du vivant, l’homme doit se retrouver, retrouver son chemin, son questionnement, sa grandeur et le sens de sa vie.

Elections

Le mouvement résistances s'est présenté en juin 2009, aux élections européennes pour la circonscription Sud-Est avec pour candidat tête de liste, M. Victor-Hugo Espinosa, qui a obtenu 14 516 voix, soit 0,49 % des suffrages exprimés.


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